La Compagnie d’Assurance et de Réassurance NY HAVANA

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Les outils utilisés

Pour mener une analyse financière de la performance d’une entreprise, la collecte de donnée est incontournable. Il s’agit ici des données de sources pratiques provenant des entreprises et des informations issues des recherches soient des théories concernant cette notion. En d’autres termes, ce sont les données primaires et secondaires.

Les données primaires

Les données primaires sont les données recueillies à la source (à l’entreprise). En effet, ces données sont constituées par des réalités relatives à la gestion de la trésorerie et de la performance financière.
En premier lieu, il est important de connaitre l’identité de l’entreprise, ses activités, sa forme juridique, son adresse, son historique… Par la suite, la collecte de données continue sur ses activités afin de mieux comprendre les problèmes de la trésorerie dans la réalité. La politique générale de l’entreprise complète enfin les bases de données initiales.
En second lieu, des données plus précises et en détail sur la trésorerie de l’entreprise sont nécessaires afin de bien connaître les différentes manières qui permettront d’accroitre la performance. Les données sur la politique de gestion et les différents éléments qui la constituent en sont ressorti de cette question. D’après les hypothèses à justifier : une bonne gestion de la trésorerie favorise la performance financière ; les données concernant la méthode de gestion de la trésorerie sont nécessaires. Les informations voulues n’étaient pas présentées sur des supports matériels, il fallait observer le logiciel de traitement et s’entretenir avec les responsables.
En troisième lieu, les ratios qui permettent le calcul de la solvabilité et de la rentabilité sont nécessaires pour apprécier la performance financière de la Compagnie. Le rapport d’activité annexe (ANNEXE I) de la compagnie est l’outil adéquat à nos besoins. Il résume le déroulement des activités et leurs évolutions. Il présente les différents ratios qui permettent d’apprécier sur la solvabilité et la rentabilité de la société, et les états financiers. Le code des assurances est consulté afin de voir les obligations des Compagnies d’Assurances, un extrait est présent en annexe (ANNEXE II).

Les données secondaires

Des investigations théoriques ont été effectuées pour appuyer cette recherche et formuler les hypothèses. Ce sont les données secondaires. Plusieurs sources peuvent servir de recueil. Les deux sources de données secondaires sont les livres et le web.Les livres sont les principales sources d’information utilisée. Les ouvrages sont en effet les fruits d’études approfondies effectuées par des auteurs. Dans notre cas, les livres concernant l’analyse financière d’une entreprise englobant la gestion de la trésorerie, l’analyse financière de la performance incluant la rentabilité ont été consultés. Ils nous donnent les définitions précises et les différents ratios à prendre en compte pour mesurer la performance financière ou pour étudier la trésorerie d’une entreprise. Ces ouvrages proposent aussi l’étude de cas abordant la trésorerie de manière à améliorer la performance avant même l’observation des réalités sur terrain, ce qui facilite la compréhension des différentes situations, une fois arrivée dans les entreprises.
La recherche bibliographique est riche mais incomplète. Pour bien maitriser le thème et rédiger ce livre, la connaissance des actualités est fondamentale, d’où l’utilité de la webographie. La recherche sur web actualise le savoir et fournit des informations complémentaires au sujet traité. En effet, le web fournit d’amples informations en temps réel. Les sujets hors du cadre de la trésorerie ou la performance telle que les actualités économiques, sociales, politiques sont disponibles sur internet et sont nécessaire à la rédaction de ce présent mémoire.
Une analyse fiable peut être menée à partir de ces données qui constitueront les éléments de base dans la réalisation de notre étude. Par la suite, il convient de voir les différentes méthodes adoptées pour arriver aux résultats escomptés, exposé dans le deuxième chapitre de cette partie.

Les méthodes

Etymologiquement, la méthode signifie « chemin vers », c’est-à-dire chemin vers un objectif. « C’est une démarche ordonnée, rationnelle ; technique employée pour obtenir un résultat »15. Les trois parties qui composent cette section vont être abordées successivement : la méthode de collecte de données et le traitement des données ainsi obtenu.

Les méthodes de collecte des données

Parmi plusieurs méthodes de collecte de données : enquête, entretien, questionnaire, observation… nous avons opté les méthodes questionnaire et entretien, méthodes jugées plus efficaces et plus fiables.

Le questionnaire

Un questionnaire est un ensemble de question qu’il faudra répondre lors d’un entretien. « C’est par le questionnaire que l’on pourra introduire la quantification dans une étude. Son rôle est donc important et il faut le préparer soigneusement. Il devra être structuré en fonction des hypothèses de travail et de la population à étudier. »16
Il existe plusieurs catégories de question : les questions fermées, les questions ouvertes et les questions à éventail de réponse. Ces questions présentent des avantages et inconvénients mais il faudra les poser en fonction des réponses voulues. Il faut les équilibrer pour que l’enquêté ne se lasse pas de répondre. Les réponses du questionnaire devraient répondre la problématique. Compte tenu de l’objectif et des hypothèses, le questionnaire est divisé en quatre grandes parties : l’identification et environnement de la société, la gestion et équilibre de la trésorerie, la solvabilité et la rentabilité économique et la rentabilité financière. Un tableau énumérant les informations attendues (en ANNEXE III) concernant chaque partie a été établi avant de rédiger le questionnaire proprement dit.

