LA CONCEPTION KANTIENNE DE LA FONCTION COGNITIVE DE LA SENSIBILITE ET DE L’ENTENDEMENT

LA SENSIBILITE ET SENSATION

    Pour mieux comprendre la théorie Kantienne de la connaissance, il faut connaître le rôle que joue la triple faculté de l’esprit humain qui intervient dans l’opération de la construction du savoir : Toute notre connaissance commence par l’entendement et s’achève dans la raison au- delà de laquelle il n’y a rien à nous de plus élevée pour élaborer la matière de l’intuition et pour la ramener à l’unité la plus haute de la pensée.5 La première faculté est la sensibilité, définie comme une aptitude à réagir face à des excitations internes ou externes, La sensibilité est la réceptivité du sujet par laquelle il est possibilité que son état représentatif soit affecté d’une certaine manière par la présence de quelque objet ». ( … ) « L’objet de la sensibilité et le sensible (…) ». «La capacité de recevoir (la réceptivité) de représentation grâce à la manière dont et nous affecte s’appelle sensible c’est au moyen de la sensibilité que les objets nous est donné. Capacité, réceptivité, affection et objet sont des concepts qui s’organisent autour de la notion de sensibilité. Ces concepts s’interpellent dans la mesure où la sensibilité, qui est une faculté de la pensée, se définit comme la capacité d’être affectée par des objets du monde extérieur. L’extériorité est une détermination conceptuelle et réelle de la sensibilité. C’est à travers les sens que la sensibilité s’ouvre aux objets extérieurs. Les sens sont des fonctions  psycho-physiologiques par lesquelles la subjectivité corporelle reçoit des informations sur des éléments du milieu extérieur de la nature physique. Ce sont les sens qui fournissent à l’esprit des objets de connaissance. C’est de cette manière qu’ils sont le commencement de toute connaissance. La connaissance dont l’origine est le sens est une connaissance empirique. L’empirisme est une doctrine qui affirme que la connaissance vient de l’expérience. La sensibilité donne une représentation qui est une intuition singulière. Celle-ci se rapporte d’une manière immédiate à un objet d’expérience. Etant donné que la sensibilité est l’impression de l’objet sur la sensibilité, étant donné que l’intuition qui se rapporte à l’objet au moyen de la sensation est dite empirique, on nomme phénomène l’objet indéterminé d’une intuition empirique. « La chose en soi : est une réalité inconnaissable qu’il faut penser pour comprendre ce qu’est un phénomène. Elle est l’origine du phénomène ». Dans la terminologie kantienne, l’objet indéterminé d’une intuition empirique est l’unité substantielle de la forme et de la matière. En d’autres termes, le phénomène comporte une forme et une matière. La matière du phénomène correspond à la sensation qui est l’affection de la chose en soi sur la sensibilité. La forme du phénomène est ce qui permet de cordonnier le divers matériel dans l’intuition. A la différence de la matière phénoménale qui est empirique, la forme phénoménale est a priori. L’a priori est un concept qui signifie ce qui ne dérive pas de l’expérience. L’a priori s’oppose à l’a postériori, synonyme d’empirique. C’est dans ce texte que Kant donne la définition de phénomène comme unité de la matière et de la forme : Ce qui, dans le phénomène, correspond à la sensation, je l’appelle matière de ce phénomène ; mais ce qui fait que le divers qu’il set en lui et ordonné suivant certains rapports, je le nomme forme de phénomène… si la matière de tout phénomène nous est donné qu’a postériori la forme en doit être a priori dans l’esprit, tout prête à s’appliquer à tous, et que par conséquent on doit pouvoir la considérée indépendamment de toute sensation. Il a été affirmé que c’est l’intuition empirique qui permet de s’approprier le phénomène par la médiation de la sensation. La question est de savoir quelle est la différence entre l’intuition humaine et l’intuition divine.

