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Enseignement secondaire
La Commune de Sahatavy dispose un Collรจge dโEnseignement Gรฉnรฉral (CEG) implantรฉ au Chef lieu de la Commune. Par ailleurs, le taux de rรฉussite ร lโexamen officiel CEPE reprรฉsente 22%.
Le statistique de lโenseignement secondaire de la Commune rรฉvรจle de signes de dรฉficience avec seulement un effectif de 94 รฉlรจves au dรฉbut de lโannรฉe scolaire 2001-2002. Cependant le nombre dโรฉlรจves augmente dโannรฉe en annรฉe, vu la mise en place dโun systรจme dโincitation ร la scolarisation totale par lโEtat en octroyant des avantages et allรฉgement de frais scolaires des parents dโรฉlรจves. Actuellement, on dรฉnombre plus de 290 รฉlรจves au niveau secondaire et cette situation reflรจte lโamรฉlioration du niveau de lโรฉducation dans la Commune.
Organisation au sein de lโรฉducation
Le systรจme รฉducatif demande la constitution dโune association des parents dโรฉlรจves dynamique qui sert ร mobiliser la participation de tous sur lโaugmentation des rรฉsultats au sein de lโenseignement secondaire. Ainsi, lโassociation FRAM joue un rรดle important pour crรฉer la synergie entre le personnel de lโenseignant et les parents dโรฉlรจves car lโรฉducation ne se limite pas sur les cours donnรฉs ร lโรฉcole mais surtout la surveillance de lโรฉlรจve dans le milieu familial. Cโest pourquoi, mรชme si beaucoup dโefforts sont constatรฉs au niveau du systรจme รฉducatif, les rรฉsultats y affรฉrents ne sont pas satisfaisants parce que il y a un manque ร gagner au niveau de lโeffort des parents dโรฉlรจves en tant que premiers responsables de lโรฉducation des ses enfants.
Lโorganisation du FRAM ne se limite pas sur le cotรฉ appui aux enseignants mais aussi sur la recherche des moyens pour augmenter le rรฉsultat au niveau scolaire, notamment la recrutement de professeurs vacataires en cas dโinsuffisance en nombre du personnel enseignant et la dotation des matรฉriels utiles pour le bon fonctionnement de lโรฉtablissement.
On constate lโรฉvolution de lโeffectif des รฉlรจves de lโannรฉe scolaire en annรฉe scolaire suivante. Cette situation montre lโeffort de lโEtat sur la promotion de lโรฉducation pour tous et la motivation apportรฉe au niveau de lโenseignement. Les parents dโรฉlรจves sont conscients sur le fait quโil nโy aura pas de dรฉveloppement sans la scolarisation des enfants. Les alรฉas climatiques dรฉcouragent la population ร fertiliser la terre : la seule issue cโest de scolariser les enfants afin de crรฉer une autre activitรฉ pour sauver lโimage du monde rural et que lโรจre de la mondialisation et surtout le dรฉveloppement du NTIC demande un minimum de niveau dโรฉducation de chaque citoyen.
Lโhandicap est constatรฉ au niveau dโinformation, mรชme pour les donnรฉes concernant lโรฉducation dont lโimportance est primordiale dans la mesure oรน la dรฉcision en dรฉpend. Ainsi, les donnรฉes de base ne sont pas ร jour, et certaines informations ne sont pas disponibles pendant notre enquรชte sur terrain.
Santรฉ
La Commune de Sahatavy dispose dโune formation sanitaire composรฉe dโune pharmacie ร gestion communautaire qui fonctionne par le service dโun dispensateur, dโun CSB II localisรฉ au Chef lieu de la Commune et tenu par un mรฉdecin et une sage femme ; et dโun CSB I ร Salangina, Fokontany dโAmbavala, tenu par un agent.
Les principales maladies qui affectent la population sont le paludisme qui reprรฉsente plus de 56,8% des maladies endรฉmiques observรฉes en consultation dans les deux CSB. Les infections respiratoires et la diarrhรฉe reprรฉsentent respectivement 28,7% et 6% des cas.
