La consommation mondiale d’œuf

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Implantation du projet

D’une façon générale, on désigne par implantation la disposition rationnelle et permanente des matériels sur le terrain. Ainsi, l’étude d’implantation doit faire en sorte que l’arrangement des ressources matérielles et humaines puisse permettre à l’entreprise d’atteindre un volume donné de production à un coût minimum. C’est une étape importante dans la conception d’un système de production car le degré de l’efficacité et de rendement en dépend.

Le choix de la commune rurale d’Alakamisy Atsimondrano, plus précisément le fokontany d’Ambohimasina comme lieu d’implantation n’est pas le fruit du hasard, car ce genre de décision va avoir un effet permanent sur la vie du projet. Pour cela, ces quelques critères s’avèrent indispensables :
o La proximité d’un centre de consommation de taille importante et dont on a évalué l’importance du marché et le prix de vente potentiel des productions. Dans notre cas, on a le marché d’Alakamisy et ses environs.
o La possibilité d’implanter des bâtiments volaille sur un site correctement ventilé et un sol bien drainé avec un environnement bio-climatique équilibré si possible, pas à proximité immédiate d’autres grands éleveurs de volaille et enfin, dans un endroit sécurisé que possible. Le Fokontany d’Ambohimasina jouit d’une bonne ventilation et le lieu d’implantation se trouve sur une colline où il n’y a pas encore d’éleveurs de volaille modernes. Dans cet endroit, on a constaté jusqu’à aujourd’hui un taux de vol encore moindre, dû notamment au fait que la brigade de la gendarmerie ne se trouve qu’à 1 km.
o L’accès par une route si possible bitumée ou facile d’entretien, praticable par des véhicules normaux. Il s’agit de faciliter l’approvisionnement et l’évacuation de notre production. Notons qu’une route praticable pour des véhicules relie la RN 1 au site, dont la distance est de 500 m.
o La disponibilité en eau de qualité correcte. Pour l’abreuvement des poules, nous allons utiliser de l’eau de puits et dont le forage n’est pas un problème, car en creusant seulement à une profondeur de moins de 10 m on trouve de l’eau.
o Pour ce qui est de l’électricité, on n’aura pas de mal à se raccorder car les alentours en sont déjà équipés.

Délimitation de la commune

La commune rurale d’Alakamisy s’étend sur une superficie de 25 km2, située à 14 km à l’ouest de la capitale, à l’est par le district d’Arivonimamo, au sud ouest du fleuve d’Ikopa et traversée dans sa longueur par la route nationale numéro 1.

Climat

La commune rurale d’Alakamisy a un climat similaire à celui de la capitale : chaud et humide pendant l’été et sec pendant l’hiver.

Justification du projet

L’œuf étant un aliment complet, il fait partie des produits de première nécessité de l’alimentation de l’homme, après cette constatation, on a de multiples raisons concernant la création d’une entreprise spécialisée en la matière. Ces raisons peuvent être d’origine externe qu’interne :

Justifications externes

Productivité insuffisante des éleveurs

Sur le plan national, le nombre de cheptel de poules pondeuses est estimé à 800000 têtes, qui sont censé approvisionner une population de 20 millions de malgache. Et au niveau de la commune rurale d’Alakamisy, il n’y a pas encore d’éleveurs modernes pour satisfaire les besoins en œuf des clients.

Manque de capacité technique

A part les grands éleveurs tels que Bevalala, La Hutte canadienne, Avitech, commune rurale de Mahitsy, on constate une sérieuse carence sur le point de vue technique auprès des petits éleveurs que nous avons visité aux alentours de notre lieu d’implantation. D’ après les enquêtes menées auprès de 34 petits éleveurs, nous avons pu dégager les informations ci- après :
85 % ne font pas appel au service d’un vétérinaire
15 % ont recours au service d’un vétérinaire

Manque d’investissement

En effet, pour pouvoir réaliser un projet d’élevage de plus de 1 000 poussins, plusieurs investissements sont nécessaires, notamment :
 Un bâtiment répondant aux normes requises ;
 Des matériels et équipements pour une production intensive ;
 Programme de prophylaxies sanitaires rigoureuses ;

