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Le développement physiologique.
Naturellement, le corps de l’enfant évolue avec son âge. Mais au cours de cette évolution physique, l’enfant contribue à la vie économique et sociale.
Pendant la petite enfance, l’enfant est vulnérable au niveau de la santé d’où le taux de mortalité infantile s’explique souvent par des maladies. En tant que bébé, il n’arrive pas à exprimer ses besoins donc il faut l’aider et le protéger pour son développement. Passant à l’âge scolaire, l’enfant mérite une grande attention car il doit donner beaucoup pour accomplir leur éducation alors qu’il a besoin de loisir aussi. Jouer est indispensable dans la vie d’un enfant. Des besoins physiologiques aussi sont à fournir pour l’enfant afin qu’il mérite un grand épanouissement. Vu l’état corporel de l’enfant, ce n’est pas à lui de fournir ses besoins mais aux parents ou aux tuteurs.
Le fait que l’enfant seul cherche à satisfaire ses besoins est critique car cela empêche son développement. L’alimentation est très essentielle aussi pour le développement physiologique. L’adolescence est une phase de développement où le corps de l’enfant rapproche celui d’un adulte. Donc il est prêt à agir comme un adulte : la forme et la force. Cette période est une période d’attirance surtout les filles mais les garçons montrent ses forces et ses ambitions.
Dans ce cas, les filles deviennent maman très tôt et les garçons travaillent pour leurs parents. Pendant, l’adolescence beaucoup d’enfants travaillent déjà même s’ils devront encore étudier pour avoir un futur meilleur.
L’environnement des enfants.
Le monde des enfants comprend les ménages, l’école, la société, la culture, la politique, la géographie et la technologie. Ce monde est divisé par son contact direct ou indirect aux enfants comme intérieur et extérieur.
Leur monde intérieur.
Nous allons parler de l’environnement dans cette section de développement humain car l’environnement intervient dans la croissance de l’enfant. La capacité cognitive des enfants dépend essentiellement de son environnement physique et social.
Il est important de mettre l’accent sur l’environnement et la petite enfance car pendant cette période, l’enfant est très sensible et cela pourra changer toute sa vie. Des expériences spécifiques avec le milieu entraînent une réorganisation originale, des premiers modes d’actions. La répétition de ces expériences produit la sélection des comportements sans la relation génétique pour affronter des problèmes et la diversité de l’environnement.
L’aspect de l’environnement influence les connaissances, l’apprentissage, la perception et la socialisation de l’enfant. Le développement de la théorie de l’esprit au cours des cinq premières années de la vie et les facteurs qui l’influencent est important pour le développement sur la vie des enfants chez eux et à l’école la façon pour éduquer les enfants dans la famille contribue pleinement à son développement et sa capacité cognitive. La famille est le principal environnement de l’enfant, après l’école et la société.
La famille
La situation de la famille influence principalement la vie d’un enfant. En général, la famille se présente comme le père, la mère et les frères et sœurs mais l’absence de des parents est très influençable. Ce cas se manifeste en cas de biparental ou monoparental ou l’enfant vit avec ses membres de famille : chez la grand-mère ou autre. Autre que la composition de famille, la situation financière, la façon de vivre et même l’environnement de la famille contribuent aussi tous au développement de l’enfant. La famille éduque de très près l’enfant par la satisfaction de ses besoins, la protection et l’éducation, donc pour assurer la réalisation des droits de l’enfant. Si l’enfant n’a pas de famille, il traine dans la rue ou d’autres personnes les aident comme les institutions ou les organismes ou l’orphelinat. Là-bas, l’enfant éprouve un manque d’affection souvent alors que cela est nécessaire aussi pour son développement.
L’école
Même si l’enfant reçoit l’éducation dans sa famille, l’école est indispensable pour la préparation de son futur surtout professionnel. L’école assure l’éducation intellectuelle et même corporelle aussi pour l’enfant afin qu’il pourra faire face à la société. Il y a des différentes stades pendant le processus scolaire passant de la primaire composée de 5 classes, le secondaire de 4 classes et au lycée de 3 classes. Et à chaque passage d’un établissement, un diplôme d’Etat sera obtenu. L’enfant doit franchir tous les stades pour terminer l’étude. Cet environnement participe pleinement au développement d’un enfant car l’éducation favorise le capital humain. Dans chaque école, des disciplines sont écr ites pour que l’enfant suive pour être un bon citoyen. L’école peut être publique ou privée, donc l’éducation est promue pour tout enfant et indispensable aussi.
La société
La société est infaillible dans la vie de toute personne mais surtout l’enfant car la société influence son développement. Le caractère de l’enfant dépend de la société où il vit, sa composition et sa forme. Si l’enfant vit dan un quartier calme, son caractère le suit automatiquement. La société est capable de changer un enfant car ce de rnier est sensible au monde extérieur. La subconscience joue un rôle primordial dans le développement de l’enfant et la faculté de s’adapter dans la société. Même si l’enfant ne veut pas ou ne s’attache pas trop à la société, cela engendrera les influences dans la vie de l’enfant surtout les enfants de la rue et ou les enfants qui n’ont pas de famille, c’est la société qui l’éduque. La société ici est l’ensemble des individus qui vivent autour de l’enfant à part sa famille.
Le monde extérieur
Le monde extérieur de l’enfant inclut le lieu géographique, la coutume, la situation économique, la politique et la technologie. Ces éléments ne touchent pas directement l’enfant mais peuvent influencer son développement. Le lieu géographique facilite ou non le développement d’un enfant par exemple le désert, le climat, le manque d’infrastructure.
La coutume aussi, qui empêche parfois le respect des droits de l’enfant. Ce qui est souvent, c’est la situation économique et politique qui agit presque directement car le pays est riche, il est notable que l’enfant peut être heureux et contrairement si le pays est pauvre. Mais les phénomènes vécus par le pays peuvent occuper l’enfant comme la guerre, la famine comme la pauvreté. Dans des situations difficiles, il est fort proba ble que les droits de l’enfant ne sont plus respectés surtout sa survie.
