ituation géographique et caractéristiques générales du bassin

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

Couvert végétal et occupation du Sol

La végétation joue le rôle d’écran qui conditionne la rapidité du ruissellement superficiel et amortit son agressivité. Ainsi, les formes et l’importance de l’érosion hydrique sont directement liées, en plus d’autres facteurs, à la répartition de la couverture végétale dans le bassin.
La configuration géographique de la zone d’étude laisse apparaître 3 grands ensembles nettement distincts :
Nord-est : Zone montagneuse faisant partie de la chaîne Tellienne et qui constitue le patrimoine forestier de la région ;
Sud-est : Zone constituée de plaines agricoles et de pâturages ;
Sud : Zone des hauts plateaux.

Forêt

La superficie forestière de la zone d’intérêt est estimée à 114341,03 Hectares soit 44.41 % de la superficie totale des communes et elle est concentrée essentiellement au niveau des communes de Mechroha (75,48 %), Ouled-Moumen (50,01 %), Ain-Zana (52,98 %) et Zaarouria (49,53 %).

Aperçu structural et tectonique

La région d’étude s’étale sur le territoire de la wilaya de Souk-Ahras qui s’insère dans les monts de la Medjerda.
Elle constitue une zone charnière entre deux domaines structuraux distincts à savoir: l’Atlas Tellien au Nord et l’Atlas Saharien au Sud.
C’est une zone a structure généralement simple au Sud et complexe au Nord. Il s’agit donc, en zone de l’Atlas Saharien d’une structure plissée d’une orientation dominante Sud-ouest\Nord-est. Cette structure dite Aurassienne est composée d’une série de plis synclinaux larges et d’anticlinaux plus étroits datant du Crétacé. Leur couverture et généralement mince, elle présente une épaisseur de quelques milliers de mètres au maximum.
Au nord, vers le Tell et compte tenu des poussées tangentielles venues du Nord, les plis adoptent une orientation Ouest, Cette orientation dite Numidienne est très visible, surtout dans la zone Nord-ouest. Cette compression latérale a réduit la taille de l’ensemble des plis en donnant des synclinaux couchés, dans la plupart des cas failles.
Il est donc, remarque un passage progressif de la structure Atlasique à la structure Tellienne sans différence fondamentale. La nuance réside dans les efforts tangentiels générateurs des décollements de la couverture se produisant à la base du système Numidien entre le Crétacé et le Tertiaire, qu’a connu la zone Tellienne. Aussi, la présence des fractures transversales responsables des bassins d’effondrement (Taoura) à fin que les plis Telliens ont subit une légère torsion vers le Nord du côté de la frontière Tunisienne.
Le Trias quant a lui réagit pour son propre compte, il est toujours responsable de certaines complication qui comme la zone, il se trouve en position stratigraphique anormale (discordante). Sa grande plasticité lui permet de monter à travers les terrains sous-jacents. Il est remarqué dans les anticlinaux, dans les grandes fractures ou dans les massifs (le massif de Souk-Ahras).
La mise en place de cette structure s’est faite comme pour toute la chaine montagneuse Nord orientale au cours de nombreuses phases orogéniques.
Selon L.David, deux périodes orogéniques caractérisent la zone; (figure N°07)
Une période pré-orogénique caractérisée par un calme parfait, l’autre orogénique très courte et mouvementée ou de nombreuses phases orogénique se succèdent depuis le Crétacé jusqu’au quaternaire.

La première période (pré-orogénique)

Débute à l’aube du crétacé où se sont produits les premiers plissements qu’a connu la zone. Ces plissements sont survenus vers la fin du Maestrichtien au cours desquels il y’a eu l’émersion des hautes plains, puis vers la fin du l’Eocène le calme revient.

La deuxième période (orogénique)

Au cours de la quelle se sont produites plusieurs phases de Diapirisme, débutant à l’Eocène. Vers la fin du Luthérien et se prolonge jusqu’au Quaternaire. Au commencement, elles étaient faibles puis paroxysmales puis faibles de nouveau.

La phase préliminaire

Dans cette phase qui avait mis fin à la longue période de sédimentation (depuis le Crétacé) était Post-Luthérien et Anté-Bartonien. Elle était responsable du premier véritable plissement.