Manque de réactivité

La réactivité c’est la capacité d’une entreprise à produire des produits répondant aux exigences des clients avant les concurrents. Et pour le cas des petits éleveurs de la commune, on a constaté des interruptions de la production d’œuf, vu leur manque de moyens.
Arbre des problèmes résumant tous les problèmes cités ci-dessus
Figure n° 1 : Arbre des problèmes

Justification interne

Les raisons qui peuvent justifier la création d’une entreprise sont multiples et peuvent changer selon le milieu où vivent les créateurs. Ces motivations peuvent être les suivantes : le besoin d’autonomie que ce soit financier ou social, le besoin d’affirmer sa personnalité. Mais dans notre cas, nous avons retenu deux mobiles bien distincts.

Source de revenu

La création de cette entreprise constitue une source de revenu pour plusieurs personnes, en premier lieu les créateurs et les associés grâce aux dividendes versés, et en second lieu pour les salariés qui offrent leurs services à l’entreprise.

L’autonomie

En créant cette entreprise, les créateurs vont jouir d’une parfaite liberté sur leur prise de décision que ce soit stratégique, tactique ou même opérationnel. C’est-à-dire que l’avenir de l’entreprise à long ou à moyen terme est dorénavant entre leurs mains.

Importance nutritionnelle du produit

Sur le plan national, l’enquête démographique et de santé de 2008-2009 a montré que la moitié des enfants malgaches de moins de 5 ans accusent un retard de croissance : 24 pour cent sous la forme modérée et 26 pour cent sous la forme sévère. Cette proportion a peu changée comparée à celle de 2003-2004. La malnutrition demeure alors un problème majeur qui affecte le développement du pays. Pour cela, la consommation d’un aliment complet tel que l’œuf est plus que recommandée à la population malgache. Les œufs sont une source alimentaire précieuse, car ils contiennent tous les nutriments nécessaires à un futur organisme

Place de Madagascar dans la consommation mondiale d’oeuf

Selon le Ministère de l’élevage, le nombre de cheptel des poules pondeuses se chiffre actuellement à 800 milles têtes dont la production annuelle par poule est de 260 œufs, d’où la production annuelle de Madagascar est donc de 208millions d’œufs. Pour une population de 20 millions d’habitants, cette production s’avère insuffisante car chaque individu consomme 10 œufs par an. Concernant les statistiques de la FAO sur la consommation d’autres pays, on a les données suivantes : Tableau n° 4 : Consommation mondiale d’œuf par habitant

Caractéristiques de l’entreprise

Dans cette troisième section on présentera notre entreprise et ainsi que ses objectifs. L’idée c’est de choisir les caractéristiques qui lui conviennent le mieux. Pour ce faire, nous allons citer en premier lieu la dénomination de l’entreprise, son siège social et en deuxième lieu les objectifs globaux et les objectifs spécifiques. Et enfin, le statut juridique, les démarches à suivre pour la constitution et les activités liées à la production.

Dénomination de l’entreprise

Nous voulons créer une entreprise commerciale dénommée « MANATODY LAVA » dans la région Analamanga, commune rurale d’Alakamisy et pour être plus précis dans le Fokontany d’Ambohimasina, dont les activités principales seraient la production d’œufs de poules pondeuses, pour les écouler ensuite sur le marché local.

Les objectifs globaux

Une fois créée, l’entreprise va contribuer à l’accroissement de la production d’œufs dans la commune rurale d’Alakamisy et aussi à inciter les petits éleveurs des environs à rendre le secteur aviculture formel, afin que l’Etat puisse en bénéficier en termes d’impôts et taxes.

L’objectif spécifique

En termes d’objectif spécifique, l’entreprise va se focaliser sur la régularité de la production en œuf, ainsi le rythme d’approvisionnement des clients ne sera pas rompu. Figure n° 2 : Arbre des objectifs .