La politique adoptée par l’Etat concerne directement l’enfant pour les aider : dans l’éducation, la protection et l’aide pour la famille. Donc si l’Etat passe en crise, la politique pour l’enfant ne se réalise pas et l’enfant sera la victime.
Le domaine de la santé aussi est très important sur le développement d’un enfant, cela concerne aussi bien les parents que les enfants.
Enfin un aspect très important n’est pas à sous estimer : la technologie. L’enfant ne peut pas se passer de la technologie car elle touche presque tout environnement comme l’éducation, la politique, l’économie et même la santé. Dernièrement, tout est numérisé et l’enfant y baigne forcément. Même les loisirs et les jouets sont numérisés donc la génération devient numérique.
La place des enfants dans la société.
Les droits des enfants.
Comme tout être humain, les enfants ont aussi leurs droits propres à eux. Les enfants même petits, ils sont des citoyens et régis par la loi. Ces droits sont destinés pour protéger les enfants.
La définition de l’enfant : « … tout être humain âgé de moins de dix-huit ans, sauf si la majorité est atteinte plus tôt en vertu de la législation qui lui est applicable. » Art 1 de la CIDE en 1989.
Historique
Les droits de l’enfant sont pris en considération au lendemain de la Première Guerre Mondiale et par l’adoption de la Déclaration de Genève en 1924. La déclaration universelle des droits de l’homme adoptée en 1948 souligne la volonté de reconnaître et de protéger les droits des enfants : « la maternité et l’enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciales ». Un regard dédié spécialement aux enfants est imposé par le besoin de protection des enfants : une deuxième dé claration s’est proclamée dans cette même année par l’Assemblée générale sur les droits des enfants envers la satisfaction de leurs besoins. Suite à cette prise de conscience, l’ONU (Organisation des Nations-Unies) adopte la Déclaration des droits de l’enfant en 1989 qui s’est concrétisée par l’adoption de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant le 20 Novembre 1989.
La Convention Internationale relative aux droits de l’Enfant.
Le respect des droits des enfants a des caractères politique, économi que, civil, industriel et collectif. Cette convention est le premier texte international juridiquement contraignant consacré sur l’ensemble des droits fondamentaux des enfants. Ces droits sont essentiellement considérés comme :
– Droits humains, le droit à la vie, la non discrimination, la dignité à travers la protection de l’intégrité physique et mentale (protection contre l’esclavage, la torture et les mauvais traitements).
– Les enfants ont droit à une identité et à une rationalité (droits civil et politiqu e).
– Les droits économiques, sociaux et culturels comme le droit à l’éducation, un niveau de vie descente, la santé,…
– Les droits individuels : le droit de vivre avec leurs parents pour bénéficier de la protection et recevoir une éducation convenable.
– Les droits issus des différences de l’enfant comme les enfants handicapés.
Les droits des enfants doivent s’adapter aux caractères des enfants en suivant son développement en tant que physique et intellectuel et assurer surtout les besoins fondamentaux des enfants. Pour résumer, les droits de l’enfant sont des droits à la vie, à l’éducation, à l’alimentation, à la santé, à l’eau, à l’identité, à la liberté et surtout à la protection.
Droits des enfants à Madagascar.
Madagascar a ratifié la Convention relative aux Droits de l’Enfant de 1989 en 1991.
Alors que la grande Ile a déjà sa propre législation comportant des textes spécifiques relatifs à l’enfance en 1962 : l’ordonnance n° 62-038 du Septembre 1962.
Cette ordonnance a abrogé les dispositions antérieures no tamment les décrets du 30 Novembre 1928 et du 31 Juillet 1936 ainsi que l’ordonnance n° 60-142 du 03 Octobre 1960 sur la protection de l’enfant.
L’ordonnance n° 62-038 du 19 Septembre 1962 stipule la sécurité, l’éducation, la mortalité, la santé, la respo nsabilité des parents et de l’Etat envers les enfants. L’âge du mineur est fixé à moins de 18 ans (article 4) et la preuve est l’acte de naissance. Outre, la dite ordonnance à partir de la titre II mentionne les sanctions et la protection de l’enfant devant le tribunal et les juges en présence de conflit ou infractions commis par l’enfant. Après la satisfaction de la convention relative aux Droits de l’enfant, il faut concorder la Convention
Internationale avec la législation malgache et ce en suivant les normes internationales. Pour la protection de l’enfant, la Convention dans son article 37 interdit l’imposition de la peine capitale et l’emprisonnement à vie pour les enfants et insiste sur la prise en considération de la dignité et la valeur personnelle de l’enfant pour son insertion sociale après. Des réformes sont faites pour confronter les textes nationaux avec la Convention Relative aux Droits de l’Enfant notamment : le traitement des dossiers depuis l’enquête préliminaire jusqu’au jugement, l’organisation du tribunal pour enfant et la Cour Criminelle des Mineurs, l’âge en matière de responsabilité pénale et la publication de peine et la situation des enfants faisant l’objet de
placement pour la rééducation et les conditions de détention. Une étude est initiée par l’UNICEF et le Ministère de la Justice en 2006 pour faire l’état de lieux de la situation des enfants en conflit avec la loi.
Les enfants et la société
Après avoir cité les droits de l’enfant, on va analyser sa raison d’être et ce qu’on attend de lui dans la société. Un enfant doit appartenir et obéir à ses parents. Il est sous leur responsabilité. Nous allons étudier à quoi représentent les enfants dans la société.
Les Malgaches le considèrent comme richesse et prennent soin d’eux. Encore bébés, les adultes les voient adorables et ils les éduquent suivant son évolution. Il faut assurer son avenir jusqu’à ce qui soit mature et peut voler par ses propres ailes. La place de l’enfant dans la société suit la situation des parents, de l’Etat et même l’histoire.