L’entretien

Les réponses aux questionnaires peuvent être envoyées par courrier ou par d’autre moyen. Toutefois pour de plus ample précisions les interviews étaient effectuées auprès des personnes responsables. En effet, il est impossible de recueillir et d’analyser l’avis de tout le personnel. Il faudra limiter l’étude à un échantillon de population. Le choix de l’interview se penche vers la personne qui représente le mieux le personnel et qui est jugée apte à répondre à toutes les questions. En probabilité, c’est l’échantillonnage en grappe. Dans notre cas ce sont le Directeur Finances et Budget et le Fondé de Pouvoir chargé des Finances et de la Comptabilité qui répondaient à ces critères.
L’interview complète les informations reçues du questionnaire. C’est aussi l’occasion de commenter les réponses du questionnaire. Le plus important est de discuter l’amélioration de la performance de l’entreprise par l’équilibre et la rentabilité financière. Des questions complémentaires (à part le questionnaire) surviennent lors de l’entretien pour mettre plus de lumière dans les réponses. Ce sont des questions sur la signification des ratios, le fonctionnement du logiciel de traitement de la gestion de la trésorerie, les rôles du responsable de la trésorerie, les obligations des assurances, la spécificité de sa comptabilité. Notons que les réponses du questionnaire ont été recueillies quelques jours plutôt avant l’entretien pour pouvoir préparer ces questions complémentaires.

La méthode de traitement des données

Les données recueillies par le questionnaire et les interviews directs sont encore à l’état brut. Ils nécessitent d’être traiter. Elles sont donc regroupées selon les catégories de questions posées : l’identification et l’environnement de l’entreprise, la gestion de la trésorerie et l’équilibre, solvabilité, la rentabilité économique et financière.

Le plan de rédaction

Il faut ensuite dresser le plan de rédaction. Ce plan doit affirmer une cohérence avec les hypothèses et l’objectif de ce présent mémoire qui répond à la norme IMMRED (Introduction, Matériels et Méthode, Résultats, Discussions et recommandations). Nous avons regroupées les données de façon à ce qu’elles correspondent bien aux chapitres et sections préétablis. Mais encore nous avons fourni des informations complémentaires pour souligner la spécificité des activités des sociétés d’assurance et ainsi offre plus de clarté et de compréhension du sujet. Les données devront être rapportées telles quelles, sans avis personnel ni commentaire dans le chapitre « Résultat ». C’est seulement au dernier chapitre que ces informations feront l’objet d’une analyse afin de dégager les problèmes de l’entreprise et par la suite en dégager des solutions adaptées. Ainsi, nous avons pu nous doter des moyens de garder les forces et de faire face à l’environnement de la Compagnie.

Le traitement des données

Le traitement des données consiste à effectuer un travail de manipulation des données. Le travail peut consister en toutes formes de calculs, regroupements, croisements… quantitatifs ou qualitatifs, manuels ou informatisés. L’utilisation des logiciels adéquats s’avère important.
Puisque notre étude a été axée sur l’analyse qualitative et quantitative, ainsi l’utilisation des logiciels de traitement de données est nécessaire:
o Le logiciel Microsoft Word, effectué pour le traitement de texte.
o Le logiciel Microsoft Excel, incontournable pour le traitement des données chiffrées, la constitution des tableaux.
La méthode d’analyse FFOM (Forces, Faiblesses, Opportunités et Menaces) est une méthode d’analyse de contexte stratégique, une des méthodes de diagnostic d’une société. Elle permet d’identifier les forces et faiblesses internes d’une entité, les opportunités d’évaluation ainsi que les menaces susceptibles d’affecter l’atteinte de ses objectifs.
Pour ce mémoire, la méthode d’analyse FFOM est utilisé dans le dernier chapitre. Elle permet de diagnostiquer l’environnement interne, puis externe de la Compagnie dans le but de dégager les problèmes qui empêchent l’atteinte de l’objectif. Par la même occasion, cette méthode met en avance les forces qu’il faudra maintenir et les opportunités que l’environnement offre.
En conclusion, ce chapitre « matériels et méthodes » résume les étapes que nous avons traversées : dès l’acquisition du thème jusqu’à la rédaction. Les recherches théoriques via internet et ouvrages nous ont permis d’aborder notre thème sur la bonne gestion de la trésorerie et la performance financière ; ainsi des hypothèses ont pu être dégagées.
Pour vérifier les hypothèses que nous avons avancées, une visite d’entreprise s’impose. Notre choix s’est tourné vers l’Assurance NY HAVANA en raison de son évolution et son dynamisme malgré la crise. La collecte des informations auprès de la Compagnie suivait une méthode préétablie : le questionnaire et l’interview. Une fois acquises, ces informations ont été traitées. La section méthode résume les actions que nous avons fournies afin de rédiger le plan de rédaction. Elle avance aussi l’outil d’analyse que nous avons utilisé afin de faire un diagnostic de l’entreprise et de leur environnement. Le prochain chapitre présentera, d’ailleurs les données recueillies, sans commentaire de notre part.