Statut juridique de l’entreprise

En général, il existe plusieurs formes de société commerciale, mais pour notre étude, on va retenir les trois formes les plus répandues à Madagascar : la société anonyme (SA), la société à responsabilité limitée(SARL), la société en nom collectif(SNC). La SA est une structure réservée aux projets de grande envergure nécessitant des capitaux importants, son principal avantage est d’être perçue par les investisseurs et les banquiers comme un gage de sécurité. Par ailleurs, le capital peut être augmenté facilement en fonction des besoins de la société et de sa taille et les actions peuvent être cédées librement. Néanmoins, cette structure est assez lourde à mettre en place : deux actionnaires au minimum, nécessité de recourir à un expert-comptable et à un commissaire aux comptes, fonctionnement contraignant (Assemblée Générale, Conseil d’administration).

La SARL quant à elle, est la forme de société la plus utilisée pour les petits projets : elle permet de créer une société à petit budget, elle conserve le caractère familial de l’entreprise et la responsabilité des associées est limitée au montant de leurs apports. Enfin, le gérant peut être tenu responsable des dettes sociales en cas de faute de gestion, ce qui constitue l’un des principaux inconvénients de la SARL. Enfin, les SNC sont des sociétés désignées par une relation sociale dans laquelle, tous les associés ont la qualité de commerçant et répondent indéfiniment et solidairement des dettes sociales. La personnalité de chacun des associés joue un rôle déterminant dans la vie de la société.

Afin de choisir l’une d’entre elles, la comparaison sur ces différentes formes de statut s’avère minutieuse. Vu les trois formes de sociétés ci –dessus, le choix de la SARL semble être le plus approprié pour le projet. Et récemment, le gouvernement Malagasy à supprimé dans un décret la capital minimum de 2 000 000 Ar pour créer une SARL dans le but d’inciter les entrepreneurs.

Démarche à suivre pour la constitution

La société est constituée par le contrat qui la régit, cet acte juridique institué par deux ou plusieurs personnes est soumis à certain conditions de fond et de forme.

Condition de fond

Le contrat de société est soumis aux règles de validité des contrats (consentement, capacité, objet et cause licites) mais à ces règles s’ajoutent les éléments spécifiques que doivent contenir le contrat de société par sa qualification. Ils sont au nombre de trois : les apports, la participation au bénéfice et à la perte et enfin, l’affectio societatis.
• Les apports :
Chaque associé peut apporter à la société de l’argent par apports en numéraire, des apports en nature et aussi les apports en compétence.
• Participation au bénéfice et à la perte :
Les bénéfices ne sont pas partagés immédiatement, ils sont employés ou investis jusqu’à la distribution des dividendes. Et concernant la perte, pour le cas de la SARL, la responsabilité des associées est limitée à leurs apports.
• L’affection societatis
C’est l’intention de tous les associés de travailler sur un pied d’égalité à la réussite de l’entreprise commune.

Condition de forme

 Rédaction d’un écrit :
Les statuts énoncent la forme de la société, sa dénomination suivie le cas échéant de son cigle, la nature et le domaine de son activité qui forme son objet social, son siège, sa durée, l’identité des apporteurs en numéraire et en nature, l’identité des bénéficiaires et la nature de ceux- ci, le montant du capital social.
 Publicité :
Dépôt au greffe du tribunal de commerce du siège social, publication dans le journal officiel d’un extrait de l’acte et l’article 57 énumère les mentions que doit contenir l’extrait, à savoir : forme de la société, raison sociale, nom, prénom et adresse personnelle des associés, montant du capital social des apports en numéraire et en nature, l’époque où la société commence et son expiration.
 Immatriculation au registre de commerce et des sociétés (RCS)

ETUDE DE MARCHE ET ASPECT MARKETING

Connaitre le marché est un des atouts majeurs de la réussite d’un projet. Ainsi, l’étude de marché est un passage obligé pour la création de l’entreprise et ce quel qu’en soit l’ampleur. Faire une étude de marché c’est donc identifier l’information dont on a besoin, la trouver et ensuite l’analyser et l’utiliser. La méthodologie que l’on va adopter pour mener à terme cette étude sera divisée en deux parties : d’une part, la recherche d’information sur la commune rurale d’Alakamisy et d’autre part, les enquêtes sur terrain permettant de détecter les besoins des futurs clients.