La première phase majeur

Correspond aux périodes post-Oligocène et Ante-Miocène avait mis fin au dépôt Oligocène a facies Numidien. Pendant cette phase, les poussées venues du Nord-ouest étaient très intenses. Elles étaient responsables de la modification de la structure de la zone Nord par la mise en place de la chaine montagneuse Nord a structure fortement plissée. La zone Sud avait déjà sa constitution définitive et la structure plissée était en place.

La deuxième phase majeure

É tait Post-Miocène inférieur et Anté-Miocène supérieur pendant laquelle la chaine Tellienne acquiert sa constitution définitive. C’est la phase a compression maximum ou il y’avait des plis failles et des écailles jusqu’à de véritables nappes de charriage.
Cette phase est suivie par autre Post-Miocène et Anté-Pliocène qui correspond à une période de distension ou une partie du socle fracture, s’enfonce lentement.
L’entrainement de la couverture vers le bas donne naissance aux bassins d’enfoncement de Taoura et Nador. Vers la fin du Miocène, un autre jeu marque la dernière manifestation. Des plissements autour du bassin du Nador et dans la vallée de la Medjerda.

la dernière phase

C’est la phase Post-Pliocène qui correspond à la dernière pulsation sensible qui a mis fin à la subsidence des bassins d’effondrement, est plus récente que le Miocène supérieur de Taoura.

La Lithostratigraphie de la région

D’après les cartes géologiques couvrant le territoire de la Wilaya de Souk-Ahras. Une carte lithologique au 1/50000 a été dressée pour servir de base à l’établissement de la carte pédologue. Elle traduit la nature lithologique des grandes formations géologiques rencontrées et qui vont du Trias, étant la plus ancienne formation, au Quaternaire qui représente les terrains les plus récents de l’échelle stratigraphique résumée comme suit:

Secondaire

Le Trias

Dans le périmètre d’étude, les terrains Triasiques affleurent dans les structures Diapiriques, il est remarque plusieurs taches selon la direction des grands plissements (Sud-ouest, Nord-est); Fig.07.
Il apparait dans plusieurs points du périmètre, au Nord dans la partie centrale et au Sud. Il affleure à Kef En Neguib dans la commune de Mechrouha, du cote de Souk-Ahras et Oued Mougras, au massif de Ras El Alia et Tiffech et dans la commune de Bir Bouhouch et M’Daourouch.
D’une façon générale, le facies Triasique est en contact anormal avec les formations sous jacentes. Il est caractérisé par une hétérogène lithologique composée:
– D’une formation Gréso-gypso-argileuse a blocs de roches variées. C’est une formation plastique constituée d’un mélange de marnes et d’argiles bariolées.
– Des blocs de calcaires gris ou noirs.
– Des grés, argiles et marnes: ce sont des blocs de grés micacés intercales d’argiles et de marnes bariolées de teinte rougeâtre.
– Des dolomies qui correspondent à des roches a grains fins légèrement poreux et lités.

Le Crétacé inférieur et moyen

Dans la zone d’étude, le Crétacé est caractérisé par l’affleurement des formations de l’étage barrémien, Aptien, Albien, Cénomanien et le Turonien. Il ne couvre qu’une restreinte superficie des monts de la Medjerda. Il apparait au Nord dans l’anticlinal de l’oued Mougras (Sidi El Hemissi, Djebel Graouet et Bourzine) et s’étend jusqu’à la frontière Tunisienne. Il est, aussi remarque dans l’anticlinal de djebel Ladjbel, en bordure du Diapir Triasique d’El Ouasta, prés de la frontière Tunisienne, à Essouabah et aux environs de Bir Bouhouche.
Les matériaux composants le Crétacé inférieur et moyen sont des dépôts marins constitues essentiellement de marnes du cénomanien et des marnes et marno-calcaires de Turonien.

Le Crétacé supérieur

Le Crétacé supérieur qui couvre la majeur partie du territoire de la wilaya est caractérise par (02) facies important; les calcaires du Campanien et du Maestrichtien et la série marneuse des différents étages. Il apparaît au Nord dans le territoire de la commune de Hennancha, Zaarouria où il constitue les différents djebels tels que Dekma, Zaarouria, Zelaz et Bourzine.
Dans la zone médiane, il est observe dans la commune de Taoura, M’daourouche, Sedrata et Bir Bouhouch où il apparaît a djebel Taguilaline, Terraguelt, Bousessou, Alahoum et Choucha.