Au sein de la famille, l’enfant doit être le roi, tout ce que les parents font est pour lui. Autrefois, les parents étaient autoritaires mais dans notre temps, on considère l’enfant comme individu. Même s’il est petit, il mérite du respect en plus de la protection, la gestion de ce caractère double de l’enfant est parfois difficile pour les parents que les éducateurs. Surtout en cas de faute de l’enfant, il faut avoir toujours en tête que c’est un individu même s’il mérite une punition. Donc, l’enfant doit avoir son identité : individualisation pour être lui-même par l’autorité et l’éducation. Au sein de la famille donc l’enfant est le chef même s’il est petit par contre, il faut l’éduquer pour qu’il devienne un homme un jour. Par malheur que les parents ne sont pas là, l’enfant doit se soucier de lui-même, donc son caractère n’est pas rempli et il s’autonomise tout seul. Par contre, un enfant est une personne à partir de ses parents, il est fier d’être le « fils » ou « la fille » de quelqu’un. Donc les parents ont une grande place pour l’enfant.
Au sein de l’Etat,
D’après les droits de l’enfant cités dans la première partie de cette section, nous avons pu constater l’évolution de la prise en compte des enfants. L’Etat doit s’intéresser beaucoup aux enfants. Comme les enfants se présentent en accumulation de capital humain, il faut les améliorer. Les besoins se transforment en roits et c’est à l’Etat de les satisfaire s’ils sont essentiels à l’épanouissement du bien-être de l’enfant. Donc l’enfant a une grande place eu sein de l’Etat et l’Etat agit à partir de la situation vécue en société. L’Etat aide la société à développer l’enfant.
Les enfants et l’économie.
Les théories économiques concernant les enfants.
Le malthusianisme.
La théorie de Malthus concerne la démographie et la croissance. Ici la croissance signifie ici l’augmentation du revenu réel par personne : une amélioration de l’alimentation, de l’habillement et de l’habitat tandis que la croissance démographie diminue le revenu réel par tête si le mode de production est inchangé. Une forte croissance démographique entraine une affectation des ressources en capital vers des investissements improductifs comme le logement tandis que des fonds publics qui auraient pu servir à la formation du capital seraient détournés vers les dépenses courantes comme l’enseignement et la santé. Donc on s’intéresse plutôt au nombre d’enfants expliqué par le taux de natalité ou l’indice synthétique de fécondité : limitation de nombre d’enfants volontairement. D’où le contrôle de natalité pour maitriser la croissance de la population et la promotion d’investissement sur la formation du capital productif sont la politique de Malthus. Par extension, Malthus est pessimiste à l’investissement pour les enfants car il le considère comme improductif. Ainsi que l’aide aux pauvres peut les encourager à ne pas se soucier du nombre d’enfants. Pour cela, Malthus met une imposition sur la taille des enfants et on offre des cadeaux aux couples sans enfants. La politique de la réduction du nombre de population est appelée : la transition démographique à travers la planification familiale : une méthode initiée par la médecine. Sur un autre point de vue par l’évolution de la technologie, la santé s’améliore et même si le nombre de la population augmente donc le pays connaît toujours la croissance. C’est une explication d’Adam Smith sur la théorie d’économie d’échelle et à la spécialisation pour les pays riches et pauvres. Cette théorie est complétée par Simon Kuznets : « les enfant supplémentaires apportent un savoir nouveau en raison à la fois de la demande de production supplémentaire et de l’offre intellectuelle supplémentaire ainsi que du grand nombre de contacts fluctueux qui deviennent ainsi possible ». Donc, l’augmentation de la taille de la famille conduit à une motivation personnelle. En tout, la réduction de natalité ne concerne surtout les pays pauvres car une grande taille de population nécessite une technologie adaptée. Pourtant, ce sont l es pays riches qui pratiquent la politique malthusienne et la transition démographique commence peu à peu vers les pays pauvres.
Le capital humain
Le capital humain est l’ensemble des aptitudes, talents, qualifications, expériences accumulés par un individu et qui déterminent en partie sa capacité à travailler ou à produire pour lui-même ou pour les autres. D’après cette définition, les enfants représentent un stock de capital humain qu’il faut améliorer pour le futur. Donc cette amélioration consiste à leur fournir une éducation convenable, une protection pour assurer sa qualité. Même si les enfants sont inactifs dans la productivité, c’est aux parents de les fournir tous ceux qu’ils ont besoin et d’assurer un avenir pour eux par des investissements. Ces investissements portent sur la formation, les études, les habitudes : ponctualité, la santé, la compétence à travailler.
D’après l’UNICEF, « le capital humain est constitué en donnant à chaque enfant un bon départ dans la vie : non seulement la possibilité de survivre, mais les conditions nécessaires pour se développer et pour réaliser tout son potentiel ». Les efforts fournis par les parents sont des investissements pour les enfants. Mais aussi le travail des enfants dans l’éducation et l’apprentissage, la réalisation de leurs rôles va atteindre ce but. Donc il faut soutenir les enfants dans l’accomplissement de leur part par le respect de leurs droits afin qu’ilsdeviennent des citoyens instruits et prêts à se développer.
Dans sa théorie, Gary Becker1 s’intéresse au rôle de la famille dans la formation du capital humain dans son ouvrage « a treatise on the familly ». Si le chef de famille est altruiste à l’égard des autres membres de la famille, dans son théorème de l’enfant gâté, il maximise le revenu global de la famille. Le chef de famille fait de l’investissement dans l’éducation des enfants pour qu’ils aient une vie décente lorsqu’il est en retraite. Concernant le salaire, l’investissement à l’éducation de l’enfant augmente si le salaire augmente. Mais il ne s’agit pas seulement des parents qui doivent investir pour le capital humain mais l’Etat a un grand rôle aussi car il créera les infrastructures de l’éducation et de santé, la politique éducative et l’investissement dans la recherche et la technologie pour faciliter la transmission de l’éducation. Et aussi pour s’assurer que chaque enfant puisse contribuer et améliorer même si leurs parents ne sont pas dans la capacité de les aider.