L’EXPOSITION METAPHYSIQUE DU TEMPS

     Comme l’espace, le temps fait partie intégrante de l’étude de l’esthétique transcendantale. Il est aussi objet de l’exposition métaphysique. Cette exposition a pour fonction d’établir le caractère a priori de cette forme qu’est le temps. Cette exposition métaphysique du temps s’organise autour de cinq argumentations. La première argumentation donne une définition négative du temps : « Le temps n’est pas un concept empirique qui ait été retiré d’une quelconque expérience ». Par sa forme a priori, le temps fait partie intégrante de la structure formelle et transcendantale de l’esprit humain. Cette structure fait du temps qu’il n’est pas un concept. Car un concept subsume les objets particuliers sous l’extension. Le temps qui n’est pas concept est le fondement qui permet à l’esprit de percevoir la simultanéité et la succession. La simultanéité et la succession sont la double détermination de la représentation temporelle. La simultanéité affirme ce fait que : « Quelque chose existe dans un seul et même temps ».La succession dit que quelque chose existe : « Dans le temps différent ». A cette définition négative du temps qui dit que le temps n’est pas concept s’ajoute une définition positive du temps. C’est la deuxième argumentation qui explique cette définition positive : « Le temps est une représentation nécessaire qui joue le rôle de fondement pour toutes les intuitions ». Or, les objets de l’intuition sont en quelque sorte les phénomènes. C’est le temps qui permet à l’esprit d’intuitionner le phénomène ; c’est de cette manière qu’il est impossible de supprimer le temps par rapport au phénomène en général. D’une manière plus précise, phénomène et temps sont deux réalités inséparables. S’il est possible de faire abstraction de phénomène, on ne pourra pas faire abstraction du temps. Cela s’explique par le fait que le « temps est donné a priori ». Pour son essence a priori, le temps ne peut pas être une donnée de l’expérience. C’est de cette manière que le temps constitue la possibilité de l’effectivité de phénomène. D’une manière plus précise, c’est le temps qui est la condition de toute l’existence de phénomène. Le phénomène n’existe que dans et par le temps. Le temps, qui ne peut être supprimé, est la condition générale de la possibilité de tout le phénomène. La troisième argumentation démontre la nécessité a priori du temps : « C’est sur cette nécessité a priori que se fonde aussi la possibilité de principe apodictique à propos des rapports temporels ou d’axiomes du temps en général ». Les rapports temporels ou les actions du temps peuvent donner la naissance à des principes apodictiques. Les principes apodictiques sont des principes nécessaires, des principes qui ne peuvent être niés. La réalité de ces principes est la proposition axiomatique concernant le temps. Les propositions axiomatiques sont des propositions qui prennent la figure de l’affirmation selon laquelle : « Différents temps ne sont pas simultanés, mais successifs,(…) différents espaces ne sont pas successifs, mais simultanés » 31. L’affirmation de la forme successive du temps et de la forme simultanée de l’espace n’est pas une affirmation qui vient de l’expérience. Cela se justifie par le fait que l’expérience ne fournit ni une rigoureuse universalité ni une certitude apodictique. Universalité et apodicticité sont la double détermination de proposition axiomatique de la temporalité. Ces propositions fondamentales ont la valeur des règles sous lesquelles en général des expériences sont possibles, et elles nous procurent leur enseignement avant l’expérience et non par son intermédiaire. La quatrième argumentation affirme que : « Le temps n’est pas un concept discursif ou, comme l’on dit, universel, mais une forme pure de l’intuition sensible ». Cela se justifie par le fait que les différents temps ne sont que des parties de cette forme pure de l’intuition sensible. L’avant et l’après sont de différents temps. La différence entre l’avant et l’après ne peut être faite d’après le concept de l’entendement. Cette impossibilité se justifie par le fait que la représentation intuitive de temps se trouve au fondement de propositions synthétiques a priori relatives au rapport temporel : « La proposition est synthétique et ne peut seulement procéder de concept. Elle est donc immédiatement contenue dans l’intuition et dans la représentation du temps ».. En insistant sur le fait que le temps est une forme pure de l’intuition sensible, l’argumentation numéro quatre justifie l’idée que le temps est la condition de la possibilité de jugement synthétique a priori. A cette quatrième argumentation s’ajoute la cinquième argumentation. Celle-ci dit : « L’infinité du temps n’a pas d’autre signification que celle-ci : toute grandeur temporelle déterminée n’est possible que par des limitations imposées à un temps unique qui joue le rôle de fondement ». L’infinité est une détermination du temps ; elle se justifie par le fait que le temps est une unité, une continuité, une grandeur extensive, il est donc illimité. Cette illimitation permet de dire que toute partie du temps peut être prolongée sans fin des deux côtés, c’est-à-dire aussi en avant qu’en arrière. Les différentes parties du temps unique et unifie ne sont pas déductibles à partir des concepts. Cette indicibilité s’explique par le fait qu’une intuition immédiate « Doit se trouver à leur fondement ». Pour mieux approfondir la conception kantienne du temps selon l’esthétique transcendantale, il faut connaitre l’exposition transcendantale du temps. La question est donc de savoir en quoi consiste cette exposition.

L’HYPOTHESE ONTOLOGIQUE

      Pour bien comprendre le statut ontologique de l’espace et du temps, il faut partir de l’hypothèse ontologique. Cette hypothèse permet à Kant de se demander si l’espace et le temps sont des êtres réels, des substances ou des déterminations des choses ou des rapports entre les choses. Cette hypothèse peut envisager deux possibilités. La première possibilité soutient l’idée que s’il s’agit des simples rapports, l’espace et le temps sont des rapports objectifs entre les choses indépendantes les intuitions que l’esprit en a. La deuxième possibilité montre si ces rapports tiennent à la constitution de l’esprit humain. De cette double possibilité découle le fait que l’on a affaire à l’attitude entre réalité spatio-temporelle et l’idéalité spatio-temporelle. L’affirmation du réalisme de l’espace et du temps se manifeste par la triple modalité. La première modalité est que l’espace et le temps sont conditions ou formes des choses. La deuxième modalité soutient l’idée que l’espace et le temps sont des propriétés des choses. La troisième modalité affirme que l’espace et le temps sont comme un ordre entre les choses. Cette triple modalité est rejetée par Kant. Cette négation montre le fait que l’hypothèse newtonienne de l’espace, condition a priori des choses et d’abord négligée pour Kant. Cette négligence conduit Kant à se borner à nier que l’espace puisse représenter une propriété des choses en-soi, ou un rapport donné ensoi entre les choses. Cette négation conduit Kant dans l’esthétique transcendantale à combattre ceux qui font de l’espace et du temps des conditions a priori de l’être (détermination absolue) ou des rapports connus entre les choses (détermination relative). Ceux qui soutiennent cette conception de l’espace et du temps sont les représentants du réalisme transcendantal. Newton et Leibniz sont les deux représentants de cette réalité transcendantale. Le réalisme transcendantal de Newton dit que l’espace et le temps subsistent en-soi avant les choses et joue la fonction des conditions réelle a priori de l’existence des choses ensoi. Le réalisme transcendant de Leibniz soutient l’idée que l’espace et le temps expriment des rapports donnés dans les choses en-soi. En tant qu’expression de ce rapport, l’espace et le temps ne peuvent pas forcer le rôle de condition des choses en-soi, qui sont seulement des relations entre elles. Ces relations ont pour condition l’existence préalable de ces choses ensoi dont l’espace et le temps expriment le rapport. Aux différentes modalités du réalisme de l’espace et du temps, Kant oppose l’idéalité transcendantale. Celle-ci est une doctrine selon laquelle l’espace et le temps sont relatifs à la sensibilité, à la forme a priori de l’intuition sensible. Cette relativité atteste leur subjectivité et leur réalité empirique.

