La conception dualiste du corps et du l’ame

PYTHAGORE

                    PYTHAGORE est un philosophe grec. Il est né en 580-500 avant notre ère, dans une ville appelée Samos, en Asie mineure où il fut probablement en contact avec la pensée milésienne. Ce philosophe quitta sa ville natale à l’âge de quarante ans (40 ans) pour émigrer à Crotone (en Italie méridionale). Dès son arrivée à Crotone, il fonda une communauté religieuse et intellectuelle. Ce philosophe, en fondant son école philosophique, enseigne que l’âme qui est distincte du corps est immortelle. Elle se réincarne successivement dans des différents corps sensibles. Cette thèse influença complètement PLATON. PYTHAGORE expose que seule une purification de type religieux qui peut délivrer l’âme de ce cercle de naissances. D’ailleurs, il a dégagé cette théorie de l’âme qui était contenue dans les croyances orphiques. L’orphisme est un mouvement religieux qui s’est développé en Grèce à partir du VIè siècle avant notre ère. Cette doctrine enseigne que la mort est une libération de l’âme vis-à-vis du corps. La conception de l’âme qu’Orphée a transmise aux hommes a influencé de nombreux philosophes antiques. L’influence de l’orphisme peut se remarquer aussi dans certains courants philosophiques, comme le pythagorisme et le platonisme. PLATON répond à certaines idées de l’orphisme, comme celles de l’origine divine de l’âme et de sa destinée. L’âme est plus importante que le corps. Car elle appartient au monde divin. Nous retrouvons aussi chez le philosophe des idées comme transmigration de l’âme, c’està-dire sa réincarnation et la remémoration ou la théorie de la réminiscence. L’esprit, lorsqu’il apprend quelque chose, il ne fait que s’en souvenir. Dans le monde des Idées, l’esprit contemple toute connaissance, et l’oublie momentanément au moment de sa réincarnation. Pour mieux comprendre l’enseignement de l’orphisme, nous devons quandmême remonter jusqu’à saisir la création de l’âme, en tant qu’homme. L’âme a été enfermée dans le corps comme dans le tombeau pour qu’elle expire le péché originel. L’âme de l’homme peut se réincarner indéfiniment. Chaque mort n’est qu’un bref répit et l’âme peut bien vite se réincarner dans le corps d’homme ou d’animal. C’est la raison pour laquelle PYTHAGORE écrit dans son Fragment n°7 : « l’âme d’un homme peut entrer dans un corps d’un animal. »1 Ce cycle est appelé « cercle de génération ».La qualité de la réincarnation dépend de la vie précédente. L’orphisme amène aussi une nouvelle conception des enfers. Après la mort, l’âme est envoyée vers le Hadès. Le juste prend la route de droite, alors que l’homme qui a mal vécu doit emprunter la route de gauche, pleine de détours et d’embûches, c’est-à-dire d’obstacles. Au moment de leur réincarnation, les âmes vont boire l’eau du Léthé. Pour oublier ce qu’elles ont vécu lors des réincarnations précédentes, les âmes doivent s’en souvenir. Les âmes des orphiques, qui ne doivent plus se réincarner, mais devenir immortelles, sont dans l’obligation de fuir l’eau du « Fleuve de l’oubli ». PYTHAGORE constate que les âmes sont liées au corps à titre de châtiment. Il affirme que « le corps est une prison de l’âme » dans la mesure où le divin les a jetées pour les punir. Et il y a une migration de l’âme dans différents corps. L’âme, en tant que substance divine a le pouvoir de se purifier au cours du cycle de ses migrations et si elle le mérite, elle atteint le bonheur de la séparation d’avec le corps.La pensée de PYTHAGORE comme nous l’analysons, est une pensée dualiste comme celle de PLATON, La pensée pythagoricienne a complètement influencé ce dernier. Ce philosophe adopte cette théorie dans son ensemble. Pour lui, il expose qu’il y a deux mondes : le monde sensible et le monde intelligible. De même que l’homme a une double nature. Par le corps, il est attaché au monde sensible, par l’âme, au monde intelligible. L’âme est immortelle, dans la mesure où elle a préexisté à la naissance de l’homme dans le monde et survivra après la mort du corps. Elle est de la parenté des Idées qu’elle a contemplées jadis, elle en possède le savoir véritable. Cette idée est bien claire quand PLATON l’explique dans le Phèdre : « Or, il s’agit là d’une réminiscence des réalités jadis contemplées par notre âme, quand elle accompagnait le dieu dans son périple, quand elle regardait le haut ce que, à présent, nous appelons « être » et qu’elle levait la tête pour contempler ce qui est réellement. »2 PLATON transforme la théorie pythagoricienne de la métempsychose à la théorie de la réminiscence. Selon lui, l’âme ne se souvient pas seulement des vies antérieures, mais elle peut se souvenir de la contemplation des Idées. C’est dans cette perspective, il se demande, si connaître la vérité, c’est connaître par le sens, alors la connaissance n’aurait pas donc sa raison d’être. Or, pour lui, l’exigence philosophique est une exigence de la réflexion du savoir véritable. Ce philosophe souligne que cette exigence de cette réflexion ne sera satisfaite que si l’on postule l’immortalité de l’âme, d’une âme qui a contemplé les Idées. Ce philosophe croyait que l’âme est immortelle, et cherche, sans prétendre pouvoir y parvenir, à le prouver dans le Phédon, qui raconte le dernier jour de SOCRATE. Cette immortalité se lie à la thèse de la migration des âmes et de leur purification après la mort. Notre philosophe a montré que la connaissance sensible n’a pas de vérité immuable. Il faut donc, aux yeux de PLATON, qu’une certaine puissance de l’âme soit au contact des réalités vraies pour produire une science authentique. Ce qui implique également que l’âme participe d’une certaine manière à l’intelligible. Ce rapport de l’âme à l’intelligible est décrit à travers le ressouvenir. La réminiscence est le ressouvenir par l’âme, à l’occasion d’une perception sensible, de connaissance qu’elle a acquise en dehors de son séjour dans un corps. Elle a perdu lors de sa réincorporation. L’acquisition de la connaissance doit alors débuter par une reconnaissance, avant de se poursuivre par l’épreuve de la réfutation.

