La borreliose a tiques dans deux villages du Sénégal : Dielmo et Ndiop

Evolution

Sous traitement à base d’antibiotiques efficaces tels que les Cyclines, les Pénicillines ou les Phénicolés, l’évolution se fait favorablement.
La mortalité varie de 2 à 5% ; Les cause principales de décès sont les myocardites (compliquées de troubles du rythme cardiaque), les hémorragies cérébrales, l’insuffisance hépatique et le collapsus cardio-vasculaire associé à la défervescence thermique ou survenant à la suite d’untraitement antibiotique (réaction de Jarish-Herxheimer).
En l’absence de traitement la borréliose à tiques est cyclique mais peut évoluer vers la guérison. Elle se fait sans aucune séquelle fonctionnelle hépatique ou rénale et les signes biologiques se normalisent au décours de la maladie.

Pronostic

Le pronostic dépend de plusieurs éléments :
– la précocité du diagnostic,
– la qualité, le délai et la durée de la prise en charge thérapeutique (antibiothérapie),
– l’état du terrain.
De nos jours le traitement par les antibiotiques a grandement amélioré le pronostic des patients atteints de fièvre récurrente à tiques. Ce pronostic est très favorable dans près de 98% des cas prisen charge par une antibiothérapie.

Formes cliniques

Formes symptomatiques

Formes fébriles pures

Il s’agit des formes où l’accès fébrile est audevant de la scène. La fièvre peut masquer les autres symptômes qui ne selimiteront qu’à des céphalées, s’ils ne sont pas tout simplement absents. Le diagnostic se fera au laboratoire de manière fortuite.
La simple notion de récurrence fébrile peut être un facteur d’orientation en zone d’endémie.

Formes ictériques

Un ictère fébrile peut être retrouvé dans la fièvre récurrente à Borrelia crocidurae vers le 5 ièmejour. Toutefois, il est plus rare comparé à la récurrente cosmopolite.

Formes hépato-rénales

Une hépatalgie intense peut faire penser à une pathologie d’origine hépatique notamment une cholécystite aigüe.
L’atteinte rénale peut également s’associer lors de la phase apyrétique. Cependant, bien que discrètel’atteinte hépato-rénale peut s’accompagner d’une albuminurie et d’une azotémie de manière passagère.

Formes nerveuses

Il s’agit de complications neuroméningées :
¾ Forme méningée
Les céphalées en constituent le maître-symptôme. Le tableau clinique est celui d’une méningite aigüe : céphalées intenses, vomissements, photophie, raideur de la nuque.
¾ Paralysie périphérique
La Borréliose peut entraîner une atteinte des nerfs et les plus fréquemment concernés sont le nerf facial (VII), le nerf vestibulaire (VIII) et le trijumeau (V).

Formes oculaires

Il s’agit de diverses atteintes à type de :
• Irido-cyclite et irido-choroïdite
• Trouble du vitré
• Stase papillaire
• Névrite optique
Le pronostic est globalement très favorable.

Formes associées

Il existe des formes associées à une autre maladie infectieuse notamment le paludisme et/ou la fièvre typhoïde. Si la chute de température est rapide et s’accompagne de sueurs abondantes, lediagnostic de paludisme doit être évoqué.

Formes selon le terrain

Formes de l’enfant

Ce sont des formes frustes ou inapparentes. Elles sont parfois signalées sous la forme d’un syndrome grippal.
Les complications oculaires sont également plus fréquentes chez les enfants.

Formes de la femme enceinte

La complication redoutable et fréquente chez la femme enceinte est l’avortement spontané. Toutefois ceci demeure la règle pour toutes les fièvres récurrentes.

