La connaissance des élèves en tant qu’atout majeur pour réveiller leur motivation

L’environnement scolaire

               Je suis affectée depuis septembre au Collège Jacques Prévert à Herbignac. Il s’agit d’un établissement qui accueille environ 400 élèves. Il y a 5 classes par niveau et l’effectif par section varie de 22 à 30 élèves. Le collège se trouve dans un environnement plutôt rural mais aussi à proximité de stations balnéaires. Les élèves viennent de milieux modestes comme ils peuvent faire également partie de familles plus aisées. Dans l’ensemble, la tendance relevée au sein de l’établissement et qui m’a été révélée comme telle en Juillet lors de ma première prise de contact, est un manque de volonté et de motivation pour le travail. Cet état d’esprit est effectivement très présent au sein de chaque classe mais bien heureusement cela ne concerne pas tous les élèves.

Le fonctionnement des émotions

                 Voyons de plus près les émotions dans un premier temps. Deux personnes peuvent être à égalité sur un plan intellectuel, mais ce sont les émotions qui les contrôlent. Selon leurs émotions, elles se retrouvent avec leurs capacités plus ou moins marquées ou diminuées. Si l’on prend l’exemple de la classe, il était question un peu plus haut de la colère d’un élève par exemple. Malgré le potentiel intellectuel de ce dernier, cette émotion est capable par la force des sentiments qu’elle suscite et qui sont à un moment précis plus importants que tout autre chose, de le détourner de son travail ou de l’entrainer à le bâcler. Autre exemple, un apprenant timide pour qui la prise de parole génère de l’anxiété et qui a du mal à gérer cette émotion aura du mal à s’exprimer en public ; le stress et la peur portent entrave à toute action et touchent donc l’envie de faire, de se motiver pour une tâche par exemple. A moins d’un dépassement de soi, les actions sont bloquées et c’est à ce stade que l’on perçoit l’intérêt de savoir gérer ses émotions. La bonne gestion des émotions permet d’avoir l’esprit clair et de se trouver en bonne condition pour tout exercice ou activité. Mais le cerveau humain ne nous laisse pas la tâche facile. Daniel Goleman parle de deux esprits : le cœur et la tête. Dans notre cerveau, la partie ou siègent les émotions joue un rôle clé. Sous le coup d’une forte émotion, c’est le système limbique qui prend le pouvoir sur le cerveau. L’esprit rationnel n’est plus en mesure d’intervenir dans cette situation. Ce sont l’amygdale et l’hippocampe, deux petits organes du cerveau, qui prennent le contrôle. L’amygdale et l’hippocampe, (en vert sur le schéma) sont les deux parties du cerveau olfactif primitif. C’est à partir de ces deux parties que ce sont ensuite développés le cortex et plus précisément le néocortex (cerveau pensant). Ce dernier est impliqué dans les fonctions cognitives dites supérieures comme les perceptions sensorielles, les commandes motrices volontaires, le raisonnement spatial, la conscience ou encore le langage, en clair c’est le poste de commandement de nos réactions spirituelles ou motrices. Le neurologue américain LeDoux, qui fait partie de la nouvelle génération de chercheurs en neuroscience, a le premier, mis en évidence le rôle fondamental de l’amygdale dans l’activité affective du cerveau. L’amygdale est le siège de la mémoire affective et l’hippocampe fournit une mémoire précise du contexte des événements sans lequel il ne peut y avoir de sens émotionnel. LeDoux dit : l’hippocampe vous permet de reconnaitre votre cousine, mais l’amygdale ajoute qu’elle est antipathique. L’hippocampe a mémorisé la relation familiale alors que l’amygdale a gardé en souvenir la sensation ressentie lors de la dernière rencontre avec cette cousine. Lors d’un choc émotionnel, le message porté vers le néocortex ou cerveau pensant se retrouve court-circuité par l’amygdale qui se l’approprie et génère très vite une réaction à ce qu’il se passe, réaction souvent erronée ou inadaptée car l’analyse a été hâtive donc incomplète et grossière. Le message entre temps a poursuivi son chemin. Une fois parvenu au néocortex, c’est là que l’on reprend nos esprits et que l’on prend la mesure de notre réaction. A moins d’avoir une parfaite maîtrise de nos réactions, donc de nos émotions, nous sommes esclaves de celles-ci. Si nous revenons maintenant aux différentes variables énoncées par Dunkin et Biddle (1974), et afin d’éviter des chocs émotionnels tels que la peur, la colère, la tristesse, n’est-ce pas l’environnement dans lequel évoluent les élèves qui doit être pris en compte ? N’est-ce pas l’attitude que le corps éducatif doit avoir envers eux qui est important à travailler ? Une atmosphère sereine et bienveillante favoriserait un certain bien-être et une mise en condition favorable pour le travail Seulement ce sont les variables elles-mêmes qui sont un obstacle à cette solution. Si nous revenons aux variables contextuelles, les zones dans lesquelles se trouvent les établissements sont pour certains difficiles. De plus, les contextes d’enseignements ne sont pas toujours favorables à cause d’effectifs surchargés. Et sans parler de toutes ces variables extérieures, qu’en est-il de l’élève lui-même ? Ses émotions sont peut-être des barrières à sa motivation ? Pour le savoir, il faut avant tout connaitre ses élèves.

