LA CULTURE DE GINGEMBRE DANS LA REGION DE BEFORONA

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LE SYSTEME TRADITIONNEL DE CULTURE DE GINGEMBRE

Les principales caractéristiques de ce système traditionnel sont les suivantes :
· Défrichement et nettoyage du terrain. En réalité, quelques paysans pratiquent encore le brûlis pour le nettoyage du terrain de plantation, surtout dans le Fokontany d’Antandrokomby.
· Le semis est effectué en désordre (foule), sans tenir compte des écartements qui sont habituellement faibles de l’ordre de 10 à 20cm x 10 à 20cm. Les trous de très petites dimensions sont faites à l’aide d’un bâton pointu avant d’enfouir un éclat de gingembre. Ces petits écartements permettent aux ménages de diminuer le risque d’obtenir un pourcentage de levée faible par compensation à partir de densité élevée.
· Dans la technique traditionnelle, on se contente d’un seul ou au maximum de deux sarclages selon la disponibilité de l’exploitant pendant la période de croissance. Les occasions des travaux importants de sarclages peuvent prendre un temps assez considérable. Selon l’importance des superficies cultivées en gingembre mais surtout à cause de la concurrence exercée par les autres cultures, notamment le riz, ces opérations de désherbage sont pour la plupart effectuées très tardivement et épisodiquement. Ceci peut être un des obstacles à l’augmentation des rendements dans la mesure où les mauvaises herbes auront assimilé les éléments nutritifs indispensables à la culture avant d’être arrachées.
· Les semences utilisées sont environ de 50kg à l’are.
· L’utilisation de fertilisant dans la culture de gingembre est très rare et d’après notre enquête, quelques paysans commencent à utiliser du sol fertile ramassé près des habitations où les ordures ménagères se sont décomposées.
· La pratique du mulching pour protéger la surface du sol est assez rare. Planter des haies vives pour protéger les cultures à l’érosion est une pratique presque inconnue.
· La majorité des plantations atteint sa maturité en juin, juillet, mais la récolte se fait selon les besoins en argent ou en semences étant donné que le gingembre se conserve dans le sol pendant plusieurs mois, constituant donc une sorte d’épargne.
Le système traditionnel est un système qui ne nécessite que le minimum de travaux d’entretien et qui ne tient pas compte des nouvelles techniques de production.

LA COMMERCIALISATION DU GINGEMBRE

Cette étude permet de suivre le circuit de vente du gingembre depuis les producteurs jusqu’aux consommateurs en passant par les intermédiaires, étant donné que le gingembre est la culture concernée par notre étude. Ce sont surtout les hommes qui apportent les produits vers les points de collecte près de la RN2 ou vers le marché de Beforona et d’Antongombato.
Comme la région de Beforona longe la RN2, la commercialisation est d’autant plus importante que les points de collecte jalonnent cette route, ce qui multiplie les débouchés pour les paysans.

LE VOLUME COLLECTE

Concernant le gingembre, trois localités assurent la production dans la région :
Beforona, Ampasimbe et Antogombato.
Le volume de gingembre collecté varie au cours de l’année et suivant la récolte. En effet, les paysans ne font de récolte que s’ils ont des besoins financiers ou lorsqu’il y a demande des consommateurs.
Les ventes se déroulent comme suit :
· Pendant les mois de juin et juillet, c’est le riz qui occupe la majeure partie du marché, le gingembre ne représente qu’un faible pourcentage (7 à 10%) car les rhizomes sont encore peu matures.
· L’intensification de vente se fait à partir du mois d’août en septembre.
· Au mois de novembre et décembre, les paysans utilisent leurs stocks pour couvrir les dépenses occasionnées par les grands travaux culturaux et aussi pour subvenir à leurs besoins alimentaires.
· Pendant les mois de janvier en mai, les quantités collectées viennent surtout de ceux qui ont pu échelonner leur récolte.

