La communication en entreprise

La communication en entreprise

Le capital social

Le concept de lโ€Ÿapprentissage est en relation avec celui du capital social ; ce terme trรจs utilisรฉ dans les sciences sociales connait une hรฉtรฉrogรฉnรฉitรฉ dans sa dรฉfinition et la rend difficile et ambigรผe (Cucchi et Fuhrer,2011).

Dรฉfinitions

(Bourdieu ,1980,1985) a dรฉfini le capital social par lโ€Ÿappartenance au groupe composรฉ de membres avec des propriรฉtรฉs communes unis par des liens utiles et permanents ; le volume du capital social dโ€Ÿun individu dรฉpend de la densitรฉ, de lโ€Ÿenvergure et des relations du rรฉseau auquel il appartient mais aussi du capital social de ceux avec lesquels est en relation ; Bourdieu a utilisรฉ cette conception du capital social dans son interprรฉtation du pouvoir oรน les relations sociales sont un moyen pour lโ€Ÿindividu pour augmenter ses propres intรฉrรชts ;
Pour (Putnam ,1993,1995) le concept du capital social est dรฉfini par trois รฉlรฉments qui sont les normes et les obligations morales, les valeurs sociales (la confiance en particulier) et les rรฉseaux sociaux, cโ€Ÿest ainsi que le capital social facilite la coopรฉration et la coordination et aide au dรฉveloppement des bรฉnรฉfices mutuels ; le capital social a une influence positive sur la performance รฉconomique et aide ร  une meilleure intรฉgration sociale, Putnam prรฉcise que la confiance est un facteur central qui permet de dรฉvelopper le capital social, cette confiance รฉmerge des interactions et dโ€Ÿattentions rรฉciproques et permet de dรฉvelopper de bonnes actions qui seront rรฉcompensรฉs par le dรฉveloppement de relations communes. Elle est utile lorsquโ€Ÿon se trouve dans des environnements risquรฉs et complexes caractรฉrisรฉs par la contingence et oรน les rรฉactions des partenaires son difficile ร  prรฉvoir ou ร  anticiper. (Burt,1992) dรฉfinit le capital social dโ€Ÿun point de vue relationnel qui ne concentre pas sur les caractรฉristiques individuelles, le capital social se rapproche et dรฉpend du capital relationnel quโ€Ÿest le nombre dโ€Ÿamis, de partenaires, des collรจgues โ€ฆLโ€Ÿutilitรฉ du capital social dรฉpend de ce que Burt a qualifiรฉ de ยซ trous structuraux ยป , dans une relation triangulaire (Figure -12) on dit quโ€Ÿil y a un trou structural lorsquโ€Ÿil y a absence de relation (non relationship) entre deux des trois individus ce qui met de lโ€Ÿindividu au centre en position de pouvoir puisquโ€Ÿil possรจde lโ€Ÿinformation de qualitรฉ et contrรดle la relation entre les deux autres. Par contre, les individus qui se connaissent de faรงon directe ou indirecte sont considรฉrรฉ comme redondants et sont en position ยซdโ€Ÿรฉquivalence structurale ยป, pour Burt cโ€Ÿest la non-redondance des acteurs qui permet de multiplier les sources dโ€Ÿinformations et permet la mise en oeuvre de formes de contrรดle.

Mesure du capital social

Le concept du capital social est donc utilisรฉ dans plusieurs disciplines, (Putnam,1995,2004) considรจre que ce concept est encore en construction; En gestion ce concept se rรฉfรจre essentiellement ร  la gestion des connaissances, (Nahapiet et Ghoshal,1997,1998) ont dรฉfini le capital social comme รฉtant la somme des ressources potentielles disponibles et venant du rรฉseau des relations que possรจde un individu ou une unitรฉ sociale ; cette dรฉfinition rend compte de la dimension structurelle du rรฉseau ainsi que les ressources qui y sont mobilisรฉes, les deux auteurs ont dรฉfini trois dimensions qui dรฉfinissent le capital social : la structurelle , la relationnelle et la cognitive.