DE LOGIQUE GENERALE A LA LOGIQUE TRASCENDANTALE

     Pour comprendre l’analytique transcendantale définie comme science de l’entendement, il faut connaître la différence entre la logique formelle et la logique transcendantale. Cette compréhension s’élève sur la base de la conception kantienne du statut ontologique de la connaissance. Ce statut dit : Notre connaissance procède de sources fondamentales de l’esprit, dont la première est le pouvoir de recevoir les représentations (la réceptivité des impressions), la seconde le pouvoir de connaitre par l’intermédiaire de ces représentations un objet (spontanéité des concepts); par la première nous est donné un objet, par la seconde celui-ci est pensé en relation avec cette représentation (comme simple détermination de l’esprit). Intuition et concept constituent donc les éléments de toute connaissance, si bien que ni des concepts sans une intuition leur correspondant de quelque manière ni une intuition sans concept ne peuvent fournir une connaissance. De ce texte, on peut extraire l’idée que la connaissance est le produit de l’activité de l’unité substantielle de la sensibilité et de l’entendement. La sensibilité et la réceptivité sont des concepts qui se déterminent dans la mesure où il est dans la nature même de la sensibilité d’avoir la fonction d’accueillir des représentations sensibles. Entendement et spontanéité sont deux concepts qui s’interpellent. Cette interpellation se justifie par le fait que le fait que l’entendement est le pouvoir de production des concepts. Entendement et sensibilité sont la double faculté nécessaire et indispensable pour que la connaissance humaine existe. Cette double faculté est le principe logique et ontologique de toute connaissance humaine, elle a sa fonction spécifique. Cette spécificité montre que la sensibilité a pour fonction de recevoir les objets qui affectent l’esprit. Par contre, l’entendement a pour fonction de penser l’objet de l’intuition par la médiation de la production des concepts purs ou empiriques. A cause de cette spécificité : Aucune de ces deux propriétés n’est à privilégier par rapport à l’autre. Sans la sensibilité, nul objet ne nous serait donné, et sans l’entendement, aucun ne serait pensé. Des pensées sans contenu sont vides, des intuitions sans concepts son aveugles. Par conséquent, il est tout aussi nécessaire de rendre sensibles ses concepts (c’est-à-dire de leur adjoindre l’objet dans l’intuition) que de se rendre intelligibles ses intuitions (c’est-à-dire de les subsumer sous des concepts). Les deux pouvoirs ou capacités ne peuvent pas non plus échanger leurs fonctions. L’entendement ne peut rien intuitionné et les sens ne peuvent rien penser. C’est seulement dans la mesure où ils se combinent que peut se produire de la connaissance. Si la connaissance est le résultat de l’activité de la sensibilité et de l’entendement, c’est qu’il faut savoir distinguer : « la science des règles de la sensibilité en général, c’est-àdire l’esthétique, de la science de règle de l’entendement en général, c’est-à-dire de la logique ». D’une manière plus précise, à la différence de l’esthétique transcendantale qui est la science de la réceptivité, la logique transcendantale est la science de la spontanéité de l’esprit. Pour saisir la signification précise de ce que Kant appelle logique transcendantale, il faut connaître l’idée de logique en général. Il a été présenté que la logique est l’art de bien conduire la raison dans la connaissance des choses, tant pour s’instruire soi-même que pour instruire les autres. Cette conduite du soi par soi de la raison prend la figure selon laquelle la logique générale ou élémentaire est la science formelle de forme de concept, de jugement et de raisonnement : c’est la science de lois nécessaires universelles de la pensée en général : c’est une science qui Contient les règles absolument nécessaires de la pensée, sans lesquelles il n’y a aucune utilisation de l’entendement, et s’applique donc à celui-ci indépendamment de la diversité des objets sur lesquelles il peut faire porter son activité A la différence de la psychologie dans laquelle on a affaire à des lois contingentes relevant de l’observation de la vie mentale et de la façon dont se forment et s’associent les idées, les lois nécessaires et universelles formulées par la logique formelle ont une validité générale ; elles sont donc indépendantes de tout principe empirique. Cette logique est pure dans la mesure où il s’agit de faire abstraction « de toutes les conditions empiriques sous lesquelles notre entendement s’exerce, par exemple de l’influence des sens, du jeu de l’imagination, des lois de la mémoire, de la puissance de l’habitude, du penchant, et, par conséquent aussi des sources des préjugés, et même en général de toutes les causes à partir desquelles certaines connaissances peuvent nous provenir ou s’insinuer en nous, parce qu’elles ne concernent l’entendement que dans certaines circonstances de son application et que, pour les connaître, une expérience est requise». Science de toutes les opérations de l’esprit qui sont discursives, c’est-à-dire qui se présentent ou qui peuvent se mettre sous la forme d’un enchaînement articulé de la raison, la logique générale mais pure n’a affaire qu’à des principes a priori. Ce sont des principes qui permettent de déduire et de démontrer toutes ses règles. Parmi ces principes, on peut citer les principes d’identité, de contradiction, du tiers ou milieu exclu. Ces principes montrent que les règles de la logique, des lois de la pensée, ce sont des lois qui ne se déduisent pas de l’observation de faits mentaux, ou des opérations psychologiques. Ce sont des lois qui se montrent dans leur forme idéale de validité, ce sont des lois normatives. Cette normalité justifie l’affirmation kantienne selon laquelle en logique il s’agit de la façon dont nous devons penser. La logique, qui montre la manière dont on doit penser, est une logique qui fait abstraction de tout le contenu de la connaissance de la pensée et de la diversité de ces objets. C’est dans et par cette abstraction que la logique générale ne s’occupe que de la simple forme de la pensée. Cette logique formelle qui est une logique pure n’a pas de principe empirique. L’empiricité n’est pas une détermination conceptuelle et réelle de la logique pure.Si l’empiricité n’est pas une détermination de la logique pure, c’est que cette logique, comme il a été dit, « ne tire rien (…) de la psychologie, laquelle n’a donc sur le canon de l’entendement absolument aucune influence. Elle est une doctrine démontrée, et tout doit y être certain complètement a priori ». C’est de cette manière que l’apriorité est une détermination conceptuelle et réelle de la logique pure ou générale. Telle est en quelque sorte la spécificité de la logique générale. La question est de savoir en quoi consiste la caractéristique de la logique transcendantale.

