La chromatographie liquide ultra haute performance

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Propriétés physicochimiques de la bupivacaine

La bupivacaine de son nom chimique le n-butyl-1 diméthyl-2′, 6′ pipéridincarboxanilide-2 ou d1-1-butyl-2′ ,6′-pipécoloxylidide, se présente sous forme de poudre inodore de couleur blanche et de saveur amère, ou sous forme de cristaux.

NOTIONS DE QUALITE DES MEDICAMENTS

Définition du médicament

D’après l’article L5111-1 du code de la santé publique( République française), « on entend par  médicament toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l’égard des maladies humaines ou animales, ainsi que tout produit pouvant être administré à l’homme ou à l’animal en vue d’établir un diagnostic médical ou de restaurer, corriger ou modifier leurs fonctions organiques. (pharmaciens sans frontières, juillet 2004)

Assurance qualité

Ensemble des actions préétablies et systématiques nécessaires pour donner la confiance qu’un produit ou un service satisfera aux exigences données relatives à la qualité. (OMS, 2009)

Critères de qualité d’un médicament

Les critères de qualité d’un médicament sont :
 L’identité : principe actif
 La pureté : Absence de contamination par des substances potentiellement nocives
 Dosage : En général 90-110% de la quantité mentionnée sur l’étiquette
 L’uniformité : Régularité de la consistance, de la forme et de la taille
 La biodisponibilité : Produits interchangeables
 La stabilité : Activité assurée pendant la durée spécifiée
L’identité, la pureté, l’activité et l’uniformité sont définies dans les pharmacopées et spécifiées dans le certificat d’analyse (OMS, 2005)

Contrôle qualité du médicament

Il s’agit de toutes les mesures prises, à savoir la définition des spécifications, l’échantillonnage, les tests, le contrôle analytique, pour faire en sorte que les matières premières, les produits intermédiaires, les matériaux de conditionnement et les produits pharmaceutiques finis soient conformes aux spécifications fixées pour l’identification, le dosage, la pureté et d’autres caractéristiques. (OMS, 2010)

Problématique des médicaments de qualité inférieure

D’après les travaux de recherche menés par l’organisation mondiale de la santé (OMS), 1 médicament sur 10 en circulation dans les pays à revenu faible ou intermédiaire est, selon les estimations, soit de qualité inférieure, soit falsifié.
Cela signifie que les patients prennent des médicaments qui ne peuvent ni traiter ni prévenir la maladie. Il s’agit non seulement d’un gaspillage d’argent pour les personnes et les systèmes de santé qui achètent ces produits, mais ils peuvent aussi entraîner de graves maladies voire des décès. (OMS, 28 Novembre 2017)

METHODES D’IDENTIFICATION ET DE DOSAGE

Méthodes chromatographiques

Principe général

La chromatographie est une méthode de séparation des constituants présents dans des mélanges variés. Elle sert en analyse pour identifier et quantifier des composés au sein d’échantillons divers. Le principe de base repose sur les équilibres de concentration qui apparaissent lorsqu’un composé est mis en présence de deux phases non miscibles. En chromatographie, l’une, dite stationnaire, est emprisonnée dans une colonne ou fixée sur un support et l’autre, dite mobile, se déplace au contact de la première. Si plusieurs composés sont présents, ils se trouvent entraînés à des vitesses différentes, provoquant leur séparation. Ce procédé hydrodynamique a donné naissance à une méthode analytique instrumentale qui a un très grand domaine d’applicabilité et par suite se trouve très répandue. Aucun laboratoire analysant des composés moléculaires ne peut ignorer la chromatographie. (Rouessac, et al 2004).