A Sahatavy, il y a deux CSB pour 15387 habitants et qui sont situรฉs dans un rayon de 2h ร 8h de marche de lieu dโhabitation de la population. Localisรฉe ร 48 km de la Commune, le Fokontany de Tsarasambo est le plus touchรฉ par ce facteur dโรฉloignement.
Religion us et coutumes
La majoritรฉ des religions existant ร Madagascar sont presque prรฉsentes dans la Commune telles que FJKM, Catholique, Ara-pilazantsara, Jesosy Mamonjy, Fifohazana et Baptiste Biblique.
Les jours Fady รฉtaient le mardi et le jeudi. Mais, par instinct de survie, seul le jeudi est maintenu aujourdโhui comme jour fady, les jours fรฉriรฉs non travaillรฉs.
La prรฉsentation de la zone dโรฉtude a permis de bien connaรฎtre la Commune Rurale de Sahatavy. Les donnรฉes relatives ร la situation socio-รฉconomique ainsi que la situation administrative montrent que la Commune Rurale de Sahatavy fait partie des Communes dont la situation dโenclavement a tardรฉ le dรฉveloppement de la zone.
Cependant les potentialitรฉs en ressources humaines et naturelles de la Commune constituent un espoir pour la population. La politique de valorisation des potentialitรฉs dont dispose cette Commune est nรฉcessaire pour dรฉmarrer lโambition de la communautรฉ de combattre la pauvretรฉ. Cette ambition doit รชtre accompagnรฉe par une volontรฉ politique qui vise la considรฉration et lโimplication des acteurs locaux. La politique de la dรฉcentralisation effective que prรดne le rรฉgime actuel arrive ร point, ร travers la division administrative rรฉgionale constituant un dรฉfi trรจs important. Dans ce cas, il faut que la population sโy implique davantage pour mettre en ลuvre le dรฉveloppement participatif.
Essai de dรฉfinition
La dรฉcentralisation
La signification du mot ยซ dรฉcentralisation ยป1 que le Larousse 2008 dรฉfinit comme un ยซ systรจme dโorganisation des structures administratives de lโEtat qui accorde des pouvoirs de dรฉcision et de gestion ร des organes autonomes rรฉgionaux ou locaux (collectivitรฉs locales, รฉtablissements publics) ยป. Il sโagit donc, de la part de lโadministration de lโEtat (qui dรฉpend, pour lโessentiel, des ministรจres รฉtablis dans la capitale), de donner des pouvoirs ou lus de pouvoirs aux administrations qui sont รฉtablies dans les rรฉgions et les communes.
En dโautre terme, la dรฉcentralisation est une politique de dรฉsengagement de lโEtat sur la partie ou lโensemble de territoire national qui vise ร donner plus de pouvoirs de dรฉcision et dโorganisation aux responsables locaux afin de rationaliser la gestion de lโadministration locale en matiรจre de planification des ressources et de la gestion de personnel.
Et selon la Banque mondiale dans son Rapport sur le dรฉveloppement mondial en 1997, la dรฉcentralisation se rรฉfรจre ร un changement dans les modalitรฉs de gestion des affaires publiques et se traduit par des rรฉformes plus ou mois poussรฉes dans le domaine administratif, tout dโabord, avec la rรฉorganisation territoriale de lโappareil bureaucratique, budgรฉtaire et fiscal, ensuite avec lโattribution de fonctions de dรฉpenses et sources de revenus aux autoritรฉs territoriales et politiques enfin, avec lโaccord dโun certain degrรฉ dโautonomie dรฉcisionnelle et de lรฉgitimitรฉ dรฉmocratique aux collectivitรฉs.
La dรฉconcentration
Selon la loi portรฉe sur la dรฉcentralisation, la dรฉconcentration est la maniรจre selon laquelle le pouvoir central c’est-ร -dire lโEtat dรฉlocalise les services publics qui sont presque centrรฉs dans la capitale afin de faciliter lโaccรจs des dits services pour les gens de la province ou de la rรฉgion selon le concept actuel du dรฉcoupage territorial. Ici, la gestion de services publics est sous lโรฉgide de lโEtat mais lโendroit dont on instaure ces genres de services nโest plus dans la capitale seulement mais รฉparpillรฉe dans les autres rรฉgions de Madagascar.