Tertiaire

L’Eocène

Du point de vue répartition géologique, L’Eocène est très peu observe dans le territoire de la wilaya de Souk-Ahras. Il n’apparait que sous forme de lambeaux dans la région Nord.
Il affleure à djebel Dekma, au Nord de djebel M’Sid à djebel Boukebch et aux environs de la gare de l’Oued Mougras.
Dans la zone médiane, il n’apparait qu’aux environs de Taoura (plateau de Taoura).
L’Eocène se manifeste à travers le périmètre sous forme d’épaisses couches de marne, de calcaire ou d’alternance de calcaire et de marne.

L’Oligocène

Comme l’Eocène, l’Oligocène se présente comme une bande Est-ouest au Nord de la zone passant par oued Mougras et Sidi el Hemissi. Il affleure sous forme de grés Numidiens séparés, quelques fois par des argiles schisteuses ou de marnes peu épaisses de couleur grise et pauvre en calcaire.

Miocène inferieur

Il constitue le troisième cycle sédimentaire marin de l’ère Tertiaire. Il couvre une vaste surface de la wilaya. Il est observe au cœur des structure synclinales au Nord comme au Sud passant par la zone médiane.
Il affleure le long de la vallée de la Medjerda jusqu’à la frontière Tunisienne. Il apparait aussi a djebel Serou, à Oued chouk et dans la facies dominant du Miocène sont les grés et les marnes associées quelques fois, aux conglomérats et aux calcaires.
Les marnes sont d’une couleur noire ou brune riche en calcaire et souvent gypsifères.
Les grés quant à eux sont d’une teinte brun clair à ciment calcaire.

Miocène supérieur

Son étendue est très limitée dans l’espace, il n’affleure que le long de l’oued Medjerda sur la rive Nord aux environs de la zone de l’oued Mougras. Comme le miocène inferieur, sa lithologie est dominée par l’affleurement des marnes, des grés et des conglomérats.

Le Miopliocène continental

Il se manifeste en majeure partie dans la zone médiane aux environs de Sedrata, Oum Ladhiem, au Sud de Zaarouria et à l’Est de Taoura. Il se présente sous forme de sédiments détritiques avec alternance de grés, de conglomérats, de calcaire lacustre et de marne.

Quaternaire

Le quaternaire englobe les formations postérieures à la dernière phase des plissements qui ont suivie le dépôt du miocène.
Dans le territoire de la wilaya de Souk-Ahras le quaternaire couvre d’importantes superficies, il est présent pratiquement dans toutes les feuilles géologiques couvrant la wilaya de Souk-Ahras. Il se compose en général de formation continentale telle que les nappes d’épandage,les terrasses fluviatiles, des éboulis et des limons. Selon leur caractéristique, ces dépôts ont été classes en trois (03) groupes:

Les formations anciennes

Dans cette catégorie, il est regroupe les nappes d’épandages qui sont de formation caillouteuse reposant sur les marnes Crétacées. Elles apparaissent au Sud de M’Daourouche jusqu’à la frontière Tunisienne. On trouve aussi, la croute calcaire à l’extrémité Sud de Taoura et au Sud de Souk-Ahras.

Les formations récentes

Ces formations sont représentées par les cailloutis (se sont les formations quaternaires anciennes démantelées par l’érosion), les brèches et les alluvions. Les premiers sont observes sur le versant Sud de djebel Guenguita, Zaarouria et djebel Ledjbel. Les alluvions, par contre sont remarquées dans les vallées des Oueds du périmètre.

Les formations actuelles

Ce sont les limons et les cailloutis qui proviennent du lessivage des marnes et le transport des calcaires. Elles sont observées à l’extrême Est du périmètre (Ouest de Sakiet Sidi-Youcef) et aux environs de Taoura et de M’Daourouch.
Les travertins apparaissent, par contre, au Sud de Souk-Ahras et au Nord-ouest de djebel Dekma.

Les Terrasses

Dans le périmètre, elles se font rares parce que le régime des de l’oued est temporaire ne se prête guère à leur identification. Elles persistent sous forme de lambeaux, de terrasses le long de l’oued Medjerda après le massif Triasique de Souk-Ahras, dans la feuille géologique de l’Oued Mougras. Elles sont observées aussi sur une partie de l’Oued Er Ranem qui présente un système de terrasses étagées, les autres oueds prennes n’ont que des accumulations fluviales mal définis. D’une façon générale, ces terrasses, n’ont que deux niveaux.

