La citoyenneté comme axe de communication de la Mairie de Paris

Une définition de la citoyenneté

   Dans un premier temps, il a été nécessaire de nous concentrer sur la définition du terme de « citoyen », une notion très vaste. La définition de la citoyenneté est difficile à saisir, car la notion recouvre de nombreuses acceptions. Néanmoins la citoyenneté peut être définie par deux aspects : la possession de la nationalité française qui donne accès à des droits civiques et politique d’une part (la res publica), et la participation à la vie de la cité d’autre part (la civitas). Bien que les citoyens n’aient aucune obligation sur ce point-là, la participation à la vie de la cité, dont l’exercice du droit de vote est un exemple, la participation quotidienne (par le biais d’associations, de partis politiques ou de syndicats) et le comportement civique en sont des manifestations importantes. Catherine Neveu dans son texte « Les enjeux d’une approche anthropologique de la citoyenneté »29 souligne, contrairement au nombre important d’études sur la définition administrative et juridique de la citoyenneté, le faible nombre de travaux anthropologiques sur cette notion. Pour elle, la citoyenneté est une notion empirique qui s’ancre dans des contextes locaux. Elle montre que la citoyenneté « à la française » est individualiste et inclusive. La citoyenneté ne s’appréhende qu’à l’échelle nationale (il n’y a pas de citoyenneté locale mais seulement une citoyenneté nationale). Ainsi, la nationalité et la citoyenneté sont souvent confondues, du fait que la constitution de la citoyenneté moderne correspond avec la constitution de l’Etat-Nation. Mais, nous le voyons avec la Carte Citoyenne de Paris. La citoyenneté en France est nationale. De fait, la mise en valeur d’une citoyenneté communale interroge donc. L’ouvrage de Sophie Duchesne, Citoyenneté à la française, est fondateur pour expliquer la façon dont deux visions de la citoyenneté coexistent. Les citoyens « par héritage » sont définis par Sophie Duchesne comme fondant leur vision de la citoyenneté sur le temps long, la famille et l’appartenance à un territoire. Ils associent la citoyenneté à la nationalité française. Ils sont français avant d’être citoyens et craignent la montée de l’individualisme. À l’opposé, les citoyens « par scrupule » ont une vision universelle de la citoyenneté, qui n’est pas rattachée à un territoire en particulier. Ils considèrent la citoyenneté comme une exigence morale et affirment que la citoyenneté n’est pas un dû mais qu’elle est liée à l’activité de chaque individu dans la société. Ils ont la phobie de l’appartenance à un groupe. Enfin, les analyses d’Hélène Michel sur l’évolution de la gestion de la relation au citoyen avec l’arrivée des technologies de l’information et de la communication (TIC) nous ont aidée à comprendre la notion de citoyenneté. Hélène Michel, en s’inspirant des analyses de Jean Leca31, propose une définition pluridimensionnelle de la citoyenneté qui se fonde autour de quatre notions clés (auxquelles on donne plus ou moins d’importance) : les droits, les devoirs, le rôle du citoyen dans la cités, c’est-à-dire la participation qui se fonde sur la quatrième dimension que sont les valeurs morales32. Hélène Michel définit la citoyenneté, et nous retiendrons son propos, comme un mode de relation entre le gouvernement et le citoyen en agençant quatre composantes : les droits, les devoirs, la participation et les valeurs morales. Grâce à cette conception, l’auteure propose différents prismes d’analyse de ce qu’est le citoyen :
– Le « citoyen consommateur », fait référence au développement de la e-administration, où le citoyen est considéré comme un consommateur de services publics, exigeants de ceux-ci qu’ils soient efficaces et personnalisé et revendiquant ses droits.
– Le citoyen sujet, passif et soumis à certaines contraintes si l’on met en avant la composante « devoir »
– Le citoyen acteur de la démocratie locale si l’on met en avant la composante « participation » et les valeurs morales qui lui correspondent.

