la confiance chez les femmes primipares de la grossesse au post-partum

Les progrès en obstétrique depuis ces trente dernières années ont favorisé une meilleure prise en charge des complications se traduisant par un recul des mortalités infantile et maternelle. En cinquante ans, l’accouchement s’est déplacé du cadre familial, plutôt féminin et chaleureux à un cadre institutionnel de la clinique ou de l’hôpital, plutôt masculin et techniciste. Les futures mères se sont emparées de deux grandes techniques qui ont bouleversé la naissance, l’échographie et l’analgésie péridurale dont elles espèrent une garantie sur l’enfant à venir, supprimer la douleur de l’enfantement et diminuer les risques. L’acte simple et naturel de l’accouchement nécessite aujourd’hui un encadrement médical complexe et fortement normé.

Si la médicalisation de la grossesse et de ses suites est une avancée indéniable, la dimension humaine n’en reste pas moins importante. C’est de cette prise de conscience générale que le plan périnatalité 2005-2007 « Humanité, proximité, sécurité et qualité » a vu le jour. Un objectif principal est de prévenir les troubles du développement psychoaffectif des enfants en améliorant dès la grossesse la sécurité émotionnelle des parents et en mobilisant leurs ressources. Ceci, par une écoute attentive des parents, de leur projet de naissance par un entretien prénatal précoce et par un travail en réseaux des professionnels.  Dans la réalité, l’application reste encore limitée, du fait d’un manque de communication et de moyens. Il ne s’agit pas de discuter du lieu ou du mode d’accouchement mais d’aider les couples à vivre pleinement le bonheur de la naissance et créer la sécurité nécessaire pour que la parturiente ait confiance en sa potentialité de femme. La sécurité affective au-delà de favoriser l’attachement mère-enfant, fait partie intégrante de toute sécurité médicale. C’est ce que confirme le livre collectif « Devenir Parent en l’an 2000 » [1] tiré du Colloque réunissant treize professionnels de la périnatalité. Les études s’intéressent davantage à l’anxiété puerpuérale, au stress, à la dépression post-partum mais peu sur ce qui touche à la confiance et comment la renforcer.

Confiance et estime de soi 

Selon le dictionnaire Larousse [2], la confiance est un « sentiment de sécurité d’une personne qui se fie à quelqu’un, à quelque chose », avoir confiance en soi signifie « être assurée de ses possibilités ». Depuis longtemps, de nombreux philosophes et psychologues s’accordent à penser que l’estime de soi est nécessaire à l’équilibre d’un être humain et que la confiance en soi est un moteur indispensable à l’épanouissement et à la réussite professionnelle et sociale. Parmi les plus célèbres, William JAMES, le « père » de la psychologie américaine, Alfred ADLER [4] qui a placé le « complexe d’infériorité » au centre de sa théorie de la personnalité, Carl ROGERS, apôtre de l’acceptation « inconditionnelle » des clients en psychothérapie, Virgina SATIR qui a vu dans l’estime de soi le cœur même de la thérapie familiale, a été un des modèles avec Milton ERICKSON et George BATESON de la Programmation neurolinguistique (PNL). La PNL, école fondée en Californie par Richard BANDLER, mathématicien, et John GRINDER, linguiste, compte sur les ressources conscientes et inconscientes de la personne et fournit de multiples moyens pour augmenter l’estime de soi et la confiance en soi [3, 4].