Terrasse de la Medjerda

La cour supérieure de la rivière est composée de deux parties :

Très Haute vallée

Entre la source et la terrasse du massif Triasique de Souk-Ahras de pente très rapide.
On peut reconnaitre:
Le lit actuel de la rivière.
Une très basse terrasse de 3 à 5m conservée principalement dans les méandres et correspond au lit majeur.
De rares lambeaux consolides d’une haute terrasse située vers 50-60m au minimum, au Sud de djebel Kelai.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE Analyse du bassin (Portrait du bassin et diagnostic des ressources)
CHAPITRE I : Situation géographique et caractéristiques générales du bassin
I. Situation géographique
II. Caractéristiques morphométriques du bassin versant
II.1 Introduction
II.2 Caractéristiques géométriques
II.2.1 forme du bassin
II.2.1.1 Indice de compacité de Gravelus (C)
II.2.1.2 Rapport de circularité de Miller (1953) (RC)
II.2.1.3 facteur de forme (FF)
II.2.2 Périmètre du bassin (Ps)
II.2.3 Superficie
II.2.4 Longueur moyenne du bassin
II.2.5 Largeur moyenne du bassin
II.3 Relief
II.3.1 Caractéristiques du relief
II.3.1.1 Altitudes caractéristiques du bassin
II.3.1.2 Indices de Pentes
II.4 Le réseau hydrographique
II.4.1 Les principaux oueds
II.4.2 La Densité de drainage(Dd)
II.4.3 Le Temps de concentration
II.4.2 Profil en long
III. Couvert végétal et occupation du Sol
III. 1 Forêt
III.2 Agriculture
IV. Conclusion
CHAPITRE II : Cadre Géologique
I. Introduction
II. Aperçu structural et tectonique
II.1 La première période (Pré-orogénique)
II.2 La deuxième période (Orogénique)
II.2.1 La phase préliminaire
II.2.2 La première phase majeur
II.2.3 La deuxième phase majeure
II.2.4 La dernière phase
III La Lithostratigraphie de la région
III.1 Secondaire
III.1.1 Le Trias
III.1.3 Le Crétacé supérieur
III.2 Tertiaire
III.2.1 L’Eocène
III.2.2 L’Oligocène
III.2.3 Miocène inferieur
III.2.4 Miocène supérieur
III.2.5 Le Miopliocène continental:
III.3 Quaternaire
III.3.1 Les formations anciennes:
III.3.2 Les formations récentes
III.3.3 Les formations actuelles
III.3.4 Les Terrasses
III.3.4.1 Terrasse de la Medjerda
III.4.2 Terrasse de l’Oued Renem
IV. Paléogéographie de la région
V. Conclusion
CHAPITRE III : Hydroclimatologie
I. Introduction
II. Equipment du bassin
II.1 Station pluviométriques
II.2 Station hydrométriques
III. Analyse des facteurs climatiques
III.1 Les précipitations
III.1.1 Variation interannuelle des précipitations
III.1.2 Répartition saisonnière des précipitations
III.1.3 Coefficient pluviométrique
III.2 Les Températures
III.3 Relation Température – Précipitation (courbe Ombrothermique)
III.4 Détermination des indices climatiques
III.4.1 Climagramme d’Emberger
III.4.2 Indice d’aridité de Martonne
III.4.3 Indice d’aridité mensuelle
IV Le Bilan hydrique
IV.1 Etude de l’évapotranspiration
IV.1.1 Estimation de l’évapotranspiration potentielle : (ETP)
IV.1.2 Estimation de l’évapotranspiration réelle: (ETR)
IV.1.2.1 Formule de Turc:
IV.1.2.2 Evapotranspiration réelle par la formule de Thornnthwaite
IV.2 Estimation des réserves facilement utilisables (RFU)
IV.3 Indice thermique mensuel
IV.4 Indice thermique annuel
IV.5 Répartition des précipitations
IV.5.1 Calcul du ruissellement
IV.5.2 Calcul de l’infiltration :
IV.6 Commentaire sur le bilan hydrique (Bilan hydrique global)
VI. Conclusion
I. Introduction
II. Aperçu sur les aquifères
II.1 Les principaux aquifères
II.1.1 Horizons aquifères dans les massifs de diapirs
II.1.2 Horizons aquifères dans le calcaire des étages campanien et Maastrichtien