Formes selon l’espèce pathogène

Selon les aires géographiques,les fièvres récurrentes ontleurs spécificités dues à différentes espèces..
• La fièvre récurrente d’Europeet d’Amérique du Nord à Borrelia burgdorferi ou Maladie de LYME.
L’homme contracte la maladie dans l’environnement forestier, où se trouvent préférentiellement les tiques vectrices. L’évolution cliniqueest généralement décrite en deux phases avec un stade précoce (parfois inapparent) et un stade plus tardif. Le premier se caractérise par une inflammation de la peau nommée érythème migrant (plaque rouge de plus de 5cm de diamètre), véritable marqueur de la maladie, rarement associé à des manifestations générales. Au cours du second stade, la maladie peut prendre des aspects différents avec soit des manifestations neurologiques (polynévrites, paralysies faciales, méningites souvent uniquement biologiques) soitarthritiques inflammatoires, ou plus rarement cardiaques, cutanées (lymphocytome cutané bénin, acrodermatite chronique atrophiante …)
Dans d’autres régions, la borréliosesévit avec des espèces pathogènes différentes. Nous citons à titre d’exemple les formes suivantes :
• La fièvre récurrente hispano-américaine à Borrelia hispanica;
• La fièvre récurrente du moyen Orient à Borrelia microti;
• La fièvre récurrente d’Afrique noire à Borrelia duttoni;

Diagnostic

Diagnostic positif

Arguments épidémiologiques

Les fièvres récurrentes à Borrelia corcidurae, comme toutes les autres fièvres récurrentes à tiques, sont observéesdans un espace géographique bien déterminée. La zoned’endémie est ici l’Afrique de l’Ouest plus précisément dans les régions où se trouve le vecteur Alectrorobius sonrai.
Cependant même si aucune étude ne révèle pour le moment la similitude entre les Borrelia de l’Afrique de l’Ouest et celles de certaines régions, les foyers d’endémie sont évoqués dansla littérature au Maroc, en Lybie, en Egypte, en Turquie, en Iran et au Kenya.
En plus de l’origine géographique, l’existence d’un contact avec les réservoirs de virus (rongeurs) ou d’un habitat où débouchent des terriers constitue aussi un argument épidémiologique.

Examens de certitude

Diagnostic direct

Le diagnostic de certitude est basé sur la présence de Borrelia dans le sang périphérique du malade. L’examen spécifique reposera sur la lecture d’une goutte épaisse ou d’un frottis. Le seuil de positivité de la goutte épaisse est de 105 pour le frottis.
En période d’accès fébrile, les Borreliasont retrouvés dansles 70% des cas après coloration au Giemsa et lecture au microscope.
Le second élément du diagnostic direct est l’inoculation à la souris blanche de sang contenant l’agent pathogène avec positivité trois (3) à six (6) jours après.
Une troisième méthode d’examen spécifique est la culture des Borrelia crocidurae. Mise au point par VAN DAM en 1999, elle est effectuée sur le milieu de KELLY modifié (MKM). Les Borreliasont observées au microscope après cinq (5) à sept (7) jours.
QBC test (Quantitative Buffy Coat) a également montré récemment son intérêt dans le diagnostic des fièvres récurrentes à Borrelia crocidurae. L’observation se fait au microscope à fluorescence laissant apparaître les spirochètes commede fins filaments mobiles de couleur jaune-vert et présentant plusieurs spires régulières (8 à 10).

Diagnostic indirect

Il existe des examens sérologiques permettant de déterminer la présence deBorrelia. Les méthodes immunoenzymatiques (ELISA) etd’immunofluorescence (IFA) présentent des limites dues aux variations antigéniques.
La maladie de Lyme a pu notamment être distinguée des autres Borrelioses grâce à la mise en évidence en 1996 de laglycérophosphodiester phosphodiestérase (GlqQ). La PolyméraseChain Réaction (PCR) est également utilisée maintenant dans le diagnostic de Borrelia crocidurae.