La dimension structurelle

La dimension structurelle rend compte au modรจle quโ€Ÿutilise les acteurs en se connectant, ceci inclut les liens par le rรฉseau, la configuration de ce rรฉseau en ce qui concerne la densitรฉ, la connectivitรฉ โ€ฆ Pour (Burt ,1992), la dimension structurelle peut รชtre dรฉfini comme รฉtant lโ€Ÿensemble des connexions qui existent entre les acteurs en regard ร  la rรฉponse ร  la question : qui pouvez vous atteindre ? et comment que vous pouvez les atteindre ? Il a proposรฉ des modรจles de rรฉseaux (Burt,1982) dont la plupart mesure lโ€Ÿintรฉgration sociale, on considรจre quโ€Ÿun agent est isolรฉ sโ€Ÿil nโ€Ÿa pas de relations avec les autres acteurs du systรจme (Cucchi et Fuhrer,2011) ; (Degenne et Forsรฉ,1994) considรจre que la structure du rรฉseau contraint les choix, les comportements , les opinions โ€ฆ des agents, la structure explique en quelque sorte les phรฉnomรจnes survenus dans le rรฉseau. ; enfin (Cucchi et Fuhrer,2011) considรจrent comme le fait (Nohria,1992) que les rรฉseaux sont plutรดt des processus du moment quโ€Ÿils sont formรฉes et rรฉformรฉs de maniรจre continue et cela par les actions des acteurs qui ร  leur tour sont contraint aussi par cette structure.

La dimension cognitive

La communication entre acteurs nโ€Ÿaura de sens que si elle vรฉhicule une connaissance partagรฉe ; Cโ€Ÿest cette connaissance mise en commun qui constitue la dimension cognitive, elle se rรฉfรจre aux ressources qui assure la comprรฉhension commune des diffรฉrentes reprรฉsentations, des histoires et des codes, et permettent un langage commun. Pour (Nahapiet et Ghoshal,1997) cette dimension cognitive peut se mesurer ร  travers 3 aspects : – Le langage et les codes partagรฉs : Le langage assure une fonction fondamentale dans les relations sociales puisquโ€Ÿil constitue le moyen ร  travers lequel les personnes รฉchangent leurs idรฉes et leur permet de se contacter aisรฉment. – Les histoires partagรฉes : Les histoires, les mรฉtaphores donnent aux groupes des moyens efficaces pour sโ€Ÿexprimer et user dโ€Ÿun systรจme riche en signification ; les mรฉtaphores permettent une combinaison des compรฉtences dโ€Ÿimagination, de cognition et dโ€Ÿobservation ; Les histoires amรฉliorent aussi les pratiques en assurant la sauvegarde et le partage des connaissances tacites.
– Les connaissances tacites partagรฉes : on distingue souvent entre connaissances explicites qui sont codifiables et facilement transmissible, et connaissances dites ยซ tacites ยป, ces derniรจres doivent รชtre co-construites par les acteurs, elles sont de nature ambigรผe, complexe et peuvent donner sur une confusion (Aguilera ,2011).

La dimension relationnelle

Pour la dimension relationnelle, celle-ci se rรฉfรจre aux diffรฉrentes capacitรฉs utilisรฉes ร  travers les relations et inclut diffรฉrents attributs tels que les normes, la confiance, lโ€Ÿimplicationโ€ฆ; la dimension relationnelle est multiforme et concerne plusieurs aspects, elle est liรฉe ร  des phรฉnomรจnes et comportements divers tel que la fidรฉlitรฉ, lโ€Ÿimplication, lโ€Ÿengagement, et peut apparaitre sous des formes de relations de pouvoir et dโ€Ÿautoritรฉ.