II.1.3 Horizons aquifères dans les sédiments du miocène et du pliocène
II.1.4 Les sources thermales
II.2 Interprétation de la carte Hydrogéologique
II.2.1 Zone A
II.2.2 Zone B
II.2.3 Zone C
II.2.4 Zone D
II.2.5 Zone des affleurements Triasiques
III. Estimation des réserves des nappes
III.1 Le synclinal de Taoura
III.1.1 Localisation
III.1.2 Description de l’aquifère
III.1.3 Les ressources potentielles
III.1.4 Exploitation de la nappe
IV. Conclusion
DEUXIEME PARTIE Etude quantitative et qualitative des ressources en eau
CHAPITRE V : Gestion des ressources en eau
I. Introduction
II. Mobilisation des ressources en eau
II.1 Les eaux superficielles
II.1.1 Les barrages
II.1.1.1 barrages en exploitation
II.1.1.2 barrages en projets
II.1.2 Les retenues collinaires (RC)
II.1.3 Les seuils déversoirs (SD): fin du projet
II.1.4 L’importance de l’oued Medjerda dans la zone d’étude
II.2 Les eaux souterraines
II.2.1 Les forages
I.2.2 Les sources
II.2.3 Les puits
II.3 Quantification des eaux superficielles et souterraines mobilisées
II.4 Affectation des ressources mobilisées par secteur
III. Estimation des besoins en eau
III.1 Besoins en eau domestique
III.1.1 Accroissement et densité de la population en 2008
III.1.2 Répartition de la population dans la région d’étude (2008)
III.1.4 Estimations des besoins actuels en eau des agglomérations
III.1.5 É valuation des besoins futurs en eau potable
III.1.6 Station de traitement de Ain Dalia
III.2 Besoins en eau pour l’industrie
III.2.1 Besoins actuels en eau industrielle
III.2.2 Besoins en eau futur pour l’industrie
III.3 Besoins en eau pour l’irrigation
III.3.1 Introduction
III.3.2 Répartition des superficies irriguées
III.3.3 Besoins en eau de la surface irriguée
III.3.4 Estimation des besoins futurs en eau d’irrigation
III.3.4.1 Estimation des besoins futurs des surfaces irriguées pour la PMH
III.3.4.2 Estimation des besoins futurs pour les GPI
III.3.5 Réutilisation des eaux usées (REU)
III.3.5.1 Les rejets domestiques
III.3.5.2 Les rejets industriels
III.3.5.3 Eaux de ruissellement
III.3.5.4 Station d’épuration de la ville de Souk Ahras (STEP)
III.3.6 Périmètre de Sidi Bader
III.3.7 Périmètre de Derdoura
III.3.8 Les différentes cultures dans les deux périmètres
IV. Conclusion
CHAPITRE VI : Qualité des eaux
I. Introduction
II. Qualité des eaux souterraines
II.1 Classification des eaux
II.1.1 Classification de Stabler
II.1.1.1 Le facies Sulfaté-calcique
II.1.2 Classification de Piper
II.1.3 Origine des éléments chimiques
II.1.3.1 Les bicarbonates (HCo3-2)
II.1.3.2 Les sulfates (So4-2)
II.1.3.3 Les chlorures (Cl-)
II.1.3.4 Les nitrates (NO3-)
II.1.3.5 Le calcium (Ca++)
II.1.3.6 Le magnésium (Mg++)
II.2 Potabilité des eaux
II.2.1 Caractéristiques physico-chimique des eaux
II.2.1.1 Conductivité électrique (CE)
II.2.1.2 Matières en suspension (MS) et Turbidité
II.2.1.3 Les phosphates PO4-
II.2.1.4 L’ammoniaque NH4+: (nécessite quelques traitements)
II.2.1.5 Les nitrites NO2
II.3 Aptitude des eaux à l’Irrigation
II.3.1 Sodium Absorptions Ration (SAR)
II.4 Conclusion
III.1 Introduction
III.2 Evaluation de la qualité des eaux superficielles
III.2.1 Caractéristiques physico-chimique des eaux
III.2.1.1 Les Matières organiques et oxydables
III.2.1.2 Les Matières azotées
III.2.1.3 Les Nitrates
III.2.1.4 Les Matières Phosphorées
III.2.2 Résultats des analyses physico-chimiques
III.2.3 Interprétation des résultats
III.2.4 Evolution des éléments nutritifs dans la Medjerda ( Dép.S.Univ.Souk-Ahras)
III.2.4.1 Matière et méthode
III.4.3 Conclusion
IV. Conclusion
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *