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Tourisme:
La région d’El Tarf à vocation touristique est importante grâce à ses zones humides tels que le lac Mellah, Oubaira, Tonga, Lac des Oiseaux et les Marais de la Mekhada, le parc national de la région d’El Kala, les vestiges romains de Bougous, les sources thermales de hammam Sidi Trad, Djaballah, Beni Salah et Zatoot un écosystème fôrestiers, et une très riche faune et flore.
En finalité on peut dire que la région d’El Tarf détient tous les avantage pour le développement d’un tourisme diversifié et permanent (plusieurs types de tourisme) à la portée des différentes couches sociales, par ailleurs certains sites féeriques implantés dans les zones d’expansion touristique (Z.E.T) protégées par la loi sont destinés à accueillir un investissement touristique de rang international, comme c’ est le cas des zones d’expansion touristique de la MESSIDA et du CAP ROSA (partie Est de la région) ainsi que HENNAYA (partie Ouest de la région).
Par contre les deux zones d’expansions touristiques restantes, la MAFRAGH-EST et la MAFRAGH-OUEST (partie Ouest de la région) sont destinées à un tourisme de rang moyen et de masse (Hôtels de catégorie moyenne, camping, centres de vacance…..etc.).
Pêche:
L’activité de pêche sportive et touristique à la fois, est très prisée dans la région (littoral marin, espaces lacustres, oueds, barrages….etc.).
Cette activité qui a des effets appréciables tant au plan de loisirs qu’écologique attire de nombreux pêcheurs des wilayas limitrophes (Annaba, Souk Ahras, Guelma).
La réglementation de cette activité et la création de postes de pêche sportive sur les rives des oueds El Kebir, La Seybouse et Bounamoussa et au bord des lacs Tonga, El Mellah et Oubaïra, seront d’un apport certain pour le développement de la wilaya.
Forêts:
Le patrimoine forêstier s’étend sur une superficie totale de 166 311 ha (Figure n°04) soit 57% du territoire de la wilaya. (Conservation des forêts 2006).
Il est composé principalement de chêne liége, de chêne zen, de pins maritimes et d’eucalyptus. La forêt longe le littoral coté Ouest, elle est constituée généralement de maquis dans la partie
Est; par contre à partir du Cap Rosa s’étend une forêt dense incluse dans le parc national d’El Kala. (Figure n° 04).
La certitude de l’importance naturelle de la wilaya apparaît surtout à travers la délimitation de deux zones naturelles protégées à savoir:
Le parc national d’El Kala.
Le parc écologique et zone de paysage de Beni Salah.
En fin, du point de vue nature juridique, les forêts de la wilaya d’El Tarf sont réparties comme suit :(Conservation des forêts 2006).
Forêts domaniales 106 477 ha.
Forêts versées au fond national 57 327 ha.
FACTEURS DE POLLUTIONS :
Pollution Urbaine :
Une menace réelle sur le milieu naturel se distingue dans la wilaya d’El Tarf par :
Environ 2 096 l/s d’eaux usées domestiques sont rejetées dans les oueds et même parfois à ciel ouvert sans traitement préalable en raison de certains réseaux défectueux et de disfonctionnement des stations d’épurations.
Pollution Industrielle :
Un nombre de (06) six unités de conserverie de Tomate (Direction de l’environnement) rejettent chaque saison plus de 124 m3/h, l’unité Carajus rejette à elle seul environ 2 m3/h et en fin l’unité de production de Tubes galvanisés rejette vers l’Oued Bounamoussa plus de 400 m3/h.
Ces rejets sont à l’origine d’une pollution organique dans les Oueds El Kebir et la Seybouse caractérisée par des valeurs excessives de matières en suspension (MES), et de matières oxydables.
Pollution Agricole :
La région d’étude est à vocation agricole, on note la présence de plusieurs fermes à élevage important qui ne dispose pas d’équipement de sécurité contre la pollution provoquée par les différents rejets.
La zone d’étude est une vaste plaine agricole cultivée à plus de 70%.
On note une polyculture soumise à l’utilisation intensive des épandages d’engrais et de pesticides riches en No3, Po4, So4, lessivés par les eaux de surface ces matières peuvent atteindre les nappes superficielles ou profondes par échanges verticaux ou horizontaux.
Situation de L’alimentation en Eau Potable:
Présentation Globale de l’AEP:
L’AEP à travers les différentes agglomérations de la Wilaya est caractérisée par 03 situations bien distinctes.
Abondance de la Ressource et AEP Satisfaisante:
Il s’agit des centres de: Cheffia, Zerizer, Besbes, Chihani, El Tarf, El Kala.
Néanmoins certains centres tels que: Chebaïta Mokhtar,Chihani, Zerizer, connaissent un problème de qualité de l’eau desservie.
Insuffisance de la Ressource:
Oum Teboul:actuellement la commune est alimentée à partir de deux forages d’un débit globale de 10 l/s et d’une source de 17 l/s.
Le chef lieu de commune présente un déficit de 500 M3/J qui sera comblé par l’achèvement du projet AEP bande frontalière.
El Aioun où le problème d’AEP de ce centre sera définitivement réglé avec la mise en service du nouveau projet AEP bande frontalière.
Zitouna (chaîne de Bouhadjar) située en bout d’un réseau partiellement défectueux;l’amélioration de l’AEP de ce centre est liée au bon fonctionnement de la chaîne de Bouhadjar qui alimente entre autre, les centres de Bouhadjar, Ain Karma , Hammam Beni Salah et Oued Zitoun.
Les installations sont conçues pour produire 200 l/s débit insuffisant pour l’AEP des 05 centres.
Actuellement ces centres sont alimentés un jour sur trois.