LโEtat central
Le Prรฉsident de la Rรฉpublique est le Chef de lโEtat. La Prรฉsidence dรฉtermine la politique gรฉnรฉrale de lโEtat et le Gouvernement joue le rรดle de lโExรฉcutif. Par le souci de la bonne gestion des affaires publiques, lโadministration plus proche de la population devient le slogan du pouvoir en place ; lโEtat central donne des pouvoirs aux hiรฉrarchies administratives. Selon la Constitution rรฉvisรฉe du 04 avril 2007, les communes et les rรฉgions sont des collectivitรฉs territoriales dรฉcentralisรฉes dont les Maires et les Chefs de Rรฉgion reprรฉsentent respectivement les souverainetรฉs de chaque dรฉcoupage territorial.
Les รฉlรฉments clรฉs de la dรฉcentralisation
Collectivitรฉs territoriales : Les Rรฉgions et les Communes.
La volontรฉ de dรฉcentralisation reflรจte un double objectif de dรฉmocratie et dโefficacitรฉ. Dรฉmocratie dans la mesure oรน le pouvoir appartenant au peuple, il est normal que les dรฉcisions administratives concernant les problรจmes rรฉgionaux et locaux puissent รชtre prises sur les lieux et par les gens concernรฉs, et non par des fonctionnaires lointains qui connaissent peu ou mal les problรจmes de la base. Par ailleurs, la proximitรฉ gรฉographique donne aux administrateurs dรฉcentralisรฉs une meilleure connaissance de la situation, et donc une plus grande efficacitรฉ.
En 1998, une nouvelle rรฉvision constitutionnelle maintient un systรจme de dรฉcentralisation ร trois niveaux, avec la province autonome, la rรฉgion et la commune. La rรฉgion devient alors un dรฉmembrement de la province autonome, et non plus de lโEtat. Et la loi du 17 juin 2004 a voulu organiser les rรฉgions, mais sur des bases constitutionnelles discutables. Dernier avatar, la rรฉvision constitutionnelle du 4 avril 2007, tout en supprimant les provinces, fait des rรฉgions et des communes les seules collectivitรฉs territoriales dรฉcentralisรฉes (article 138) ; et lโArticle 134 prรฉcise que, ยซ dotรฉes de la personnalitรฉ morale et de lโautonomie administrative et financiรจre, (elles) constituent le cadre institutionnel de la participation effective des citoyens ร la gestion des affaires publiques ยป.
Les Rรฉgions :
Les Rรฉgions dont la mise en place, lโorganisation ainsi que les compรฉtences et ressources ont รฉtรฉ prรฉvues par les lois de dรฉcentralisation de 1993-1995, rรฉpondent ร une vision dโรฉchelle pour le processus de dรฉveloppement rapide et durable. Et les principales modifications apportรฉes par la nouvelle loi sur les Rรฉgions, stipule, entre autre, que ยซ la Rรฉgion a comme vocation รฉconomique et sociale dans son ressort territorial, de coordonner et dโintรฉgrer les actions de dรฉveloppement initiรฉes ร la base ยป1.
Plus, il est รฉnoncรฉ que les Rรฉgions sont des collectivitรฉs publiques ร vocation essentiellement รฉconomique et sociale. Elles dirigent, dynamisent, coordonnent et harmonisent le dรฉveloppement รฉconomique et social de lโensemble de leur ressort territorial et, assurent ร ce titre, la planification, lโamรฉnagement du territoire et la mise en ลuvre de toutes les actions de dรฉveloppement.
En tant que Collectivitรฉs Territoriales Dรฉcentralisรฉes, les Rรฉgions disposent de la personnalitรฉ morale, de lโautonomie financiรจre et sโadministrent librement par des Conseils rรฉgionaux รฉlus selon les conditions et modalitรฉs fixรฉes par la loi et les rรจglements. Les parlementaires (dรฉputรฉs et sรฉnateurs) sont membres de droit du Conseil Rรฉgional.
En tant que circonscriptions administratives, les Rรฉgions regroupent lโensemble des services dรฉconcentrรฉs de lโEtat au niveau rรฉgional.
Les Rรฉgions sont alors ร la fois Collectivitรฉs Territoriales Dรฉcentralisรฉes et Circonscriptions Administratives.
