La conférence Internationale sur la Population et le Développement (CIPD)

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Approche théorico-conceptuelle

Ce chapitre va aborder les protocoles de recherches où nous avons axé notre étude. De ce fait, notre étude doit commencer par une identification de ce qu’est la psychologie sociale et la représentation sociale, puisqu’il s’agit du comportement des adolescents. Nous allons explorer tous les aspects du concept selon deux grands auteurs de la psychologie et de la sociologie, Serge MOSCOVICI et DURKHEIM Emile. Après cette étape, nous essayerons d’apporter quelques cadrages juridiques sur l’adoption de la planification familiale tant sur le plan international que national pour bien étayer notre recherche. Et, nous finirons par exposer la méthodologie de la recherche pour éclaircir nos objectifs.

Conceptualisation

Définition des concepts clés

Le planning familial

Le planning familial peut se définir comme étant l’ensemble de méthodes permettant aux parents de décider du nombre et de l’espacement des naissances, et en particulier des méthodes permettant d’éviter les grossesses. C’est également l’utilisation ou l’organisation de ces méthodes.

La contraception

Selon l’OMS, la contraception est l’utilisation d’agents, de dispositifs ou de méthodes pour diminuer la probabilité de conception ou pour l’éviter.

Les méthodes contraceptives

Elles se définissent comme un ensemble de techniques et de moyens qui empêchent la conception. Elles se caractérisent par leur efficacité relative, leur innocuité et leur réversibilité.

La Santé de la reproduction

Pour l’OMS, la santé reproductive signifie le bien-être général, tant physique que mental et social, de la personne humaine, pour tout ce qui concerne l’appareil génital, ses fonctions et son fonctionnement en non pas seulement l’absence de maladies ni d’infirmités.

L’adolescence

Selon le dictionnaire Hachette, l’adolescence correspond à « l’âge compris entre la puberté et l’âge adulte ». Il s’agit d’une période de la vie qui s’échelonne généralement de 11-12 à 17-18 ans. L’adolescence serait donc la période de l’épanouissement de l’enfant qui va se transformer en un adulte, afin qu’il devienne acteur responsable de son parcours personnel et civique.
L’enfant traverse trois périodes de transition pendant leur vie adolescente jusqu’à atteindre l’âge adulte :
L’adolescence est une période captivante ; l’enfant qui a peur deviendra l’adulte qui ose.
L’adolescence est une période créatrice, ne serait-ce que dans le domaine des sentiments ; l’affectivité étant plus intérieure, plus intense, plus passionnée. Etant un moment privilégié de l’éveil affectif, l’adolescence est aussi une confrontation avec la société. L’adolescent, sorti du cocon familial, jette un nouveau regard sur le monde.
L’adolescence est enfin jugée comme une période de destruction génératrice de crises, conflits qui, en même temps qu’elle est nécessaire pour se construire, pose des problèmes au futur adulte qui se construit.
D’après DURKHEIM Emile : « l’adolescence se définit comme la période durant laquelle l’individu se forme (à l’école ou en apprentissage), tandis que la jeunesse vient après, juste avant l’âge adulte. Elle correspond à un processus de socialisation, une phase intermédiaire permettant l’apprentissage des rôles adultes ».

La puberté

La puberté est une phase de l’adolescence durant la quelle les garçons et les filles sont aptes à procréer, due à la production accrue de testostérone chez les garçons et d’œstrogène chez les filles. Des changements physiques et psycho-émotionnels se manifestent différemment chez les filles et les garçons.
Cette définition est appuyée par DUFOYER Pierre qui affirme que : « l’enfant sent en lui un changement qui le trouble, l’obsède parfois, changement profond, indéfinissable, cette mutation profonde qu’il effectue inconsciemment, va affecter intensément son esprit, va influer sur ses actes, va motiver ses actions. Il sent qu’il devient sexuellement mûr et s’en réjouit, mais il se raccroche simultanément à des actions ou à des pensées puériles, comme s’il appréhendait cette mutation ».

Le comportement à risque

L’OMS définit le comportement à risque comme un « comportement dont on a constaté qu’il est lié à une vulnérabilité accrue à l’égard […] de certains problèmes de santé ».
Cette définition se complète par l’apport de LE BRETON David qui précise que : « les conduites à risque consistent en l’exposition du jeune à une probabilité non négligeable de se blesser ou de mourir, de léser son avenir personnel ou de mettre santé en péril […] » et qu’ « elles altèrent en profondeur ses possibilités d’intégration sociale ».

L’attitude

L’attitude peut être considérée comme la manière particulière qu’a une personne d’agir, de penser et de sentir. Elle détermine et oriente le comportement de l’individu ou des groupes d’individus. L’attitude dépend de plusieurs facteurs mais aussi de conditions socio-économiques et culturelles. Elle est acquise et susceptible au changement.
Sur ce point ajoute encore le psycho-sociologue Américain Allport selon qui une attitude est « une disposition mentale et neurologique, tirant son organisation de l’expérience et exerçant une influence directrice ou dynamique sur les réactions de l’individu envers tous les objets et toutes les situations qui s’y rapportent ».