Lโ€™apprentissage

Lโ€Ÿapprentissage organisationnel, comme on lโ€Ÿappelle communรฉment, peut รชtre dรฉfini comme ร  la fois constitutif, dรฉterminant et aussi rรฉsultat du parcours de la crรฉation, la transformation et la gestion des savoirs et des connaissances dans lโ€Ÿorganisation. Un enjeu majeur de cette transformation demeure le lien รฉtroit qui existe lโ€Ÿapprentissage dโ€Ÿun individu ou dโ€Ÿun groupe et celui de lโ€Ÿorganisation toute entiรจre, ce qui fait que lโ€Ÿexpรฉrience acquise par un ou plusieurs individus nโ€Ÿest pas forcรฉment transmise ร  toute lโ€Ÿorganisation. (Gravel,2010) . Les รฉtudes sur lโ€Ÿapprentissage se caractรฉrise par une typologie qui a trait au sujet de lโ€Ÿapprentissage (Filol,2009). Lโ€Ÿobjectif รฉtant de comprendre ce qui donne ร  lโ€Ÿapprentissage le caractรจre organisationnel, deux pistes sont envisageables, chacune correspond ร  une approche distincte : lโ€Ÿune qui considรจre que lโ€Ÿapprentissage est organisationnel quand le sujet est lโ€Ÿorganisation elle-mรชme, lโ€Ÿautre stipule que lโ€Ÿapprentissage est organisationnel quand lโ€Ÿapprentissage dโ€Ÿun membre aura un effet sur lโ€Ÿorganisation tout entiรจre (Filol,2009).
Lโ€Ÿapprentissage organisationnel est en effet celui des acteurs de lโ€Ÿorganisation, il est actualisรฉ et modifiรฉ en dรฉpassant les limites dโ€Ÿun seul individu pour se diffuser et influencer tout les pratiques des diffรฉrents acteurs de maniรจre systรฉmique. Cโ€Ÿest ainsi et ร  cause de cette รฉtroite relation que les dimensions sociales et culturelles de lโ€Ÿorganisation seront dโ€Ÿimportance du moment que lโ€Ÿapprentissage organisationnelle ne se limite pas ร  la somme des savoirs des individus mais quโ€Ÿil est le rรฉsultat de leurs interactions qui dรฉbouchent sur la co-construction des savoir communs. La dimension organisationnelle de lโ€Ÿapprentissage dรฉpend du rรฉseau dโ€Ÿinterrelations qui se dรฉveloppe ร  travers les pratiques professionnelles. Le tissu social de lโ€Ÿorganisation est le milieu favorable ou nait et se dรฉveloppe lโ€Ÿapprentissage organisationnel et constituera le moteur principal qui incitent les acteurs ร  sโ€Ÿengager dans la pratique (Wenger,1996). La littรฉrature qui traite le phรฉnomรจne dโ€Ÿapprentissage organisationnel indique que cet apprentissage nโ€Ÿapparait quโ€Ÿau moment oรน les acteurs de lโ€Ÿorganisation se trouvent face ร  un problรจme et tentent dโ€Ÿen trouver une solution (Gravel,2010) ; face ร  un รฉcart entre rรฉsultats obtenus et rรฉsultats escomptรฉs les acteurs dรฉclenchent un processus de rรฉflexion et dโ€Ÿaction qui tente de rรฉorganiser les activitรฉs dans le but de rapprocher les rรฉsultats obtenus de ceux escomptรฉs ; ceci donne une idรฉe sur le rรดle fondamentale des acteurs de lโ€Ÿentreprise dans le dรฉveloppement de lโ€Ÿapprentissage organisationnel. (Gravel,2010) considรจre les diffรฉrentes formes de connaissances organisationnelles comme รฉtant des ยซ thรฉories dโ€Ÿactions ยป pour lโ€Ÿentreprise, cโ€Ÿest ce que lโ€Ÿorganisation a lโ€Ÿintention de faire ; mais dans la rรฉalitรฉ et en regardant ce que rรฉalise lโ€Ÿorganisation vraiment on trouve dโ€Ÿautres thรฉories dites ยซ dโ€Ÿusage ยป qui influent sur les habitudes de travail au quotidien et oรน les astuces de travail sont continuellement rรฉinventรฉ ; ces thรฉories dโ€Ÿusage qui sont de nature implicite sont faites de valeurs et de stratรฉgies et sont enracinรฉs dans les routines du travail.