Les Communes
En tant que Collectivitรฉs Territoriales Dรฉcentralisรฉes, les Communes disposent de la personnalitรฉ morale, de lโautonomie financiรจre et sโadministrent librement par des Conseils communaux (pour les communes rurales) ou Conseils municipaux (pour les communes urbaines) รฉlus selon les conditions et modalitรฉs fixรฉes par la loi et les rรจglements.
En tant que circonscriptions administratives, les Communes regroupent lโensemble des services dรฉconcentrรฉs de lโEtat au niveau communal. En matiรจre de la gestion de patrimoine communal, la commune est le seul et unique maรฎtre de lโouvrage de toutes les infrastructures รฉconomiques et sociales qui sont construites dans lโensemble de sa circonscription.
Tout comme le cas des Rรฉgions, les Communes sont classรฉes parmi les Collectivitรฉs Territoriales Dรฉcentralisรฉes ร Madagascar.
Les responsabilitรฉs de la commune :
Chaque commune assure donc le dรฉveloppement de son territoire ร travers la rรฉalisation des diverses activitรฉs permanentes comme :
la gestion autonome de patrimoine communal : les infrastructures sociales (รฉcoles et centres de santรฉ) et les infrastructures รฉconomiques ;
lโรฉtat civil ; reboisement ;
et recouvrement fiscal sur les activitรฉs au sein de la commune.
Les responsables communaux, en tant que premiers responsables directs sur le dรฉveloppement de la commune doivent montrer leurs gรฉnรฉrositรฉs ร travers lโaccomplissement des diverses missions telles que :
recherche des partenaires et identification des sources de financement ; coordonner les activitรฉs dans la commune ;
faciliter lโintervention des acteurs de dรฉveloppement ;
encourage lโinitiative de base ;
assurer la sรฉcuritรฉ des biens et personnes dans lโensemble de la commune ;
ralliement au ยซ Kaominina Mendrika ยป1 en matiรจre de dรฉveloppement รฉconomique et social.
La justification de la politique de dรฉcentralisation
Dรฉconcentration et dรฉcentralisation : crรฉer un Etat rรฉpondant aux attentes de la population2
Du fait de la domination exercรฉe depuis toujours par la province d’Antananarivo, une dรฉcentralisation de l’administration est reconnue comme absolument nรฉcessaire ร Madagascar. La dรฉcentralisation est aujourd’hui inscrite dans la nouvelle Constitution du pays, qui prรฉvoit trois niveaux d’administration locale : municipal, rรฉgional et provincial. En revanche, le pays compte, depuis la fin de 1995, des municipalitรฉs avec des maires รฉlus, qui sont notamment responsables de l’infrastructure locale.
Les performances de ces municipalitรฉs restent toutefois insuffisantes, et la plupart des biens et des services continuent d’รชtre assurรฉs dans le cadre d’interventions ponctuelles des bailleurs de fonds. Le dรฉfi consiste ร rรฉsoudre ces problรจmes afin de mieux tirer parti des ressources dรฉpensรฉes aux municipalitรฉs.
Dรฉconcentration : Dรฉlivrance du service public
ยซ Dans toutes les sociรฉtรฉs, lโaccรจs universel ร des services sociaux de base est lโun des moyens les plus efficace de rรฉduire la pauvretรฉ ยป3. Cโest pourquoi, lโaccรจs ร la santรฉ et ร lโรฉducation de base, au planning familial ainsi quโร lโeau potable et ร lโassainissement est le facteur dรฉterminant dโun progrรจs รฉconomique durable.
Lโinitiative 20/20 propose comme principe directeur que les pays en dรฉveloppement consacrent 20% de leur budget et les pays donateurs 20% de leur APD ร la crรฉation et soutien de ces services sociaux de base. Prรฉconisรฉ par James P. Grant, Directeur Gรฉnรฉral de lโUNICEF ร ce moment-lร , cette initiative a รฉtรฉ lancรฉe en 1994 au Caire, lors de la Confรฉrence Internationale sur la population et le dรฉveloppement, puis reprise lโannรฉe suivante ร Copenhague, lors du Sommet mondial pour le dรฉveloppement social. Elle sโappuie sur les obligations mutuelles qui incombent, selon la Convention relative aux droits de lโenfant, aux pays riches comme aux pays pauvres.
