LA DECISION FINANCIERE DANS LE CIRCUIT FINANCIER

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Economie de marchรฉ financier ou รฉconomie dโ€™endettement

Dans une perspective qui est sans doute plus wicksellienne que keynรฉsienne, John Hicks distingue en 1974 les ยซ รฉconomies dโ€™endettement ยป des รฉconomies de marchรฉs financiers. Pour cela, trois critรจres de distinction10 sont gรฉnรฉralement retenus :
– Le sens de la causalitรฉ รฉtablie entre la masse monรฉtaire et la monnaie de la banque centrale : Dans une รฉconomie dโ€™endettement, le sens de la causalitรฉ va du crรฉdit et des variations subsรฉquentes de la masse monรฉtaire versla base monรฉtaire ; les banques en fonctionnement avec lโ€™assurance dโ€™un prรชteur en dernier ressort ; la banque centrale est passive : la monnaie est endogรจne ร  la sphรจre rรฉell. Dans une รฉconomie des marchรฉs financiers, en revanche, le sens de la causalitรฉ est inverse : les banques nโ€™accordent des crรฉdits nouveaux que si elles disposent au prรฉalable dโ€™un excรจs de monnaie ยซ Banque Centrale ยป ; la Banque Centrale est active, la monnaie est exogรจne.
– Les modalitรฉs de fixation des taux dโ€™intรฉrรชtsDans: une รฉconomie dโ€™endettement, les taux dโ€™intรฉrรชts sont souvent des prix de dรฉsรฉquilibreils: nโ€™ajustent quโ€™imparfaitement lโ€™offre de la demande de crรฉdits. A lโ€™inverse, dans une รฉconomiede marchรฉs financiers, les taux dโ€™intรฉrรชts sont flexibles et la clรดture des marchรฉs des titres et de la monnaie se fait ร  lโ€™รฉquilibre.
– Le type de financement de lโ€™รฉconomie : Dans une รฉconomie dโ€™endettement, les agents ร  dรฉficit de financement sโ€™adressent principalement aux intermรฉdiaires financiers (finance indirecte). Grace ร  cet endettement, le financement des investissements peut sโ€™opรฉrer sans appel ร  une รฉpargne prรฉalablement constituรฉe.

Les dรฉcisions dโ€™investissement et de financement delโ€™entreprise

Ce sont des activitรฉs qui consistent ร  gรฉrer les capitaux confiรฉs dans le respect des contraintes rรจglementaires et contractuelles en appliquant les politiques d’investissements dรฉfinies en interne, pour en tirer le meilleur rendement possible en fonction du risque choisi.

La prรฉรฉminence des instabilitรฉs financiรจres

Il est assez รฉvident que les phรฉnomรจnes รฉconomiquessont fragiles. A cet effet, on dรฉveloppe une analyse rรฉelle des fluctuations suraquelle viennent se greffer les perturbations sรฉcrรฉtรฉes par le systรจme de financement. Il sโ€™agitรฉgalement de celles qui procรจdent de la ยซ myopie ยป de lโ€™intermรฉdiation financiรจre. Ces deux aspects interdรฉpendants, peuvent รชtre examinรฉs sรฉparรฉment.

Le soubassement rรฉel des variations dโ€™activitรฉ

Cโ€™est en effet la sphรจre de lโ€™รฉconomie qui donne les activitรฉs ร  la conjoncture. De ce point de vue, lโ€™รฉtat de confiance des hommes dโ€™affaires est dรฉterminant.
La dimension psychologique du cycle est ici fortement rรฉaffirmรฉe ; et considรฉrรฉe comme cruciale : le rรดle moteur, selon cette optiqu e tout ร  fait dans lโ€™esprit keynรฉsien, est jouรฉ par les entrepreneurs. Ils anticipent ce que sera la demande effective, en dรฉduisent les sommes qui leur seront nรฉcessaires pour alimenter leurs fonds de roulement ou leurs investissements, puis formulent leur demande de monnaie auprรจs des banques. La masse monรฉtaire รฉvolue de faรงon erratique, suite aux modifications dans les anticipations des entrepreneurs et suite aussi aux variations spรฉculatives de la demande des mรฉnages . Ainsi, la monnaie ne fait que suivre les variations du volume de lโ€™activitรฉ et du commerce. Lโ€™intรฉrรชt du cours forcรฉ de la monnaieentti alors au fait quโ€™il confรจre ร  celle-ci une grande รฉlasticitรฉ, lui permettant dโ€™accompagnerau mieux les besoins de lโ€™รฉconomie. La monnaie รฉlastique met ainsi le systรจme productif ร  lโ€™abri des contraintes quโ€™exerce tout dispositif de financement ne fonctionnant que sur la mobilisation dโ€™une รฉpargne prรฉalable .