La présentation des enfants dans le monde
Dans le monde, les enfants comptent 2,2 milliards selon le rapport de l’UNICEF dans la situation des enfants dans le monde 2014 en chiffres. En parlant de chiffres concernant les enfants, nous allons présenter tous les indicateurs associés aux enfants. Dans la démographie, plusieurs indicateurs doivent être pris en compte dans l’indicateur de développement et marque la situation des enfants dans le monde.
Les enfants en chiffre
Ces indicateurs concernent les indicateurs de base, la nutrition, la santé, l’éducation, la démographie, les femmes et la protection de l’enfant. Ces critères permettent de comparer les enfants dans le monde. Nous allons énumérer un à un ces indicateurs pour mieux les étudier. Les indicateurs de base comprennent le taux de natalité, le taux de mortalité des moins de 5 ans, le taux de mortalité néonatale et le taux de scolarisation ou fréquentation à l’école primaire. Ces indicateurs sont mesurés sur le nombre de la population dont la tranche d’âge est celle des enfants. C’est à dire la proportion de la population qui a le critère à étudier sur le nombre total de la population, ces critères sont à s avoir la naissance, la mort et la scolarisation des enfants. Lorsqu’on s’intéresse aux enfants, ces indicateurs sont les plus importants et touchent de près les enfants sur le développement. A partir de ces indicateurs ci -après, on évalue la réalisation de s droits des enfants. Les indicateurs de la nutrition à la naissance comme la proportion des nouveaux nés présentant une insuffisance pondérale, la proportion des enfants nourris au sein, la vitamine A ou le sel iodé. Ces indicateurs présentent la façon dont se nourrissent les enfants ou l’alimentation. A propos de la santé, l’accès à l’eau potable et l’assainissement amélioré, les vaccins, les différentes maladies sont à considérer mais le VIH – SIDA est étudié spécialement par sa transmission de la mère à l ‘enfant, les enfants vivant avec le sida et les orphelins à cause du SIDA. La santé des enfants réduit la mortalité des enfants et les aide à bien étudier. L’éducation aussi est très importante par le taux d’alphabétisation et la fréquentation à l’école qu i garantissent de développement. En appuyant les indicateurs démographiques dans la base, le taux de fécondité qui présente le nombre d’enfants d’une femme pendant son âge de procréation. Le nombre qu’il est nécessaire de le réduire pour le bien-être de l’enfant par la contraception ou la politique de réduction démographique et l’espérance de vie à la naissance. Comme les enfants entrent dans l’économie, des indicateurs économiques sont nécessaires notamment le PIB, les proportions de la population vivant a u dessous du seuil de la pauvreté qui affectent les enfants. Mais la vie des enfants dépend des femmes ou bien de leurs mères. La situation des femmes donc est à étudier pour expliquer celle des enfants. Les indicateurs sont le taux de la mortalité maternelle, le taux d’emploi des méthodes de contraception, le taux de solarisation des femmes pour qu’elles puissent aider leurs enfants et son espérance de vie. Et enfin, les indicateurs montrant la protection des enfants par le travail des enfants, le mariage des enfants, l’enregistrement des naissances, les violences, les enfants handicapés et les disciplines. L’évaluation de ces indicateurs se mesure par le taux de progrès où les indicateurs seront classés pour trouver la performance des politiques. L’application de cette présentation des enfants dans le monde permet de comparer la situation des enfants d’un pays à un autre et de dégager leur bien -être. Ces indicateurs expliquent le développement ou non d’un pays pourtant il n’est pas toujours vrai que dans les pays développés il n’y a pas des enfants pauvres ou dans les pays en développement les enfants sont tous pauvres. Par exemple, dans le monde beaucoup sont les adolescents qui ont déjà commencé leur vie féconde, ce sont les adolescents de 15 à 19 ans mais cette situation est fréquente dans le milieu rural.
Le tableau des indicateurs de base des enfants du monde en 2012 nous résume la situation des enfants dans tous les pays riches que pauvres.
Les rôles des enfants dans le développement
Le concept de développement
La pauvreté.
Historique.
La pauvreté est à étudier et non le développement parce que c’est la pauvreté qui touche beaucoup l’enfant que le développement. Pendant le développement, l’enfant n’a le rôle que de profiter de ses droits : d’étudier dans la meilleure condition, d’être en bonne santé, d’être satisfait de ses besoins fondamentaux. Mais dans la pauvreté par contre, l’enfant supporte beaucoup.
L’émergence du concept de pauvreté est depuis Adam Smith en 1776 par la privation des nécessités de la quotidienne. Mais le darwinisme social à la fin des années 1890 établit que la pauvreté est un phénomène qui répond à des lois s cientifiques et qui doivent être mesurées et documentées. A travers des enquêtes sociales à cette époque, Charles Booth, Seebohm Rovintree et Robert Hunter découvrent la pauvreté par des critères monétaires et sociologiques comme la nature et la régularité de l’emploi. Ensuite l’étude entre dans l’estimation des ressources monétaires nécessaires pour couvrir les besoins fondamentaux comme les besoins nutritionnels, vestimentaires et de logement. En XXème siècle, l’école sociologique de Chicago redéfinit la pauvreté urbaine à travers des sujets tels que la délinquance, la déviance et la dissolution des biens familiaux. En 1970, Peter Townsend établit que la pauvreté c’est le manque des ressources nécessaires pour obtenir l’alimentation type, la participation aux activités, les conditions de vie et les recommandations des sociétés dans une famille ou individuel. Des indicateurs peuvent être recueillis pour démontrer la pauvreté : la situation monétaire et aussi des indicateurs de base comme le travail ou l’éducation. Ces indicateurs semblent être les causes ou effets de la pauvreté. Nous avons dépassé la théorie classique de la pauvreté celle qui part de l’économie du développement pour éloigner la notion de référence à partir des pays développés mais de voir de plus près la situation vécue des pauvres. Pourtant, nous avons évalué le bien -être pour comparer les situations des différents pays. Cela est fait expressément pour définir le bien être par la satisfaction des besoins fondamentaux.