Comment susciter la motivation chez les élèves ?

              Dans une relecture du dossier « Vive la motivation ? » dans les cahiers pédagogiques, André Giordan donne une autre définition de la motivation. Elle est définie en termes « d’état d’activation » pour répondre à un motif à satisfaire. Dans l’espèce humaine, il existerait diverses sortes de motivation : satisfaire un besoin biologique comme la faim, ce qui nous ramène à la pyramide de Maslow, satisfaire des besoins sociaux comme la compétition, ah ! c’est un terme dont nous n’avons pas encore parlé, et d’autres motivations qui sont dites cognitives : la curiosité par exemple, concept déjà énoncé concernant les jeunes enfants au tout début de leur scolarité. C’est justement cette dernière qui est mise en avant à l’école. Au plus loin des recherches, on retrouve la première apparition du mot « motivation » en 1845 dans la langue française. Cependant on peut trouver ce concept dans « l’Emile » de Rousseau : ainsi, s’agissant « d’exercer à la course un enfant indolent et paresseux », le précepteur distribue-t-il des gâteaux aux enfants qui, sur leur passage, s’adonnent à cette activité… jusqu’au jour où « ennuyé de voir toujours manger sous ses yeux des gâteaux qui lui faisaient grande envie, (l’élève indolent) s’avisa de soupçonner enfin que bien courir pouvait être bon à quelque chose et voyant qu’il avait aussi deux jambes, il commença de s’essayer en secret. » Dans cette situation, on utilise la méthode « de la carotte ». L’enfant va finalement accepter de se plier à l’activité du précepteur par envie de la récompense. La motivation est donc suscitée par l’envie d’obtenir quelque chose. Cette situation fait écho à la théorie de Deci et Ryan qui donnent deux types de motivation :
– La motivation extrinsèque dans laquelle se retrouve l’exemple ci -dessus. Un élève qui agit, porté par cette motivation, s’attend à une récompense, veut éviter une punition, ne veut pas se sentir coupable de ne pas faire et veut être bien vu par l’enseignant et ses parents.
– La motivation intrinsèque quant à elle est plus saine.
Les deux chercheurs la qualifient de motivation de niveau supérieur. En effet, dans cette condition l’élève agit pour atteindre un but, il agit par plaisir, il souhaite faire pour découvrir, réussir. Cette démarche est positive dans le sens où c’est l’élève qui fait l’action, il va apprendre par lui-même, car il le veut, sans contrainte et sans « carotte » Voir tableau représentatif de ces deux types d’émotions en Annexe 1. André Giordan nous dit quand même qu’on se focalise un peu trop sur ce terme de « motivation ». On prend un grand sac et on y met tous les petits et grands problèmes liés à l’enseignement et on dit qu’il y a un manque de motivation, que les élèves s’ennuient. Des méthodes sont proposées mais, même si elles sont mises en place un certain temps, il n’y a pas de réelles évolutions dans la manière d’enseigner. Les anomalies dans les emplois du temps ne sont pas prises en compte, l’installation des classes n’est pas revue, modifiée. Beaucoup d’idées sont émises mais dans la réalité du terrain, elles sont difficiles à mettre en place, notamment par manque de place, de personnel, souci d’organisation, manque de matériel. A mon niveau, malgré tout, j’ai décidé d’accorder un intérêt certain à cette notion de motivation. A partir d’un questionnaire remis aux élèves concernant leur entrain vis-à-vis de l’anglais, ainsi que de données recueillies à leur sujet au fil de l’année, j’ai orienté et mis en place mes pratiques d’enseignement, prenant en compte l’élève en tant qu’individu, leurs émotions détectées, le tout afin de développer leur envie face à cette matière.

