Généralités sur le maïs
Tous les maïs cultivés appartiennent essentiellement à deux catégories spécifiques à savoir : maïs cornés , maïs farineux. Mais au fil du temps, il y en a plusieurs espèces de maïs qui apparaissent presque partout dans le monde.
En ce qui concerne Madagascar notamment pour le district de Brickaville, les variétés de maïs plantés appartiennent généralement aux deux espèces susmentionnées. Quant à sa culture, le maïs a été trouvé dans le sud du Mexique vers 4000 ans avant JC. La première civilisation des Américains dépendait de sa culture. A l’arrivée des européens en Amérique, le maïs s’était propagé depuis le Chili jusqu’au Canada. La première apparition du maïs en Afrique de l’Ouest remonte à 1498, six années après la découverte des Antilles par Christophe Colomb. Les portugais ont rapporté à Sao Tomé des types à grain farineux d’Amérique centrale et d’Amérique du sud et ils se sont rependus de São Tomé vers la côte de l’Afrique de l’ouest. Vers le milieu de XVI siècle, ce sont les types caraïbes de maïs corné que des marchands portugais et arabe ont introduit en Afrique de l’est, d’où ils ont été transmis en Afrique centrale. Enfin à travers les routes commerciales transsahariennes, les arabes ont introduit en Afrique subsaharienne les types cornés qui avaient été apportés dans le nord de l’Afrique. Ce sont toujours les espèces cornés qui prédominent dans la partie nord de l’Afrique de l’Ouest, les types farineux se trouvant surtout dans les régions sud.Les maïs sont devenus un aliment de base en Afrique orientale et australe dans les années 1930.
Quant à Madagascar, le maïs céréale originaire d’Amérique tropicale (Pérou, Bolivie, Mexique), fut introduit ici vraisemblablement vers le 18ème siècle. Le maïs est une espèce végétale très plastique qui s’adapte à une large gamme de conditions édapho-climatiques.
La biologie du maïs
Les processus biologique de la plantation de maïs se présentent généralement de la manière suivante : La germination :La germination est la phase primitive de développement du maïs cultivé. Quand le grain est semé, il gonfle sous l’influence de l’humidité. Deux ou trois jours après le semis, la radicule apparaît. Ensuite, trois à quatre jours après le semis, il y a l’apparition de la tigelle. La germination s’achève dès que la levée est générale après le semis. Elle dure le plus souvent de huit à dix jours après le semis. La température minimale exigée par la culture de maïs durant sa germination est de 10°C et l’optimal est autour de 20°C.
La croissance :La croissance est la deuxième phase du développement de la culture de maïs. Elle se limite dès sa levée générale jusqu’à l’apparition de l’inflorescence mâle. Cette phase est plus lente .Elle dure le plus souvent soixante jours environ après le semis. Elle nécessite une température très ambiante et un sol humide. Mais leur processus jusqu’à cette fin se décompose comme suit : Durant quatre à cinq semaines après le semis, il y a l’apparition des feuilles et l’allongement de la tige. C’est le tallage. Dans ce temps, le maïs mesure environ de 10 à 15 cm de haut. Plus tard au cours de sa croissance, des verticilles, des racines aériennes peuvent se développer à partir des nœuds inférieurs situés au dessus du sol. Celles-ci sont nécessaires pour la croissance de cette plante parce qu’elles peuvent aider la plante à s’ancrer tout en contribuant à son absorption d’eau et à ses nutriments. Dans cette phase, de 20 à 30 jours après la germination, il y a l’existence de l’initiation florale.
La floraison :L’inflorescence apparait, dès que la croissance de la plante est terminée .Le mâle et la femelle ne se manifestent pas en même temps. C’’est le mâle qui apparaît le premier .Il se fait d’une manière générale de 70 à 95 jours après le semis. 5 à 8 jours après l’apparition du mâle, la femelle se montre .
La fécondation :C’est la phase à laquelle, l’inflorescence mâle et femelle se noue. Elle se fait quotidiennement de 5 à 10 jours après la fusion de l’inflorescence mâle à celle de la femelle.