Approche psychosociologique et sociologique

L’objectivisme

De son côté, l’objectivisme commande une vision du social où les pensées et les actions des humains sont déterminées régulièrement par les conditions matérielles de leur vie, conditions qui leur sont antérieures et influent sur tout ce qui leur sera ultérieur en étant retraduites par les spécificités des réactions humaines.
Il est fondamental « de considérer les faits sociaux comme des choses » (Emile Durkheim) ; « est chose, en effet, tout ce qui est donné, tout ce qui s’offre, ou plutôt s’impose à l’observation ». « Il nous faut considérer les phénomènes sociaux en eux-mêmes, détachés des sujets conscients qui se les représentent ; il faut les étudier de dehors comme des choses extérieures ; car c’est en cette qualité qu’ils se présentent à nous ». Un fait social présente des caractéristiques précises objectives (constance, régularité, existence propre).

Le subjectivisme

Le subjectivisme consiste en une approche où les représentations et les pratiques des individus doivent être prises dans leur spontanéité comme point de départ pour saisir d’une façon compréhensive le sens de l’institution et de l’évolution des conditions matérielles de vie.
Les recherches de Max Weber tendent ainsi à expliquer ce subjectivisme : pour décoder le social, il est nécessaire de comprendre l’action des hommes du point de vue de leur subjectivité et de leurs valeurs. Le but de la sociologie est de « comprendre par interprétation l’activité sociale et par là d’expliquer causalement son déroulement et ses effets. Nous entendons par « activité » un comportement humain […] quand et pour autant que l’agent ou les agents lui communiquent un sens subjectif. Et par activité « sociale », l’activité qui, d’après son sens visé par l’agent ou les agents, se rapporte au comportement d’autrui, par rapport auquel, s’oriente son déroulement ».
Le thème de notre recherche porte essentiellement sur les connaissances, les perceptions, les attitudes, les comportements et les pratiques des groupes cibles sur leur santé reproductive et sexuelle. Pour cela, nous allons concilier l’objectivisme et le subjectivisme par causalité externe de l’objectivisme et la compréhension interne du subjectivisme.

La psychologie sociale selon MOSCOVICI Serge

La première formule de la psychologie sociale selon MOSCOVICI Serge, est « la science du conflit entre l’individu et la société ». Nous pourrions y ajouter la société du dehors et la société du dedans. Les exemples d’un tel conflit ne manquent pas : c’est la résistance aux pressions conformistes de la majorité, c’est l’opposition entre un leader et son groupe, ce sont les déviations par rapport à l’orthodoxie, ce sont les discussions dans un groupe en vue d’aboutir à une décision, c’est la captation d’un individu par la masse et le reste.
Jusqu’ici nous avons vu grand et ouvert l’éventail du conflit aussi largement que possible. Maintenant nous devons le refermer pour saisir au mieux et au plus précis le domaine de la psychologie sociale. En bref, après avoir vu le problème auquel elle répond, considérons les phénomènes dont elle s’occupe. En un mot, quel est son objet ?
Alors, MOSCOVICI Serge réitère, avec la définition qu’il avait donné en 1970 : « et je formulerai, écrivais-je alors, comme objet central exclusif pour la psychosociologie, tous les phénomènes ayant trait à l’idéologie et à la communication, ordonnés au plan de leur genèse, leur structure et leur fonction ». Pour ce qui est des premiers, on sait qu’ils consistent en des systèmes de représentations et des attitudes.
En ce qui concerne la seconde formule : « la psychologie sociale est la science des phénomènes de l’idéologie (cognitions et représentations sociales) et des phénomènes de communication ». Et ce, aux divers niveaux des rapports humains : rapports entre individus, entre individus et groupes, entre groupes.
Pour chacun de ces phénomènes, nous disposons d’un corps plus ou moins développé de connaissances, théories ou expériences. Ensemble, ils nous permettent de comprendre les activités mentales supérieures et certains aspects psychiques de la vie sociale des groupes. Dans ce cas, trois théories peuvent converger sur ce point :
Les théories paradigmatiques dont le rôle essentiel est de proposer une vision globale des relations et des comportements humains ;
Les théories phénoménologiques qui visent généralement à décrire et expliquer une famille de phénomènes connus et bien connus. Les unes concernent des phénomènes fondamentaux, l’influence par exemple, et les autres des phénomènes qui le sont moins ;
Les théories opératoires qui tendent un mécanisme élémentaire inconnu jusque-là, et explique un ensemble de faits. Elles prévoient aussi des faits nouveaux et surprenants.
Plus clairement, d’après l’encyclopédie de la psychologie sociale, par définition, elle est une discipline qui se propose d’étudier le comportement des individus en tenant compte des situations sociales dans lesquelles ils sont placés. Si l’on définit la psychologie sociale comme l’étude du comportement de l’individu et la sociologie comme l’étude du comportement collectif, on s’aperçoit un manque entre ces deux disciplines. La psychologie sociale va donc tenter de faire le lien entre une étude du psychisme, avec ses fonctions et ses expressions, et une étude de phénomènes sociaux, en se donnant comme objet la relation, ou mieux l’interaction qui existe entre l’individu et la collectivité.