Chromatographie liquide haute performance

 Appareillage :
En raison des pressions élevées qui doivent être appliquées pour assurer des débits raisonnables lorsqu’on utilise des supports dont le diamètre particulaire est de l’ordre de 2 à 10μm, l’appareillage requis pour cette méthode d’analyse est ainsi nécessairement plus sophistiqué et plus coûteux que celui utilisé pour d’autres méthodes chromatographiques.
 un ou plusieurs réservoirs (bouteilles) de phase mobile (200 à 1000 ml) contenant soit des solvants purs, soit des mélanges de concentrations connues ; on y adjoint souvent des dispositifs permettant d’en éliminer les poussières et les gaz dissous ;
 une ou plusieurs pompes pour les éluants ;
 système d’injection comportant une boucle d’échantillonnage calibrée (de type vanne Rhéodyne) ou un injecteur automatique ;
 une colonne remplie en acier inox (ou verre) de quelques cm de long ;
 un détecteur permettant à la fois de mettre en évidence la sortie des solutés de la colonne et de donner un signal proportionnel à la quantité de chacun des composés du mélange analysé ;
 un flacon qui tient le rôle de poubelle de solvants à vider régulièrement. ( GODIN ,2019)

VALIDATION D’UNE METHODE ANALYTIQUE

Définition

Selon ICH (International Conference on Harmonisation) le but de la validation d’une procédure d’analyse est de démontrer qu’elle correspond à l’usage pour lequel elle est prévue. Elle relie une procédure à une application.
Selon USP (Unated States Pharmacopeia) la validation d’une méthode analytique est le procédé par lequel il est établi que les performances de la méthode correspondent aux exigences requises par l’application prévue.
Selon le FDA (Food and Drug Administration) valider, c’est établir à l’évidence, avec un degré de confiance élevé et sous forme documentée, qu’un procédé déterminé permet d’obtenir un produit (ou un service) qui atteint effectivement des spécifications définies à l’avance.

Objectif

 Démontrer les performances de la procédure d’analyse pour l’application prévue (prouver que les résultats obtenus sont fiables, ceci dans des limites bien définies).
 Maitrise des étapes critiques de la procédure (mettre en exergue les points critiques)
 Résolution en amont de problèmes analytiques (Patrick Séraissol)

Paramètres étudiés

Sélectivité : capacité à différencier et quantifier l’analyte cible en présence d’interférents dans l’échantillon.
Exemple d’approche possible : Comparaison du signal de l’analyte avant et après dopage par des interférents potentiels. (Vial, 2006)
Linéarité : La linéarité d’une procédure d’analyse est son aptitude, à l’intérieur d’un certain intervalle de concentrations, à fournir des résultats directement proportionnels à la concentration (ou la quantité) de substance à analyser dans l’échantillon. (Patrick Séraissol)
Exprimée : Équation de la droite avec intervalle de confiance sur la pente, ordonnée à l’origine, coefficient de détermination r2 (Blanchin, 2010)
Intervalle de validité
Intervalle compris entre la concentration (quantité) la plus élevée et la plus faible de l’échantillon dans lequel il a été démontré que la méthode d’analyse présente une fidélité, une exactitude et une linéarité satisfaisante. (Blanchin, 2010)
Exactitude : Etroitesse d’accord entre la valeur trouvée et la valeur acceptée soit comme valeur conventionnellement vraie soit comme valeur de référence.
Exemple d’approche possible :
Tracé droite de la quantité trouvée – quantité ajoutée (= théorique ou vraie)
Pente =1
Ordonnée origine = 0 (Blanchin, 2010)
Justesse : étroitesse d’accord entre la valeur moyenne obtenue à partir de larges séries d’essais et une valeur de référence acceptée. (Blanchin, 2010)
Fidélité : Etroitesse d’accord entre une série de mesures obtenues dans des conditions prescrites à partir de prises d’essais multiples provenant d’un même échantillon homogène. (Blanchin, 2010)
Répétabilité : exprime la fidélité évaluée dans des conditions opératoires identiques et dans un court intervalle de temps.
Déterminée à partir d’un même échantillon, évalué dans des conditions opératoires identiques (même analyste, même équipement, même laboratoire,…) et dans un court intervalle de temps.
Exemple d’approche Possible :
Répétabilité de la mesure : n ≥ 6 même échantillon
Répétabilité de la méthode : n ≥ 6 ou n ≥ 3×3(Blanchin, 2010)
Fidélité intermédiaire : La fidélité intermédiaire exprime la variabilité intra-laboratoire : jours différents, analystes différents, équipements différents, etc…
Détermination à partir d’un même échantillon. (Blanchin, 2010)
Reproductibilité
La reproductibilité exprime la variabilité inter laboratoires (études collaboratives)
Habituellement appliquées à la standardisation de la méthodologie.
Déterminations à partir d’un même échantillon (Blanchin, 2010)
Limite de détection
La limite de détection d’une méthode est la plus basse concentration pour un composé analysé dans une matrice réelle qui, lorsqu’il subit toutes les étapes d’une méthode complète, incluant les extractions chimiques et le prétraitement, produit un signal détectable avec une fiabilité définie statistiquement différent de celui produit par un « blanc » dans les mêmes conditions.
Méthode de calcul de la limite de détection d’une méthode (LDM)
LDM = 3 × s
Où LDM : limite de détection de la méthode;
S : écart type des réplicas. (Programme d’accréditation des laboratoires d’analyse (Québec, 2015)
Limite de quantification
La limite de quantification d’une méthode est la concentration minimale qui peut être quantifiée à l’aide d’une méthode d’analyse avec une fiabilité définie.
C’est la concentration équivalente à 10 fois l’écart type obtenu lors de l’établissement de la LDM.
LQM = 10 × s
Où LQM : limite de quantification d’une méthode;
S : écart type (Programme d’accréditation des laboratoires d’analyse, 2015)