LES RESULTATS

Ce chapitre est le résultat de la visite auprès de la Compagnie d’Assurance et de Réassurance NY HAVANA. Les données obtenues au sein de cette Compagnie y sont assemblées et sont représentées sous deux caractéristiques: quantitatives et qualitatives. Elles seront structurées en paragraphes, en tableaux ou en figures suivis d’interprétations objectives. Ainsi, à l’issue de cette partie du devoir, nous seront apte à vérifier les hypothèses qui stipulent que «la bonne gestion quotidienne de la trésorerie et le placement des excédents conduisent à la performance financière ».
Pour se faire, nous verrons la gestion de la trésorerie et les évaluations de la performance financière comme étant les points principaux à traiter dans ce chapitre qui se présentera sous deux sections dont la première présentera la gestion de trésorerie de NY HAVANA, et la seconde évaluera la performance financière.

La gestion de trésorerie de l’Assurance NY HAVANA

L’une des hypothèses stipule que la bonne gestion de trésorerie est à la base de la performance d’une Entreprise. Lors de notre visite au sein de la Compagnie, nous avons rassemblé des données concernant la politique que celle-ci a mis en place pour gérer la trésorerie. Ce sont ces données qui vont être énoncées dans cette section.

La gestion quotidienne de la trésorerie

La gestion quotidienne de la trésorerie consiste à gérer les comptes en banques et à suivre la trésorerie au jour le jour. Avant d’approfondir sur la gestion de la trésorerie de la Compagnie, il est nécessaire de comprendre l’approche de la trésorerie de NY HAVANA.

L’approche de la gestion de la trésorerie

La gestion de la trésorerie au sein d’une compagnie d’assurance se traduit par la gestion des modes de payements (en espèce, chèque, traite,…), des encaissements et décaissements. La principale fonction est donc de gérer « le flux de trésorerie » et leur articulation dans les compte de trésorerie (caisse et banque). C’est au sein de la Direction Finances et Budget que la gestion de la trésorerie se déroule. Les responsables de la trésorerie (encaissements et décaissements) gèrent le flux de la trésorerie de l’assurance et le prend les décisions adéquates. L’approche de la trésorerie est la même que la notion commune de la ménagère, pour laquelle la trésorerie est la différence entre recette et dépense. Il en découle une relation: Trésorerie = Encaissement – Décaissement
Les éléments constitutifs de l’encaissement de la Compagnie d’Assurance NY HAVANA sont : Primes d’assurances
Loyers issues des biens immobiliers de NY HAVANA Remboursement des prêts hypothécaires et véhicules Les produits de placements
Les sinistres payés
Les frais généraux : payement des fournisseurs de bien et service Les salaires du personnel
Les dons
Les dividendes des actionnaires Les prêts hypothécaires
Les impôts : le détail des impôts figure dans les annexes (ANNEXE IV)
Les dates auxquelles les recettes seront encaissées sont connues. Le période de payement des primes est, par exemple, bien précis dans le contrat signé entre l’assuré et l’assureur. Par contre, les dates auxquelles les sinistres surviennent sont imprévisibles. En plus, les sinistres ne sont pas indemnisés de suite, un processus est à respecter. Lors des accidents, un expert constate les faits afin d’en estimer les dégâts avant le remboursement. Par ces faits, la Compagnie d’assurance et de réassurance NY HAVANA n’établit pas de budget de trésorerie. La trésorerie est traitée au jour le jour et les responsables de la trésorerie disposent d’expériences appropriées dans ce domaine. Ces responsables se répartissent sous deux postes différents, l’échange de compétence, la collaboration et la communication entre eux sont de mise afin de fluidifier la gestion quotidienne. Les opérations des encaissements et de décaissements se passent auprès des banques primaires partenaires de la compagnie. Une politique de gestion des banques est établie afin de régir le flux de trésorerie.