La représentation sociale

Selon JODELET Denise le concept de représentation sociale désigne une forme de connaissance spécifique, le savoir de sens commun dont les contenus manifestent l’opération de processus génératifs et fonctionnels socialement marqués. Plus largement, il désigne une forme de pensée sociale.
Les représentations sociales sont des modalités de pensée pratique orientées vers la communication, la compréhension et la maîtrise de l’environnement social, matériel et idéel. En tant que telles, elles présentent des caractères spécifiques au plan de l’organisation des contenus, des opérations mentales et de la logique.
Le marquage social des contenus ou des processus de présentation est à référer aux conditions et aux contextes dans lesquels émergent les représentations, aux communications par lesquelles elles circulent, aux fonctions dont elles servent dans l’interaction avec le monde et les autres.
Les exemples que nous allons donner se dégagent deux constatations aussi banales que nécessaires. D’un côté, la représentation sociale est définie par un contenu : informations, images, opinions, attitudes, etc. ce contenu se rapporte à un objet : un travail à faire, un événement économique, un personnage social, etc. D’un autre côté, elle est la représentation sociale d’un sujet : individu, famille, groupe, classe, etc. en rapport avec un autre sujet. La représentation est donc tributaire de la position que les sujets occupent dans la société, l’économie, la culture.