Validation par le profil d’exactitude

Le profil d’exactitude est un outil de décision graphique pour assister l’analyste à décider si une procédure analytique est valide. Il est basé sur la combinaison de l’intervalle d’incertitude et de la limite d’acceptabilité dans le même graphique. En effet, l’examen visuel du graphe permet de sélectionner le modèle de régression le plus approprié pour l’étalonnage, de déterminer les limites de quantification et ensuite de choisir l’intervalle de dosage. ((Jhilal et al. , 2013)

Construction graphique

Le profil d’exactitude peut être construit de différentes façons, en fonction du type de données traité. La méthode la plus utilisée, est celle présentée à la figure au-dessous où les performances sont exprimées de façon relative par un taux de recouvrement.
Les éléments graphiques principaux entrant dans le profil d’exactitude sont les suivants :
– Axe horizontal :
La concentration théorique des niveaux (soit les valeurs de référence assignées aux niveaux) :
– Axe vertical :
 Les limites des intervalles de tolérance d’espérance β calculés sur la concentration retrouvées et exprimées en pourcentages (sous forme d’un taux de recouvrement ou d’une exactitude relative).
 Les intervalles d’acceptabilité, définis en fonction de l’objectif de la méthode, exprimés de la même façon que les intervalles de tolérance.

Interprétation

Pour utiliser le profil d’exactitude en vue de valider une méthode, il faut avoir fixé les deux critères de décisions suivants :
 Les limites d’acceptabilité ±λ : elles servent à traduire les objectifs pratiques des utilisateurs. Elle délimite un intervalle autour de la valeur de référence. Le plus souvent, ces limites sont réglementaires ou issues de la réglementation. Mais dans le cas où il n’existe pas de référence établie, il convient de prendre en compte les attentes des utilisateurs finaux, comme limite de quantification (LQ) donnée.
 La proportion β : elle représente la proportion de futurs résultats qui seront en moyenne compris dans les intervalles de tolérance. La valeur choisie pour β dépend largement du champ d’application (contrôle sanitaire, contrôle de fabrication, etc.). Il est évident que plus β est petit, par exemple 70%, plus la méthode risque de produire des résultats qui ne correspondent pas aux spécifications annoncées. C’est pourquoi dans la méthode du profil d’exactitude cette proportion a été fixée à 80%, au moins.
Le domaine de validité est déterminé par la zone du domaine de validation dans laquelle la méthode fournit une proportion de résultats acceptables au moins égale à β. Il est limité par une borne inférieure qui équivaut à la limite de quantification inférieure et une limite supérieure qui correspond à la limite de quantification supérieure.
Dès que l’intervalle de tolérance sort de l’intervalle d’acceptabilité, on peut conclure que la méthode n’est plus capable de fournir suffisamment de résultats acceptables, en fonction des choix faits au départ de l’étude.
Le taux de recouvrement qui traduit la justesse varie avec la concentration. Un biais systématique élevé correspond par exemple à un effet de matrice non contrôlé. Il faut alors conclure que la méthode n’est pas valide dans le domaine étudié. Si les pratiques de la profession ou la réglementation le permettent, il est alors possible d’appliquer un facteur de correction pour corriger ce biais. La procédure à appliquer pour calculer et valider ce facteur de correction est décrite par Max feinberg (2010c) (El Bourkadi, 2016)