Susciter l’enthousiasme, la curiosité

                    Je suis toujours en train de me questionner au sujet des thèmes ou activités que je vais proposer aux élèves. Je souhaite avant tout qu’ils trouvent un intérêt dans ce que je vais leur présenter, donc j’aurais plutôt tendance à chercher des idées en lien avec leur génération, leur vie de tous les jours. En même temps, il y a tellement de sujets qui mériteraient d’être porté à leur connaissance mais qui, de prime abord, ne sont pas voués à les emballer. Je pense notamment aux œuvres classiques par exemple, et à ce sujet, je suis persuadée qu’il existe des façons de lier cet univers au leur. A ce propos, en retravaillant une séquence sur les Super-héros que j’ai faite cette année avec les 3èmes, j’ai découvert que Stan Lee, quelques temps avant sa mort, a revisité l’œuvre de Shakespeare des « amants de Vérone » et l’a transformé en « comics » intitulé : « Romeo and Juliet : The War ». Les Capulets et les Montaigues se retrouvent dans un lointain futur et ont des super pouvoirs. J’ai trouvé cette approche intéressante et elle pourrait inspirer une tache finale permettant de lier deux époques, deux styles de littérature ! En interrogeant les élèves sur leurs centres d’intérêt par le biais du questionnaire du début d’année, j’avais récolté des informations mais j’ai souhaité les compléter et ce, plus précisément avec les 4èmes à qui j’ai demandé de me noter sur une feuille de papier ce qu’ils aimeraient étudier en Anglais. J’ai eu plusieurs réponses telles que la géographie, la mythologie, la pêche, Harry Potter, le sport (le football), …. Je me suis demandée par la suite, dans quel cadre j’aurais pu introduire ces attentes aussi, j’ai pensé à des exposés. Lors de ma séquence sur l’Irlande, j’ai pu leur proposer un travail reprenant les sujets dont ils m’avaient parlé car le pays s’y prêtait. En effet, certains ont travaillé sur les mythes et légendes, d’autres sur le football et football gaëlique, d’autres encore sur la pêche. Chacun a pu trouver un thème lui correspondant. J’ai un élève en difficulté qui souhaite devenir mécanicien et qui aime donc le monde des voitures. J’ai cherché un peu et j’ai trouvé que la DeLorean, fameuse voiture de « Retour vers le futur » avait été construite en Irlande. Il a donc pu faire des recherches à ce sujet et a réalisé une production alors que la mise au travail est une de ses difficultés majeures. Dans l’ensemble, j’ai obtenu une très bonne implication de chacun dans la réalisation de l’activité. La présentation en revanche était plus mitigée car m’étant focalisé sur les thèmes et le support, je n’ai pas apporté suffisamment d’attention sur l’oral et ils m’ont dit par la suite, n’avoir quasiment jamais réalisé ce genre d’activité. Nous avons convenu pour la prochaine fois de travailler plus précisément sur la partie orale. Les avancées se font petit à petit, j’apprends de chaque erreur et je me rends compte qu’il y a beaucoup à penser dans la préparation d’une activité. Lors de la mise en place de celleci, un élément qu’il est impératif de définir en premier lieu est sans conteste l’objectif visé. Audelà de l’intérêt des élèves, il faut pouvoir justifier d’une utilité pédagogique. En ce qui concerne les 5èmes, je rencontrais des difficultés sur la gestion de classe lors du créneau de 16h à 17h le vendredi. J’ai mis en place des ateliers qui me permettaient de faire d’une pierre deux coups : je captais leur attention sur des activités tout Anglais et je maintenais une ambiance declasse satisfaisante pour cette heure de la semaine. J’ai commencé par créer 4 groupes et 4 activités. J’ai défini un cycle de 4 semaines + 1 semaine. Chaque groupe participait à une activité chaque Vendredi et cela changeait toutes les semaines. La dernière semaine leur aurait laissé le choix d’une activité qu’ils avaient apprécié ou qu’ils n’avaient pas eu le temps de réaliser en totalité (Séance qui n’a pu être effectuée à cause du confinement). Les activités du Vendredi étaient les suivantes :
– GAMES : Je mettais plusieurs jeux à leur disposition et le groupe s’organisait comme il le souhaitait pour y jouer (tous ensemble, par paires ou groupes de 4)
– READING : Plusieurs ouvrages en anglais de différents niveaux leur étaient proposés et ils pouvaient choisir. Un questionnaire leur était remis et ils avaient le choix d’y répondre en anglais ou en français.
– VIDEO : A l’aide des tablettes de la classe mobile ils avaient le choix de visionner 3 vidéos de 15/20 minutes chacune.
– MUSIC : De nouveau avec l’aide des tablettes, ils visionnaient le clip d’une chanson d’« Imagine Dragons », ils devaient remettre en ordre certaines paroles de la chanson et avaient par la suite un petit questionnaire à remplir sur le groupe pour ceux qui avaient le temps.
Voir Annexes 5 et 6.