Lโ€™instabilitรฉ accrue par la ยซ myopie ยป des intermรฉdiaires et la versatilitรฉ des comportements des opรฉrateurs financiers

Keynes lโ€™avait indiquรฉ que les modifications brutales dans les anticipations des hommes dโ€™affaires 13 ne sont pas sans rapport avec le fonctionnement du systรจme financier.
Un systรจme que H. P. Minsky dรฉcrit comme รฉtant รฉminemment fragile et instable, agitรฉ pรฉriodiquement par des crises plus ou moins iolentesv. Dans son modรจle, Minsky fait rรฉfรฉrence ร  une รฉconomie dans laquelle rรจgne une forte incertitude et dans laquelle les entreprises doivent sโ€™endetter auprรจs des mรฉnages et des รฉtablissements financiers pour mener ร  bien leurs plans de dรฉveloppement.
Cet endettement est fonction des profits futurs actualisรฉs qui alimenteront les flux de paiement des intรฉrรชts et dโ€™amortissement du principal, du taux dโ€™intรฉrรชt et de lโ€™รฉtat de confiance des diffรฉrents opรฉrateurs.
Le candidat ร  lโ€™emprunt a le choix entre trois typ es dโ€™endettement :
– Endettement prudent : les charges de remboursement sont, en toute pรฉriode de lโ€™รฉchรฉancier financier, inferieur aux profits attendus.
– Endettement spรฉculatif : pendant les premiรจres pรฉriodes de lโ€™รฉchรฉancier, la somme de lโ€™amortissement du principal et des charges dโ€™intรฉrรชt dรฉpasse le profit prรฉvu.
– Endettement-Ponzi 14 : pour certaines pรฉriodes de lโ€™รฉchรฉancier, mรชme leseul remboursement des frais dโ€™intรฉrรชt est impossible sans recours ร  un endettement complรฉmentaire. Celui qui se lance dans des projets dโ€™investissement dont la pรฉriode de gestation est trรจs longue, est souvent obligรฉ de sโ€™inscrire dans ce schรฉma dโ€™endettement.

Minsky montre que seul lโ€™endettement prudent est de nature ร  garantir la stabilitรฉ du systรจme capitaliste, sous lโ€™hypothรจse de lโ€™exactitude des anticipations du futur. En effet, cette option protรจge les dรฉcisions dโ€™endettement des entreprises des fluctuations des taux dโ€™intรฉrรชts : les profits dรฉpassent toujours les remboursements requis par le contrat de prรชt ร  taux fixe.
Cette vertu ne peut cependant pas รชtre prรชtรฉe โ€™endettementร l Ponzi : toute hausse du taux dโ€™intรฉrรชt se rรฉpercute sur le projet dโ€™invessement,ti car une partie du prรชt doit รชtre renouvelรฉe ร  un coรปt plus รฉlevรฉ. La stabilitรฉ รฉconomique engendrรฉe par des structures financiรจres prudentes renforce lโ€™optimisme des entreprises et des banques, lโ€™aversion des entreprises face au risque diminuรฉ tandisque les banques sโ€™engagent ร  financer des projets de plus en plus alรฉatoires.

La dรฉcision dโ€™investissement

Le choix d’investissement consiste ร  รฉvaluer des actifs pour dรฉcider de l’allocation des ressources. Toute dรฉcision de dรฉpense qui conduit ร  l’acquisition d’un actif en vue de l’obtention d’un flux de liquiditรฉs ultรฉrieur et aynt pour but d’accroรฎtre la richesse des propriรฉtaires de l’entreprise, constitue un investissement. L’investissement s’oppose ainsi ร  la pure consommation impliquant une destruction de richesse et une perte de valeur. Elle permet de considรฉrer comme investissements, tous les actifs matรฉriels et immatรฉriels, industriels, commerciaux ou financiers. Selon cette option, certaines dรฉpenses analysรฉes comme des consommations du point de vue comptable, doivent รชtre considรฉrรฉes comme investissement. L’accroissement de valeur signifie que la rentabilitรฉde l’investissement est positive.