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Table des matiรจres

Introduction gรฉnรฉrale
CHAPITRE I Communication et groupes dans lโ€™entreprise
Introduction
Section I : La communication en entreprise
1. Dรฉfinition et approches sur la communication
1.1 Les multiples facettes de la communication
1.2 La communication constitue ร  la fois : lโ€™acte, lโ€™objet et le moyen
1.3 Les grandes รฉcoles de la communication
1.3.1. Shannon et la thรฉorie de lโ€™information
1.3.2. Wiener et la cybernรฉtique
1.3.3. Analyse du langage dans la communication
1.3.4. Lโ€™รฉcole de Palo Alto, le collรจge invisible
1.3.5. Lโ€™analyse transactionnelle
1.3.6. La programmation neurolinguistique
2. La communication dans lโ€™entreprise
2.1. Lโ€™entreprise et la transmission dโ€™information
2.2.1. Les types dโ€™information
2.2.2. Les flux dโ€™information
2.2.3. Les supports de transmission
2.2.4. Les cibles
3. Lโ€™organisation comme systรจme de communication
3.1. Lโ€™Organisation : tendances thรฉoriques
3.1.1. Lโ€™organisation scientifique du travail
3.1.2. Les relations humaines
3.1.3. La contingence : lโ€™organisation dรฉpendant de son environnement
3.1.4. Lโ€™analyse stratรฉgique des organisations
3.2. Systรจme, redondance et contraintes
3.3. Lโ€™organisation comme systรจme de communication
3.4. Lโ€™organisation comme ensemble de figures de rรฉgulation
3-4-1. Lโ€™homรฉostasie
3-4-2. Les figures de rรฉgulations
3-4-3. Hiรฉrarchie et rรฉgulations
3-4-4. Rรฉgulations et dysfonctionnement
4. La problรฉmatique de la communication dans lโ€™entreprise
4.1. Efficacitรฉ et illusions de lโ€™acte de communication
4.2. Statut du service de communication interne (SCI)
Section II : Les groupes et la communication
1. Notion de groupe
2. Aperรงu historique
3. Conditions dโ€™apparition de groupe
3-1. Lโ€™existence du besoin chez chaque membre
3-2. Le sentiment de lโ€™interdรฉpendance
3-3. La conscience de lโ€™existence dโ€™un but commun
3-4. Lโ€™apparition des relations entre membres
3-5. Le sentiment de lโ€™appartenance
3-6. Les รฉlรฉments externes
4. Propriรฉtรฉs principales du groupe primaire
5. Communication intergroupe
5-1. Organisation et communication
5-2. La taille du groupe
5-3. Les rรฉseaux de communication
5-4. La structure du groupe
5-5. Nature de tรขche et organisation
5-6. Les relations affectives dans le groupe
5-7. Coopรฉration et compรฉtition
5-8. Les contraintes organisationnelles
6. Socialisation et apprentissage
6-1. La socialisation
6-2. Les rรฉseaux sociaux
6-3. Le capital social
6-3-1. Dรฉfinitions
6-3-2. Mesure du capital social
6-4. Lโ€™apprentissage
6-4-1. Les Communautรฉs de pratique
6-4-2. Le ba
Conclusion
CHAPITRE II E-mail et communication intergroupe
Introduction
1. La communication รฉlectronique en groupe
1-1. Communautรฉ virtuelle ?
1-2. Quโ€™est ce qui fait lien ?
2. Le choix de lโ€™E-mail
2-1- Explications de l’usage de l’e-mail ร  travers les thรฉories de communication
2.1.1. Thรฉories relatives aux facteurs contingents
2.1.1.1. Thรฉorie de la prรฉsence sociale
2.1.1.2. Thรฉorie de la richesse des mรฉdias
2.1.2. Thรฉories relatives aux facteurs de situation
2.1.2.1. Thรฉorie de lโ€™interactionnisme symbolique
2.1.2.2. Thรฉorie de lโ€™expansion du canal
2.1.3. Explications basรฉes sur lโ€™influence sociale et les propriรฉtรฉs รฉmergentes du mรฉdia
2-2- Facteurs dรฉterminants lโ€™usage de lโ€™E-mail
2.2.1. Le rรดle du contexte de lโ€™entreprise
2.2.2. Le rรดle du contexte organisationnel
2.2.2.3. Lโ€™aspect stratรฉgique des TIC
2.2.3. Le rรดle du contexte personnel
2-3- E-mail et autres moyens de communication : choix et utilisation
2-3-1- Usage de lโ€™E-mail
2-3-2- Recours ร  lโ€™utilisation de lโ€™e-mail : complรฉmentaritรฉ ou substitution ?
3. Usage de lโ€™e-mail, intรฉrรชts et limites
3.1. E-mail, intรฉrรชts et limites
3.1.1. Caractรฉristiques de lโ€™e-mail
3.1.2. La relation avec le temps et lโ€™espace
3.1.3. Gestion des messages
3.1.4. Gestion de lโ€™aspect relationnel
3.2. E-mail, et communication hiรฉrarchique et non hiรฉrarchique
3.2.1. Utilisation de lโ€™e-mail dans la communication hiรฉrarchique
3.2.1.1. La visibilitรฉ รฉlectronique
3.2.1.2. Lโ€™accessibilitรฉ รฉlectronique ร  la hiรฉrarchie
3.2.1.3. Lโ€™aspect relationnel
3.2.2. Utilisation de lโ€™e-mail dans la communication non hiรฉrarchique
3.2.2.1. Lโ€™effet de la diffรฉrence dans lโ€™utilisation de lโ€™e-mail
3.2.2.2. Les รฉchanges et les consultations รฉlectroniques
3.2.2.3. La limite aux effets de premier niveau
4. Lโ€™e-mail et la collaboration au travail
4-1. La persistance
4-2. Lโ€™รฉditabilitรฉ
4-3. Lโ€™association
4-4. La visibilitรฉ
4-5. Lโ€™universalitรฉ
4-6. La plasticitรฉ
4-7. Comparaison
Conclusion
Deuxiรจme Partie Etude empirique de lโ€™utilisation de la messagerie รฉlectronique en communication intergroupe
CHAPITRE III Mรฉthodologie de recherche qualitative et description du modรจle de rechercheย 
Introduction
1. Positionnement รฉpistรฉmologique
1-1. La posture รฉpistรฉmologique
1-2. La dรฉmarche scientifique
1-3. Choix mรฉthodologique
2. ร‰laboration du modรจle de lโ€™รฉtude
2-1- Diversitรฉ
2-1-1- Facteurs relatifs au contexte de lโ€™entreprise
2-1-2- Facteurs relatifs au contexte organisationnel
2-1-3- Facteurs relatifs au contexte personnel
2-2- Utilisation de la messagerie รฉlectronique
2-3- La motivation
2-4- La participation
2-5- La Coconstruction
2-6- La Communication interpersonnelle
2-7- La rรฉsolution des problรจmes
2-8- La coopรฉration
2-9- Lโ€™appartenance au groupe
3. Elaboration du questionnaire
3-1. Prรฉparation des questions
3-2. Elaboration de lโ€™รฉchelle de mesure
3-3. Le prรฉ-test
3-4. Structure finale du questionnaire
3-5. Distribution du questionnaire
4. Etudes prรฉcรฉdentes
Conclusion
CHAPITRE IV Analyse de lโ€™รฉtude empirique
Introduction
1- Analyse descriptive de lโ€™รฉchantillon
2- Test des hypothรจses
2-1- Mรฉthodologie dโ€™analyse
2-2- Test de fiabilitรฉ
2-3- Description des diffรฉrentes variables
2-4- Lโ€™analyse de la variance
2-5- Le test des hypothรจses
Conclusion
Conclusion gรฉnรฉrale
Bibliographie et Annexes
Table des matiรจres

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