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Table des matières

INTRODUCTION
Première partie : L’ESTHETIQUE TRANSCENDANTALE, SCIENCE DE LA SENSIBILITE DE L’HOMME
Chapitre I : ESTHETIQUE TRANSCENDANTALE, THEORIE DE LA SENSIBILITE A PRIORI
I.1 .1 De la révolution copernicienne a l’esthétique trascendantale
I.I.2 L’esthétique transcendantale et la sensibilité a priori
I.I.2.I La sensibilité et sensation
I.I.2.2 La double forme d’intuition
Chapitre II : LES FORMES A PRIORI DE LA SENSIBILITE : L’ESPACE ET LE TEMPS
I.2.1 L’espace
I.2.1.1 L’exposition métaphysique de l’espace
I.2.1.2 L’exposition transcendantale de l’espace
I.2.2 Le temps
I.2.2.1 L’exposition métaphysique du temps
I.2.2.2 L’exposition transcendantale du temps
Chapitre III : LA STATUT ONTOLOGIQUE DE L’ESPACE ET DU TEMPS
I.3.1 L’hypothèse ontologique
I.3.2 L’idealité transcendantale et réalité empirique de l’espace et du temps
Deuxième Partie : LA LOGIQUE TRANSCENDANTALE : ANALYTIQUE TRANSCENDANTALE, SCIENCE DE L’ENTENDEMENT
Chapitre I : DE LA LOGIQUE TRANSCENDANTALE A L’ANALYTIQUE TRANSCENDANTAL
II.1.1 De logique generale a la logique trascendantale
II.1.2 De la logique transcendantale et l’analytique trascendantale
Chapitre II : LES PROCEDES DE L’ENTENDEMENT
II.2.1 Les procédés de l’entendement et l’analytique des concepts
II.2.2 Les procédés de l’entendement et l’analytique des principes
II.2.2.1 Le schématisme, un procédé de l’imagination
II.2.2.2 La fonction des principes de l’entendement
II.2.2.3 L’analytique transcendantale et le principe de distinction, phénomène-noumène
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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