Par ailleurs, dans les nombreux auteurs contemporains français, on peut retenir tout d’abord, Christophe ANDRE et François LELORD, psychiatres et psychothérapeutes. Dans leur ouvrage « L’estime de Soi » [5], ils nous donnent une définition de la confiance en soi : « croire en ses capacités d’agir efficacement». En effet, celle-ci que l’on confond souvent avec l’estime de soi, en serait un des trois piliers, avec l’amour de soi et la vision de soi. Elle en serait la conséquence. Non moins importante, car l’estime de soi a besoin de réussites pour se maintenir et se développer. Ces trois composantes de l’estime de soi sont généralement interdépendantes : l’amour de soi (se respecter, écouter ses besoins et ses désirs) facilite indubitablement une vision positive de soi (croire en ses capacités de se projeter dans l’avenir) qui à son tour, influence favorablement la confiance en soi (agir sans redouter outre mesure l’inconnu ou l’adversité). Cette dernière provient principalement de notre éducation familiale ou scolaire. L’éducation, la société, la pensée judéo-chrétienne nous transmettent très souvent une vision culpabilisante de nous-mêmes et limitative de nos potentiels. Le niveau d’estime de soi que manifeste une personne influence tout ce qu’elle dit, ce qu’elle pense, ce qu’elle fait. L’estime de soi se nourrit du sentiment d’être aimé et d’être compétent. Celle-ci pourrait se modifier dans le rapport à soi-même (se connaître, s’accepter, être honnête avec soi-même), à l’action (agir, faire taire la critique intérieure, accepter l’échec), aux autres (s‘affirmer, être empathique, s’appuyer sur le soutien social).

Puis, dans son livre « Estime de soi, confiance en soi » [4], Josiane DE SAINT PAUL nous propose sa définition, « l’estime de soi est l’évaluation positive de soi-même, fondée sur la conscience de sa propre valeur et de son importance inaliénable en tant qu’être humain. Une personne qui s’estime, se traite avec bienveillance et se sent digne d’être aimée et d’être heureuse. L’estime de soi est également fondée sur le sentiment de sécurité que donne la certitude de pouvoir utiliser son libre-arbitre, ses capacités et ses facultés d’apprentissage pour faire face de façon responsable et efficace aux évènements et aux défis de la vie ». Elle insiste sur notre responsabilité et notre pouvoir de faire évoluer positivement notre estime et notre confiance en soi, en décidant des valeurs qui sont vraiment les nôtres et vivre en accord avec elles à notre propre façon. Nous sommes alors dans l’intégrité, ce qui procure un sentiment de bien-être. Dans sa vision optimiste et réaliste, ce sont des apprentissages accessibles à tous.

Par ailleurs, Rosette POLETTI et Barbara DOBBS, infirmières, définissent l’estime de soi en deux aspects complémentaires, d’une part la perception d’une compétence personnelle, d’autre part la conviction intime d’avoir de la valeur en tant que personne [6]. Enfin, Jean MONTBOURQUETTE, psychologue et prêtre, précise que ces deux formes d’estime de soi doivent être également valorisées, en donnant la priorité à l’estime de soi pour sa personne, selon le principe philosophique que l’agir suit l’être. Dans son livre « De l’estime de soi à l’estime du Soi » [3], il soutient que pour consolider son estime de soi et progresser dans l’estime du Soi, il importe de réintégrer son ombre et d’en exploiter les richesses. Il définit une haute estime de soi comme d’un moi fort ou « je » conscient autonome dégagé à la fois du moi idéal ou (persona : attentes extérieures non intégrées par soi) et de l’ombre, dont il a assumé les qualités. L’ombre, concept de Carl JUNG, c’est tout ce que nous avons refoulé dans l’inconscient par crainte d’être rejeté par les personnes importantes de notre entourage, la partie de nous, que nous n’acceptons pas et que nous nous cachons à nous-mêmes. Le Soi, serait une instance psychique supérieure au cœur de la personne, de nature abstraite, le Soi constituerait l’identité profonde et spirituelle de tout être humain, il imposerait une direction subtile à l’ego. Ce serait « l’âme habitée par le Divin », selon Carl JUNG [3]. L’estime de soi s’occupe de l’ego de la personne, de sa survie physique, émotionnelle, intellectuelle et sociale; l’estime du Soi chercherait à trouver son être spirituel, c’est-à-dire son âme, et à se laisser conduire par elle pour atteindre son plein développement. Le Soi imprègnerait et influencerait tous les aspects de l’ego et ses activités. Il serait à la fois immanent et transcendant. Le passage de l’estime de soi à l’estime du Soi se produirait si l’ego renonçait consciemment à se situer au centre de la personne et à avoir la prétention de tout contrôler, s’il se plaçait sous la direction du Soi. Celui-ci serait une œuvre de collaboration et non d’opposition. Ce déplacement vers l’estime du Soi surviendrait non par des efforts volontaires et un travail psychologique, comme pour l’estime de soi, mais en faisant appel aux ressources de l’inconscient, en se plaçant dans un état de réceptivité. Cette pensée rejoint celle de Carl JUNG, psychologue et de Milton ERICKSON, grand médecin hypnologue à l’origine des thérapies brèves et solutionnistes.