Prรฉcisons dรจs ร  prรฉsent que la mesure de la rentabil tรฉ n’a de signification qu’en fonction du montant des capitaux investis.
La logique qui prรฉvaut dans la dรฉcision de dรฉsinvestissement est identique ร  celle de la dรฉcision d’investissement. L’entreprise dรฉsinvestitafin d’accroรฎtre la richesse des propriรฉtaires de l’entreprise. Il y a dรฉsinvestissement dans la mesure oรน les liquiditรฉs qui peuvent รชtre dรฉgagรฉes peuvent recevoir une affectation plus rentable, soit en รฉtant rรฉinvesties dans l’entreprise, soit en revenant aux apporteurs de capitaux. Remarquons que, dans le premier cas, il y a amรฉnagement de la structure du portefeuille d’actifs avec substitution d’actifs, dans le second cas, il y a disparition d’actifs du patrimoine de l’entreprise.

La dรฉcision de financement

Lโ€™effet accรฉlรฉrateur flexible et du cout du capital est mis en รฉvidence dans les modรฉlisations de lโ€™investissement, mais il doit รชtre complรฉtรฉ pour prendre en compte une certaine inertie dans lโ€™ajustement du capital, du fait des contraintes financiรจres et des incertitudes.
Quand les entreprises subissent des contraintes dโ€™endettement, leur capacitรฉ ร  investir dรฉpend de leur situation financiรจre gรฉnรฉrale actulel. Un fort endettement passรฉ contraint leurs possibilitรฉs dโ€™emprunt pour financer de nouvelles dรฉpenses dโ€™investissement. Le niveau des taux dโ€™intรฉrรชt rรฉel renforce le poids de la contrainte financiรจre : les charges dโ€™intรฉrรชts quโ€™elles versent ou versaient dans le cas dโ€™un prรชt sont plus รฉlevรฉes, ร  montant empruntรฉ identique.
Au contraire, les profits courants permettent dโ€™autofinancer en partie leurs dรฉpenses dโ€™investissement, c’est-ร -dire de les acquรฉrir sans recourir ร  un endettement supplรฉmentaire.
Par ailleurs, lโ€™entreprise a le choix entre investir dans du capital productif ou dans dโ€™autres actifs financiers. La dรฉcision dรฉcoule donc de la comparaison entre les rendements de diffรฉrentes opportunitรฉs .
La dรฉcision de financement telle que nous l’avons prรฉsentรฉ comprend diffรฉrentes dรฉcisions :
– le choix de la rรฉpartition entre les capitaux apportรฉs par les actionnaires et ceux des crรฉanciers. L’entreprise doit-elle recourir plus aux fonds propres ou procรฉder ร  l’endettement ?
– le choix entre rรฉinvestissement du surplus de liquiditรฉs et distribution de dividendes
– le choix entre financement interne (autofinancement) et externe.
Ces diffรฉrentes dรฉcisions, prรฉsentรฉes de faรงon sรฉparรฉe, sont en fait trรจs liรฉes. Ainsi, une politique qui privilรฉgie le financement interneconduit ร  ne pas distribuer de dividendes et ร  renforcer les fonds propres.

Lโ€™approche de Myers et Majluf (1984) 16 considรจre que les entreprises favorisent une forte autonomie financiรจre grรขce aux capitaux mis en rรฉserve pour financer les dรฉpenses anticipรฉes dโ€™investissement et dโ€™exploitation. Lโ€™approche de Hicks (1975)17 offre une perspective divergente puisquโ€™elle met en lumiรจre la liquiditรฉ comme option de financement des opportunitรฉs dโ€™investissement non anticipรฉes dans un contexte dโ€™incertitude sur les marchรฉs. La problรฉmatique de Myers et Majluf (1984), ainsi que celle de Hicks (1975) mettent lโ€™accent sur lโ€™impact dโ€™une gestion de la f lexibilitรฉ sur la structure du capital. Selon Paranque, Rivaud Danset et Salais (2001)18 ainsi que Paranque (2004), admettre que ces problรฉmatiques ont un pouvoir explicatif complรฉmentaire conduit ร  reconnaรฎtre lโ€™existence de trois rรฉgimes de financement thรฉoriques :
โ€ข Lโ€™Autonomie : Ce rรฉgime se base sur un financement des actifs fixes et circulants par des fonds internes en rรฉduisant les ressources externes.
โ€ข Lโ€™Endettement : Ce rรฉgime repose sur le recours ร  des ressources externes, principalement lโ€™endettement bancaire pour le financement de lโ€™ens emble des actifs par opposition au rรฉgime de lโ€™Autonomie.
โ€ข Le Dรฉcouvert : Ce rรฉgime est dรฉterminรฉ par unnancementfi des actifs immobilisรฉs par les fonds propres ou par les dettes ร  long et moyen ter me et par un financement des besoins courants par les dettes ร  court terme.