LE CIRCUIT DE COMMERCIALISATION

Comme les paysans n’ont pas assez de moyens pour écouler leurs produits, ce sont alors les collecteurs et les intermédiaires qui en assurent le commerce. Seul le transport des produits vers les points de collecte est assuré par les paysans.
Les intermédiaires peuvent être nombreux le long du circuit. Leur nombre varie suivant la distance qu’il y a entre le village et la route nationale point d’ancrage des collecteurs. Ils achètent les produits aux paysans le long des sentiers reliant les villages à la RN2 ou au bord de la route. Ils les revendent ensuite aux grands ou petits collecteurs qui vont les écouler vers d’autres zones. La longueur de ce circuit commercial avec la multiplicité des intermédiaires ainsi que le transport des produits vers le marché ou les points de collecte ne donnent que très peu de marges bénéficiaires aux paysans.
Les petits collecteurs sont surtout les épiciers situés le long de la RN2. Ils achètent le gingembre et assurent l’écoulement du produit vers les grands collecteurs. En moyenne, leurs collectes varient de 300 kg à 1500 kg de gingembre par semaine en pleine saison.
Seuls les grands collecteurs patentés ont le droit d’écouler des produits en dehors de la commune. Ce sont les acteurs formels du circuit de commercialisation au niveau de la région. Légalement, ils paient une patente auprès de la commune. Ces acteurs ramassent les produits, soit directement auprès des paysans producteurs, soit indirectement auprès des intermédiaires lors des périodes où les demandes sont très élevées. Ils écoulent ensuite leurs produits vers Moramanga, Tananarive, Ambatondrazaka et Tamatave. En outre, ce sont eux qui approvisionnent les grossistes, les transformateurs, les exportateurs et autres gros collecteurs.
Les petits collecteurs et les nombreux intermédiaires qui n’ont pas de statut officiel sont autorisés à vendre et à acheter uniquement au niveau de la commune. Cependant, ils écoulent souvent des produits échappant à tout contrôle.

LE SYSTEME TRADITIONNEL DE CULTURE DE GINGEMBRE

Les principales caractéristiques de ce système traditionnel sont les suivantes :
· Défrichement et nettoyage du terrain. En réalité, quelques paysans pratiquent encore le brûlis pour le nettoyage du terrain de plantation, surtout dans le Fokontany d’Antandrokomby.
· Le semis est effectué en désordre (foule), sans tenir compte des écartements qui sont habituellement faibles de l’ordre de 10 à 20cm x 10 à 20cm. Les trous de très petites dimensions sont faites à l’aide d’un bâton pointu avant d’enfouir un éclat de gingembre. Ces petits écartements permettent aux ménages de diminuer le risque d’obtenir un pourcentage de levée faible par compensation à partir de densité élevée.
· Dans la technique traditionnelle, on se contente d’un seul ou au maximum de deux sarclages selon la disponibilité de l’exploitant pendant la période de croissance. Les occasions des travaux importants de sarclages peuvent prendre un temps assez considérable. Selon l’importance des superficies cultivées en gingembre mais surtout à cause de la concurrence exercée par les autres cultures, notamment le riz, ces opérations de désherbage sont pour la plupart effectuées très tardivement et épisodiquement. Ceci peut être un des obstacles à l’augmentation des rendements dans la mesure où les mauvaises herbes auront assimilé les éléments nutritifs indispensables à la culture avant d’être arrachées.
· Les semences utilisées sont environ de 50kg à l’are.
· L’utilisation de fertilisant dans la culture de gingembre est très rare et d’après notre enquête, quelques paysans commencent à utiliser du sol fertile ramassé près des habitations où les ordures ménagères se sont décomposées.
· La pratique du mulching pour protéger la surface du sol est assez rare. Planter des haies vives pour protéger les cultures à l’érosion est une pratique presque inconnue.
· La majorité des plantations atteint sa maturité en juin, juillet, mais la récolte se fait selon les besoins en argent ou en semences étant donné que le gingembre se conserve dans le sol pendant plusieurs mois, constituant donc une sorte d’épargne.
Le système traditionnel est un système qui ne nécessite que le minimum de travaux d’entretien et qui ne tient pas compte des nouvelles techniques de production.