Diagnostic différentiel

Plusieurs pathologies infectieuses peuvent être discutées. Ce sont toutes lesaffections pouvant donner un syndromeinfectieux avec spécifiquement une fièvre avec rechutes :
• Maladies bactériennes : salmonellose(on recherchera une fièvre en plateau, un pouls paradoxal et des signes digestifs notamment une diarrhée) ; leptospirose (l’infection humaine est accidentelle) ; rickettsiose(la notion de voyagedans une zone d’endémie a une valeur d’orientation), brucellose(retrouvée chez les éleveurs) ;
• Maladies parasitaires : paludisme, en zone d’endémie, la GE permet d’établir son diagnosticmais il peut être associé à la borréliose ;
• Maladies virales : arboviroses(le diagnostic fait appel aux données épidémiologiques et aux résultats sérologiques), hépatite virale (on effectuera la recherche d’AgHBs, d’anti-HBc et d’IgM anti-HAV respectivement pour les hépatites B, C et A)

Pouvoir pathogène expérimental

Il est possible d’inoculer les Borreliaaux animaux de laboratoire. Les méthodes classiques ne permettent pas leur culture in vitro.
Elle peut être entretenue comme toutes les autres Borrelia, par passage sur l’animal sensible et conservée par congélation dans l’azote liquide. La souris blanche, le rat blanc, le lapin jeune etles cobayes nouveau-néset jeunes peuventêtre infectés par Borrelia crocidurae. L’infection demeure mortelle pour leslapins, les rats et les souris nouveau-nés. Le cobaye et le lapin adultes sontréfractaires.

Vecteur

Caractéristiques

La tique vectrice de la fièvre récurrente est un acarien hématophage et parasite obligatoire de vertébrés et pouvant piquer l’homme. Il existeplusieurs espèces de tiques réparties en deux grandes familles :
• Les tiques dures ou Ixodidae, les plus nombreuses,
• Les tiques molles ou Argasidaeauxquelles appartiennent les tiques Ornithodores.
Les Argasidaesont des parasites des rongeurs. Leurs téguments sont ornés de tubercules et leurs pièces buccalessont plus courtes que celle des Ixodidae. Lerostre étant inséré ventralement, il n’est pas visible lorsque l’on regarde l’animalen vue dorsale.
Les repas sont courts et nombreux, et les adultes mâles et les femelles effectuent un repas sanguin avant chaque accouplement. L’hôte est abandonné après le repas et la femelle pond les œufs au sol dans le terrier.
Sur le plan évolutif, on distingue trois stades : larvaire, nymphal et adulte. En zone tropicale, la reproduction se déroule toute l’année.
La durée de vie de l’Alectorobius sonraiest longue et on les retrouve ainsi dans les terriers abandonnés par les rongeurs.
Elles supportent bien le jeûne et la dessiccation, pouvant ainsi vivre plusieursannées sans repas.

Transmission

Les fièvres récurrentes à tiques sont transmises par un vecteur du genre Ornithodorus. Les tiques s’infectent au cours d’un repas de sang sur un vertébré bactériémique. Elles deviennent infectantes après 5 à 60 jours selon les espèces.
Les Borreliasont transmises à travers les différents stades de la tique (transmission trans-stadiale) et d’une génération à l’autre du fait de l’infection (transmission transovarienne). L’infection de l’homme ou d’un autre vertébré par une tique infectée peut se faire par voie salivaire, lors du repas sanguin comme noté plus haut mais aussi par les sécrétions coxales contenant des bactéries et contaminant le site de piqûre.
Des cas de transmission par transfusion,accident de laboratoire, ou par voie transplacentaire ont été rapportés.
Ces différents modes de transmission associés à la longévité des tiques font de Alectorobius sonraiun très bon vecteur et un vrai réservoir de virus pour Borrelia crocidurae.
Cependant, il est noté que laquantité d’agent infectieux diminue avec le temps et lors des transmissions aussi bien trans-stadiales que transovariennes. Pour sa propagation, Borrelia crociduraedoit passer à un hôte vertébré.