La gestion des banques

La gestion des modes de payement tels que les chèques ou les traites est étroitement liée à la gestion des banques partenaires de NY HAVANA. Par ailleurs, la compagnie travaille avec plusieurs banques telles que BFV-SG, BOA, BMOI, BNI Madagascar, et BGFI. L’objectif étant la gestion des comptes courants de la Compagnie toute en maitrisant la contrainte de la date de valeur. En effet, la date à laquelle la Compagnie effectue ses opérations et la date à laquelle les banques débitent ou créditent les comptes se décalent. Ce décalage peut induire à un solde déficitaire dans les comptes courants et peut être passible d’intérêt. Pourtant les dates de valeur ne sont pas les mêmes pour toutes les banques mais peuvent être déterminées à l’avance par la Compagnie.
Afin de remédier à cela, un dossier par banque est ouvert annuellement. Les documents nécessaires les concernant s’y trouvent, notamment les relevés bancaires, les états de rapprochements… Il revient au responsable de bien classer les documents dès qu’ils sont arrivés au sein de la Compagnie afin de faciliter le traitement par lui et par les autres utilisateurs. Par delà ces aléas, les banques offrent à l’entreprise des produits qui permettent à la Compagnie de consulter leur situation de trésorerie en temps réel (mouvement, soldes des comptes bancaires). Ces services s’appellent « banque net ». En visitant les sites internet des banques, la Compagnie peut accéder à leur compte bancaire. La situation des comptes pour chaque banque est imprimée et servent ensuite d’outil important dans la gestion de la trésorerie.
Même si les dates de valeurs des banques sont méconnues de la Compagnie. A partir des documents existants, combinés avec les expériences des responsables, un tableau indiquant des dates probables auxquelles les comptes courants seront débités ou crédités au niveau des banques a pu être dressé (ANNEXE V).
L’assurance NY HAVANA tient compte de ces dates de valeur avant de prendre des décisions de décaissement ou d’encaissement, avec une considération d’une marge.

Le suivi de la trésorerie

Les responsables de la trésorerie traitent plusieurs opérations, ils émettent et remettent en moyenne plus d’une vingtaine de chèques quotidiennement. Si les opérations sont traitées manuellement, elles prendront un temps considérable avec éventuellement des risques d’erreur. Ces raisons ont poussé NY HAVANA à se doter d’un logiciel adapté à ses besoins.
Le logiciel personnalisé traite à la fois la comptabilité du compte banque et la trésorerie. Il est paramétré par les éléments suivants:
– La date : date de saisie
– Les types de l’opération : encaissement ou décaissement
– La nature de l’opération selon son type:
o Encaissements : virement reçu, chèques remis, effet remis à l’encaissement, versement espèce
o Décaissements : virement émis, chèque émis, effet domicilié ou retour d’effet impayé, retrait d’espèce
– Les libellés des opérations
– La banque où les opérations sont passées
– Le montant de l’opération
– Les numéros de compte
Ce logiciel enregistre les opérations de décaissement et d’encaissement séparément d’un côté et d’un autre les synthétise afin de fournir la situation de trésorerie pour chaque banque. En général, la trésorerie de l’assurance affiche un résultat positif (trésorerie excédentaire).

Le maintien de l’équilibre de la trésorerie

Le maintient de l’équilibre revient à respecter le principe de la trésorerie zéro. Le déficit (trésorerie négative) et l’excédent (trésorerie positive) sont signe de mauvaise gestion. Les déficits sont à éviter et les excédents seront placés.

Les déficits de la trésorerie : à éviter

Au sein de NY HAVANA, la gestion de la trésorerie revient à gérer les comptes bancaires. La situation des comptes doit être vérifiée quotidiennement. Puisqu’un compte débiteur est passible d’intérêt, il faut consulter cette situation avant de décaisser une somme. L’utilisation des documents relatifs à la situation bancaire (ou banque net) expliquée précédemment est un outil indispensable. En fonction des informations sur les comptes bancaires et de la date de valeur, les responsables peuvent prendre des décisions. Si les comptes en banques ne permettent pas les dépenses, un réapprovisionnement des comptes est stratégiquement nécessaire. Le responsable du décaissement a donc pour rôle, de veiller à ce que les comptes ne soient pas débiteurs. Il assure et garanti le suivi de compte mais la décision du montant à verser revient au Directeur du Département Finances et Comptabilité. Le travail des deux responsables est complémentaire.

LES DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS

Une bonne gestion de la trésorerie permet à une entreprise de disposer des excédents de trésorerie à investir qui par la suite, seront source de revenu pour l’entreprise. Les excédents de trésorerie sont placés sous forme d’investissement immobilier ou d’investissement financier. Les investissements de NY HAVANA sont fructifiant sans toutefois être à l’abri des baisses éventuelles. Il est important de constater les causes de cette fluctuation de la rentabilité financière et d’en déduire des solutions, cela fait l’objet de ce dernier chapitre. Par l’analyse des données dans le second chapitre, nous pourrions conclure si la Compagnie atteindra l’objectif qui est l’amélioration de la performance financière. Ce chapitre va diagnostiquer les activités, les investissements et les environnements afin de pouvoir avancer des recommandations.