LA COMMERCIALISATION DU GINGEMBRE

Cette étude permet de suivre le circuit de vente du gingembre depuis les producteurs jusqu’aux consommateurs en passant par les intermédiaires, étant donné que le gingembre est la culture concernée par notre étude. Ce sont surtout les hommes qui apportent les produits vers les points de collecte près de la RN2 ou vers le marché de Beforona et d’Antongombato.
Comme la région de Beforona longe la RN2, la commercialisation est d’autant plus importante que les points de collecte jalonnent cette route, ce qui multiplie les débouchés pour les paysans.

LE VOLUME COLLECTE

Concernant le gingembre, trois localités assurent la production dans la région : Beforona, Ampasimbe et Antogombato.
Le volume de gingembre collecté varie au cours de l’année et suivant la récolte. En effet, les paysans ne font de récolte que s’ils ont des besoins financiers ou lorsqu’il y a demande des consommateurs.
Les ventes se déroulent comme suit :
· Pendant les mois de juin et juillet, c’est le riz qui occupe la majeure partie du marché, le gingembre ne représente qu’un faible pourcentage (7 à 10%) car les rhizomes sont encore peu matures.
· L’intensification de vente se fait à partir du mois d’août en septembre.
· Au mois de novembre et décembre, les paysans utilisent leurs stocks pour couvrir les dépenses occasionnées par les grands travaux culturaux et aussi pour subvenir à leurs besoins alimentaires.
· Pendant les mois de janvier en mai, les quantités collectées viennent surtout de ceux qui ont pu échelonner leur récolte.

LE CIRCUIT DE COMMERCIALISATION

Comme les paysans n’ont pas assez de moyens pour écouler leurs produits, ce sont alors les collecteurs et les intermédiaires qui en assurent le commerce. Seul le transport des produits vers les points de collecte est assuré par les paysans.
Les intermédiaires peuvent être nombreux le long du circuit. Leur nombre varie suivant la distance qu’il y a entre le village et la route nationale point d’ancrage des collecteurs. Ils achètent les produits aux paysans le long des sentiers reliant les villages à la RN2 ou au bord de la route. Ils les revendent ensuite aux grands ou petits collecteurs qui vont les écouler vers d’autres zones. La longueur de ce circuit commercial avec la multiplicité des intermédiaires ainsi que le transport des produits vers le marché ou les points de collecte ne donnent que très peu de marges bénéficiaires aux paysans.
Les petits collecteurs sont surtout les épiciers situés le long de la RN2. Ils achètent le gingembre et assurent l’écoulement du produit vers les grands collecteurs. En moyenne, leurs collectes varient de 300 kg à 1500 kg de gingembre par semaine en pleine saison.
Seuls les grands collecteurs patentés ont le droit d’écouler des produits en dehors de la commune. Ce sont les acteurs formels du circuit de commercialisation au niveau de la région. Légalement, ils paient une patente auprès de la commune. Ces acteurs ramassent les produits, soit directement auprès des paysans producteurs, soit indirectement auprès des intermédiaires lors des périodes où les demandes sont très élevées. Ils écoulent ensuite leurs produits vers Moramanga, Tananarive, Ambatondrazaka et Tamatave. En outre, ce sont eux qui approvisionnent les grossistes, les transformateurs, les exportateurs et autres gros collecteurs.
Les petits collecteurs et les nombreux intermédiaires qui n’ont pas de statut officiel sont autorisés à vendre et à acheter uniquement au niveau de la commune. Cependant, ils écoulent souvent des produits échappant à tout contrôle.
Les plus bas prix se situent aux mois d’avril, mai, juin, périodes où les paysans ont besoin de plus d’argent pour préparer la fête nationale du 26 juin. Les prix les plus élevés s’observent vers les mois de novembre, décembre, janvier et février. Cela s’explique par la rareté des produits car on procède à la plantation.