La relation entre SOCRATE et PLATON : Rencontre

                   SOCRATE est un grand philosophe grec. Il est né en 470-399 avant notre ère. Ce philosophe, tel que nous le connaissons n’a rien laissé des écrits. Il fut le professeur de PLATON, qui le fait intervenir dans ses œuvres. Il s’intéresse aux hommes, à leur vie, aux mœurs, au bien et au mal. L’investigation du monde naturel ne l’intéressait pas. Il voulait trouver une base solide pour notre connaissance. Cette base résidait dans la raison humaine. Il est l’inventeur de la dialectique, pou définir de façon univoque les concepts philosophiques régissant la vie humaine, s’appuyant sur l’ignorance. Il discutait avec celui qui était sensé avoir la connaissance. Il lui posait des questions pour mettre à jour les faiblesses de ses raisonnements. Il faisait ainsi « accoucher les esprits » puisque sa maman a « accouché des corps ». SOCRATE se réclamait philosophe et non sophiste. Il faisait semblant qu’il ne savait rien pour que l’interlocuteur puisse découvrir lui-même la vérité. L’impératif d’unicité qui guide la recherche socratique de définitions apparaît comme l’ancêtre direct de l’idée platonicienne. C’est dans cette perspective que SOCRATE dit que « celui qui sait ce qui est bien fera aussi le bien ». Cela veut dire qu’une vision juste conduit à une action juste. Et voici ce que DESCARTES ajoute : « il suffit de bien juger pour bien faire. »14 La faculté de bien discerner entre le bien et le mal se trouve dans la raison de l’homme, et non dans la société comme le pense les sophistes. Ceux-ci posent la stricte équivalence des discours, grâce en particulier à la théorie de « l’homme mesure » qui dit que chaque homme a sa propre mesure, et donc sa propre réalité et son propre discours. PLATON mettra beaucoup d’énergie pour réfuter cette théorie sophistique.SOCRATE veut nous montrer que l’ignorance est le mal fondamental, et toute l’importance de l’aporie est qu’elle réalise la prise de conscience de l’ignorance inconsciente. C’est pourquoi il dit que « nul n’est méchant volontairement. »15 Le véritable savoir apporte, selon lui, l’action droite et juste. D’ailleurs, l’ironie socratique est la phase négative du discours. Celle où l’interlocuteur apprend qu’il ne sait rien, qui conduit à l’aporie. La maïeutique est plutôt liée à la phase constructive de la recherche de la vérité. Lors de cette recherche, il se place dans une relation pédagogique avec l’interlocuteur. L’enseignement oral de celui-ci a eu une influence considérable sur la philosophie de PLATON. En fait, nous savons que l’école de SOCRATE c’était l’agora, la place publique où il se promène au milieu des petits gens, comme des aristocrates bavardant avec tous les hommes. Sa pensée philosophique est une pensée qui cherche sans cesse la vérité immuable. PLATON a reçu chez son maître, sa pensée philosophique de la théorie des idées immuables. La rencontre et la relation entre le maître et le disciple étaient donc essentielles pour l’évolution de la pensée de son maître. Il s’agit en effet, de défendre la mémoire de son maître. Comme PLATON illustre dans le Phédon, le Banquet ou l’Apologie de SOCRATE. La pensée philosophique de SOCRATE, aux yeux de PLATON, est fondée surle « connais-toi toi-même ». Ce philosophe souligne qu’il n’y aurait pas des connaissances possibles, quand l’homme ne cherchait même pas à se connaître soi-même. SOCRATE a fait un peu de critique à la pensée philosophique de ses prédécesseurs. Ces derniers s’étaient