Facteurs favorisants

Les facteurs climatiques jouent un rôleimportant dans l’expansion de la borréliose. Avant 1970, Alectorobius sonraise rencontrait au nord du 14 ème parallèle, avec une pluviométrie inférieure à 750 mm par an.
Au début des années 1970 a sévi une sécheresse en Afrique de l’Ouest qui a eu comme conséquence entre autres une colonisation par Borrelia crociduraede nouvelles zones de savane s’étendant jusqu’à une latitude de 13°30’. Cela correspond au déplacement de l’isohyète 750 mm. [86]
Le contact étroit d’Alectrorobius sonraiavec l’homme, notamment en milieu rural, est un facteur déterminant pour la contamination humaine.
D’autres facteurs favorisants sont également cités :
– l’insalubrité,
– le manque d’hygiène du corps et de l’habitat,
– le contact étroit avec les animaux tels que les rongeurs

Traitement étiologique

Le traitement de l’infection à Borrelia crociduraeest basé sur l’antibiothérapie à base de cyclines, de phénicolés, de bêtalactimines et de macrolides.

Les Cyclines

Toutes les espèces de Borrelia restent sensibles aux cyclines notamment à la tétracycline et à la doxycycline. Le traitement dure habituellement sept (7) à dix (10) jours. Les posologies pour la tétracycline sont de 2g/jour chez l’adulte ou 12,5 mg/Kg/jour chez l’enfant de plus de 8 ans et pour la doxycycline de 200 mg/jour pour l’adulte ou 4 mg/Kg/jour, en une seule prise, chez l’enfant de plus de 8 ans. Le traitement se fait par voie orale. Par ailleurs la doxycycline possède une propriété antiparasitaire et peut êtreutilisée dans le traitement du paludisme résistant à d’autres antipaludéens. Les effets secondaires des cyclines sont les troubles digestifs, cutanés et neurologiques.

Les macrolides

Il existe un traitement à base d’érythromycine pour les enfants de moins de 8 anset pour la femme enceinte. La posologie est de 500 mg ou 12,5 mg/Kg par voieorale toutes les six heures. Les effets secondaires sont les troubles digestifs, neurologiques et cardiaques.

Les phénicolés

En dehors du traitement par les cycline qui constituent l’antibiothérapie de choix, les phénicolés sont sensibles aux Borrelia. Le chloramphénicol est administré comme traitement local (collyre) tandis que le Thiamphénicol demeure contre-indiqué chez lenourrisson de moins de 6 mois.
Il existe une toxicité hématologique.

Les Bêta-lactamines

La Pénicilline G par parentérale (12 à 30 millions d’UI/jour) ou Ceftriaxone (2g/jour) pendant 10 à 14 jours. Il s’agit des pénicillines et des céphalosporines administrées dans les formes graves telles que les atteintes neuro-méningées.
Les effets secondaires sont les troubles neurologiques et hématologiques.

Indications

Le traitement de l’infection à Borrelia crociduraeest basé sur l’antibiothérapie.
En effet les Borreliasont sensibles aux cyclines, aux phénicolés, aux bêtalactimines etaux macrolides.
Toutes les espèces de Borreliasont sensibles aux cyclines notamment à la tétracycline et à la doxycycline. Ce sont les antibiotiques pour le traitement de laforme simple. Le traitement dure habituellement sept (7) à dix (10) jours. Le traitement se fait par voie orale.
Il existe un traitement à base d’érythromycine pour les enfants de moins de 8 ans et pour la femme enceinte.
En dehors du traitement par les cyclines qui constituent l’antibiothérapie de choix, les phénicolés sont sensibles aux Borrelia. Le chloramphénicol est administré comme traitement local (collyre) tandis que le Thiamphénicol demeure contre-indiqué chez lenourrisson de moins de 6 mois.
Pénicilline G parentérale : 12 à 30 millions d’UI par jour ou Ceftriaxone 2g/jour pendant 10 à 14 jours dans les formes graves telles que les atteintes neuroméningées administrées dans les formesgraves telles que les atteintes neuroméningées.