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : LA PRESENTATION DE LA ZONE DโETUDE ET LE CONTEXTE DE LA DECENTRALISATION
1.1 LES CARACTERISTIQUES DE LA COMMUNE RURALE DE SAHATAVY
1.1.1 MONOGRAPHIE
1.1.1.1 Historique et situation gรฉographique de la commune
1.1.1.1.1 Historique de la commune
1.1.1.1.1.1. Lโorigine de la population
1.1.1.1.2 Situation gรฉographique
1.1.1.1.3 Communes limitrophes
1.1.1.1.4 . Le climat
1.1.1.1.5 Relief et types de sol
1.1.1.2 Identification administrative
1.1.1.2.1 Situation administrative et administration
1.1.1.2.2 Lโorganisation administrative
1.1.1.3 Les atouts et contraintes
1.1.1.3.1 Les atouts de la Commune
1.1.1.3.2 Les contraintes et points faibles de la Commune
1.1.1.3.2.1 Domaine รฉducation
1.1.1.3.2.2 Domaine รฉconomique
1.1.1.3.2.3 Domaine santรฉ
1.1.1.4 Les ressources de la Commune
1.1.1.4.1 Les ressources humaines
1.1.1.4.1.1 Population
1.1.1.4.1.2 . Etat civil
1.1.1.4.2 Ressources naturelles
1.1.1.4.2.1 Hydrologie
1.1.1.4.2.2 . Vรฉgรฉtation
1.1.1.4.3 Ressources miniรจres
1.1.1.4.4 Les ressources รฉconomiques
1.1.1.4.4.1 Agriculture
1.1.1.4.4.2 Elevages
1.1.1.4.4.3 Artisanat
1.1.1.5 Les ressources en capitaux et les infrastructures
1.1.1.5.1 Ressources en capitaux
1.1.1.5.1.1 Structure financiรจre :
1.1.1.5.1.2 Budget communal (situation 2007)
1.1.1.5.2 Autres infrastructures de base et รฉquipement dans la commune
1.1.1.5.3 Les ressources socioculturelles
1.1.1.5.3.1 Education (situation 2007)
1.1.1.5.3.1.1 Enseignement primaire
1.1.1.5.3.1.2 Enseignement secondaire
1.1.1.5.3.1.3 Organisation au sein de lโรฉducation
1.1.1.5.3.2 Santรฉ
1.1.1.5.3.3 Religion us et coutumes
1.2 LE CONTEXTE DE LA DECENTRALISATION A MADAGASCAR
1.2.1 LA POLITIQUE DE LA DECENTRALISATION
1.2.1.1 Essai de dรฉfinition et รฉlรฉments clรฉs
1.2.1.1.1 . Essai de dรฉfinition
1.2.1.1.1.1 La dรฉcentralisation
1.2.1.1.1.2 La dรฉconcentration
1.2.1.1.1.3 LโEtat central
1.2.1.1.2 Les รฉlรฉments clรฉs de la dรฉcentralisation
1.2.1.1.2.1 Collectivitรฉs territoriales : Les Rรฉgions et les Communes.
1.2.1.2 La justification de la politique de dรฉcentralisation
1.2.1.2.1 Dรฉconcentration et dรฉcentralisation : crรฉer un Etat rรฉpondant aux attentes de la population
1.2.1.2.2 Dรฉconcentration : Dรฉlivrance du service public
1.2.1.2.2.1 Note de procรฉdures pour la mise en ลuvre de lโinitiative sur la dรฉlivrance des services publics de base
1.2.1.2.2.2 Faire un รฉtat des lieux de la dรฉlivrance de services publics dans le pays (correspondant national et ses collaborateurs) :