Dans l’ensemble, le système a assez bien fonctionné et les élèves étaient très enthousiastes pour cette dernière heure du Vendredi. Ils s’intéressaient globalement à chaque activité sauf peut-être, pour certains élèves, pour qui la lecture n’était vraiment pas une activité envisageable. Dans ce cas je leur faisais remarquer que tous les ateliers étaient à expérimenter y compris celui-ci et le droit de participer aux autres passait par le devoir de l’effectuer. J’ai vu des élèves captivés par ce qu’ils étaient en train de faire alors qu’il peut être difficile de les canaliser lors d’un cours, j’ai pu aussi observer la capacité de chacun à être autonome rapidement : pour certain, une activité suffisait, pour d’autre il a fallu attendre un ou deux vendredis pour constater une évolution. J’ai bien entendu rencontré quelques soucis techniques, notamment liés à la connectivité des tablettes. Il fallait également faire redescendre le niveau sonore, plus particulièrement lors de la mise en place de chacun mais par la suite, l’ambiance redevenait plutôt satisfaisante. C’est le type de séance ou il faut redoubler d’énergie car il faut pouvoir répondre aux élèves rapidement s’ils ont un problème pour réaliser l’activité, il faut être disponible pour l’activité « Games » eux s’il y a une incompréhension de règles par exemple. C’est très intense mais ce qui est certain c’est que la majorité des élèves sont en activité et en Anglais. Qu’ils soient actifs, c’est ce que je recherchais, je pourrais même dire que c’était mon objectif. Et c’est à ce sujet que mon raisonnement a été ébranlé. Il m’a été fait remarquer, et à juste titre que bien sûr les élèves sont en activités, mais que va-t-il ressortir de ces ateliers ? Y a-t-il un but pédagogique à ce type de séance ? J’avoue qu’au début, j’ai été déstabilisée et puis aussi agacée ! J’avais mis de l’énergie, du cœur dans la réalisation de ces ateliers, je voyais que je captivais les élèves, et là on remettait en question une pratique pour laquelle j’étais plutôt satisfaite. J’y ai réfléchis et c’est une lecture qui est venu m’ouvrir les yeux sur cette réflexion qui m’avait été faite. Catherine Lecuyer dans son livre : Cultiver l’émerveillement et la curiosité naturelle de nos enfants, parle très clairement du fait que nos enfants, nous, adultes, ainsi que la société d’aujourd’hui, sommes des consommateurs. Dans le chapitre Eduquer ou Inculquer, elle dit « Les enfants sont de plus en plus apathiques, ingrats ; ils attendent de nous que nous les divertissions, les motivions, parce que nous les avons habitués à avoir tout cuit dans le bec, et avons court-circuité leur processus naturel de découverte du monde – leur sens de l’émerveillement. » J’ai donc repensé à chacune de mes activités pour voir ce que je pouvais en ressortir et qui n’était pas de l’ordre de la diffusion en vue de consommation pure et simple. La lecture et le jeu me viennent en tout premier lieu à l’esprit. Pour la première activité, les élèves doivent répondre à des questions sur le livre qu’ils ont choisi, l’objectif est donc là de la compréhension écrite. J’ai ramassé leur production pour constater le niveau de compréhension de chacun. Pour le jeu, l’objectif selon les jeux proposés peut être différent mais pour la plupart, il s’agit de l’apprentissage du lexique. J’ai joint les différents supports et leurs règles dans l’annexe. Pour ce qui est de l’atelier Vidéo ou Musique, leur but est plus simple et se limite à la mise en présence de l’anglais pour travailler leur oreille et par la même occasion améliorer leur prononciation. Pour la musique notamment, je leur ai distribué un document avec les paroles au début de l’atelier, et je leur ai demandé de remettre de l’ordre dans les couplets mélangés. Les élèves sont donc obligés de faire preuve de concentration pour essayer de reconnaitre des sons qu’ils peuvent allier à l’écrit. L’atelier Vidéo reste donc celui qui s’assimilerait le plus à de la consommation pure et simple. A part visualiser et entendre des mots dans le contexte de films connus tels que « Harry Potter », « La Belle et la Bête » et « Fast and Furious », je pourrais vérifier ce qu’ils ont pu retenir de ces vidéos en leur donnant la possibilité de ré utiliser le vocabulaire entendu. C’est ce que j’aurai probablement envisagé, mais le contexte sanitaire a abrégé mes réflexions liées à la continuité après ces ateliers. Même si je n’ai pas encore exploité à cent pour cent ces ateliers, je pense garder cette idée, la faire évoluer et pouvoir insérer ce type d’activités dans une organisation de classe, dans une continuité de séquence et les adapter pour permettre un travail de différenciation par exemple. En effet, d’un côté il s’agirait d’habituer les élèves à l’autonomie sur une tache donnée pour pouvoir être disponible pour des groupes plus restreints et travailler une notion en particulier. Du côté des élèves, je sens quand même plus d’implication et plus de concentration dans les deux autres séances de la semaine, et je me dis que leur intérêt a peut-être été suscité d’une manière ou d’une autre. Je pense aussi que le lien, tissé au fil de l’année qui se déroule, se solidifie et permet un échange, plus qu’une relation frontale de professeur à classe.