La thรฉorie sur la structure de capital issue des travaux de Modigliani et Miller
Ces deux auteursย  fontย  leur apparitionย  avecย  unย  articleย  phare enย  1958 quiย  traiteย  l’influence deย  laย  structure deย  capitalย  surย  laย  valeur deย  laย  firmeย  dansย  unย  contexteย  deย  marchรฉย  parfait.
Ils reprennent la mรชme รฉtude enย  1963ย  enย  incorporant l’impรดt corporatif.
Modigliani et Miller (1958) dรฉmontrent que sous certaines hypothรจses contraignantes, la structure de capital n’a aucune importance20 car elle ne modifie pas les flux gรฉnรฉrรฉs par la firme. Ainsi, toutes les formes de financement sont รฉquivalentes en prรฉsence de marchรฉs financiers parfaits.
Cette thรฉorie repose principalement surย  les hypothรจses suivantes:
โ€ข Les marchรฉs financiers opรจrent sans aucun coรปtdeย  transactions,
โ€ข Les particuliers et les entreprises peuven t emprunter au mรชme taux, cโ€™est-ร -dire quโ€™ ils peuvent prendre des dรฉcisions financiรจres similaires
โ€ข Les coรปts deย  faillites et les frais de liquidation sont nuls
โ€ข Ilย  n’y a pas d’asymรฉtrie d’information entreles agents
โ€ข Absence de conflits d’intรฉrรชts entre les objectifs de chacun
โ€ข Pas de taxes sur les activitรฉs rรฉalisรฉes nimpรดtsi sur les revenus et les capitaux
Dans tel monde hypothรฉtique, M&M concluent ร  la neutralitรฉ de la structure de capital. Par consรฉquent, quelle que soit la structure d’endettement adoptรฉe, les firmes ont la mรชme valeur sur le marchรฉ. D’autres chercheursse sont joints ร  M&M en proposant d’autres modรจles pour dรฉmontrer la neutralitรฉ dela structure de capital sur la valeur de la firme.
ร€ cet รฉgard on peut citer le travail de Sharpe (1964) qui, en proposant les mรชmes hypothรจses que M&M, et en utilisant un modรจle basรฉ sur l’รฉquilibre de rendement des titres, ont conclu que la valeur de la firme est indรฉpendante de sa structure de capital. Cependant, la thรฉorie de Modigliani et Miller (1958) a รฉtรฉ heurtรฉe ร  de nombreuses critiques dont principalement pour son cadre thรฉorique jugรฉ trop restrictif et la levรฉe progressive de ces hypothรจses a mis la lumiรจre sur la pertinence de la structure de capital.
les restructurations thรฉoriques du modรจle M&M
Plusieursย  auteursย  ont apparuย  durantย  lesย  annรฉes1960-1970 pourย  intervenirย  dansย  le sujet de la structure de capital de l’entreprise. Leurs travaux incluent la prรฉsence des imperfections de marchรฉ et leur influence sur la valeur de la firme.
La prรฉsence de l’impรดt corporatif et personnel
Modiglianiย  et Millerย  (1963)ย  ontย  รฉtรฉย  lesย  premiers ร  amenderย  leursย  conclusionsย  et ceciย  en intรฉgrantย  lesย  taxes sur les firmes dans leurs modรจles21 et ceci pour voir l’impact de cesย  impรดts surย  laย  structure deย  capital.ย  I ls montrent queย  dans un universย  caractรฉrisรฉย  par l’existence d’un impรดt corporatif et l’absence d’un impรดt personnel, il est mieuxย  pour la firme deย  s’endetter pour profiter des รฉconomies d’impรดts dues ร  laย  dรฉductibilitรฉ fiscaleย  deschargesdesย  dettes.
Ainsi, et avec cet avantage fiscal,lavaleur del’entreprise endettรฉe est รฉgale ร ย  la valeur de la firme non endettรฉe augmentรฉe deย  al valeurย  des รฉconomies d’impรดts rรฉalisรฉesgrรขceย  aย  cette possibilitรฉ de dรฉductibilitรฉ de charges financiรจres.
ร€ travers leur article en 1963, M&M montrent qu e le paramรจtre fiscal explique le taux d’endettement รฉlevรฉ des entreprises puisqu’ils concluent qu’une firme devrait s’endetter ร  100% si elle voulait profiter au maximum des avantages fiscaux de la dรฉductibilitรฉ des intรฉrรชts. Cette conclusion estthรฉorique et peu rรฉelle puisque rare, si ce n’est inexistant, qu’une entreprise puisse courir el risque dโ€™avoir une structure de capital composรฉ seulement de dettes. Ainsi et ร  partir de cette approche, beaucoup de thรฉoriciens ont รฉvoquรฉ des facteurs susceptibles de contrebalancer l’avantage fiscal provenant de la dรฉductibilitรฉ des intรฉrรชts de la dette. Laemiรจrepr rรฉaction est venue de la part de Millerย  (1977)22 quiย  publieย  unย  articleย  dansย  lequel il explique l’existence d’une autre imposition quineutralisel’avantage fiscalย  rรฉalisรฉ.
Eneffet, Miller, a reprisย  le mรชme modรจle de M&M(1963) maisenajoutant cette fois ciย  l’effet de l’impรดt personnel ร  celui de l’impรดt corporatif,ย  l’idรฉe derriรจre ce modรจle estย  ย deย  ย testerย  ย quelย  ย estย  ย l’impactย  ย queย  ย pourraitย  avoir le niveau d’imposition des investisseursย  surย  laย  valeur deย  laย  firmeย  etย  laย  structure deย  capital,ย  il obtient ainsi l’expression suivante qui metย  enย  relationย  la valeurย  de la firmeย  endettรฉe avec celle de laย  firmeย  non endettรฉe: Ce qui รฉquivaut ร  : Ve= Vne + G.