1.2.1.3 Cadrage institutionnel de la dรฉcentralisation et dรฉconcentration
1.2.1.3.1 Le MAP et la Dรฉcentralisation
1.2.1.4 Appui ร la dรฉcentralisation et renforcement des capacitรฉs
1.2.1.4.1 La stratรฉgie de la dรฉcentralisation et renforcement de capacitรฉs
1.2.1.4.1.1 Le Programme National de Dรฉcentralisation et de Dรฉconcentration (PN2D)
1.2.1.4.2 Les rรดles des intervenants en matiรจre de Dรฉcentralisation
1.2.1.4.2.1 Le rรดle de lโEtat central
1.2.1.4.2.2 Le programme du ministรจre
1.2.1.4.2.3 Les agences dโexรฉcutions du Gouvernement
1.2.1.4.2.4 La place des organismes internationaux en matiรจre de dรฉcentralisation
1.2.2 LA PORTEE DE LA POLITIQUE DE DECENTRALISATION SUR LโADMINISTRATION TERRITORIALE DECENTRALISEE
1.2.2.1 Les ressources attribuรฉes ร la commune
1.2.2.2 Les dotations globales comme incitations pour un meilleur recouvrement
1.2.2.3 La conjugaison de transfert de compรฉtences au niveau local
1.2.2.3.1 Situation financiรจre de la Commune de Sahatavy
1.2.2.3.2 Le dispositif dโappui aux communes
1.2.2.3.2.1 Les Centres dโAppui aux Communes (CAC)
1.2.2.3.2.2 Les stratรฉgies et mรฉthodes adoptรฉes
1.2.2.3.2.2.1 Encadrement basรฉ au niveau des organisations de proximitรฉs
1.2.2.3.2.2.2 Lโรฉducation des adultes ou andragogie:
1.2.2.3.3 Les perspectives de la commune
1.2.2.3.3.1 La nouvelle vision pour la commune
1.2.2.3.3.2 La promotion de la participation citoyenne
1.2.2.3.3.3 La sรฉcuritรฉ levier du dรฉveloppement
1.2.2.3.3.4 Inciter la commune ร augmenter le niveau de performance
1.2.2.3.3.4.1 Les acteurs, รฉchelles et รฉtapes dโune stratรฉgie de changement
1.2.2.3.3.4.2 La citoyennetรฉ comme revendication
DEUXIEME PARTIE : LA CONSISTANCE DE LA GESTION DES INFRASTRUCTURES DE BASEAU SEIN DE LA COLLECTIVITE TERRITORIALE DECENTRALISEE
2.1 LES COMPOSANTES DE GESTION DES PATRIMOINES COMMUNAUX
2.1.1 LA GESTION COMMUNAUTAIRE DES INFRASTRUCTURES DE BASE
2.1.1.1 La notion des patrimoines communaux et du dรฉveloppement
2.1.1.1.1 Dรฉfinitions et concept de patrimoine
2.1.1.1.1.1 Terrains domaniaux
2.1.1.1.1.2 Les infrastructures de base
2.1.1.1.2 Ce quโil faut savoir sur la situation liรฉe au dรฉveloppement
2.1.1.1.2.1 Obstacles au dรฉveloppement :
2.1.1.1.2.2 La pauvretรฉ nโest pas inรฉvitable
2.1.1.2 La gestion de projet communautaire
2.1.1.2.1 Lโintรฉrรชt de la nouvelle orientation de projet communautaire
2.1.1.2.2 La notion de la bonne gouvernance
2.1.1.2.3 Le financement du projet communautaire
2.1.1.2.3.1 . Lโorganisme chargรฉ de lโexรฉcution du projet
2.1.1.2.3.1.1 . Objectifs du FID :
2.1.1.2.3.1.2 La stratรฉgie et les principes du FID
2.1.1.2.3.1.3 Le cycle de projet financรฉ par FID
2.1.1.2.3.1.4 Structures de gestion
2.1.1.2.3.1.5 Intervenants :
2.1.1.2.3.1.6 Structure de gestion dโun Sous Projet:
2.1.1.2.3.1.7 Gestions techniques dโun sous projet
2.1.1.2.3.1.8 Gestions financiรจres dโun sous projet
2.1.1.3 Les processus de la mise en ลuvre de projet communautaire
2.1.1.3.1 La situation gรฉnรฉrale de dรฉpenses dโinvestissement public
2.1.1.3.2 Lโitinรฉraire du projet communautaire
2.1.2 LโEXPLOITATION DE LโINFRASTRUCTURE DE BASE
2.1.2.1 Les problรจmes liรฉs ร lโexploitation des infrastructures de base
2.1.2.1.1 Problรจme de ressources et dโidentitรฉ
2.1.2.1.1.1 La faiblesse des ressources disponibles
2.1.2.1.1.2 Problรจme dโidentitรฉ
2.1.2.2 Les enjeux de la gestion des infrastructures de base
2.1.2.2.1 Consistance de la gestion du domaine public
2.1.2.2.2 Pourquoi gรฉrer le domaine public ?
2.1.2.2.3 La gestion du domaine public est-elle une innovation?
2.1.2.2.4 La lutte contre la pauvretรฉ et la dรฉmocratisation de la ยซย chose publiqueย ยป vont de pair.
2.1.2.3 Les procรฉdรฉs de lโentretien
2.1.2.3.1 Nouvel itinรฉraire IEC Entretien Environnement
2.1.2.3.1.1 Objectif global :
2.1.2.3.1.2 Itinรฉraire IEC EE
2.1.2.3.1.3 La pรฉrennisation des activitรฉs dโentretien : la redynamisation du service technique
2.2 IMPACTS, RECOMMANDATIONS ET SUGGESTIONS
2.2.1 IMPACTS DE LA DECENTRALISATION ET DU TRANSFERT DE
2.2.1.1 Au niveau de lโadministration centrale
2.2.1.1.1 La perception de la dรฉcentralisation
2.2.1.1.2 Des recettes universelles de la bonne gouvernance ร lโesquisse dโune pensรฉe africaine sur
la gouvernance.
2.2.1.1.2.1 Du point de vue bonne gouvernance en Afrique
2.2.1.1.2.2 Du point de vue bonne gouvernance sur le plan national.
2.2.1.2 Au niveau de la commune et la communautรฉ de base
2.2.1.2.1 Les enjeux des fonds sociaux : donner le pouvoir aux communautรฉs une รฉvaluation comparative de la performance des fonds sociaux.
2.2.1.2.2 Analyse de la performance des fonds sociaux
2.2.1.2.3 Analyse de la performance du projet communautaire de la Commune Rurale Sahatavy
2.2.1.3 Au niveau des structures dโappuis
2.2.1.3.1 Professionnalisation des prestations
2.2.1.3.2 Acquisition des nouvelles expรฉriences
2.2.1.3.3 Facilitation de lโintervention au niveau local
2.2.1.3.4 Allรฉgement des charges sur la gestion de projet
2.2.2 RECOMMANDATIONS ET SUGGESTIONS
2.2.2.1 Au niveau de la politique de la dรฉcentralisation
2.2.2.1.1 Sur le plan technique et structurel
2.2.2.1.2 Inverser l’approche de l’organisation des compรฉtences en partant de la lรฉgitimitรฉ locale
2.2.2.1.3 La centralisation est contre le Dรฉcentralisation
2.2.2.1.4 Reconnaรฎtre au local le pouvoir de dรฉfinir les compรฉtences de lโEtat
2.2.2.1.5 La restriction de pouvoir des collectivitรฉs dรฉcentralisรฉes
2.2.2.1.6 La dรฉcentralisation : synonyme de lโautonomie financiรจre pour les collectivitรฉs territoriales dรฉcentralisรฉes ?
2.2.2.1.7 La coopรฉration dรฉcentralisรฉe
2.2.2.2 Sur la gestion de projet communautaire
2.2.2.2.1 Transfert des compรฉtences
2.2.2.2.2 Amรฉliorer le niveau de la participation des communautรฉs et de la commune
2.2.2.2.3 Amรฉliorer le recouvrement fiscal au sein de la commune.
2.2.2.2.4 Assurer la transparence lors de la constitution de la cellule de projet.
2.2.2.2.5 Responsabiliser le secteur privรฉ pour la cause communautaire.
2.2.2.2.6 Lโamรฉlioration portรฉ sur le mode de financement de projet : les fonds sociaux.
2.2.2.3 Les fonctionnements des organismes dโappuis
2.2.2.3.1 Ajuster les manuels de formation destinรฉs aux associations locales
2.2.2.3.2 Rรฉorganiser lโintervention des trois partenaires du FID : PR, BE et MPE
2.2.2.3.3 Amรฉliorer la gestion financiรจre du projet.
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE
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