contentés de l’étude des objets de la nature sans se soucier de l’homme. Alors que c’est l’homme qui est la source principale de la vraie connaissance. Comment prétendre connaître les choses extérieures sans connaître d’abord l’homme ?En répondant à cette question, SOCRATE a décidé désormais de défendre la philosophie dans l’étude de l’homme. Il expose l’idée selon laquelle la vraie philosophie doit s’intéresser à l’homme. C’est pourquoi il est considéré comme étant le fondateur de la philosophie moderne. Ce philosophe, en étudiant la plénitude de l’existence humaine, trouve que l’homme est son âme. Car connaître l’homme, c’est connaître la vérité de l’homme. PLATON embrasse l’idée de son maître en disant que l’homme n’est pas le corps matériel, mais il est l’âme, en tant que substance immortelle. C’est la raison pour laquelle un commentateur de PLATON affirme : « l’homme n’est rien d’autre qu’âme et que l’âme est homme. »16 La valeur de l’âme apparaît dans cette affirmation : l’homme est égal à l’âme. Effectivement, l’homme est composé du corps et de l’âme, mais c’est l’âme qui est plus importante que le cops. Car elle est le principe de l’existence de la vie. L’âme représente la partie où réside la faculté propre de l’homme. Cette faculté s’appelle l’intelligence. Par l’intelligence, l’âme est capable de tout connaître. C’est pourquoi aux yeux de Charles WERNER : « Notre intelligence est une partie de l’intelligence universelle ; elle participe au divin. »17 Cette affirmation nous apprend que l’homme se sert de cette faculté que le divin lui a octroyée pour se connaître soi-même. Tout homme doit apprendre à s’instruire dans la vie courante selon l’affirmation des deux philosophes. D’après PLATON, dans la présentation courante apprendre c’est accueillir quelque chose de nouveau dans la conscience humaine. L’esprit ou l’âme serait une « table rase », une tablette de cire sur laquelle rien n’est écrit et qui reçoit des impressions extérieures. Pour lui, il y a certes, des représentations des choses qui viennent de l’extérieur. Mais. Or, le véritable savoir est le savoir de l’universel, de l’idée. Ce qui est universel aux yeux de ce philosophe, ce qui est l’idée n’est pas dans les choses mais dans l’esprit. Car l’universel est déjà selon SOCRATE, dans l’intellect et il faut le découvrir. Il affirme qu’apprendre à connaître, c’est retrouver en soi-même la connaissance des Idées. C’est grâce à SOCRATE que PLATON est devenu un grand philosophe. Car sa pensée est liée à celle de son maître. Puisque SOCRATE n’a rien écrit, son disciple fidèle accomplit la tâche d’éditer sa conception philosophique. D’après son maître, « le corps est une prison de l’âme ». SOCRATE, en étudiant la plénitude de l’existence humaine, a considéré le corps humain comme étant un élément mortel. Seule l’âme, en tant que porteuse de vérité éternelle possède donc son immortalité. C’est par cette croyance en cette vérité éternelle qu’il a accepté son injuste condamnation à mort par les juges Athéniens. Ce philosophe, avant de boire la ciguë, expose à ses disciples de croire en l’immortalité de l’âme. D’où la naissance de cette célèbre citation : « philosopher c’est apprendre à mourir ». Cependant, la mort de SOCRATE a été considérée par son disciple comme étant un scandale commis par la cité athénienne, au détriment d’un homme juste et sage. C’est pourquoi SOCRATE incite PLATON à ouvrir ses yeux pour étudier la plénitude de l’existence de l’homme, en tant qu’être doté du corps et de l’âme.