La maturation :D’après la constatation du cycle de vie de la plantation de maïs, il est dit mûr 7 à 8 jours après la floraison. Mais cependant après formation des grains, il doit passer et traverser les trois stades suivants : Stade laiteux ; Stade pâteux; Stade sec.
Les ravageurs du maïs et les moyens de lutte
Des nombreux ravageurs peuvent apparaître, mais ils se distinguent suivent les cycles de vie de la culture. Les moyens de luttes sont variables suivent leur situation d’existence. Les tous sont développés dans la suite :
Les ennemis du maïs :Ils sont nombreux et se présentent sous des aspects divers. D’abord les premiers ennemis, ce sont des animaux, des champignons, des bactéries ou des virus qui affectent le fonctionnement normal des organes végétaux des cultures. Sont encore ennemis de la culture, les mauvaises herbes qui empêchent la poussée de la plante. Elles sont variables suivant le cycle de vie d’une plante .Les parasites du maïs, peuvent apparaitre jusqu’à l’entreposage. Nous allons voir ci-après les différents types destructeurs qui peuvent affecter le fonctionnement normal de l’organe végétatif du maïs. Pendant la phase de germination et de la plantule ce sont les animaux (insectes, oiseau) et les vers (vers gris) et des champignons qui apparaissent le plus souvent. Les oiseaux anéantissent les épis semis en les mangeant de même les insectes et les vers, jusqu’à la plantule .Les champignons entraînent la pourriture de épis semis. Ensuite, durent sa végétation, ce sont les broyeur de tiges et des feuilles puis des racines qui interviennent souvent. Ce sont notamment, les taupins qui attaquent les jeunes tiges, les oscinie pour les feuilles, les vers blancs, les vers gris pour les racines, des limaces aussi pour les feuilles…etc.
Et enfin, à la formation des épis et des grains, ce sont les sésamies, les charbons qui apparaissent le plus souvent. Les effets très remarquables, sont les non conformités des épis et des grains aux normes et qui vont diminuer le rendement normal de la culture.
Par ailleurs, à l’entreposage, ce sont les silains, les tribolions, les pyrales des fruits secs qui l’affectent d’une manière générale.
Concernant les plantes adventives, ce sont les mauvaises herbes peuvent ravager les bourgeons de maïs au cours de leur croissance et en conséquence affecter sa végétation.
Les moyens de luttes :Par définition, les moyens de lutte, sont des techniques et des moyens mis en œuvre afin de protéger le fonctionnement normal de l’organe reproducteur de la du maïs. Ils sont très nombreux aussi, mais nous n’en retiendrons ici que quelques uns à savoir :
Lutte chimique : apport d’engrais, emploi d’herbicides et d’insecticides, désinfection de semences….etc.
Lutte culturale : semis à densité moyenne, semi à espacement, sarclage, adaptation de rotation culturale, meilleure préparation du sol et du choix du terrain etc.
Lutte biologique : emploi de variétés résistantes et bien sélectionnés. Dans l’ensemble, ces différents points peuvent cerner les processus biologiques de la plantation de maïs.
Les caractéristiques techniques de la culture de maïs
Les systèmes culturaux
Dans chaque village visité, deux systèmes de cultures ont observé. Ce sont : Les systèmes de tavy ou culture sèche ou bien encore culture sur montagne et ; Les systèmes dans les plaines –basses ou dans les bassins de basses pentes.
La maïsicultures de tavy :Dans cette région, la pratique culturale du maïs sur la montagne n’est pas écartée des autres cultures. D’habitude, elle est associée à la pratique de la culture du riz de tavy. Durant cela, c’est la culture du riz qui sable prioritaire pour les paysans, celle du maïs étant additionnelle .Mais nous allons voir comment se pratique ensemble ces cultures.
D’abord le tavy, historiquement, est une ancienne tradition rizicole qui reste pour les Betsimisaraka un phénomène économique et social. Il est pratiqué, afin d’assurer la consommation quotidienne et assure, la cohésion sociale des ruraux. Le tavy reste toujours un moyen de production essentiel, qui mobilise les paysans au moins pendant 100 jours dès le début jusqu’à la fin de la saison. C’est une opération que se fait, une fois dans l’année.
Le tavy nécessite au préalable forestier. C’est une affaire de famille et plus particulièrement des hommes. C’est une opération labeur mais acharnée qui demande une longue durée d’exécution.Malgré cela les Betsimisaraka manient avec adresse le coupe-coupe ou «kalaza», aussi un hectare à aménager demande environ 40 journées de travail familiale auxquelles il faut ajouter huit jours pour la préparation de pare-feu c’est-à-dire le simple couloir nettoyé à la périphérie des zones défrichée. Enfin, le brûlage demande cinq journées supplémentaires.
Les maïsicultures dans les bassins de basse pente :Dans la pratique, elles ne se distinguent pas des systèmes du tavy. Mais c’est seulement les caprices des paysans qui vont les diversifier. Les paysans sont plus passionnés de pratiquer la culture dans les plaines que dans les montagnes. Normalement, le système d’exploitation du sol, commence par les labours des terrains avec enfouissement des herbes en profondeur de 20 à 30 cm en moyenne .On va laisser le plus grand intervalle possible entre déchaumage et labour. Mais ici, dans cette région, la cadence des travaux est la même aussi bien pour la culture en basse pente que pour le tavy.
Les calendriers culturaux
Nous donnons ici non seulement le calendrier cultural de la maïsiculture, mais également ceux des autres activités agricoles qui se sont localement exercées simultanément avec la maïsiculture. Ainsi, le maïs, de la première saison correspond au début de la saison de pluies. Il se déroule au mois d’avril-Mai (la préparation du sol et le semi) et se mûrit au mois de juillet- Août. C’est la saison de la cueillette du café.
La seconde saison, est au mois d’Aout- Septembre, c’est la saison de fin des pluies. Mais à cause de l’existence de l’orage des trois derniers mois, les pluies sont abondantes. Pendent cette saison, la récolte se fait aux mois de Novembre-Décembre, les paysans sont engagés parallèlement à la récolte de girofle, letchis et des bananes .
Les maïsicultures de la montagne se cultivent dès la préparation du sol aux semis, au moment de la période de très faible pluviosité avec existence de températures très alternées d’Octobre.
Pour ne pas remettre en question l’activité agricole et en particulier les cultures précitées, on voit à première vue que le calendrier agricole des paysans de ce District se trouve trop surchargé .
Ainsi, donc, nous pouvons déduire de ce passage que les conditions écologiques de la région (district) sont d’abord favorables à la maïsiculture.
Les sols ferralitiques de fertilité insatisfaisante prédomine sur les montagnes « tanety » où la pluviométrie se révèle quelquefois comme un obstacle, notamment pour la maïsiculture de la deuxième saison mais d’autres conditions restent meilleures. D’autre part, les variétés employées sont presque des variétés locales de caractéristiques agronomiques très intéressantes .Et enfin les techniques cultures sont généralement conditionnées par le milieu naturel : le système de culture sur la montagne (tavy) et celle sur la plaine. Les systèmes de tavy sont très traditionnels ; défrichement forestière, semis en poquet, sarclage manuel et d’autre. Les deux systèmes sont presque les mêmes, mais ils ont besoin de plusieurs régularisations surtout dans le domaine du terrain et du mode d’exploitation.
Impacts sur la vie sociale de la population
Comportement des paysans face aux variations de prix
A partir de la défaillance de l’usine SIRAMA, la plupart du niveau de revenu et le pouvoir d’achat de la population dépendent surtout de l’argent apporté par la vente de la production de maïs et celui des productions des cultures d’exportation comme le café, et le girofle.
Quand le prix hausse le pouvoir d’achat des paysans augmente, le phénomène le plus marquant est le gaspillage d’argent. De nouvelles habitudes de consommation sont nées au sein des paysans. Ceux-ci font notamment des dépenses vestimentaires et l’achat de matériels importés, des achats de postes radios à lecteur et des cassettes dans chaque famille.
Cela exige l’achat des biens complémentaires tels que les piles, les cassettes, les C.D gravés,… et nécessite des services après vente pour l’installation des batteries, des postes télévisions,… et puis des réparations par les ingénieurs. En même temps des manifestations traditionnelles occasionnant des dépenses improductives telles que les fêtes, les cérémonies, sacrifice sous forme de «joro», tsikafara,… se multiplient.
Impacts sur l’emploi
Dès l’année 2004-2005, nombreux paysans sont sans emploi à la suite de la fermeture de l’usine SIRAMA. A partir de ces années, près de 50% des paysans pratiquent la maïsiculture dans cette localité.
La maïsiculture est une exploitation qui demande une haute intensité de main-d’œuvre. Elle favorise la création d’embauche journalière pour les gens du village. D’après l’enquête que nous avons faite dans cette localité, un maïsiculteur propriétaire d’exploitation peut recevoir deux ou trois personnes par jour pendant la période d’exploitation. Dans ce cas, nous pouvons dire que dans cette région l’épanouissement de la maïsiculture peut atténuer la situation de chômage, une création d’emplois auprès des industries agro-alimentaires transformant le maïs grain en farine, ou bien encore en provende,… Ceux-ci ne doivent pas être négligés, même si tout cela se produit dans d’autres régions. Cette situation pourrait réduire ou facilites l’insécurité que ce soit régionale ou nationale. Effectivement, l’agriculteur peut valoriser sa production avec profit en approvisionnant l’industrie en produits de haute qualité. La transformation peut, par la valeur ajoutée aux produits, améliorer la performance de l’industrie, permettre de créer d’emplois dans les zones enclavées, urbaines et rurales puis d’entretenir les liens entre l’agriculture et l’industrie pour leurs bénéfices mutuels.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : ETUDE DU MILIEU ET DESCRIPTION DU MAÏS
CHAPITRE I : GENERALITE ET CONTEXTE NATUREL SUR LE MILIEU ETUDIE
SECTION 1 : SITUATION GEOGRAPHIQUE
A. Les structures du Relief
B. Les structures pédologiques
C. Les conditions climatiques
a. La pluviométrie
b. La température
SECTION -2 : SITUATION DE LA POPULATION
A- Les structures sociologiques
a- L’homogénéité de population
b- Organisation de la société
c- Les règles de fonctionnement de la société
B- Les structures démographiques
a- Les caractéristiques de population
b- Les caractéristiques socio- professionnelle
SECTION -3 : SITUATION ECONOMIQUE
A- Les activités agricoles et leurs structures
a- Cultures renouvelables
b- Les cultures non renouvelables ou permanentes
c- Les structures des activités agricoles
B- Les activités non agricoles
a- L’élevage
b- La Pêche et chasse
C – Les espaces agricoles cultivables
CHAPITRE II : DESCRIPTIONS DU MAÏS
SECTION1 : GENERALITES SUR LE MAÏS
A. Historique
B- La biologie du maïs
a- La germination
b- La croissance
c- La floraison
d- La fécondation
b- Les moyens de luttes
D- L’écologie du maïs
a- Les conditions climatiques
a-1- La température
a-2- La lumière
a-3-La pluviométrie
a-4-L’humidité
a-5-Le vent
E- Les variétés de maïs
a- Les particularisés d’une bonne variété
b- Les variétés locales
SECTION-2- LES CARACTERISTIQUES TECHNIQUES DE LA CULTURE DE MAÏS
A- Les systèmes culturaux
a- La maïsicultures de tavy
b- Les maïsicultures dans les bassins de basse pente
B- Les calendriers culturaux
DEUXIÈME PARTIE : ÉTUDE DE L’EXPLOITATION DU MAÏS ET LES DIFFÉRENTS IMPACTS SUR LE DÉVELOPPEMENT SOCIO-ÉCONOMIQUE DANS LE DISTICT DE BRICKAVILLE
CHAPITRE I : LA SITUATION DE L’EXPLOITATION DU MAÏS DANS LE DISTRICT DU BRICKAVILLE
SECTION1 : LE SYSTEME DE PRODUCTION DE MAÏS
A- Les facteurs de production de maïs
a- Le facteur nature : La terre
a-1-Le sol maïs cultivable
a2-Le régime juridique du sol
a3-Structure et type d’exploitation
b-Facteur humain : le travail
b1-Le travail disponible
b2-Le travail effectif
B- Les capitaux d’exploitation
c1-Les capitaux morts
C2-Les capitaux vifs
c3-Les capitaux circulants
B- Les résultats de l’exploitation
a-Approche méthodologique
b-Exemple pratique
b1-Présentation de l’exploitation
b2- Maïsiculture purement traditionnelle
b3-Maïsiculture améliorée
b4- Maïsiculture modernisée (ou bien mécanisé)
b5- Conclusion
SECTION II : LES STRUCTURES ENVIRONNANTE DU SYSTEME
A- L’environnement social du système
a- Les structures de l’éducation.