Après l’historique de la pauvreté, nous allons examiner la manifestation de la pauvreté globalement. Comme l’enfant n’est qu’un consommateur, le manque vécu par son monde l’influence. La pauvreté se mesure par le bienêtre et ce dernier est évalué par divers indicateurs. Elle se présente par l’absence de prospérité, de santé et de bonheur évalué par des indicateurs de même unité.
Les indicateurs
Le but de cette étude est d’atteindre le développement alors que le développement dépend du PIB (Produit Intérieur Brut) ; l’IDH (Indicateur de Pauvreté Humaine) initié par le PNUD. Comme l’IDH présente les trois possibilités : vivre longtemps, en bonne santé, acquérir des connaissances et un savoir et l’accès aux ressources nécessaires pour vivre dans des conditions décentes. Et l’IPH montre les manques par rapport à l’IDH représente le pourcentage de personnes risquant de décéder avant l’âge de 40 ans et le manque d’instruction : le pourcentage d’adultes analphabètes et le manque des conditions de vie décentes au niveau économique en génér al dont le pourcentage d’individus privés d’accès à l’eau potable, les personnes privées d’accès aux services de santé et celui des enfants de moins de 5 ans souffrant de malnutrition. Donc les enfants représentent un indicateur de pauvreté mais il s’agit seulement de malnutrition pourtant lorsque les autres besoins manquent à l’adulte, ils maquent aux petits aussi. Il est intéressant d’étudier l’IPH car il ne concerne pas la dimension monétaire. Au niveau de la société, une amélioration s’est imposée par Joseph Stiglitz et Amartya Sen avec Fitoussi sur l’indicateur pour bien mesurer la pauvreté. Les critères suivants : logement, revenu, emploi, communauté, éducation, environnement, gouvernance, santé satisfaction, sécurité et équilibre, vie professionnelle, vie familiale sont des indicateurs à prendre en compte par l’OCDE avec des mesures statistiques objectives comme le taux d’emploi ou l’espérance de vie. Les indicateurs sont dits sociaux donc qui
touchent directement le peuple sans faire intervenir la monnaie. Cette considération met en égal toutes les personnes car la monnaie a des repères et représente l’inégalité. Il n’est pas essentiel d’avoir beaucoup d’argent si on n’est pas heureux et cette inégalité produit l’insécurité.
Définition de la pauvreté chez les enfants
Un enfant pauvre est une personne en bas âge qui n’a pas le nécessaire pour vivre ». La pauvreté se présente de deux manières : la pauvreté absolue : les revenus sont insuffisants pour satisfaire les besoins physiologique et la pauvreté relative : pour la comparaison des revenus dans une communauté. Mais l’enfant ne peut pas travailler mais c’est la pauvreté des parents qui influencent la pauvreté des enfants. Donc la pauvreté des enfants signifie le non respect de leurs droits fondamentaux et de leurs perspectives d’avenir. La menace de la survie de l’enfant est en question et ceci empêchera son développement. Alors que le développement ici comprend le développement physique, mental et au sein de la société. « La pauvreté engendre la pauvreté et crée un cercle vicieux » Si un enfant est pauvre, c’est parce que ses parents sont pauvres ou il n’a pas de parents et ils vivent tous dans la pauvreté et le pays aussi. La cause de la pauvreté de l’enfant n’est que la pauvreté de la famille ou du pays seulement.
Les conséquences de la pauvreté
La pauvreté tue un enfant toutes les 3 secondes, c’est-à-dire la pauvreté est la pire ennemie de l’enfant car elle le tue même par la violation de son droit fondamental à la vie. D’après les indicateurs suscités, la pauvreté entraine les manques au niveau de l’éducation, la santé, l’eau potable, l’alimentation, le logement, la sécurité, la protection et l’information.
Alors que ce sont les droits des enfants qui les aident à accomplir leurs rôles dans le développement du pays. Si les enfants sont pauvres, il n’y aura pas de futur car ces enfants font naître d’autres enfants pauvres aussi.
Si les parents ne puissent pas fournir aux enfants ce qu’ils ont besoin, les enfants sont obligés à les fournir eux -mêmes : ils iront voler ou travailler pour trouver de quoi manger, s’ils n’ont pas de maison, ils vont dans la rue, et ils ne peuvent pas aller à l’école. Les enfants souffrent de carence de la malnutrition et ne peuvent plus rejoindre leurs classes. La malnutrition quant à elle conduit à la mauvaise santé et la pauvreté des parents ou du pays limite le pouvoir de se soigner. Un pays pauvre manque d’infrastructures et n’arrive à pas satisfaire les besoins primaires du peuple : accès à l’eau potable.
La voie du développement
Les moyens de développement
On a pu constater que la pauvreté tue l’enfant, donc sortir de cette situation est la solution : lutter contre la pauvreté. Nous avons vu aussi qu’on ne raisonne pas monétairement mais au niveau du bien-être. Donc la politique nécessaire est de fournir gratuitement tous les infrastructures utiles pour le développement de l’enfant. Premièrement, il faut assurer une vie descente aux parents : supprimer l’égalité.
La création de l’emploi pour les ménages pauvres, un emploi durable pour réaliser le futur de l’enfant aussi. Lorsque le plein emploi est atteint, un travail décent élimine l’extrême pauvreté et la faim. Et que les parents puissent aider leurs enfants à étudier, être en bonnesanté leur fournir un logement sain et les nourrir convenablement. Il se peut que les parents n’aient pas reçu l’éducation mais des formations sont nécessaires pour qu’ils puissent travailler mais l’emploi peut être donné à chaque citoyen. Ceci veut dire qu’il faut créer des emplis pour tous à chaque catégorie de personnes. On sait que face à la pauvreté, il y a des enfants qui travaillent. Donc pour que les enfants ne travaillent pas, les parents doivent travailler à leurs places et pour cela, ils pourront étudier et préparer le ur avenir. Si les enfants puissent terminer leur étude, ils peuvent à leur tour trouver un emploi à salaire élevé.