INCERTITUDE

Le mot « incertitude »signifie doute. Dans son sens plus large, « incertitude de mesure »signifie doute sur la validité du résultat d’un mesurage.
La définition formelle du terme « incertitude de la mesure »indiquée dans le vocabulaire international de métrologie (VIM) est la suivante :
Incertitude de mesure :
Paramètre, associé au résultat d’un mesurage, qui caractérise la dispersion des valeurs qui pourraient raisonnablement être attribuées au mesurande.
Note 1 : Le paramètre peut être, par exemple, un écart type (ou un multiple de celui-ci) ou la demi largeur d’un intervalle de niveau de confiance déterminé.
Note 2 : L’incertitude de mesure comprend, en général plusieurs composantes. Certaines peuvent être estimées en se fondant sur la distribution statistique des résultats de séries de mesurages et peuvent être caractérisées par des écarts types expérimentaux. Les autres composantes qui ne peuvent être caractérisées par des écarts types sont évaluées en admettant des lois de probabilité d’après l’expérience acquise ou d’autres informations.
Note 3 : il est entendu que le résultat du mesurage est la meilleure estimation de la valeur du mesurande, et que toutes les composantes de l’incertitude, y compris celles qui proviennent d’effets systématique, telles que les composantes associées aux corrections et aux étalons de référence contribuent à la dispersion (D. Maton et al, octobre 2000).
Pour un mesurande X, l’incertitude est exprimée généralement sous forme d’incertitude élargie absolue accompagnant le résultat rendu. L’incertitude élargie U(X) est dérivée de l’incertitude composée Ux(X) par l’expression : U(X) = K× Uc(X).
Avec k le facteur d’élargissement.
Ce facteur est fixé à 2 ou 3 selon que 95 % ou 99 % des valeurs possibles soient dans l’intervalle défini par l’incertitude. (ANSES,2015)