Les discussions

Les points forts et points faibles de la Compagnie sont les finalités de la discussion. Le cadrage global de fonctionnement va être apprécié ainsi que les forces et les faiblesses par la méthode FFOM. Les différents critères d’analyse de performance consistent à diagnostiquer les causes de la baisse de la rentabilité financière. La détermination des forces et faiblesses se fera en fonction des ratios de performance financière.
Les hypothèses posées seront vérifiés afin de savoir si une bonne gestion de la trésorerie et des investissements conduisent à la performance financière. Nous avons observé une baisse de la rentabilité et une croissance faible des ratios d’évaluation de la performance financière dans le second chapitre. Ces détails feront d’ailleurs l’objet de la discussion et les solutions adéquates y afférentes feront celui de la recommandation.

Le diagnostic selon la méthode FFOM

Dans cette partie, nous allons analyser les environnements interne et externe de l’assurance et réassurance NY HAVANA en dégageant leurs forces et faiblesses ainsi que les opportunités et menaces que représentent ces environnements.

Le diagnostic de la gestion de la trésorerie de NY HAVANA

L’assurance et réassurance NY HAVANA a mis en place une bonne politique de gestion de la trésorerie qui est axé dans le maintien de l’équilibre de la trésorerie. Le logiciel de gestion de trésorerie permet de faciliter la gestion des encaissements et des décaissements. Les situations des comptes courants sont gérées à partir des supports papiers des « banques net ». Ce service que la banque offre est actualisé et il est important dans la prise de décision. La compagnie peut constater quotidiennement leur situation bancaire. Le sursis des chèques émis est plus ou moins maitrisé par le rapprochement bancaire. Le contrôle des chèques qui ne sont pas encore présentés à l’encaissement est d’une importance capital pour éviter les chèques sans provisions. Même si les dates de valeurs ne sont pas données, le responsable a pu dresser un tableau récapitulatif des ces dates à partir des relevés bancaires. Cette politique de gestion et le processus de prise de décision donne un résultat positif puisque la trésorerie de la compagnie affiche le plus souvent un solde excédentaire. En générale, la gestion quotidienne est efficace.
La prévision de la trésorerie manque à la gestion de trésorerie de NY HAVANA. Effectivement, la compagnie traite sa trésorerie au jour le jour, elle n’effectue pas de budget de trésorerie. Par définition, le budget de trésorerie est une prévision des dépenses et des recettes, établi mensuellement pour une durée d’un an. Le budget de trésorerie permet d’anticiper et de faire face au problème de trésorerie. Il permet, en général:
D’évaluer les besoins de financement et négocier les lignes de crédit à court terme nécessaire au bon fonctionnement de l’entreprise
De vérifier la capacité de la trésorerie à absorber les actions prévues (augmentation du BFR, investissement, …)17
La principale dépense des Compagnies d’Assurance est le payement des sinistres des assurés. Les sinistres ne sont pas prévisibles, il est impossible de prévoir la date à laquelle un accident aura lieu. Les sociétés d’assurance devraient avoir des soldes en caisse ou en banque afin de remplir ses engagements envers les assurés. C’est pourquoi NY HAVANA ne dresse pas de budget de trésorerie, mais cela ne représente un grand facteur de blocage car à travers nos évaluations, leur trésorerie est bien gérer.
Même si NY HAVANA ne dresse pas de budget de trésorerie, sa trésorerie est bien gérer. Elle a pu éviter le déficit et arrive à dégager des excédents qui vont être investi sous forme financier ou immobilier. Les investissements financiers tels que le Bon de Trésor et le Dépôt à Terme auprès des banques sont des dépôts à cours terme. Les sommes investis sont rémunéré à moins d’un an. Par conséquent, les montants investis ne sont pas bloqués trop longtemps, ce qui permet à la Compagnie de disposer de liquidité en cas de besoin. Le BTA et le DAT présente à la fois des menaces et opportunité pour NY HAVANA.

Les recommandations

Cette section nous permettra d’infirmer ou de confirmer la véracité des hypothèses fixées. Afin de solutionner les problèmes de la Compagnie et de faire face à leur environnement, quelques recommandations y sont avancées. Ces recommandations ne concernent pas que les fonctions trésorerie et finances, afin d’atteindre l’objectif qui est l’amélioration de la performance financière toutes les fonctions de la Compagnie sont concernées.