La situation économique
La situation économique d’un pays conduit vraiment au développement. Sa relation avec l’extérieur qui pourra collecter des fonds et des aides dans la favorisation des enfants. Ces fonds et aides internationales contribuent beaucoup aux respects des droits de l’enfant et à l’accomplissement de leurs besoins. Comme les enfants sont des consommateurs, c’est à l’Etat et aux parents de leurs fournir, donc l’Etat doit les assurer par la création d’emploi pour les parents et des politiques adéquates pour la bonne marche de l’économie. Le dysfonctionnement de l’économie perturbe la vie des ménages et jusqu’aux enfants. Par exemple, la crise économique entraine des pertes d’emploi, des destructions d’infrastructures,
manque de financement, la suspension ou des politiques irréalisées et donc effets sur les enfants. La situation économique donc entraîne des réalisations des politiques éducatives, des infrastructures pour les enfants comme les écoles, les hôpitaux, des centres de loisirs, des bibliothèques et même des bourses d’étude.
L’éducation
L’éducation est essentielle pour atteindre le développement. L’entrée dans l’économie de l’information et de la connaissance est maintenant l’objectif. On sait que le monde n’arrête pas de s’évoluer et il faut être à la pointe de toute technologie et information. Même l’Objectif du Millénaire pour le Développement insiste sur l’éducation pour tous afin que chaque citoyen sache lire et écrire. On sait aussi que dans l’IDH, le taux d’alphabétisation est pris en compte pour évaluer le développement. Mais dans la théorie du capital humain, l’éducation joue un grand rôle dans la croissance expliqué e pour le progrès technique. L’éducation réduira la pauvreté, c’est un investissement à long terme c’est-à-dire il prend beaucoup de temps mais efficace car les enfants instruits apportent des changements dans le futur. Ainsi l’éducation fait partie des droits de l’enfant, et il faut le respecter. La santé des enfants doit être assurée, par des recherches et la mise en place des infrastructures de santé. Pour conclure, la réalisationdes droits de l’enfant est l’unique moyen de développement et avec la contribution de l’Etat et des parents avec des institutions diverses. La voie du développement les moyens de développement.
C’est la réalisation des droits de l’enfant qui est la voie du développement surtout pour les enfants. Il y a déjà la convention de droi t de l’enfant, une feuille de route à suivre pour savoir le chemin mais sa réalisation demande des efforts de la part des grands. La première ennemie est la pauvreté, celle qui bloque toutes les attentions vers les enfants. La lutte contre la pauvreté est un problème international parce que les différentes organisations y participent. Lorsque la pauvreté est éliminée, la réalisation des droits des enfants est facile.
Le développement
On a pu voir les moyens du développement constitué de la création d’emploi pour les parents, la politique de l’Etat, l’éducation et la santé. Contrairement à la pauvreté, le développement est la satisfaction des besoins fondamentaux, l’accès à l’eau potable, avoir une bonne santé, accès à toutes les informations.
D’après Rostow, le développement est décrit comme un processus composé de cinq séquences par lesquelles passeraient toutes les sociétés :
– La société traditionnelle, hiérarchisée et à prédominance agricole.
– Les conditions préalables au développement agriculture, commerce et une centralisation de l’Etat.
– Le démarrage ou « take-off » : avec la diffusion du progrès technique et un taux d’investissement en 10% et 20%.
– La marche vers la maturité grâce à une technologie innovante et un taux d’investissement supérieur à 20%.
– L’ère de la consommation de masse : stade ultime ou production et consommation de masse coexistent avec l’Etat providence.
Cette théorie résume la démarche vers le développement mais le capital humain aussi est important. Gary Becker a mis en considération l’importance du capital humain pour atteindre le développement par une amélioration de connaissances et du savoir faire ceci par l’initiative de l’Etat de fournir des infrastructures d’éducation scolaire et des formations spécifiques du personnel. Car on sait que le développement est atteint surtout par la croissance endogène : le développement personnel et la recherche développement. Il n’est pas question de sous-estimer le capital et le travail mais renforcer la capacité de s’autonomiser pour ne pas être toujours dépendant des autres. Le but du développement ici est que chaque citoyen puisse vivre mieux, indépendant et accomplir son droit dans liberté. Car le développement ne signifie pas de croissance seulement mais de bien-être aussi. Et les peuples doivent être heureux dans leur pays, qu’ils soient en sécurité, et que ce développement continuera durablement. Si le pays est développé, les parents sont développés et les enfants puissent améliorer son futur. La continuité du développement dans la génération es t le but de notre étude. Donc la consommation de masse est exclue mais il faut penser aussi aux enfants.
La participation des enfants au développement
Les enfants actifs
Auprès des ménages
Les enfants doivent participer aux activités dans le ménage pour aider les parents mais pour se familiariser aussi aux tâches ménagères. Ces tâches commencent par le rangement, le nettoyage, la vaisselle, et à tout ce que les enfants puissent prendre part à la maison. Cette manière est classifiée comme une éducation aux enfants accompagnée d’art de vivre. Lorsqu’on laisse les enfants participer sans les disputer, ils prendront facilement leurs responsabilités lorsqu’ils seront grands. Le ménage est la premi ère école des enfants et de là, lorsqu’on leur apprend de bonnes leçons, celles ci formuleront leurs caractères au futur. Cette explication est déjà étudiée dans la psychologie de l’enfant. Donc les tâches ménagères accomplies par les enfants n’apportent pas seulement des résultats pour les enfants mais pour le ménage aussi. Ici le développement commence à apparaître lorsque les enfants se sentent responsable car ils peuvent s’épanouir ultérieurement.
La santé des enfants collabore avec le développement car ils sont prêts à accomplir leurs devoirs envers les ménages et eux mêmes. Alors que la santé dépend de la situation où vivent les enfants. Le fait que les enfants ont de l’hygiène signifie qu’ils sont obéissants et qu’ils savent entretenir leur santé. Cette attitude est une bonne base pour les enfants sains et productifs. Les enfants sont actifs lorsqu’ils sont en bonne santé et le futur pourra être meilleur. Une meilleure façon d’apprendre les enfants à entretenir leur santé est d’aimer la propreté et qu’ils le partagent avec leurs amis par des méthodes de communications efficaces comme la publicité ou des dessins animés.
La santé des enfants diminue les dépenses des ménages mais elle doit être accompagnée d’une bonne alimentation. Donc un enfant actif est un enfant sain et bien nourri. L’alimentation n’exige pas trop de dépenses mais une manière de diversifier et équilibrer les aliments, il est recommandable de ne pas grignoter entre les repas pour être en bonne santé. Cela signifie que ce n’est pas en grignotant qui augmente les dépenses qu’on peut avoir la bonne santé mais en mangeant sainement. La consommation effectuée par les enfants sont des investissements pour le futur, donc cette consommation n’est pas perdue mais après on aura des enfants développés. Les apports attendus des enfants seront l’obéissance et est accomplissement de leurs devoirs auprès des ménages.
Le plus essentiel dans la participation des enfants dans le développement est la scolarisation qui mérite une grande attention car l’éduca tion indique le développement. La faculté des enfants à étudier leur donne un meilleur avenir et permet de changer la vie du ménage aussi. Les enfants après avoir terminé leurs études, ils pourront avoir un travail décent au futur et peuvent aider leurs parents en retour.
Par le travail
Malgré le droit de l’enfant de ne pas travailler parce qu’il doit encore étudier et bien élever, certains enfants travaillent et ce à partir de 15 ans légalement. Dans le monde, 250 millions d’enfants travaillent et les 150 millions d’entre eux travaillent dans des conditions dangereuses. Un enfant est actif économiquement s’il est déclaré avoir consacré au moins une heure de son temps à une activité économique. Les activités ménagères sont différentes des activités économiqu es c’est à dire les enfants travaillent pour la famille ou non et ils consacrent quelques heures pour cela. Le travail des enfants apporte des produits pour leurs familles et améliore leur niveau de vie ou leur bien être. On peut donc appeler le travail familial ou non familial des enfants car les enfants ne tirent pas de profit directement de ces activités mais contribuent avec la famille. Cette participation des enfants dans le développement permet d’apprendre aux enfants de faire face au futur mais en travaillant ils devront étudier ou aller à l’école. Dans les statistiques, l’analyse de cette participation se fait par la répartition des enfants qui sont économiquement actifs et scolarisés ou non scolarisés ou économiquement non actifs et scolarisés ou no n scolarisés. Mais le travail des enfants apporte de l’aide au développement s’il est économiquement actif ou non. Par contre la scolarisation des enfants et très importante car les diplômes sont exigés à part l’expérience pour trouver de l’emploi stable dans le futur. Le travail pendant l’enfance ne permet pas d’assurer son avenir mais contribue seulement à son développement. En plus le travail des enfants assure son développement s’il n’influence pas son éducation car l’éducation fait partie du droit de l’enfant et participe à son bien être donc le forme pour être responsable. En général, l’heure accordée pour travailler est une heure par semaine pour ne pas nuire à son développement et qu’il réalise ses droits en tant qu’enfant.
Il est toujours recommandable de ne pas pousser les enfants à travailler pourtant il est nécessaire de faire savoir aux enfants ce qui les attend lorsqu’ils seront grands. La manière de professionnaliser les enfants encore petits est une méthode très efficace dans la formation des enfants pour le travail et de les faire familiariser au monde de travail.
Pour le futur
L’éducation
Un investissement pour le capital humain
L’éducation joue un rôle essentiel dans le développement économique car elle participe à l’améliora tion du capital humain. Le niveau de l’éducation des enfants définit leur salaire et leur niveau de vie dans le futur. Lorsque les enfants ont reçu une bonne éducation, ils pourront avoir un travail décent et peuvent suivre le développement par la recherc he aussi. D’après la théorie des progrès technique, l’éducation mène à la croissance par la recherche et le développement et augmente la production. En matière d’éducation, des différentes organisations coopèrent avec le pays pour un financement et font partie de ce qu’on appelle Aide Publique au Développement. L’IDH montre que le taux d’alphabétisation et de scolarisation marque le développement d’un pays donc l’éducation est la première étape pour atteindre le développement même pour savoir écrire et lire tout simplement. Cette base aidera les enfants à mieux intégrer dans la société. Le bien être de la population aussi est la connaissance pour que les informations passent et même comme les sensibilisations qui pourront aider la population à mieux se dével opper. La scolarisation des adultes demande encore plus d’argent et ils n’ont pas de temps pour étudier tandis que la scolarisation des enfants facilite la transmission de développement car les enfants ont tout le temps devant eux.
Un droit à réaliser
Le futur des enfants est atteint par l’éducation qui est le droit fondamental des enfants. Mais pour supprimer l’inégalité il faut que l’éducation soit pour tous et surtout l’éducation primaire. L’éducation requiert de l’investissement de la part de l’Etat et aussi des parents, l’élimination d’analphabète est un but essentiel dans l’atteinte du développement. Les articles 28 et 29 de la Convention Relative aux droits de l’Enfant stipule la reconnaissance de droit de l’enfant à l’éducation et l’Etat a un rôle ma jeur dans sa réalisation. L’éducation n’est pas un simple investissement mais un droit à privilégier aussi. La gratuité de l’éducation est la clef de la lutte contre la pauvreté et donc le chemin vers le développement. La politique de développement doit constituer la politique de l’éducation des enfants pour mieux prévenir le futur. Cette politique doit être prise au sérieux car les enfants seront les victimes et leur futur sera menacé. Même les enfants pauvres devront accéder à l’éducation pour qu’eux auss i ils ont le privilège de comprendre leur monde et de s’en sortir de la pauvreté. Le meilleur moment d’étudier est pendant l’enfance, car pendant cette période les enfants ont toutes les capacités pour accumuler des connaissances. Mais pour leurs permettre un avenir meilleur, il faut qu’ils passent à l’éducation et une meilleure à l’école que dans la société. Si les enfants ne passent pas à l’école, leur éducation se fait seulement par la société qui n’assure pas tellement le but ou qui peut nuire même son futur.