La relation entre gouvernants et gouvernés

   La définition de la citoyenneté, nous le comprenons donc, dépend de la manière dont on considère le rapport entre les gouvernants et les gouvernés. La citoyenneté à la française et l’émergence de la Carte Citoyenne ne se comprennent donc pas sans une analyse du rapport des citoyens à leurs institutions. La mauvaise qualité de ce lien est le présupposé de la création de la Carte. En cela, la lecture d’ouvrages et textes de Pierre Rosanvallon ont permis de comprendre le lien entre démocratie et citoyenneté. Nous nous sommes alors plongées dans les cours donnés par l’historien au Collège de France concernant notamment la crise de la représentation, préambules nécessaires pour bien comprendre la création et l’enjeu de la Carte Citoyenne. Les notions de Pierre Rosanvallon concernant la crise de la démocratie ont ainsi été complétées par la lecture du « Que sais-je ? » sur la citoyenneté 34 ainsi que Le Nouvel Âge de la citoyenneté35, deux ouvrages d’Anicet Le Pors, qui explicitent les fondements de la crise de la citoyenneté actuelle. L’enquête sur la confiance politique des Français réalisée par le Cevipof et SciencesPo Paris a été une lecture précieuse que nous exploiterons pour étudier le rapport des Français à leur municipalité36. De même, l’analyse menée par la fondation Jean Jaurès et « Point d’æncrage » sur la manière de restaurer la confiance des citoyens dans les institutions démocratiques a été une lecture précieuse pour analyse de manière plus pratique la notion de citoyen. De manière plus pratique, la citoyenneté et son inclusion dans les processus de démocratie participative ont été des notions importantes pour comprendre les enjeux de la Carte au-delà du symbolique. L’ouvrage de Christian de la Guéronnière et Gilles-Laurent Rayssac, le Guide de la concertation locale a permis de comprendre l’implication citoyenne et a apporté un éclairage professionnel bienvenu pour analyser l’usage de la Carte Citoyenne de manière plus pratique.

La volonté de reconnecter avec la sphère civile : un dialogue individuel symbolique avec le citoyen