Analyse de la demande

La demande se définit comme étant la quantité d’un bien ou d’un service que les consommateurs sont disposés à acquérir en un temps donné et à un prix donné. Par le biais de l’analyse de la demande, on peut arriver à déterminer à l’avance les produits susceptibles d’être vendus sur le marché.

Segmentation et évaluation du marché

Cette démarche consiste à définir les besoins de chaque type de clientèle. Pour le projet, on a retenu 4 catégories de clientèles à savoir : les ménages, les gargotes, les pâtisseries, et enfin les restaurants.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJET
INTRODUCTION DE LA PREMIERE PARTIE
CHAPITRE I : IDENTIFICATION DU PROJET
Section 1 : Historique
1.1. L’élevage traditionnel
1.2. L’élevage moderne
Section 2 : Caractéristiques du projet
2.1. Le mode d’élevage pratiqué
2.2. Implantation du projet
2.3. Délimitation de la commune
2.4. Climat
2.5. Justification du projet
2.5.1. Justifications externes
2.5.1.1. Productivité insuffisante des éleveurs
2.5.1.2. Manque de capacité technique
2.5.1.3. Manque d’investissement
2.5.1.4. Manque de réactivité
2.5.2. Justification interne
2.5.2.1. Source de revenu
2.5.2.2. L’autonomie
2.6. Importance nutritionnelle du produit
2.7. Place de Madagascar dans la consommation mondiale d’œuf
Section 3 : Caractéristiques de l’entreprise
3.1. Dénomination de l’entreprise
3.1.1. Les objectifs globaux
3.1.2. L’objectif spécifique
3.2. Statut juridique de l’entreprise
3.3. Démarche à suivre pour la constitution
3.3.1. Condition de fond
3.3.2. Condition de forme
CHAPITRE II : ETUDE DE MARCHE ET ASPECT MARKETING
Section 1 : Analyse de la demande
1.1. Segmentation et évaluation du marché
1.1.1. Consommation d’oeufs par les ménages
1.1.2. Résultats des autres enquêtes
1.1.3. Réparitition des consommateurs selon leurs catégories socioprofessionnelles
Section 2 : Analyse de l’offre
2.1. Identification de la concurrence
2.1.1. Les concurrents directs
2.1.2. Les concurrents indirects
2.1.3. Les forces et faiblesses des concurrents
2.2. Evolution des prix
2.2.1. Evolution du prix de l’oeuf
2.2.2. Evolution du prix du poussin d’un jour
2.2.3. Evolution du prix de la poule réformée
Section 3 : Politique et stratégie marketing
3.1. Marketing Mix
3.1.1. La politique du produit
3.1.2. La politique de prix
3.1.3. La politique de distribution
3.1.4. La politique de communication
3.2. Stratégies marketing à adopter
3.2.1. La stratégie PULL
3.2.2. La stratégie PUSH
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE : CONDUITE DU PROJET ET ORGANISATION
INTRODUCTION DE LA DEUXIEME PARTIE
CHAPITRE I : ETUDE DE LA FAISABILITE TECHNIQUE
Section 1 : Etude technique
1.1. Système d’élevage à adopter
1.2. Nom et performance du poussin intrant
1.3. Bâtiment d’élevage
1.3.1. L’orientation
1.3.1.1. L’orientation par rapport au vent
1.3.1.1.1. Bâtiment à ventilation naturelle
1.3.1.1.2. Bâtiment à ventilation mécanique
1.3.1.1.3. Implantation des brises vents
1.3.1.2. L’orientation par rapport au soleil
1.3.2. Construction des bâtiments
1.3.2.1. Normes des bâtiments
1.3.2.2. Dimensions
1.3.2.3. Détails des types de bâtiments
1.3.2.4. L’ambiance bioclimatique
1.3.3. Matériels de construction des bâtiments
1.3.4. Autres caractéristiques
1.3.4.1. Le pavement
1.3.4.2. Le toit
1.3.4.3. Le mur
1.3.5. Matériels et équipements
1.3.5.1. Matériel de transport
1.3.5.2. Broyeur