La maternalité

La « maternalité » est un concept de Paul-Claude RACAMIER, psychiatre, qui s’est intéressé il y a une trentaine d’années aux psychoses du post-partum, regroupant l’ensemble des processus psychoaffectifs qui se développent et s’intègrent chez la femme lors de sa maternité. Ce terme est une condensation de maternel, maternité et natalité. Catherine BERGERET-AMSELEK, psychanalyste et psychothérapeute, dans son ouvrage, « Le mystère des mères » [7], élargit la définition à une « étape existentielle clef dans l’éclosion de l’identité d’une femme sur le parcours de sa féminalité ou féminité en pleine croissance ». Celle-ci commence au désir d’enfant réalisé ou non et se poursuit pendant la grossesse et après l’accouchement, elle s’estompe et s’arrête à la séparation de la mère et de l’enfant, « séparation psychique » pouvant avoir lieu à la fin de la première année, mais le terme en est variable. La féminité n’est pas acquise, elle se remodèle lors d’évènements précis, on peut citer trois étapes clés, l’adolescence, la maternalité et la ménopause. La position féminine consiste à contenir, position de recevoir, position d’accueillir, position de passivité. De plus, on ne naît pas mère d’emblée, on le devient durant tout le temps de la maternalité. Cette « crise normale » est une remise en cause narcissique plus ou moins consciente pouvant ébranler la femme dans son identité et faire revivre et intégrer peut-être des évènements enfouis de sa vie passée. Pour Catherine BERGERET-AMSELEK, elle constitue une étape d’après coup en se référant à la théorie du traumatisme, et à l’apport de WINNICOTT avec la notion de « crainte de l’effondrement ». Ce temps de haute turbulence émotionnelle renvoie aux questions existentielles touchant aux origines, à la sexualité et à la mort, il est souvent occulté et dénié tant par les médecins, que par l’entourage et par la mère elle-même. Le parcours de la maternalité passe par une sorte de renoncement, à l’intégrité de son corps, à notre mère imaginaire, à la petite fille, à l’enfant imaginaire, celui du désir. Cela permet d’opérer une séparation psychique avec sa mère et avec le petit enfant qu’on a été pour préparer déjà la séparation plus tard avec son bébé. La maternité ne déclenche pas forcément la crise de la maternalité, celle-ci peut être reportée lors de grossesses ultérieures ou à d’autres occasions comme la mort de sa mère. Pour chaque femme, selon son histoire va se mettre une organisation défensive différente pour éviter de faire vaciller son identité. La femme enceinte est en symbiose avec son bébé, celle-ci se prolongera encore les semaines qui suivent l’accouchement, nommée par WINNICOTT « la préoccupation maternelle primaire ». La présence du père est indispensable auprès de la mère, dès la conception le futur père aura à remplir par sa présence symbolique, son rôle de père, et par sa présence réelle auprès de la mère son rôle de soutien. Celle-ci va canaliser la mère et ainsi lui permettre d’avoir vis-à-vis de l’enfant, une capacité de se reprendre, de se récupérer ensuite. C’est important que la future mère se sente reconnue capable d’être mère, mère potentielle de l’enfant à venir par le futur père. Il y a aussi pour la maman en devenir tout un travail de dilatation du moi, un travail d’ouverture pour laisser passer l’enfant qu’elle a été, qui précède et prépare à l’ouverture du col de l’utérus qui aura lieu en salle de naissance. Il y a trois naissances en jeu, le bébé bien sûr, mais aussi la mère et le père. La crise de la maternalité est une clef pour ouvrir les portes de l’inconscient, peut-être d’après Catherine BERGERET-AMSELEK une occasion privilégiée pour entreprendre ou poursuivre une psychothérapie.