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Table des matiรจres

INTRODUCTION
Partie 1 : Lโ€™INFLUENCE DE LA STRUCTURE FINANCIERE SUR LA VALEUR
Chapitre 1- LES APPROCHES THEORIQUES DU PROBLEME
Section1- FINANCE DU MARCHE ET FINANCE Dโ€™ENTREPRISE
Section 2- LA DECISION FINANCIERE DANS LE CIRCUIT FINANCIER
I. La description du circuit financier
II. Economie de marchรฉ financier ou รฉconomie dโ€™endettement
III. Les dรฉcisions dโ€™investissement et de financement de lโ€™entreprise
Section 3 – REVUE DE LITTร‰RATURE
I. La thรฉorie sur la structure de capital issue des travaux de Modigliani et Miller
II. Les restructurations thรฉoriques du modรจle M&M
Section 4- LES PRINCIPALES THEORIES DE LA STRUCTURE DE CAPITAL
I. Thรฉorie des compromis:
II. Thรฉorie de financement hiรฉrarchisรฉ :
Chapitre 2- LES METHODES PRATIQUES Dโ€™EVALUATION Dโ€™UNE ENTREPRISE
Section 1- LES MODELES Dโ€™EVALUATION PAR LA GESTION DE PORTEFEUILLE
I. Le modรจle dโ€™รฉvaluation de Whitbeck-Kisor
II. Le modรจle dโ€™รฉvaluation de la Wells Fargo
Section 2- LA METHODE DES CASH-FLOWS ACTUALISES
I- Lโ€™estimation des cash-flows
II – La dรฉtermination du coรปt du capital
Partie 2 : LES RESULTATS DES ETUDES ECONOMETRIQUES
Chapitre 3 : Mร‰THODOLOGIE
Section 1 : LE MODELE CHOISI ET PRESENTATION DES DONNEES
I. Le modรจle choisi
II. La prรฉsentation des donnรฉes
III. La description et mesure des variables
Section 2 : Lโ€™EVALUATION Dโ€™UN PROJET Dโ€™INVESTISSEMENT
I. La Valeur Actuelle Nette
II. Le Taux de Rentabilitรฉ dโ€™Investissement
Chapitre 4- LES METHODES D’ANALYSE
Section 1- LE CHOIX DE LA METHODOLOGIE
I. La rรฉgression linรฉaire multiple
II. La prรฉsentation des rรฉsultats
Section 2- LES DISCUSSIONS DES RESULTATS
Section 3 : LES LIMITES ET AVENUES DE RECHERCHE
CONCLUSION
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE

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