La sociologie de l’éducation

DURKHEIM Emile est considéré généralement comme le fondateur de la sociologie de l’éducation ; il affirmait que l’école a pour finalité de produire des individus socialisés à travers une « éducation morale » visant à former des acteurs adaptés à des conditions sociales données, des individus autonomes, des citoyens capables de s’élever vers la culture de « la grande société ».
D’après DURKHEIM Emile : « L’éducation est l’action exercée par les générations adultes sur celles qui ne sont pas encore mûres pour la vie sociale. Elle a pour objet de susciter et de développer chez l’enfant un certain nombre d’états physiques, intellectuels et moraux que réclament de lui et la société politique dans son ensemble et le milieu spécial auquel il est particulièrement destiné ». Il résulte de la définition qui précède que l’éducation consiste en une socialisation méthodique de la jeune génération.
Ainsi, l’éducation est conçue comme un art de former une personne, spécialement un enfant ou un adolescent, en développant ses qualités physiques, intellectuelles et morales, de façon à lui permettre d’affronter sa vie personnelle et sociale avec une personnalité suffisamment épanouie. D’après Nathalie Bulle, la sociologie de l’éducation représente l’approche scientifique de l’éducation comme phénomène social. A cet égard sont exclues du concept d’éducation, d’après Florian Witold Znaniecki, les influences multiples, qu’elles soient naturelles ou culturelles, qui affectent le développement d’un individu, mais qui ne sont pas initiées par un éducateur dans ce but. La principale fonction de la sociologie de l’éducation est « d’étudier objectivement et comparativement ces espèces distinctes de systèmes sociaux (les relations éducatives, les rôles éducatifs, les groupes éducatifs) dans des différentes sociétés, passées et présentes, dans le monde entier ». Cependant, l’éducation comme abstraction institutionnelle au même titre que la famille, la politique ou la religion n’est pas pour autant un phénomène socialement autonome.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: CADRE CONCEPTUEL ET PRESENTATION DU TERRAIN 
Chapitre I : Présentation du terrain
Section 1 : Le quartier du 67ha sud
1.1.Présentation générale du « fokontany »
1.1.1. Délimitation
1.1.2. Répartition de la population par âge et sexe
1.2. Historique
1.3. Localisation
1.4. L’évolution
1.5. Les infrastructures
Section 2 : La démographie
2.1. L’effectif de la population
2.2. Les types de groupe (ethnies, couches sociales)
2.3. Commerce
Chapitre II : Approche théorico-conceptuelle
Section 3 : Conceptualisation
3.1. Définition des concepts clés
3.1.1. Le planning familial
3.1.2. La contraception
3.1.3. Les méthodes contraceptives
3.1.4. Santé de la reproduction
3.1.5. L’adolescence
3.1.6. La puberté
3.1.7. Le comportement à risque
3.1.8. L’attitude
3.2. Approche psychologique et sociologique
3.2.1. L’objectivisme
3.2.2. Le subjectivisme
3.2.3. La psychologie sociale selon MOSCOVICI (S)
3.2.4. La représentation sociale
3.2.5. La sociologie de l’éducation
3.2.6. La sociologie urbaine selon GRAFMEYER (Y)
3.3. Cadre juridique du planning familial
3.3.1. La loi de 1920
3.3.2. La conférence Internationale sur la Population et le Développement (CIPD)
3.3.3. Le Code Pénal Malgache
Section 4 : Problématisation
4.1. Question centrale
4.2. Hypothèses
4.3. Détermination des objectifs
4.3.1. Objectif global
4.3.2. Objectifs spécifiques
4.3.3. Limites de la recherche
Chapitre III : Approche Méthodologique
Section 5. Méthodes
5.1. Caractéristiques du cadre de l’étude
5.2. Type d’étude
5.3. Population d’étude
5.3.1. Critères d’inclusion
5.3.2. Critère d’exclusion
5.4. L’échantillonnage
5.4.1. Mode d’échantillonnage
5.4.2. Taille d’échantillonnage
Section 6. Mode de collecte de données
6.1. Enquête
6.2. Déroulement de l’enquête
6.3. Mode d’analyse de données
6.4. Considération éthique
DEUXIEME PARTIE: TRAITEMENT DES INFORMATIONS
Chapitre IV : Résultats des enquêtes
Section 7 : Caractéristiques socio-démographiques des enquêtés
7.1. Age
7.2. Sexe des enquêtés
7.3. Niveau d’instruction
Section 8 : Connaissances des enquêtés vis-à-vis de la planification familiale
8.1. Sources d’informations des élèves
8.2. Connaissance d’au moins une méthode contraceptive
8.3. Différents types de méthodes contraceptives connus par les enquêtés
8.4. Connaissance de l’âge idéal au premier rapport sexuel selon les enquêtés
Chapitre V : Autres résultats de l’enquête
Section 9 : Pratiques des adolescents en matière de contraception
9.1. Présence de partenaire
9.2. Comportement des adolescents ayant un (e) partenaire
9.3. Age des élèves pratiquant le rapport sexuel
9.4. Pratique de la contraception
9.5. Les raisons de l’utilisation des méthodes contraceptives par les enquêtés
9.6. Les sources d’approvisionnement en contraceptif selon les enquêtés
9.7. Les raisons de la non utilisation d’une méthode contraceptive chez les enquêtés ayant une expérience sexuelle
Section 10 : Attitudes des enquêtés vis-à-vis de la planification familiale
10.1. Attitudes face au sujet de sexualité
10.2. Les motifs qui expliquent les rapports sexuels précoces selon les enquêtés
10.3. Le type des dangers liés aux rapports sexuels précoces selon les lycéens
10.4. Approbation de la contraception chez les enquêtés
10.5. Raisons évoquées par les adolescents qui approuvent la contraception
10.6. Raisons évoquées par les adolescents qui désapprouvent la contraception
10.7. La sexualité après le premier contact physique
10.8. Attitude face à la grossesse non désirée
10.9. Attitude face aux Maladies Sexuellement Transmissibles (MST)
TROISIEME PARTIE: DISCUSSIONS ET REFLEXIONS PROSPECTIVES
Chapitre VI : Discussions et analyses
Section 11 : Discussions
11.1. Dialogue en famille
11.1.1. Interaction enfants/parents dans la promotion de la santé
11.1.2. Discussions en famille parents/enfants sur certains sujets
11.1.3. Discussions sur la sexualité
11.1.4. Lien de parenté avec la personne ayant discuté du sujet en famille
11.2. Les méthodes contraceptives
11.2.1. Canal d’information sur le sujet de contraception
11.2.2. Pratique de la contraception
11.2.3. Attitude face à la contraception
11.3. Le secteur privé
11.3.1. Pourquoi impliquer le secteur privé ?
11.3.2. Pourquoi le secteur privé devrait-il se préoccuper de la planification familiale ?
11.4. Les médias
11.4.1. Pourquoi engager les médias ?
11.4.2. Pourquoi les médias devraient-ils s’intéresser à la planification familiale ?
Section 12 : Vérification des hypothèses
Chapitre VII : Approches prospectives
Section 13 : Recommandations
13.1. Action au niveau national
13.2. Action au niveau des centres de soins de santé
13.2.1. En cas de problème de grossesse précoce
13.2.2. En cas de problème d’accès et d’accessibilité des groupes cibles aux services de santé
Section 14 : Suggestions personnelles
14.1. Retarder la première expérience sexuelle
14.2. Repousser l’âge à la première grossesse
14.3. Améliorer l’accès aux soins de santé pour tous
14.4. Améliorer la prise de conscience des adolescents face aux problèmes liés à la sexualité
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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