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Table des matières

INTRODUCTION
1 METHODOLOGIE DE TRAVAIL ET CONSIDERATIONS GENERALES : CARACTERISATION DE LA ZONE D’ETUDE, LA CULTURE DE GINGEMBRE DANS LA REGION DE BEFORONA, LA PERCEPTION DES PAYSANS SUR LA FERTILITE DES SOLS
1.1 METHODOLOGIE DE TRAVAIL
1.1.1 LES TROIS PHASES PRINCIPALES DE NOTRE METHODOLOGIE
1.1.1.1 PHASE BIBLIOGRAPHIQUE
1.1.1.2 PHASE SCIENTIFIQUE
1.1.1.3 PHASE ECONOMIQUE
1.1.2 DEMARCHES
1.1.2.1 ETUDE PRELIMINAIRE ET TRAVAIL BIBLIOGRAPHIQUE
1.1.2.2 COLLECTE DES DONNEES PAR PROSPECTIONS SUR LE TERRAIN D’ETUDE
1.1.3 PROBLEMATIQUES
1.1.4 ETUDES ET RECHERCHES EXPERIMENTALES
1.1.5 TRAITEMENT DES DONNEES
1.1.6 LIMITES DE NOTRE RECHERCHE
1.2 CARACTERISATION DU MILIEU D’ETUDE
1.2.1 LA SITUATION GEOGRAPHIQUE
1.2.2 LE MILIEU PHYSIQUE
1.2.2.1 LE PAYSAGE ET LA TOPOGRAPHIE
1.2.2.2 LA GEOLOGIE
1.2.2.3 LE SOL ET LE SOUS-SOL DE BEFORONA
1.2.2.4 LE CLIMAT DE BEFORONA
1.2.2.5 LA VEGETATION
1.2.3 LE MILIEU HUMAIN
1.2.3.1 LA POPULATION
1.2.3.2 LES ASPECTS SOCIOCULTURELS
1.2.4 LES ACTIVITES AGRICOLES
1.2.4.1 LE TAVY
1.2.4.2 LE RIZ IRRIGUE (HORAKA)
1.2.4.3 LE GINGEMBRE
1.2.4.4 LES CULTURES PERENNES
1.2.4.5 CULTURE DE COMPLEMENT
1.2.4.6 L’ELEVAGE DANS LA REGION DE BEFORONA
1.2.5 LES ACTIVITES NON AGRICOLES
1.2.5.1 L’ ACTIVITE FORESTIERE
1.2.5.2 L’ARTISANAT
1.3 LA CULTURE DE GINGEMBRE DANS LA REGION DE BEFORONA
1.3.1 HISTORIQUE
1.3.2 LES CRITERES D’ADAPTATION DU GINGEMBRE DANS LA REGION DE BEFORONA
1.3.2.1 L’ADAPTATION ECOLOGIQUE
1.3.2.2 L’ADAPTATION ECONOMIQUE
1.3.2.3 CONDUITE CULTURALE
1.3.2.4 LE SYSTEME TRADITIONNEL DE CULTURE DE GINGEMBRE
1.3.3 LA COMMERCIALISATION DU GINGEMBRE
1.3.3.1 LE VOLUME COLLECTE
1.3.3.2 LE CIRCUIT DE COMMERCIALISATION
1.3.3.3 LES POINTS DE COLLECTE
1.3.3.4 LE PRIX
1.3.3.5 LA QUALITE
1.4 PERCEPTION DES PAYSANS SUR LA FERTILITE DES SOLS
1.4.1 LES ESPECES INDICATRICES DE FERTILITE ET DE NON FERTILITE SELON LA CONCEPTION PAYSANNE
1.4.2 CLASSIFICATION DES SOLS FERTILES ET SOLS NON FERTILES
1.4.2.1 LES SOLS FERTILES
1.4.2.2 LES SOLS NON FERTILES
1.4.3 REALITES CONCERNANT LA CONSERVATION DE LA FERTILITE DU SOL
CONCLUSION PARTIELLE
2 EXPERIMENTATIONS : MATERIELS – ANALYSES ET INTERPRETATIONS DES RESULTATS
2.1 MATERIELS DE L’EXPERIMENTATION
