Bannière
La bannière du site est le premier impact visuel. Elle devait être immédiatement parlante pour que le client potentiel comprenne au premier regard qu’il est sur un site de vente de vins. Il y eut un long travail de recherche d’images libres de droits et gratuite. Le site fournissant l’image devait permettre l’utilisation à vocation commerciale.
Plusieurs pistes furent explorées. La première recherche porta sur une image de vignes mais il s’avère que cette image est fréquemment rencontrée sur les sites de cavistes. Il ne fallait pas engendrer la confusion. Le choix se porta sur une rangée de fûts de chêne. Cette image est représentative du vin et aussi d’un caviste. Comme l’entreprise propose des vins de qualité dont des grands crus et des vins de garde, l’image des tonneaux était porteuse de sens. Cela évoque le terroir, la conservation du vin et aussi une image de tranquillité. Le visuel reste ainsi évocateur tout en restant sobre. De plus, quoi de mieux qu’une image de cave à vin pour illustrer une entreprise s1 appelant « La Cave de Gillou » ?
Par ailleurs, au contraire d’une image de vignes aux composantes vertes difficiles à modifier avec un rendu convaincant, il était possible de jouer sur la gamme de couleurs d’une cave à vins.
L’image10 trouvée fut modifiée afin de la faire correspondre à la charte graphique (violet) et d’incorporer le nom de l’entreprise en respectant la police choisie par le commanditaire. Ainsi, le tire est, dans le CSS, en : font-family: »Edwardian Script ITC », Arial, Helvetica, Sans-Serif.
La police Edwardian Script ITC n’étant pas forcément présente sur tous les ordinateurs, cela permet au navigateur d’afficher tout de même le titre. En Helvetica s’il ne trouve pas le Edwardian Script ITC, en Arial s’il ne trouve pas le Helvetica, et en sans-serif par défaut (cette dernière police est la seule qui soit présente sur toutes les machines quelque soit leur ancienneté ou leur système d’exploitation)
Avoir inclus par le CSS le nom de la boutique à la bannière lui permet d’être reconnu par les moteurs de recherche au lieu de faire une simple incorporation sous un logiciel graphique de type GIMP. De plus, cela permet d’utiliser cette police d’un point de vue légal afin de conserver l’aspect élégant souhaité par les commanditaires.
Recherche d’hébergement
Respecter la contrainte du prix bas
Une fois de plus, l’expérience personnelle invita à sélectionner OVH. Travaillant sur deux autres sites avec leurs solutions d’hébergement, leurs services étaient jugés totalement satisfaisants.
Néanmoins, le but premier étant de minimiser les coûts, il fallut s’assurer qu’une offre équivalente moins chère ou gratuite n’existait pas. Par équivalent, il faut entendre pérenne, proposant une base de données et un système de connexion sécurisé.
Comparer les différentes solutions
OVH est l’un des plus gros hébergeurs mondiaux, il possède le plus grand nombre de serveurs en Europe . Il semblait logique d’y rencontrer une grande fiabilité.
Malgré tout, les offres gratuites furent étudiées pour finalement être rejetées. En effet, soit elles imposaient d’avoir de la publicité sur le site, ce qui semblait tout à fait inapproprié pour un site de e-commerce. Cela engendrait le risque de voir apparaître des publicités pour des concurrents ou des messages inadaptés au contenu du site et pouvant discréditer l’entreprise.
Une autre solution fut envisagée, celle des hébergements gratuits sans publicité avec un nom de domaine personnalisé. Cependant, il s’agit de réseaux proposant un hébergement afin de diffuser des idées et qu’un site commercial n’y a pas sa place. En effet, ce type de réseaux prône l’échange libre et gratuit et cela serait paradoxal pour eux d’accueillir un site marchand. De fait, cette dernière solution ne put être adoptée, sachant, de toute façon, que ces hébergeurs rencontrent un manque de fiabilité. Il n’est pas rare que ce type d’hébergeurs fasse faillite. Cela met immédiatement le site hors ligne, ce qui n’est pas acceptable dans le cadre d’un site commercial se veut fiable et sécurisé.
Il existe un autre type d’hébergement sans publicité et qui accepte tout type de sites mais cela impose souvent une URL de type wwxv.monsitehébergeurgrcituit.com. Or, il est capital de posséder pour la boutique une URL faisant immédiatement sens, que l’utilisateur puisse retenir facilement et/ou trouver sur un moteur de recherche. De plus, cela peut remettre en question la fiabilité du site aux yeux de certains et cette solution était donc à proscrire.
Le choix final de OVH
Après discussion avec le commanditaire, il fut admis qu’investir dans un hébergement était la meilleure solution. Cela permettait de s’assurer un trafic suffisant et une facilité de résolution des problèmes éventuels. La communauté OVH est active et les réponses rapides. Ainsi, une solution « pro » fut adoptée, avec une dépense annuelle de 77,58 euros TTC comprenant deux noms de domaines en .ff et .com réservés et protégés du vol et du WHOIS.
Mise en place d’un suivi (Web Analytics)
Pour poursuivre la mesure d’audience de l’entreprise, un script Google Analytics fut mis en place. Ce système permet de vérifier comment les internautes parviennent sur le site, quelles sont les pages les plus fréquentées et donc cela permet d’affiner le référencement et de mettre en avant ce que recherchent les utilisateurs.
Il s’agit d’un service gratuit très simple à mettre en place par l’ajout d’une balise dans la page d’accueil du site.
Etablissement d’une veille concurrentielle
En parallèle, une veille concurrentielle fut mise en place afin de surveiller la concurrence. Cela permit d’éviter de réitérer les erreurs rencontrées (manque d’information sur les livraisons, navigation confuse…) et d’étudier leurs tarifs afin d’être concurrentiel.
Pour les sites le proposant, une inscription aux newsletters a été faite pour permettre de décider de la teneur et de la fréquence d’envoi de celle de «lacavedegillou.fr »
Recherche d’une valeur ajoutée
Pour faire face à la concurrence, il fallait trouver quelque chose démarquant le site de l’entreprise des autres cavistes en ligne. Après quelques semaines passées au sein de l’entreprise, il fut évident que le relationnel était l’atout majeur de l’entreprise.
En effet, les clients entretiennent d’excellents rapports avec le caviste, l’appelant généralement par le diminutif de son prénom également nom de la boutique (Gillou) et le tutoyant facilement.
De plus, l’entreprise fait les marchés locaux pour promouvoir ses produits. Ici encore, c’est le relationnel qui est particulièrement mis en avant.
Ainsi, il fallait garder cet aspect interactif dans le site et il fut rapidement évident de mettre en place un blog. Il y a sans doute risque de voir l’usager s’abonner aux Flux RSS et ne pas visiter la boutique mais ce risque est à prendre pour marquer la différence. Dans tous les cas, l’activité sur le site sera propice au référencement naturel car plus un site est actif, avec du contenu pertinent, et au mieux il se positionne dans les moteurs de recherche.
Grâce au système de blog choisi, l’utilisateur doit s’inscrire pour laisser des commentaires sur les articles. En donnant son adresse mail, il accepte de recevoir des newsletters. Même si certains ne les liront pas et n’achèteront pas sur le site, cela peut permettre de faire fonctionner le bouche-à oreille et d’accroître Ye-reputation’ de la boutique.
La conjugaison du blog, des réseaux sociaux et du référencement semblent être une bonne combinaison pour l’essor du site. Elle reste à être confirmée dans le temps.
Préparation de la maintenance
Afin de permettre à l’entreprise de reprendre en main facilement le site, il a fallu organiser une formation et rédiger un guide de maintenance. Ce dernier explique pas à pas les démarches pour mettre à jour le site et le blog, les sauvegarder et mettre la boutique à jour. Il restera un appui post-formation afin d’assurer la pérennité d’une maintenance régulière.
Ce guide est visible en Annexe, il s’intitule « Guide de maintenance ». La formation, elle, s’effectuera en septembre 2010.
Le logiciel libre et Operi Source
Ce chapitre est consacré à la forme du site, c’est-à-dire tout ce qui touche à la réalisation technique du site, excluant son contenu, ainsi que les plateformes de diffusion de l’information en tant que telles. Ici seront questionnés plusieurs enjeux, notamment sur le libre. L’utilisation de logiciels libres, également gratuits dans notre cas, nous a permis de nous interroger sur le mode de fonctionnement de VOpen Source. Pourquoi choisir de laisser le code d’un programme disponible et accessible ?
Dans un premier temps où nous définirons ce qu’est un logiciel libre, ses origines et la situation actuelle. Par la suite, nous en analyserons les aspects positifs et négatifs puis nous chercherons à comprendre les enjeux du libre et l’économie qui y est liée.
Qu’est-ce qu’un logiciel ?
Afin de bien comprendre ce que signifie logiciel Open Source, il faut commencer par définir ce qu’est un logiciel, que l’on peut encore nommer programme ou application. Il s’agit donc d’un programme précis, suite d’instructions logiques dans un langage donné et qui permet de répondre à un besoin. Pour fonctionner, le logiciel a besoin d’un système d’exploitation (ou Operating System, ou OS) qui exécute les instructions du logiciel. A noter que ces systèmes d’exploitation peuvent être libres mais nous reviendrons sur ce point ultérieurement.
Les instructions d’un logiciel sont écrits en langage binaire (ou langage machine) et ne sont compréhensibles que pour la machine. De fait, pour la création d’un logiciel, on passe par un langage de programmation, compréhensible par l’humain, qui est ensuite traduit par un compilateur pour former du binaire.
C’est cette forme compréhensible qui est appelé « code source », ou « source du logiciel ». Il s’agit bien du logiciel intégral, mais dans sa version codée. L’autre version est la version binaire ou exécutable. Le code source est le mode de fabrication, le binaire est le résultat final. Savoir ce qu’est le code source nous permet donc de comprendre ce qu’est VOpen Source que nous allons définir par la suite.
Qu’est-ce qu’un logiciel libre?
On peut opposer le logiciel libre au logiciel propriétaire. Ce dernier est distribué sans son code source et l’utilisateur doit se contenter du produit final. Il est impossible de l’adapter à ses besoins, de tenter de comprendre son fonctionnement ou tout simplement de le partager.
Avantages et inconvénients du logiciel libre
Les atouts de l’Open Source
La première qualité d’un logiciel libre ne se situe pas dans ses qualités techniques mais dans l’idéologie de liberté qui y est rattachée. Liberté de partage, d’expression, de diffusion de l’information, au profit de tous. Ce mouvement va à l’encontre de l’individualisme en prônant le partage.
Cette notion de partage permet plusieurs points positifs tels que la liberté de distribuer des copies, la liberté d’apprendre en étudiant le logiciel, la liberté d’adapter le logiciel à ses besoins, tout en sachant que si un individu n’a pas les compétences techniques de le faire, la communauté est là pour proposer des améliorations. On trouve également la garantie d’un logiciel pérenne, toujours mis à jour et sécurisé par la correction permanente des erreurs.
Synthétisons ces différents points :
Etre dans la légalité : Les licences propriétaires sont généralement monopostes, c’est-à-dire que l’on ne peut installer le logiciel que sur une seule machine. Avec un logiciel libre, la licence est multi poste qu’elle soit gratuite ou payante. Mieux, la redistribution est encouragée. Ainsi, l’entreprise choisissant de se mettre au libre est assurée d’être dans la légalité car assuré de posséder une licence valide sur chaque poste de travail.
Coûts de mise en place : Les frais d’installation et de maintenance sont réduits.
De plus, l’utilisateur peut choisir aisément le fournisseur qui mettra le logiciel en place, il n’est pas obligé d’être attaché à l’entreprise qui détient un logiciel propriétaire. De fait, il peut mettre plusieurs entreprises en concurrence et s’équiper au meilleur coût, tout comme il pourra changer de fournisseur en cas de problème. Il contrôle aussi les passages à une version supérieure, pouvant choisir de ne pas installer les mises à jour et ainsi de réduire ses frais.
Interopérabilité : Les logiciels libres sont quasiment toujours aux normes du W3C. Ils fonctionnent avec des standards ouverts, il est facile pour l’utilisateur de passer à un autre logiciel si celui utilisé ne lui convient pas. Il peut même faire le choix de (re)venir à un logiciel propriétaire. Cela évite le phénomène du lock-in, soit l’enfermement auprès d’un unique fournisseur sans possibilité d’en changer sans frais lourds. Ces points son résumés par Franz Meyer, vice-président Europe et MoyenOrient de Red Hat, spécialiste des serveurs Linux :
« Les clients veulent retrouver avec le logiciel libre les garanties du logiciel propriétaire – garantie de stabilité des versions, certification d’interopérabilité avec les différents matériels et logiciels du marché.»
Demême, de gros groupes comme IBM deviennent militants du libre en mettant en avant l’interopérabilité afin de gagner de nombreux marchés .
Sans interopérabilité, on peut rencontrer des problèmes de mise à jour ou de changement de logiciels. L’exemple le plus connu est certainement celui de Microsoft Word. Le format .doc de Word est fermé mais tous les traitements de texte le lisent.
Néanmoins, en 2007, Word évolue et propose le .docx. Ce format n’est lu que par Word 2007 et versions supérieures. Par ailleurs, si les versions récentes permettent de lire les anciens formats, l’inverse n’est pas vrai.
L’équivalent libre de Word, Open Office gère le .doc, mais surtout est à l’origine du format OpenDocument qui est le premier standard à être approuvé par l’Organisation Internationale de Normalisation (ISO). Ce format est conçu pour devenir le format commun à toutes les suites bureautiques, afin qu’il soit simple de passer d’Open Office à un autre logiciel sans perte de données, ou de faciliter l’échange de documents malgré les logiciels différents des utilisateurs.
Accès au code source et droit de modification : Cela permet d’adapter ou de faire adapter le logiciel à ses propres besoins. Cela permet à la communauté de développeurs de proposer des patchs, des extensions, ou des plug-ins afin d’améliorer un logiciel. Ceux-ci n’étant pas nécessaires au bon fonctionnement du logiciel, l’utilisateur installe ceux qu’il souhaite et n’alourdit pas inutilement son programme.
Cela garantit également la transparence du logiciel, comme le suggère Chris Dibona, directeur du programme Open Source de Google : « Il est logique que l’Open Source effraient des éditeurs de logiciels, mais je pense qu ‘elle rend l’industrie plus honnête. »
Il précise également qu’il souhaite que les utilisateurs se servent des logiciels sans appréhension. Sécurité : Cet accès au code source engendre davantage de sécurité. En effet, comme un programmeur expose son code à la communauté, les failles d’un logiciel seront repérées et réparées rapidement. De plus, le nombre très important de développeurs travaillant sur un logiciel libre garantit sa pérennité dans le temps. Il n’y a presque pas de risques de voir le logiciel et ses mises à jour disparaître.
Néanmoins, si cela s’applique aux gros projets tels que Firefox, il en va différemment pour de petits logiciels, ce qui nous conduira par la suite à observer les inconvénients.
Effet de communauté : Il y a une grande communauté autour des logiciels libres, ce qui permet les qualités énoncées plus haut. Cela permet le développement rapide de logiciels, toujours mis à jour et à la pointe de la technologie actuelle pour un coût bien moins élevé que pour les logiciels propriétaires. On trouve en ligne de nombreux sites communautaires autour du développement if du libre, tel que Framasoft.net , site internet collaboratif. Le but de ce site est d’accompagner les utilisateurs dans leur migration du propriétaire au libre. Il permet aussi de trouver une liste et un classement de plus de mille logiciels libres.
L’industrie de l’Open Source à l’heure actuelle
L’économie de l’Open Source en quelques chiffres
Le marché de YOpen Source croit de 22% en moyenne par an ce qui en fait un marché en plein boom. Son dynamisme contribue pour 20 à 25% à la croissance du secteur informatique français.
En 2007, une croissance de 60% fut attendue pour le logiciel libre avec à la clef un chiffre d’affaire de 800 millions d’euros en France. En 2008, c’est un chiffre de 1.1 milliard d’euros pour le marché du logiciel et des services autour du libre selon Pierre Audoin Consultants (PAC).
En 2009, il a grimpé de 33% en France en pleine récession économique, et de 38% à l’échelle mondiale (toujours selon PAC) alors que le marché du logiciel propriétaire a baissé de 2.5%. Selon le cabinet IDC, il devrait représenter 8.1 milliard d’euros en 2013.
Beaucoup de très grandes entreprises utilisent Linux à plus ou moins grande échelle :
Disney, UPS, Boeing, Ikea, Sony, Apple, Microsoft, BNP Paribas, France Télécom, L’Oréal et des centaines de fournisseurs d’accès à Internet… avec, selon le livre blanc « Organisations et logiciels libres », un taux de satisfaction proche des 90%.
De nombreuses sociétés achètent des spécialistes de YOpen Source, comme par exemple MySQL qui été a acheté par Sun Microsystems pour 1 milliard de dollars (alors que le chiffre d’affaires était de 50 millions à l’époque) puis racheté par Oracle 5.6 milliards de dollars, voyant ainsi sa valeur croître de façon phénoménale au fil des ans.
On peut aussi évoquer la relation de Google avec le monde de YOpen Source.
Tous les ans est organisée le Google Summer of Code. Il s’agit de la réunion d’un millier d’étudiants payés pour écrire du code. Chaque année, Google investit 5 millions dans cet événement. Cette somme peut sembler considérable, mais elle est dérisoire par rapport à ce qu’il aurait fallu fournir pour développer du code propriétaire avec des développeurs professionnels.
Pourquoi les entreprises se tournent-elles vers l’Open Source ?
Les entreprises se tournent vers YOpen Source pour plusieurs raisons. La première étant ses coûts moindres de mise en place mais on trouve aussi comme argument pour ses possibilités en matière de collaboration et de productivité sur des projets à très forte valeurs ajoutées, notamment secteurs militaires et aérospatial.
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Table des matières
Remerciements
Acronymes
Introduction
Chapitre I : lacavedegillou.fr, déroulement de la mission de stage
1.1. Mise en place d’un CMS
1.2. Le choix graphique
1.3. Recherche d’hébergement
1.4. Promotion du site
1.5. Recherche d’une valeur ajoutée
1.6. Préparation de la maintenance
Chapitre II. La réalisation d’un site libre et low cost
2.1 Le logiciel libre et Open Source
2.2. Avantages et inconvénients du logiciel libre
2.3. L’industrie de l’Operz Source à l’heure actuelle
Chapitre III L’économie du gratuit
3.1. Le modèle économique de la gratuité
3.2. Les éléments gratuits du site lacavedegillou.fr
3.3. L’Open Source gratuit
3.4. Le gratuit, en général
Chapitre IV : La communication du site et le community management
4.1. Introduction
4.2. Le community management
4.3 Les contenus du site www.lacavedegillou.fr
4.4. Risques
Conclusion
Bibliographie
Glossaire
Annexes
Annexe 1 : Cahier des charges
Annexe 2 : Guide de maintenance
Annexe3 : Captures d’écran
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