Présentation du LNCM

Le Laboratoire National de Contrôle des Médicaments-LNCM- a été créé en 1979 par le décret n°79-416 du 12 mai 1979 portant organisation du Ministère de la Santé Publique. Mais ce n’est que vingt ans plus tard en 1998 qu’il est devenu opérationnel avec le transfert des locaux de la Pharmacie Nationale d’Approvisionnement à l’ex-ORANA, au 39 de l’Avenue Pasteur à Dakar. Le décret 2012-543 du 24 mai 2012 portant répartition des services de l’état et du contrôle des établissements publics, des sociétés nationales et des sociétés à participation publique majoritaire, entre la Présidence de la République, la Primature et les Ministères, modifiée, créant le Ministère de la Santé et de l’Action Sociale, classe le Laboratoire National de Contrôle des Médicaments parmi les Services rattachés à la Direction Générale de la Santé. L’article 31 de ce même décret stipule que le Laboratoire National de Contrôle des Médicaments est chargé du contrôle de la qualité des médicaments, des réactifs et des autres produits de santé.
Un projet d’arrêté fixant les domaines d’activités du LNCM a été élaboré.
Les activités du LNCM portent entre autres sur le contrôle :
 des médicaments à usage humain
 des matières premières pharmaceutiques
 des vaccins commercialisés au SENEGAL
 des dispositifs médicaux et autres produits de santé
 des compléments alimentaires et produits à base de plantes médicinales
 des antiseptiques et désinfectants
 des réactifs et produits chimiques…
Depuis décembre 2004, le système qualité du laboratoire a été régulièrement adapté et amélioré, grâce à un esprit d’équipe remarquable, indispensable à tout laboratoire d’essais.
Les premiers résultats sont:
 Un personnel scientifique et technique compétent composé de Professeurs d’Université, de Pharmaciens et de Techniciens supérieurs;
 Des équipements et du matériel performants, adaptés aux essais, bien entretenus et en parfait état de fonctionnement.
Le Système de Management Qualité, basé sur les exigences de la norme ISO 17025 : 2017, concerne l’ensemble des activités de management, les ressources humaines et les processus mis en oeuvre par le Laboratoire National de Contrôle des Médicaments-LNCM, pour évaluer la qualité des médicaments et des autres produits de santé commercialisés au Sénégal ou utilisés par les projets et programmes de santé.
Dans le cadre d’une démarche de mise en conformité des activités d’essais physico-chimiques par rapport à la norme ISO 17025 : 2017, le LNCM envisage d’obtenir l’accréditation des essais suivants :
 Identification et dosage des principes actifs par CLHP et spectrophotométrie UV Visible ;
 Test de dissolution ;
 Détermination de la teneur en eau par Karl Fisher ;
 Perte à la dessiccation (LOD)
 Détermination du pH ;
 Uniformité de masse ;
 Uniformité de teneur.
Il s’agit de la norme internationale ISO 17025 :2017 qui établit les exigences générales de compétence pour effectuer des essais y compris l’échantillonnage. Elle couvre les essais effectués au moyen de méthodes normalisées ou non, ou élaborées en interne par le laboratoire.
La Direction s’engage à doter la structure de moyens humains, financiers et matériels pour respecter les prescriptions de la norme qui vont dans le sens de la satisfaction des besoins des clients. Elle s’engage aussi à faire appliquer, à tout moment et pour toute activité, toutes les exigences de la politique qualité.
La responsabilité de la mise en place, de la coordination et du suivi par des audits internes de ce système de management de la qualité est confiée au Responsable de la Qualité. Il veillera à l’implication de tous les agents afin que leur niveau de formation, de compétence technique et de performance soit en adéquation avec les activités à mener, pour une application quotidienne de la politique qualité.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : RAPPELS BIBLIOGRAPHIQUES SUR L’ANESTHESIE ET LA BUPIVACAINE
I GENERALITES SUR L’ANESTHESIE ET LA BUPIVACAINE
I.1 Définition et historique
I.2 Mécanisme d’action
I.3 Indications
II MONOGRAPHIE DE LA BUPIVACAINE
II.1 Structure chimique
II.2 Obtention de la bupivacaine : origine synthétique
II.3 Propriétés physicochimiques de la bupivacaine
III NOTIONS DE QUALITE DES MEDICAMENTS
III.1 Définition du médicament
III.2 Qualité
III.2.1 Définition
III.2.2 Assurance qualité
III.3 Critères de qualité d’un médicament
III.4 Contrôle qualité du médicament
III.5 Problématique des médicaments de qualité inférieure
IV METHODES D’IDENTIFICATION ET DE DOSAGE
IV.1 Méthodes chromatographiques
IV.1.1 Principe général
IV.1.2 La chromatographie liquide ultra haute performance
V LA VALIDATION D’UNE METHODE ANALYTIQUE
V.1 Définition
V.2 Objectif
V.3 Les paramètres étudiés
V.4 Validation par le profil d’exactitude
V.4.1 Construction graphique
V.4.2 Interprétation
VI INCERTITUDE
DEUXIEME PARTIE : Travail expérimental (Développement d’une méthode de dosage de la bupivacaine par CLHP-DAD)
I OBJECTIFS
I.1 Objectif général
I.2 Objectifs spécifiques
II CADRE D’ETUDE
II.1 Présentation du LNCM
II.2 Organigramme du LNCM
III MATERIEL ET METHODES
III.1 Matériel
III.1.1 Appareillage
III.1.2 Petit matériel
III.1.3 Verrerie
III.1.4 Réactifs
III.1.5 Les médicaments
III.1.6 Substances de référence :
III.1.7 Matériel de traitement et d’analyse des données
III.2 Méthodes
III.2.1 Description de la méthode d’analyse
III.2.2 Développement de la méthode
III.2.3 Evaluation des critères de validation
IV RESULTATS :
IV.1 Séquences de validation de la méthode de dosage de la bupivacaine
IV.2 L’étalonnage
IV.3 Validation
IV.3.1 Spécificité
IV.3.2 La linéarité
IV.3.3 La Justesse et Fidélité
V La stabilité
VI Incertitude
VI.1 Incertitude liée à la chaine
VI.2 Incertitude liée aux dilutions
VII Discussion
CONCLUSION 
REFERENCES

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