   Pour répondre à cette double crise de défiance dans les institutions politiques et de distension du vivre-ensemble, tout en symbolisant et cristallisant une rhétorique parisienne en réponse aux attentats, la mairie de Paris a choisi de créer une Carte Citoyenne. Ayant une envergure fortement symbolique, elle rassemble les Parisiens autour d’un traumatisme vécu par tous de manière plus ou moins proche et ce via le média quotidien qu’est une carte. Anne Hidalgo, dans le courrier d’accompagnement de la Carte Citoyenne, ainsi que dans la plaquette de présentation, met en avant le fait que l’objet créé répond à un enjeu symbolique double : celui de rassembler les Parisiens après le traumatisme que constituent les attentats, et celui de les rapprocher de l’institution qui est la plus proche d’eux, la mairie. Cette volonté de fêter le vivre-ensemble est soulignée : le but de la Carte est énoncé dès la première phrase : « vivre pleinement [la] liberté et [la] citoyenneté. »70. Le lien est établi avec le début de la phrase suivante : « c’est dans ce but que nous avons conçu une Carte de Citoyenne et de Citoyen de Paris ». Pour renouer avec la sphère civile, la municipalité a créé la Carte Citoyenne. Symboliquement, c’est la figure du dialogue, d’un dialogue d’individu à individu qui est dessiné dans les dispositifs de communication. En effet, cette volonté de renouer le dialogue avec les citoyens est bien évidemment présente dans le dispositif de démocratie participative de manière générale. Mais plus précisément, la création d’un lien individuel avec le citoyen est une manière de renouer symboliquement le dialogue avec celui-ci. Comme nous le voyions précédemment dans l’enquête menée par la fondation Jean Jaurès72, les citoyens souhaitent avoir un poids dans les décisions politiques. Avec la Carte Citoyenne, le discours mené est celui d’une relation de qualité, individuelle, entre Anne Hidalgo et le citoyen titulaire de la Carte. En effet, la figure de la maire est très présente : c’est elle, et non la municipalité, qui signe l’édito de la plaquette de présentation. C’est elle également qui s’adresse directement aux Parisiens par le biais de la lettre d’accompagnement de la Carte : elle parle à la première personne du singulier (« je suis heureuse de vous faire parvenir aujourd’hui ») et à la première personne du pluriel quand elle évoque l’équipe qui a travaillé sur la Carte Citoyenne (« nous avons conçu » ou encore « nous avons lancé »). Le citoyen est directement pris à partie avec des formules inclusives lorsqu’Anne Hidalgo évoque Paris, « notre ville » ou encore lorsqu’elle s’adresse directement à son destinataire : « je suis heureuse de vous faire parvenir aujourd’hui », « il vous permet », « vous pourrez » ou encore « votre engagement ». Au cours de l’adresse, le pronom « vous » revient pas moins de 13 fois, prouvant l’importance accordée au destinataire de la lettre : la mairie s’adresse directement à lui afin qu’il se sente partie d’un tout, et qu’il sente ainsi que son engagement est important, que sa voix compte. La Carte Citoyenne prend alors l’allure d’un réel projet politique qui prend place dans un dispositif plus large qu’évoque la maire de Paris : la démocratie participative, et de manière plus générale, la participation citoyenne. Anne Hidalgo évoque à ce sujet des actions concrètes, qui montrent que ses mots ne sont pas des « paroles en l’air ». Un discours de preuves est ici déployé avec la mention du budget participatif et de la plateforme jemengage.paris. L’utilisation du passé composé (« nous avons conçu », « nous avons lancé ») est significatif : en effet, ce temps évoque une action accomplie, qui fait état d’un résultat : il fonctionne ici comme une preuve de l’action de l’équipe municipale. Enfin, la dernière phrase de la lettre matérialise un lien direct entre Anne Hidalgo et le destinataire de la lettre. La maire de Paris s’adresse directement au titulaire de la Carte : « Votre engagement est notre avenir. Je suis fière de pouvoir vous compter parmi les Citoyens de Paris73 ». On voit ici se dessiner une volonté de lien direct entre le citoyen et sa municipalité. En outre, la signature de la maire de Paris fait le