Résultats

L’antibiothérapie donne des résultats favorables, si le traitement est adapté et institué de manière précoce.
Cependant comme les tétracyclines, l’érythromycine a une mauvaise diffusion dans le tissu cérébral.
Le traitement intensif des malades peut provoquer une réaction de JARISCHHERXHEIMER due à la libération des substances pyrogènes et de la thromboplastine. Cette réaction peut être prévenue par l’administration de corticoïdes.

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : REVUE DE LA LITTERATURE
I Généralités
I 1 Définition
I 2 Intérêt
I 3 Historique
I 4 Physiopathologie
II Signes
II 1 Type de description
II 1 1 Incubation
II 1 2 Début
II 1 3 Phase d’état
II 1 4 Signes biologiques
II 1 5 Evolution
II 1 6 Pronostic
II 2 Formes cliniques
II 2 1 Formes symptomatiques
II 2 1 1 Formes fébriles pures
II 2 1 2 Formes ictériques
II 2 1 3 Formes hépato-rénales
II 2 1 4 Formes nerveuses
II 2 1 5 Formes oculaires
II 2 2 Formes associées
II 2 3 Formes selon le terrain
II 2 3 1 Formes de l’enfant
II 2 3 2 Formes de la femme enceinte
II 2 4 Formes selon l’espèce pathogène
III Diagnostic
III 1 Diagnostic positif
III 1 1 Arguments épidémiologiques .
III 1 2 Arguments cliniques
III 1 2 1 Signes généraux
III 1 2 2 Signes fonctionnels
III 1 2 3 Signes physiques
III 1 3 Arguments paracliniques
III 1 3 1 Examens d’orientation
III 1 3 2 Examens decertitude
1 3 2 1 Diagnosticdirect
III 1 3 2 2 Diagnostic indirect
III 2 Diagnostic différentiel
III 3 Diagnostic étiologique
III 3 1 Agent pathogène
III 3 1 1 Classification
III 3 1 2 Caractéristiques
III 3 1 3 Pouvoir pathogèneexpérimental
III 3 2 Vecteur
III 3 2 1 Caractéristiques
III 3 2 2 Répartition géographique
III 3 2 3 Mode de contamination
III 3 3 Réservoir devirus
III 3 4 Transmission
III 3 5 Facteurs favorisants
IV Traitement
IV 1 Traitementcuratif
IV 1 1 Buts
IV 1 2 Moyens
IV 1 2 1 Traitement symptomatique
IV 1 2 2 Traitementétiologique
IV 1 3 Indications
IV 1 4 Résultats
IV 2 Traitement préventif
IV 2 1 Buts
IV 2 2 Moyens
IV 2 3 Indications
IV 2 4 Résultats
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
I Cadre de l’étude
I 1 Situation géographique et données climatique
I 2 Population
I 3 Description du centre de recherche
I 4 Personnels
I 5 Population d’étude
II Méthodologie
II 1 Type d’étude
II 2 Justification du choix des deux villages
II 3 Critères d’inclusion
II 4 Critères d’exclusion
II 5 Enquête de terrain
II 6 Méthode de recueil des données
II 7 Méthode d’analyse des données
III Résultats
III 1 Répartition selon le temps
III 1 1 Répartition selon les années
III 1 2 Répartition selon les mois
III 2 Répartition selon les données socio-démographiques
III 2 1 Répartition selon la résidence
III 2 2 Répartition selon le sexe
III 2 3 Répartition selon les groupes d’âge
III 3 Répartition selon les données cliniques
III 4 Répartition selon le typede traitement
IV Discussion
IV 1 Au plan épidémiologique
IV 2 Aux plans cliniqueet diagnostique
IV 3 Au plan thérapeutique
CONCLUSION
RECOMMANDATIONS 
BIBLIOGRAPHIE 
ANNEXES

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