La République, Livre VII 1975. Texte établi et traduit par Emile CHAMBRY, Paris : Les Belles Lettres, 186 pages

              Dans cet ouvrage, PLATON présente la théorie des Idées et la dialectique sous une forme concrète et imagée dans le célèbre « mythe de la caverne ». Avec cette image du « mythe de la caverne », nous sommes toujours cependant dans le domaine qui relève du monde sensible. Ce philosophe imagine dans la République les prisonniers enchaînés au fond de cette caverne. Cette dernière symbolise le monde sensible, celui dans lequel nous vivons. C’est pourquoi PLATON considère le monde sensible comme étant le monde des apparences : c’est le domaine de la multiplicité des êtres. Le philosophe a développé toute sa philosophie de la théorie des Idées. Selon lui, les Idées sont la vraie réalité, celle dont dérive l’être des choses dans le monde, elles sont donc permanentes. Le monde sensible est le monde des apparences changeantes, insaisissables et perpétuel devenir. Il faut quelque chose qui soit susceptible de fonder un savoir sûr et certain. Comme dans le monde qui nous entoure, tout change sans arrêt. Alors, il faut qu’il y ait un autre monde que celuici : monde des Idées. Dans le monde des Idées, PLATON fait une hiérarchie la plus haute ou la plus réelle des Idées, c’est l’Idée du Bien. C’est le but même de la recherche philosophique d’y parvenir, au terme d’une ascension appelée « dialectique ». Cette idée est bien affirmée dans la République, Livre VII : « La méthode dialectique est donc la seule qui, rejetant les hypothèses, s’élève jusqu’au au principe même pour établir solidement ses conclusions. »27 Ce passage nous apprend que la dialectique est pour PLATON la méthode pour parvenir au monde des Idées. C’est la méthode par laquelle la pensée s’élève jusqu’au monde de la vérité immuable. C’est le mouvement par lequel l’âme s’élève des choses sensibles vers le monde intelligible. Puis elle parcourt et contemple les Idées et enfin, redescend dans le monde sensible pour y exercer une activité morale et spirituelle. C’est la raison pour laquelle PLATON écrit ceci : « Le prisonnier qui parvient à se détacher (il représente bien entendu le philosophe) commencera par refuser de regarder la lumière, à cause de la souffrance causée par l’éblouissement. Il ne demandera qu’à retourner dans la caverne (c’est difficile, de philosopher, de se débarrasser de ses opinions). Avec l’accoutumance, toutefois, il regarda d’abord les figurines qui sont des copies d’hommes ou d’animaux. Sa première tendance sera de les prendre pour la réalité, pour les objets, eux-mêmes. C’est une croyance erronée, la plus répandue. Puis, il va parvenir, lentement, à se détacher du monde de l’opinion et de la foi pour se tourner vers le monde intelligible (monde des Idées). Celui-ci est représenté par le soleil. » Cette affirmation nous permet de dire que, PLATON veut nous montrer la façon dont un philosophe écarte sa pensée du monde de la multiplicité des choses pour accéder au monde des Idées. Ce philosophe contraint donc