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Table des matières

Introduction
1. Le contexte d’enseignement
1.1. L’environnement scolaire
1.2. Les classes
2. Approche théorique – La motivation, moteur dans l’apprentissage ?
2.1. Définition de Rolland Viau
2.2. Les variables qui conditionnent la motivation
2.3. Définition de Daniel Goleman
2.4. Le fonctionnement des émotions
2.5. La motivation propre à chacun
2.6.Comment susciter la motivation chez les élèves
3. La connaissance de mes élèves au travers différents recueils de données
3.1. Le questionnaire de début d’année
3.2. La réunion parents/professeurs
3.3. Le questionnaire propre à la motivation chez les 5ème Rouge
Analyse des résultats
4. Les stratégies de mise en place en réponse aux données recueillies
4.1. Susciter l’enthousiasme, la curiosité
4.2. L’importance du lien
4.3. La mise en confiance et la prise de responsabilité
Conclusion
Bibliographie
Annexes
1. Annexe 1 : Tableau représentatif de la motivation intrinsèque et extrinsèque
2. Annexe 2 : Questionnaire du début d’année
3. Annexe 3 : Recueil d’information pendant la rencontre avec les parents
4. Annexe 4 : Questionnaire
5. Annexe 5 : GAMES
6. Annexe 6 : READING / VIDEO / MUSIC
7. Annexe 7 : Sociogramme

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