pendant à la Carte (et donc au citoyen), les deux étant en regard (la Carte à gauche et la signature à droite). Là aussi, on retrouve le motif de la balance : une voix de citoyen compte autant que la voix de la maire. Le message soustendu est celui que la Ville ne peut pas se construire sans le citoyen propriétaire de la Carte. Anne Hidalgo se présente donc comme une maire à l’écoute et en lien direct avec les Parisiens, qui ont la liberté de donner leur avis. En dessous, la Carte, collée, est prête à être détachée : le citoyen n’a plus qu’à s’en saisir et réserver sur le site internet de la mairie les événements auxquels il souhaite participer. La mairie de Paris cherche à donc à mettre en avant un lien personne entre l’institution et le citoyen, afin peut-être de montrer que ce lien est privilégié et entretenu par la mairie. La réponse à la crise de la représentativité a pris la forme d’une Carte, et ce choix n’est pas un hasard. Selon Emmanuel Grégoire, la Carte répond en premier lieu à « un contexte postattentat de réflexion sur la citoyenneté ». Pour Emmanuel Grégoire cependant, c’est la question de la citoyenneté qui a amené à la création d’un objet « carte » : « C’est vraiment le sujet citoyenneté qui a fait se matérialiser ce support. […] On mesure, quand on […] rencontre des citoyens qui ont la Carte, combien ils sont attachés à l’objet ». Et en effet, la dimension « quotidienne » du support n’est pas à négliger. L’adjoint le soulignait : on récupère la Carte puis on la garde précieusement dans son portefeuille, elle fonctionne comme un lien intime entre l’institution et le citoyen : « [les citoyens] l’ont, ils sont contents de l’avoir reçue, et ils la gardent précieusement » .Nous faisions plus tôt la comparaison entre la Carte Citoyenne et les cartes d’identité municipale états-uniennes, en particulier celle de New York. En effet, la Carte Citoyenne ressemble à une carte d’identité : la mise en forme des informations fait appel aux codes de la carte d’’identité. Les couleurs du verso de la Carte sont le noir et le blanc, couleurs plus administratives que celles du recto qui donnent à voir l’aspect symbolique de la Carte. En outre, la photo est accolée aux informations personnelles. Comme sur une carte d’identité, la présence d’informations personnelles (nom, adresse), ainsi qu’une photo au format photo d’identité identifient le titulaire. Comme pour la carte d’identité, la Carte Citoyenne possède un numéro d’identification qui permet à l’institution de repérer le titulaire. La municipalité est d’ailleurs présente, comme l’est l’administration française sur la carte nationale d’identité. Mais sa présence est plus discrète et se borne à un système d’authentification de la Carte sous forme d’hologramme. Néanmoins, si la fonction première de la carte d’identité est justement d’identifier une personne, la Carte Citoyenne ne met pas l’individu en avant, mais la Ville. C’est bien la mention « Citoyenne citoyen de Paris » qui figure sur le côté « noble » qu’est le recto de la Carte78. L’identification est, elle, reléguée au verso. En somme, la Carte Citoyenne apparaît comme une réponse à une réflexion sur la citoyenneté au moment d’un contexte post-attentats propice à la célébration du vivre-ensemble. La mairie de Paris a choisi de matérialiser ce lien qui unit les citoyens à leur institution, le rapport gouvernant-gouverné par un support très commun et quotidien. Ce rapport est matérialisé de manière très individuelle grâce à cette Carte puisque le recto célèbre le vivre-ensemble au travers des mots « citoyenne citoyen de Paris » qui sont semblables à un « cri du cœur » d’un Parisien. On donne à voir l’unité communale, le groupe et la ville qui sont illustrés par une photo de Paris. L’espace commun, et le patrimoine commun, de la Tour Eiffel est ainsi exposé et, comme un phare, indique la direction où regarder et la marche à suivre. C’est donc bien ici l’espace public – via un monument symbolique – qui est célébré. Au verso de la Carte, la place est laissée à l’individu avec les attributs de la carte nationale d’identité que nous avons égrenés plus haut. Un lien individuel entre le citoyen de la Carte et l’institution est dessiné ainsi.