La validation des hypothèses

La confirmation ou l’infirmation de nos hypothèses dépendra de leur capacité à répondre à la problématique posée au début de notre étude. Rappelons que nos hypothèses de départ sont: la bonne gestion de la trésorerie conduit à la performance financière l’investissement des excédents de la trésorerie est la clé de la performance financière.
La gestion quotidienne de la trésorerie de l’Assurance et Réassurance NY HAVANA respecte les conditions de la bonne gestion. Elle se traduit par la gestion des flux de la trésorerie, la gestion des banques et le suivi de la trésorerie. Les documents relatifs aux comptes courants tels que le rapprochement bancaire ou la situation des comptes et le logiciel sont les outils qui facilitent la gestion de la trésorerie. La politique mise en place tend à respecter le principe de l’équilibre de la trésorerie. L’expérience des responsables de la trésorerie et les processus de prise de décision ont pour objectif d’éluder les déficits de la trésorerie. Ainsi, l’équilibre le la trésorerie est respecté. La compagnie présente une bonne gestion de la trésorerie.
La trésorerie de NY HAVANA est excédentaire. Les excédents de la trésorerie sont investis. Ces investissements peuvent être financiers ou immobiliers, d’ailleurs les investissements sont des obligations des Compagnie d’Assurance. NY HAVANA s’est lancée dans la construction des immeubles et les investissements financiers tels que les DAT, BTA, prêt hypothécaire et placement.
A présent, évaluons la performance financière de NY HAVANA :
Elle couvre sept fois le minimum de solvabilité
Elle a une rentabilité économique : une évolution du chiffre d’affaires est enregistrée de 2010 à 2013, le ratio affiche un résultat positif
Elle a une rentabilité financière : les ratios affichent un résultat positif
NY HAVANA est financièrement performante. Par conséquent, la politique de gestion de la trésorerie que NY HAVANA a mise en place et les investissements des excédents de la trésorerie ont conduis à la performance financière.
La première hypothèse stipulant que « la bonne gestion de la trésorerie conduit à la performance financière » est vérifiée.
La seconde hypothèse énonçant que « l’investissement des excédents de la trésorerie est la clé de la performance financière » est vérifié.
Les hypothèses sont vérifiés et validées : une bonne gestion quotidienne de la trésorerie et l’investissement des excédents de la trésorerie mène à une performance financière.

Les recommandations

Après avoir validé notre hypothèse, nous pouvons maintenant affirmer que les hypothèses conduisent à l’atteinte l’objectif. Ainsi, les gestions de la trésorerie et les investissements des excédents sont les clefs de la performance financière. Les solutions que nous allons proposer ci-dessous vont encore améliorer d’avantage la performance financière de la Compagnie NY HAVANA.

L’établissement de budget de trésorerie

Afin d’anticiper et de faire face au problème de la trésorerie, le budget de trésorerie devrait être dressé. Chaque poste de l’encaissement et décaissement a ses propres particularités.
Certains sont prévisibles et prédéfinies, d’autres dépendent de la situation en cours. Dans le secteur de l’assurance, il est difficile de prévoir les sinistres mais il existe pourtant une possibilité qui permettra d’envisager les sinistres à payer. Il s’agit de prévoir les sinistres à payer à partir des sinistres payés des exercices précédents. Les payements antérieurs des sinistres pourraient être la base de prévision des sinistres à payer. En plus leurs payements ne sont pas immédiats. La durée entre la survenu des accidents et l’indemnisation est fonction de l’étude des experts et de la gravité ou le type de l’accident. Une liste des sinistres à payés devrait être dressé dès que les accidents surviennent par le département des études. Cela permettrait d’établir un budget de trésorerie. Voyons les postes de recettes et dépenses afin de voir leurs dates probables d’échéance.

L’optimisation des investissements

Les investissements immobiliers et financiers d’une Compagnie d’Assurance sont réglementés par le code des assurances. NY HAVANA, pour sa part, bénéficie des fruits de leurs investissements ; toutefois, de certains qui ne génèrent pas de profit. Il est donc nécessaire de les optimisés. Concernant les participations de NY HAVANA, celle ci ne reçoit pas de dividendes dans des entreprises dont elle est actionnaire. Le retrait ou la vente des actions infructueuses sont à considérer si les pertes sont persistantes. Par contre, les actions dans les entreprises performantes devraient être multipliées, par exemple, par participation à l’augmentation de capitale de ces sociétés. Des placements dans des nouvelles sociétés sont suggérés. De ce fait, les bénéfices et la rentabilité financière augmenteront d’avantages.
Au niveau des investissements auprès des banques primaires, NY HAVANA entretient une relation de confiance avec ces banques. En plus, les Dépôt à Termes génèrent des profits considérables à la compagnie. La confiance entre les deux parties profite à la compagnie, elle nécessite d’être entretenu. Les investissements par les DAT devraient être maximisés, et d’autres types d’investissement auprès des banques primaire sont mêmes à envisager comme l’ »Open market ». C’est une forme d’investissement à court terme (mois d’un mois). Le cycle des investissements sera plus court. Les dépôts à court terme augmenteront d’avantage le rendement des investissements financiers.
Afin d’optimiser les investissements financiers de NY HAVANA, un comité interne de « gestion intégrée des risques » devrait être mis en place. Il serait composé du Directeur Général, des Directeurs de département et des Directeurs des agences.
Le comité a pour objectif de gérer les risques sous tous ses aspects :
 Risques de l’assurance : risques que la compagnie ne remplisse pas ses engagements vis-à-vis des assurés et par rapport au code des assurances. Le comité veillera à ce que les produits d’assurance soient actualisés.
 Risques sur les crédits : veille à ce que la contre partie (les clients ou les partenaires) honore ses engagements ou les faits en temps voulu.
 Risques sur le marché : gérer les fluctuations de la valeur des rendements des investissements et la variation des taux d’intérêt ; trouver le meilleur placement pour la Compagnie
 Risques opérationnels : veillez à ce que les structures (humain, matériel et financier) soient flexibles pour faire face au changement de l’environnement.
Par conséquent, les investissements financiers seront bien étudier et planifier. Ils seront effectués au moment opportun et les risques seront minimisés. D’ailleurs ce sont les principales sources de profit de NY HAVANA.
Les investissements immobiliers ne génèrent que des profits pour la Compagnie NY HAVANA. La construction d’un édifice de taille est un grand investissement mais bénéficiaire. La construction d’un autre immeuble de la taille du bâtiment NY HAVANA dans la zone des 67 Ha devrait figurer dans l’objectif de la Compagnie. Cet objectif doit être accompagné par l’augmentation des recettes ou le chiffre d’affaires.

L’augmentation du chiffre d’affaires

L’augmentation du chiffre d’affaires consiste à agrandir le nombre de la clientèle. La fidélisation les clients et la recherche des nouveaux clients (prospection) font partie des actions à entreprendre. Après avoir conclut un contrat, un suivi des clients est utile pour qu’ils ne manquent pas de payer les primes. Le commercial peut profiter de l’occasion pour proposer aux clients d’autre produits et ainsi de les fidéliser. Ces derniers aiment qu’on s’occupe d’eux. La fidélisation est une occasion de vendre des produits supplémentaires ou complémentaires et réduiront les arriérés.
En même temps l’assurance devrait investir dans la prospection ou la recherche de nouveau client. La population Malagasy n’est pas habitué à la souscrire un contrat d’assurance. Elle juge inutile le fait d’être assuré. Afin de persuader des clients potentiels, il faudrait d’abord connaitre leurs besoins. Une étude comportementale des besoins s’impose afin de proposer des produits adaptés aux exigences des futurs clients. En plus, la concurrence est rude et les besoins changes, les offres doivent être compétitives. La recherche de nouveau client devrait être précédée par l’étude des besoins des clients et aussi une étude des concurrents ou veille concurrentiel. Le but de ces études est d’offrir un produit « sur mesure » aux clients, et de rester compétitif sur le marché.
Selon PORTER, « l’innovation est la clé de la compétitivité des entreprises puisqu’elle conditionne leur capacité à maintenir des avantages concurrentiels durable sur des marchés évolutifs »19. L’innovation peut se présenter sous plusieurs formes:
 Organisationnelle : nouvelle façon de diriger, être toujours à l’écoute des clients et réactif au changement des besoins des personnes physiques et/ou morales.
 Commerciale : recherche de nouveau débouché, explorer les couches sociales qui ne sont pas intéressés par l’assurance.
 Technologique : afin de se lancer dans les secteurs qui marchent bien et en plein essor actuellement à Madagascar, il est nécessaire d’installer un réseau qui relie tous les agences et le siège. Les clients peuvent effectuer leur versements de primes où qu’ils soient et les activités seront effectués en temps réel.
Le coût de l’innovation est important et il faut donc bien étudier le rendement avant de se lancer. C’est d’ailleurs l’avantage de l’instauration d’un « département étude ».

La diminution des primes cédées

Les assureurs ne peuvent pas travailler seuls et payer eux même la totalité des sinistres. Ils doivent partager les risques avec des réassureurs. En contre partie une partie des primes est cédée aux réassureurs. Les primes cédées sont fonction de l’évaluation des sinistres maximum possibles. Plus le sinistre maximum possible est élevé plus les primes cédées seront moins et le chiffre d’affaires de la compagnie diminue. L’évaluation des SMP est vitale dans les activités d’assurance. Cette tâche ne devrait pas seulement être attribuée aux agences. Un département interne et permanent devrait en être en charge. Il veille à ce que les sinistres ne sont pas surévalués ou sous-évalué. Les sinistres devraient régulièrement être régularisés.
Lorsque nous parlons d’une diminution des primes, nous évoquons aussi l’augmentation de la part des sinistres que la Compagnie prend en charge. Une négociation est possible entre le réassureur et l’assureur sur le pourcentage des sinistres partagé. Si la Compagnie NY HAVANA indemnise seulement 40% des sinistres, elle peut proposer d’accroitre leur part à 60%. Mais avant de faire une telle négociation, la Compagnie doit assurer qu’elle est capable de pouvoir l’assumer. Une étude s’impose puisque la décision va dépendre de plusieurs facteurs tels que l’évolution du chiffre d’affaires, la fréquence des sinistralités ou les Sinistres Maximum Possible. Ainsi, une politique d’accroissement du chiffre d’affaires ou de juste évaluation des sinistres doit précéder la décision de hausser la part des sinistres que la Compagnie prendra en charge. Si les Sinistres Maximum Possibles seront bien évaluer et la part des risques prise par NY HAVANA seront augmenter, alors les primes cédés diminueront.

Tirer profit des opportunités

Les produits d’assurances ne sont pas encore des produits de consommation de masse. Les malgaches ne sont pas encore habituer à souscrire des polices d’assurance ou ne connaisse même pas l’existence de certaines branches. Ils pensent que la c’est du vol mais nul n’est à l’abri du danger. Quand les accidents surviennent, c’est la Compagnie qui va prendre les frais de dédommagement en charge. La souscription d’un contrat d’assurance est avantageuse pour les assurés. Ainsi, une nouvelle approche de communication est nécessaire pour, en quelques sortes, vulgariser les produits d’assurances. Les compagnes de communications devront avoir pour but non seulement de faire connaitre les produits, mais aussi de sensibiliser les cibles.
La Compagnie d’Assurance NY HAVANA peut promouvoir des coopérations avec divers entités privée ou publique. La « Banque-Assurance » est une forme de collaboration entre les Compagnie d’assurance et les banques. Cette coopération donne l’opportunité d’offrir des nouveaux produits plus intéressants aux clients des banques. En plus des offres bancaires ordinaires, les clients peuvent bénéficier d’une branche d’assurance : l’ouverture des comptes bancaires ou la souscription à des prêts bancaires peuvent s’associer avec les assurances maladie ou retraite. Ces produits innovants vont promouvoir, en même temps, les produits bancaires et les produits d’assurance.
L’environnement économique national offre des opportunités à saisir. Actuellement, le secteur primaire est en plein effervescence. Nombreux sont les cites d’extraction minières dans le pays, comme l’exploitation de Nickel et de Cobalt à Ambatovy, l’exploitation de sables minéralisés à Fort-Dauphin…, que NY HAVANA peut en tirer avantage. La Compagnie se doit d’être attentive et réactive vis-à-vis de l’environnement afin d’offrir des produits appropriés aux entreprises d’exploitations minières.
La création de nouvelles entreprises sont aussi favorisée par l’Etat afin d’accomplir la politique de réduction des taux de chômage. Les jeunes entrepreneurs sont encouragés à construire leurs propres sociétés afin de créer de nouveaux emplois. Il est possible d’instaurer une collaboration avec les institutions de micro crédits qui sont les acteurs principaux dans l’octroi de fonds pour ces entrepreneurs. La réouverture des marchés internationaux et régionaux favoriseront les exportations et importations. Les assurances dans la branche aérienne et maritime ont une grande opportunité de s’accroitre.

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Table des matières

INTRODUCTION
CHAPITRE I : LES MATERIELS ET LES METHODES
Section I : Les matériels
1.La zone d’étude et justification du choix
1.1.Le secteur de l’Assurance à Madagascar
1.2.La Compagnie d’Assurance et de Réassurance NY HAVANA
1.3.Les justifications du choix de l’entreprise
2.Le cadre théorique
2.1.La gestion de la trésorerie
2.2.La performance financière
3.Les outils utilisés
3.1.Les données primaires
3.2.Les données secondaires
Section II : Les méthodes
1.Les méthodes de collecte des données
1.1.Le questionnaire
1.2.L’entretien
2.La méthode de traitement des données
2.1.Le plan de rédaction
2.2.Le traitement des données
CHAPITRE II : LES RESULTATS
Section I : La gestion de trésorerie de l’Assurance NY HAVANA
1.La gestion quotidienne de la trésorerie
1.1.L’approche de la gestion de la trésorerie
1.2.La gestion des banques
1.3.Le suivi de la trésorerie
2.Le maintien de l’équilibre de la trésorerie
2.1.Les déficits de la trésorerie : à éviter
2.2.Les investissements des excédents de la trésorerie
Section II : L’évaluation de la performance financière
1.La solvabilité
2.La rentabilité économique
2.1.L’évolution du chiffre d’affaires
2.2.Le ratio de la rentabilité économique
3.La rentabilité financière
3.1.Le ratio de la rentabilité financière
CHAPITRE III : LES DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
Section I : Les discussions
1.Le diagnostic selon la méthode FFOM
1.1.L’environnement interne
1.2.L’environnement externe
2.Le diagnostic de la gestion de la trésorerie de NY HAVANA
3.Le diagnostic des indicateurs de performance financière
Section II : Les recommandations
2.Les recommandations
2.1.L’établissement de budget de trésorerie
2.2.L’optimisation des investissements
2.3.L’augmentation du chiffre d’affaires
2.4.La diminution des primes cédées
2.5.Tirer profit des opportunités
CONCLUSIONS
BIBLIOGRAPHE-WEBOGRAPHIE

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