Vécu intime d’une future maman 

Sophie MARINOPOULOS, psychologue clinicienne, psychanalyste, par son ouvrage « Dans l’intime des mères » [8], nous fait prendre conscience de l’importance de pouvoir « parler aux mères, les soutenir dans l’expression d’un dire émotionnel nouveau, parfois perturbant ».

« Naître mère, c’est un tout. Pouvoir au fil des mois penser en état d’être enceinte, puis penser à l’enfant attendu comme à un être humain avec un corps dont l’image se profile, puis penser à lui comme séparé, dans un corps propre, en dehors de soi: tous ces processus mettent en scène une vie psychique faite de conflits, de fantasmes, d’histoires oubliées. Ils sont comme des organes dont il faut prendre soin » au même titre que le corps est exploré par les obstétriciens en cas de difficultés. Sinon, « les failles dans ces processus ont des effets dramatiques sur la naissance, sur la relation précoce mère-enfant et sur leur devenir ».

« Attendre un enfant, c’est pouvoir le penser dans la continuité ». « Les mères ont besoin de soins mais aussi d’attention collective ». Quand on devient mère, c’est toujours pour la première fois, on est confronté à une partie de soi-même qu’on ne connaissait pas et cette expérience impensable est parfois si déstabilisante qu’elle devient honteuse, secrète et inavouable. Pour la société actuelle, la femme doit dès la conception de son enfant, montrer qu’elle est une bonne mère, heureuse et épanouie par cette grossesse sans laisser s’exprimer quelque ambivalence. Celle-ci se retrouve entre témoigner ou se taire, admirer inconditionnellement la science ou la critiquer et risquer de la perdre. Les mères parfois osent l’exprimer, dans des espaces de paroles plus ou moins prévus à cet effet, mais souvent, c’est le silence sur ce vécu intime d’elles-mêmes, « ce moment si partagé et solitaire qu’est la naissance de l’enfant ». Ces dires ne doivent pas être étouffés mais partagés afin que le Sujet qui les énonce, le seul acteur de lui-même, puisse vivre et non survivre. « Le savoir n’est nulle part ailleurs, l’enseignant est au cœur de la mère ». « Si, selon le modèle de Serge LEBOVICI, pas moins de quatre bébés se côtoient pour une seule naissance, le nombre de mères portées dans la tête d’une femme projetant à son tour d’être mère est pluriel ». On peut nommer, « la mère des soins», la « mère des sens », la « mère protectrice », la « mère pareexcitations », la « mère symbolique » ou « mère image », la « mère préœdipienne » puis « œdipienne » qui autorise sa fille à se séparer d’elle, à sortir de son désir [8]. Après nous être intéressés à la mère, il est important de s’interroger sur ce que vit le fœtus et le nourrisson.

Vécu du bébé 

Depuis les trente dernières années, des progrès considérables ont été effectués dans la reconnaissance de la sensibilité du tout-petit en Occident, il nous reste encore beaucoup à accomplir et comprendre en ce qui concerne le fœtus et le bébé. L’ouvrage précurseur de Frédérick LEBOYER, « Pour une naissance sans violence » [9] puis l’émission « le bébé est une personne » (1984), ont prôné une attitude plus respectueuse.