L’esprit des enfants
On a montré la participation de la société dans l’éducation des enfants supra, mais cette éducation est différente de l’apprentissage à lire et écrire pourtant elle pourra changer la mentalité des enfants et affectent son futur.
Tout ce que les enfants ont vécu pendant l’enfance contribue à son développement mental et spirituel aussi. D’où la Convention Relative aux droits de l’Enfant stipule que les enfants doivent participer à la vie culturelle, le moment de jeu, l’activité co llective pour son expansion dans la société. Les enfants ont une capacité d’apprendre beaucoup de choses pendant l’enfance donc il est facile de leur apprendre la façon de penser constructive pour qu’ils bâtissent leur avenir. Cette méthode touche l’aspect psychologique et social de l’enfant mais contribue à son développement aussi. Donc il est nécessaire de fournir aux enfants un environnement favorable à son expansion. A part la santé, l’eau, l’alimentation, les enfants méritent une culture et une société calme pour son esprit. Cet environnement forme l’esprit de l’enfant. Si un enfant vit dans un monde sans guerre, les enfants n’aiment pas la guerre, si encore petit, on l’enseigne d’aimer la propreté, il nettoie. Donc l’esprit d’enfant est une arme à combattre les mauvaises influences du futur s’il est bien chargé pendant l’enfance. L’esprit de l’enfant est un atout majeur de l’enfant pour son avenir. Lorsque le pays fait toujours de la grève, les enfants aussi le feront dans leur temps c’est pour cela qu’il faut donner un bon exemple aux enfants. Les personnages marquants aussi influencent les enfants et qui permettent de rêver et de les suivre. Il faut créer des rêves aux enfants pour qu’ils puissent avoir des imaginations, de la création et des objectifs à réaliser. Les enfants ont un esprit ouvert, un caractère innocent et une volonté. Un enfant n’est jamais paresseux s’il veut réaliser quelque chose sauf s’il n’a pas la capacité de la réaliser. Donnons aux enfants les moyens et encourageons les à se dé velopper car ils n’attendent que ça.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I : LA RELATION ENTRE LES ENFANTS ET LE DEVELOPPEMENT
CHAPITRE I : APPROCHE THEORIQUE
Section 1 : Définition des enfants
Paragraphe 1 : Le développement humain
A) Le développement psychologique et physiologique
1) Le développement psychologique
2) Le développement physiologique
B) L’environnement des enfants
1) Leur monde intérieur
2) Le monde extérieur
Paragraphe 2 : La place des enfants dans la société.
A) Les droits des enfants
1) Historique
2) La Convention Internationale relative aux droits de l’Enfant.
3) Droits des enfants à Madagascar.
B) Les enfants et la société
Section 2 : Les enfants et l’économie
Paragraphe 1 : Les théories économiques concernant les enfants
A) Le malthusianisme
B) Le capital humain
C) L’économie du bien-être
Paragraphe 2- La présentation des enfants dans le monde
A) Les enfants en chiffre
B) Etude comparative des situations des enfants dans les pays développés et les pays en développement
1) La situation dans les pays riches
2) La situation des enfants dans les pays pauvres
CHAPITRE II : LES ROLES DES ENFANTS DANS LE DEVELOPPEMENT
Section 1: Le concept de développement
Paragraphe 1 : La pauvreté.
A) Historique
B) Les indicateurs
C) Les conséquences de la pauvreté
Paragraphe 2 : La voie du développement
A) Les moyens de développement
1) La situation économique
2) L’éducation
B) Le développement
Section 2- La participation des enfants au développement
Paragraphe 1 : Les enfants actifs
A) Auprès des ménages
B) Par le travail
Paragraphe 2 : Pour le futur
A) L’éducation
2) Un droit à réaliser
B) L’esprit des enfants
PARTIE II : LA CONTRIBUTION DES ENFANTS AU DEVELOPPEMENT A MADAGASCAR
CHAPITRE I : LES PROBLEMES RENCONTRES PAR LES ENFANTS MALGACHES ET LEURS CAUSES
Section 1 : Les problèmes économiques
Paragraphe 1 : La pauvreté.
A) La manifestation de la pauvreté
1) La situation économique de Madagascar
2) Le manque du bien-être
B) Les impacts de la pauvreté aux enfants.
1) La pauvreté monétaire.
2) Le bien-être des enfants
Paragraphe 2 : Les autres aspects de la pauvreté
A) La situation géopolitique de Madagascar
1) La situation géographique
2) La situation politique
B) La situation socioculturelle
Section 2 : Les conséquences de la pauvreté
Paragraphe 1 : Le travail des enfants
A) La pire forme de travail des enfants
B) Les exploitations des enfants
1) La prostitution
2) Le tourisme sexuel
Paragraphe 2 : Le non respect des droits des enfants
1) La scolarisation et l’éducation
2) La santé des enfants
CHAPITRE 2: LES SOLUTIONS APPORTEES ET LES RECOMMANDATIONS
Section 1: Les politiques de l’Etat malgache
Paragraphe 1 : Les atouts des enfants malgaches
1) Sur le point de vue économique
2) Les générations futures
Paragraphe 2 : Les applications et les résultats
1) Les actions de l’Etat.
2) Les réalisations
Section 2 : Les organisations œuvrant pour les enfants
Paragraphe 1 : Les organisations internationales
1) UNICEF, PAM
2) Le BIT
Paragraphe 2 : Les autres aides pour les enfants
1) L’OMD (Objectifs du Millénaire pour le Développement)
2) Une étude de cas: Centre Manao DE Mandialaza
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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