b- Les structures sanitaires
B-L’environnement technique du système.
a) Les structures de la vulgarisation agricole :
b) Les infrastructures rurales
b1- Le Génie-rural et les infrastructures hydro-agricoles
b2-L’aménagement de la vallée forestière
c)- Les structures des approvisionnements en intrant agricoles
d)- L’environnement financier du système
d1-Crédit villageois (crédit informel)
d2- Les crédits bancaires
SECTION III : LA SITUATION DE LA PRODUCTION DE MAÏS ET SA COMMERCIALISATION
A- Les caractéristiques de la production de maïs
a- Le niveau de la production
a1- l’incidence de la dispersion de l’exploitation
a2- Le sous-emploi permanent et la faible qualification de la main-d’œuvre locale
a3- Les effets de la rareté des capitaux d’exploitation
b-Une production naturelle
b1- Les éléments déterminants de la production
b2- L’évolution de la production
B- La production de substance
a- La consommation villageoise
a1- La consommation finale
a2- La consommation productive
C- La structure de la commercialisation
a)- Les conditions d’évacuation
a1- Les voies de communication
a2- Les conditions de transport
a3- Les circuits d’évacuation
b- Le système de collecte des productions des maïs
b1- Les collecteurs
b2- les modalités de collecte
c- Le prix du maïs
c1- Le prix libre
c2- Le prix fixe
d-) Les marchés du maïs
d1- Les marchés locaux
d2-Les marchés nationaux
d3-Les marché mondiaux
CHAPITRE II :LES DIFFERENTS IMPACTS DE LA PRODUCTION DE MAÏS SUR LE DEVELOPPEMENT SOCIO-ECONOMIQUE DE CETTE REGION
SECTION 1 : LA COMMERCIALISATION INTERNE
A. Les agents intervenant dans le circuit
a) Les producteurs directs
b) Les sous collecteurs
c) Les collecteurs principaux
d) Les commerçants individuels
e) Les transporteurs
B. Organisation du transport
a) Le portage (moyen archaïque)
b) La pirogue
c) La route ou la piste
C. La fluctuation du prix
D. La consommation et les débouchés intérieurs
E. La spéculation
SECTION 2 : IMPACTS SUR LA VIE SOCIALE DE LA POPULATION
A. Comportement des paysans face aux variations de prix
B. Impacts sur l’emploi
C. Impacts sur le revenu
D. Relation de la culture de maïs avec les autres cultures vivrières
SECTION 3 : IMPACTS SUR L’ECONOMIE
A. Ressources financières de l’administration locale
B. Impacts macro-économiques
C. Impacts sur les différents secteurs
CHAPITRE 3. RECOMMANDATIONS POUR LE DEVELOPPEMENT DE LA REGION
SECTION -1 : DESENCLAVEMENT DE LA REGION
A- Les voies de communication
B- Intensification des lignes téléphoniques
SECTION 2- L’OCTROI DE CREDIT
B- Les organisations paysannes
SECTION : 3 –CHANGEMENT DE LA MENTALITE
A- La diversification de l’agriculture
B- L’environnement
C- Le développement économique et la population- l’innovation technologique et la productivité du
travail agricole
D- L’éducation et la santé
SECTION 4 : AMELIORATION DE LA MAÏSICULTURE
A- Recherche de la nouvelle variété
B- La vulgarisation agricole
a- Transformation des unités de production des paysans
b- Techniques de vulgarisation paysanne
SECTION 5- LE DEVELOPPEMENT ET LA CONTRIBUTION DE L’ETAT
A- Industrie agro- alimentaire
B- Le renforcement de l’administration
C- La décentralisation et le changement institutionnel
CONCLUSION
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