Au niveau de sa dimension psychique, Boris CYRULNIK, dans « Les nourritures affectives » [10] écrit : « La vie mentale prénatale serait donc, une lente germination à partir de la rencontre entre un appareil biologique et une alimentation sensorielle fournie par la mère, son corps et ses émotions ». La sensorialité du fœtus est composée de l’écologie physique (bruit, choc…) et de l’écologie affective de sa mère, selon ses émotions, ses réactions, ses comportements en fonction de son milieu conjugal, familial, de la société dans laquelle elle vit, de sa propre histoire et de son inconscient, et de ce qu’elle interprète et perçoit. Si le fœtus pense sa mère à partir de sa sensorialité et mémorise de nombreuses expériences, celle-ci à son tour, par les ressentis corporels, se met à façonner l’image de celui-ci. Tout deux avancent dans une constante communion. Si l’embryofoetologie, la physiologie de la grossesse et du bébé, l’étude du développement psychomoteur et affectif de l’enfant ont connu des avancées considérables grâce à l’observation objective de la science occidentale, il nous reste difficile d’appréhender ce que vit le fœtus dans le ventre maternel, comment le bébé perçoit le monde et quels sont ses sentiments. Le Dr Christophe MASSIN, médecin psychiatre, dans son ouvrage « Le bébé et l’amour » [11] propose la voie subjective « en remontant intérieurement le cours de nos sentiments d’adulte vers leur origine et tenter d’y discerner les traces de ce passé ancien ». Il s’est appuyé sur les « revécus » de ces périodes précoces de l’adulte en psychothérapie, cette reviviscence du passé est possible du fait d’une mémoire préverbale et corporelle. Nous pouvons y accéder de différentes manières au cours d’une démarche psychothérapeutique, où nous expérimentons la conscience simultanée de deux présents, qui nous permet de traduire en mots ce matériel sensoriel et émotionnel brut. Les mêmes questionnements sur la conscience existent aux deux extrémités de la vie : la vie fœtale et l’imminence de la mort.

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Table des matières

INTRODUCTION
I PRESENTATION DU SUJET
A. PREAMBULE ET MOTIVATION
B. CONFIANCE ET ESTIME DE SOI
C. LA MATERNALITE
D. VECU INTIME D’UNE FUTURE MAMAN
E. VECU DU BEBE
F. CONFIANCE ET PHYSIOLOGIE HORMONALE
G. ATTACHEMENT MERE-ENFANT
II MATERIEL ET METHODES
A. LES FEMMES
B. LES ENTRETIENS
C. ANALYSE DES ENTRETIENS
1. ANALYSE THEMATIQUE HORIZONTALE
2. ANALYSE LONGITUDINALE
3. ECHELLE ANALOGIQUE
III RESULTATS
A. PRESENTATION DE LA POPULATION
B. RESULTAT DU QUESTIONNAIRE EN DEBUT DE GROSSESSE
1. REPRESENTATIONS DE LA GROSSESSE
2. VECU
3. ENTOURAGE
4. PERSONNALITE
5. PROJETS
C. RESULTAT DU QUESTIONNAIRE EN FIN DE GROSSESSE
1. REPRESENTATIONS DE L’ACCOUCHEMENT
2. VECU
3. ENTOURAGE
4. PERSONNALITE
5. PROJETS
D. RESULTATS DU QUESTIONNAIRE APRES L’ACCOUCHEMENT
1. LES REPRESENTATIONS DE LA MATERNITE
2. VECU
3. ENTOURAGE
4. PERSONNALITE
5. SYNTHESE
E. SYNTHESE DE L’EVOLUTION DE LA CONFIANCE POUR CHAQUE FEMME
1. MADAME A
2. MADAME B
3. MADAME C
4. MADAME D
5. MADAME E
6. MADAME F
7. MADAME G
8. MADAME H
9. MADAME I
10. MADAME J
11. MADAME K
12. MADAME L
13. MADAME M
14. MADAME N
15. MADAME O
16. MADAME P
17. MADAME Q
18. MADAME R
19. MADAME S
IV DISCUSSION
A. FACTEURS INFLUENÇANT LA CONFIANCE
1. REPRESENTATIONS
2. CONNAISSANCES
3. DIFFICULTES
4. ENTOURAGE
5. LA FEMME
6. LE TRAVAIL
7. LA TECHNIQUE
8. ROLE DU PROFESSIONNEL
B. FORCES ET FAIBLESSES DE CE TRAVAIL
C. FORCES ET FAIBLESSES DE QUELQUES AUTEURS
D. LA CONFIANCE EST UN PROCESSUS DYNAMIQUE
1. DU POINT DE VUE DE LA FEMME
2. DU POINT DE VUE DU PROFESSIONNEL
E. PROPOSITIONS D’ACTION ET DE REFLEXION
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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