les hommes à reconnaître que, d’abord, ils n’ont vu que les ombres de la réalité. Puis, les images d’objets réels projetés sur les eaux, les objets réels, le firmament et, enfin le soleil. A la fin, ils découvrent que c’est le soleil même qui est la cause de tout ce qui est dans le monde visible. C’est dans ce sens qu’il disait : « Après cela, il en viendra à conclure au sujet du soleil, que c’est lui qui fait les raisons et les années, qui gouverne tout dans le monde sensible, et qui, d’une certaine manière, est la cause de tout ce qu’il voyait ses compagnons dans la caverne. »29 Ce philosophe veut nous montrer une différence entre la connaissance du monde sensible et la connaissance du monde intelligible. Dans la République, Livre VII, il nous montre que les choses multiples, nous les percevons par nos sens. Les Idées, les essences, nous les concevons cependant avec notre esprit. Pour avoir une science des choses, il faut remonter jusqu’à la cause en soi, c’est-à-dire à l’essence de cette chose. Lorsque nous regardons les objets dans l’ombre, les yeux ne voient rien de net. Mais ils se tournent vers le soleil, et ils voient tout distinctivement. De même, pour l’âme, quand elle tourne vers un objet éclairé par la vérité et par l’être, aussitôt, elle conçoit et devient intelligente. Mais, lorsqu’elle tourne vers ce qui est mêlé d’obscurité, vers ce qui naît et périt, vers ce qui change tout le temps, elle voit trouble. Elle ne se fait plus que des opinions sur les choses, et semble avoir perdu toute intelligence. Mots clés : Allégorie de la caverne-connaissance-dialectique ascendante-dialectique descendante-croyance-ignorance-Idée du Bien- monde sensible-monde intelligibleprisonnier- soleil.

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Table des matières

REMERCIEMENTS
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : L’ITINERAIRE DE LA PENSEE PHILOSOPHIQUE DE PLATON
I. l’influence de la pensée présocratique sur la philosophie de PLATON
I. 1. La relation entre SOCRATE et PLATON : Rencontre
I. 2. La vision platonicienne de la dualité du corps et de l’âme
I. 3. Le corps en tant que prison de l’âme
I. 4. La séparation de l’âme d’avec le corps
DEUXIEME PARTIE : PLAN PROVISOIRE DE LA FUTURE THESE
TROISIEME PARTIE : QUELQUES CONCEPTS FONDAMENTAUX DE L’AUTEUR ET LA BIBLIOGRAPHIE EN PARTIE COMMENTEE
I. Les concepts fondamentaux de l’auteur
II. La bibliographie en partie commentée
II. 1. Ouvrages de PLATON
II. 1. 1. La République, Livre VII 1975. Texte établi et traduit par Emile CHAMBRY, Paris : Les Belles Lettres, 186 pages
II. 1. 2. Phédon. 1978. Texte établi et traduit par Léon ROBIN et Joseph MOREAU, Paris : Les Belles Lettres, 103 pages
II. 1. 3. Timée. 1970. Tome X : texte établi et traduit par Alfred RIVAUD, Paris : Les Belles Lettres, (5ème tirage), 228 pages
II. 2. Ouvrages sur PLATON
II. 2. 1. BERNHARDT (Jean), PLATON et le matérialisme ancien. Paris : Payot, 1971, 239 pages
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE LISTEE

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