2.1.1 LE GINGEMBRE
2.1.1.1 DENOMINATION
2.1.1.2 SYSTEMATIQUE
2.1.1.3 VARIETES
2.1.1.4 MORPHOLOGIE
2.1.1.5 PHYSIOLOGIE
2.1.1.6 ECOLOGIE
2.1.1.7 LES MALADIES ET ENNEMIS
2.1.1.8 UTILISATION DU GINGEMBRE
2.1.2 L’HYPER BARREN
2.1.2.1 LOCALISATION
2.1.2.2 PROPRIETES
2.1.3 L’UREE
2.1.4 LE COMPOST
2.1.4.1 LES PRINCIPES DU COMPOSTAGE
2.1.4.2 LES PARAMETRES ESSENTIELS A LA REUSSITE DU COMPOST
2.1.4.3 LES MICRO-ORGANISMES DU COMPOST
2.1.4.4 LES DIFFERENTES METHODES DE COMPOSTAGE
2.2 MISE EN PLACE DE L’EXPERIMENTATION
2.2.1 LE CHOIX DU TERRAIN D’EXPERIMENTATION
2.2.2 PRESENTATION DU SITE D’EXPERIMENTATION
2.2.3 METHODES ET CONDUITES DE L’EXPERIMENTATION
2.2.4 MISE EN PLACE DE L’EXPERIMENTATION
2.2.5 DISPOSITIF EXPERIMENTAL
2.2.6 MODE D’OBSERVATION ET DE CONTROLE
2.2.7 DESCRIPTION DES PRATIQUES CULTURALES
2.2.7.1 LE TAVACHAGE
2.2.7.2 L’ANDAINAGE
2.2.7.3 LE NETTOYAGE
2.2.7.4 TRAVAIL DU SOL
2.2.7.5 L’EMOTTAGE
2.2.7.6 LA PREPARATION DES SEMENCES
2.2.7.7 LA PLANTATION
2.2.7.8 LE SARCLAGE
2.2.7.9 LA RECOLTE
2.2.8 CALENDRIER CULTURAL DE TRAVAUX
2.2.9 LES RESULTATS ET INTERPRETATIONS
2.2.9.1 ANALYSE ET INTERPRETATION DES RESULTATS SUR LE FACTEUR : « LA CROISSANCE DES PLANTS »
2.2.9.2 ANALYSE ET INTERPRETATION DES RESULTATS SUR LE FACTEUR : « LE NOMBRE DE REJETS »
2.2.9.3 L’EVALUATION DES MAUVAISES HERBES ET DE L’ETAT SANITAIRE DES PLANTS
2.2.9.4 ANALYSE DU RENDEMENT
2.2.9.5 MATRICES DE CORRELATIONS ENTRE LES DIFFERENTS FACTEURS ETUDIES (AVEC 95% DE PROBABILITE)
CONCLUSION PARTIELLE
3 ANALYSES ET ETUDES ECONOMIQUES
3.1 RENTABILITE PAR UTILISATION DU COMPOST (MELANGE D’HYPER BARREN AVEC L’UREE DANS LE COMPOST)
3.1.1 ANALYSE ECONOMIQUE DE LA PRODUCTION PAR TRAITEMENT EFFECTUE
3.1.2 EVALUATION DE LA RENTABILITE DE L’UTILISATION DU COMPOST MELANGE D’HYPER BARREN ET D’UREE
3.2 ANALYSE DE FAISABILITE DE MELANGE D’HYPER BARREN ET D’UREE DANS LE COMPOST EN MILIEU PAYSAN
3.2.1 FAISABILITE DE CE SYSTEME DE FERTILISATION PAR RAPPORT AU FACTEUR CAPITAL HUMAIN
3.2.2 FAISABILITE DE CE SYSTEME DE FERTILISATION PAR RAPPORT AU FACTEUR CAPITAL TERRE
3.2.3 FAISABILITE TECHNIQUE DE CE SYSTEME DE FERTILISATION
CONCLUSION PARTIELLE ET APPROCHES SUGGESTIVES
CONCLUSION GENERALE

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