1.3.5.3. Les équipements nécessaires
1.3.5.3.1. Abreuvoirs
1.3.5.3.2. Mangeoires
1.3.5.3.3. Pondoirs
1.3.5.3.4. La lumière
1.3.5.3.5. Le préchauffage
1.3.5.3.6. Bac à sable
1.4. Nutrition
1.4.1. L’expression des besoins
1.4.2. Les composants des nutriments
1.4.2.1. Niveau énergétique
1.4.2.2. Besoin en protéines
1.4.2.3. L’abreuvement
1.4.2.4. Les additifs
1.4.2.5. Les minéraux
1.4.3. Composition des matières premières
Section 2 : Technique d’élevage
2.1. Conduite de l’élevage
2.1.1. La pathologie et l’hygiène en aviculture
2.1.2. Caractéristiques de la pathologie
2.1.2.1. La pathologie mono factorielle
2.1.2.2. La pathologie multi factorielle
2.1.2.3. Les différents types de maladies
2.2. Prophylaxie sanitaire
2.2.1. Les barrières sanitaires dans le temps
2.2.2. Les barrières sanitaires dans l’espace
2.2.3. Les étapes du nettoyage et de la désinfection
2.2.4. La vaccination
2.3. Programmes de l’élevage
2.3.1. Réception des poussins
2.3.2. Les contrôles
2.3.3. La fiche de suivi de l’élevage
2.3.4. Distribution des aliments
2.3.5. Collecte des oeufs
2.3.6. Conservation des oeufs
2.3.7. Valorisation du fumier
2.3.8. Le débecquage
2.4. Capacité de production envisagée
2.5. Chronogramme des activités
CHAPITRE II : ETUDE ORGANISATIONNELLE
Section 1 : Structure organisationnelle envisagée
1.1. Organigramme à mettre en place
1.2. Organisation du poste de travail
1.2.1. Description des tâches
1.2.2. Les exigences du poste
1.3. Charges de personnel
Section 2 : Politique du personnel
2.1. Politique de motivation
2.2. Politique de rémunération
2.3. Politique d’amélioration des conditions de travail
2.4. La culture de résultat
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
TROISIEME PARTIE : ETUDE FINANCIERE ET EVALUATION DU PROJET
INTRODUCTION DE LA TROISIEME PARTIE
CHAPITRE I : ETUDE FINANCIERE
Section 1 : Evaluation des coûts des immobilisations
1.1. Immobilisations incorporelles
1.2. Immobilisations corporelles
1.2.1. Terrain
1.2.2. Constructions
1.2.3. Matériel et outillage
1.2.4. Installation
1.2.5. Matériel de transport
1.2.6. Matériels de bureau et informatique
1.2.7. Résumé du coût des immobilisations
1.3. Fonds nécessaires pour 6 mois
1.4. Plan de financement
1.5. Plan de remboursement
1.6. Les amortissements
Section 2 : Calcul des charges et produit prévisionnels
2.1. Les charges prévisionnelles
2.1.1. Les charges directes
2.1.2. Les charges indirectes
2.2. Les produits prévisionnels
2.3. Les états financiers
2.3.1. Compte de résultats prévisionnels par nature
2.3.2. Tableau de flux de trésorerie
2.3.3. Bilans prévisionnels sur cinq ans
CHAPITRE II : EVALUATION DU PROJET
Section 1 : Evaluation financière du projet
1.1. Evaluation financière du projet selon les outils
1.1.1. La Valeur Actuelle Net (VAN)
1.1.2. Indice de Profitabilité (IP)
1.1.3. Taux de Rentabilité Interne(TRI)
1.1.4. Durée de récupération du capital investi
1.2. Evaluation selon les critères
1.2.1. La pertinence
1.2.2. L’efficacité
1.2.3. L’efficience
1.2.4. La durabilité
1.3. Analyse des ratios
1.3.1. Les ratios de rentabilité globale
1.3.2. Les ratios de rentabilité financière
Section 2 : Evaluation socio-économique
2.1. Contribution au niveau social
2.2. Les projets et ses contributions au développement régional
2.3. Le cadre logique
CONCLUSION DE LA TROISIEME PARTIE
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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