La « nouvelle citoyenneté » ?

   Pour Hélène Michel dans « Citoyenneté et représentation du vote électronique, une analyse par les chaînages cognitifs »109, la définition de la citoyenneté varie selon l’accent que l’on met sur les différents aspects qui fondent la citoyenneté. Si l’accent est mis sur la composante « droit », le citoyen est considéré comme un consommateur de services publics. Si l’accent est mis sur la composante « devoir », le citoyen est vu comme un être passif, presque un sujet soumis à certaines contraintes. Enfin, si l’accent est mis sur la participation, alors le citoyen est considéré comme un acteur impliqué à part entière dans la vie locale. Nous pouvons donc constater que la Carte Citoyenne de Paris ne valorise pas la composante « devoir » puisqu’il s’agit au contraire de valoriser la participation du citoyen. On pourrait penser qu’elle valorise la composante « droit » qui amène à considérer le citoyen comme un consommateur de services publics. Mais ce propos est à nuancer car on peut considérer les événements comme des offres ne donnant pas réellement de droits en sus. Il s’agit de faire découvrir des lieux ou d’offrir des services aux citoyens, mais peut-on alors réellement parler de nouveaux droits ? Les offres et services proposés ont donc plutôt pour objectif de stimuler la participation citoyenne par le biais d’activités ludiques. On peut donc penser, et cela rejoint nos conclusions sur la vision d’un citoyen « actif », que la mairie de Paris considère le citoyen comme un acteur impliqué dans la vie locale. Anicet Le Pors dans Le Nouvel Age de la citoyenneté110 s’interroge sur le concept de « nouvelle citoyenneté » qui a traversé les années 1980. Durant le premier mandat de François Mitterrand comme Président de la République, le débat sur une « nouvelle citoyenneté participative » émerge111. Cette « nouvelle citoyenneté, qui s’affranchissait des cadres anciens (République, État, Nation) pour se greffer directement sur la société civile, dans une démarche privilégiant l’économique et le social plutôt que (…) le politique » ressemble sur certains aspects au modèle citoyen dessiné par la municipalité parisienne. En effet, elle cherche à privilégier le fait d’habiter sur un territoire à la nationalité comme vecteur de citoyenneté, ce que l’on retrouve également dans le concept de Nouvelle Citoyenneté. Cependant, le politique n’est pas absent de la Carte Citoyenne, d’une part parce que c’est bien une instance publique (et donc nécessairement en partie politisée) qui l’a créée et d’autre part, parce que la Carte a bien pour objectif de rapprocher les Parisiens du politique. En somme, si la définition de « nouvelle citoyenneté » peut, au premier abord, s’appliquer à la définition de la citoyenneté donnée par la mairie de Paris, le concept semble un peu dépassé pour convenir parfaitement. Néanmoins, nous pouvons retenir de cette définition l’idée de participation et de supériorité de ce que l’on pourrait nommer un droit du sol au droit du sang.

Un cœur de cible bien restreint…

   Les statistiques de la Carte Citoyenne nous apprennent que les titulaires de la Carte Citoyenne sont majoritairement originaires des 10e , 11e , 12 et 20e arrondissements, des arrondissements historiquement à gauche et surtout considérés comme « bobo »167. En outre, les statistiques par âge tendent à montrer que ce sont les 30-50 ans qui sont les plus nombreux à être titulaires de la Carte Citoyenne. A l’inverse, les habitants des 6e , 7e , 8e , 17e et surtout 16e arrondissements ont un taux de titulaires de la Carte Citoyenne inférieur, voire très inférieur à leur pourcentage de population totale. Pour exemple, 4% des titulaires de la Carte Citoyenne habitent le 16e arrondissement alors que celui-ci regroupe 8 % de la population parisienne. De même, les jeunes entre 10 et 20 ans sont peu titulaires de la Carte Citoyenne. Nous voyons donc apparaître, à grands traits seulement, un profil type du titulaire de la Carte Citoyenne, ayant entre 30 et 50 ans, vivant dans un quartier « bobo » de la capitale, ayant donc très certainement des enfants ou vivant en couple. Cela est corroboré par les propos d’Émilien Martin sur le « profil-type » des titulaires de la Carte : « pour l’instant effectivement, les gens qui ont pris la Carte, 6 mois après le lancement, c’est le profil type c’est entre 30 et 50 ans, blanc, avec des enfants ».

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Table des matières

Introduction
Présentation et intérêt du sujet
Genèse du sujet
Intérêt du sujet
Enjeux théoriques
Problématique et hypothèses
Méthodologie
Annonce du plan
I – Un symbole fort de la citoyenneté « à la parisienne » avant tout
A) La réponse à un contexte particulier
B) … matérialise le sentiment d’appartenance à la Ville de Paris au travers d’une carte
C) …qui redéfinit le terme de « citoyen » au prisme de l’action
Conclusion partielle
II – Les services : un support peu exploité
A) Une offre d’événements et de supports nécessaire mais trop peu exploitée
B)… est en fait un simple outil de marketing territorial ?
C)… Mais qui gagnerait à devenir un relai d’informations aux citoyens
Conclusion partielle
III – Un potentiel outil de mobilisation
A) Consommation de services publics ou participation : il faut choisir
B) La possibilité de constituer un cœur de cible très précis
C) Mais l’outil seul ne fait pas la citoyenneté
Conclusion partielle
Conclusion
Synthèse

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