-Dotation théorique 170 l/j/hab.
-Le projet réalisé en 1984 n’a pas été étudié pour répondre aux exigences de l’heure encore moins aux besoins de ces centres à moyen et long terme.
-Equipements défectueux.
-Canalisation vétustes.
La DHW a proposé pour l’exercice 2006 dans le cadre du programme 2005-2009 une opération pour la réhabilitation de 25 Km de conduite; quant au centre de Zitouna, il a bénéficié d’une opération de renforcement à partir du champ captant d’El Tarf.
Bougous: actuellement ce centre présente un grand déficit en ressources, néanmoins un projet pour alimenter ce centre à partir d’un forage de 10 l/s et d’un piquage à partir de la conduite de transfert du barrage Mexa (32 l/s) dans le cadre du programme normal; a été achevé et est en phase d’essai.
Ressource Suffisante avec Présence de Déficit:
Cas d’El Kala, Dréan, Chebaïta Mokhtar, Echatt.
En égard à la mobilisation de la ressource pour l’AEP ; la dotation de ces centres devrait être satisfaisante, mais d’autres facteurs font qu’ils présentent un déficit tels que ;
-équipement non conforme au débit réel des forages.
-temps de pompage limité.
-réseaux de distribution vétustes.
Donc le transfert à partir du barrage Mexa permettra de pallier au déficit actuel, et au renforcement des principaux centres du point de vue quantitatif et qualitatif la rénovation des réseaux de distribution proposée permettra la récupération d’un débit de fuite qui atteint 50% par endroit.
Les Oueds :
Les principaux oueds traversant la région d’étude sont également:
La Bounamoussa avec un débit moyen de 4,45m3/s à l’Ouest et El Kebir avec un débit moyen de 6,71m3/s à l’Est, deux grands cours d’eau rejoignent la mer à l’embouchure sous le nom de la Mafragh (exutoire unique); El Kebir draine un bassin versant de forme grossièrement rectangulaire et dont l’orientation Sud-Ouest, Nord-Est, ce bassin versant occupe une superficie de 1685Km2; son périmètre est de 115Km.
La Seybouse 2ème fleuve de l’Algérie d’axe Sud-Nord, à l’Ouest draine un bassin versant de 5488Km2; son altitude moyenne est de 775m NGA il régularise un volume annuel de 440hm2/an et un débit moyen de 3,6m3/s.
Les Plaines:
La plaine d’Annaba :
La plaine d’Annaba se trouve en partie drainée par les deux grands oueds qui la traversent du Sud au Nord: l’oued Seybouse et l’oued Bounamoussa.
La zone qui s’étend à l’Est de l’oued Seybouse, selon L.JOLEAUD (1936) était originellement presque entièrement remplie de garaas, dont le centre est occupé par les Marais de Boukamira, qui a été partout ailleurs desséché grâce à un réseau de canaux, et à une altitude de 5 à 6m qui vient buter contre un cordon dunaire de sable blanc et haut de 10m environ. A l’Est et à l’Ouest, la basse terrasse sableuse de l’oued Seybouse disparaît pour laisser la place à des dépressions de 2m d’altitude et aux formations argileuses noires et hydromorphes.
La Plaine d’El Tarf :
D’extension importante de l’ordre de 70 Km2 elle est limitée par :
-Au nord par la mer méditerranée, le prolongement du massif de Bouteldja et l’affleurement des grés numidiens.
-Au Sud par les monts de la Cheffia.
-A l’Ouest par la plaine alluviale de Bouteldja.
-A l’Est par le prolongement des grés numidiens et le lac Oubaïra.
Elle est caractérisée par les figures morphologiques suivantes :
Hautes, moyennes et basses terrasses constituées de cailloux, sables, galets et argiles.
Les lacs Oubaïra, Melah, Tonga.
Vallée de l’oued Kebir Est qui siége dans la plaine d’El Tarf.
La Plaine Alluviale de Bouteldja :
Elle s’étend sur une superficie de l’ordre de 110 Km 2, limitée :
-Au Nord par le massif dunaire de Bouteldja.
-Au Sud par les monts de Cheffia.
-A l’Ouest par la plaine d’El Tarf, elle est caractérisée par la forme géomorphologique suivante :
Vallée de l’oued Kebir Est et lac des oiseaux.
La Plaine d’El Asfour :
Elle forme une cuvette d’une superficie égale à environ 50 Km2 elle est limitée:
-Au Nord par la plaine d’Annaba.
-Au Sud, à l’Est et à l’Ouest par les monts de Cheffia.
Géo- morphologiquement on peut citer oued Bounamoussa qui traverse la plaine du Sud vers le Nord et les terrasses qui forment le lit de cet oued.
La Plaine d’Oum Teboul:
Naturellement, elle est limitée par:
-Au Nord par le cordon dunaire de Argoub Erchad.
-Au Sud et a l’Est par des grés numidiens.
-A l’Ouest par le Lac Tonga.
Du point de vue géomorphologique on a:
Les cordons dunaires sableux; Lac Tonga et les plages constituées de sables blancs et jaunes.
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Table des matières
Introduction Générale
Chapitre I : Cadre Général
I-1-SITUATION GEOGRAPHIQUE
I-2-APERCUS SOCIO-ECONOMIQUE
I-2-1-Population
I-2-2-Tourisme
I-2-3-Pêche
I-2-4-Fôrets
I-2-5-l’Agriculture
I-2-6-l’Industrie
I-3-FACTEURS DE POLLUTIONS
I-3-1-Pollution Urbaine
I-3-2-Pollution Industrielle
I-3-3-Pollution Agricole
I-4-ALIMENTATION EN EAU POTABLE
I-4-1-Situation de L’alimentation en Eau Potable
I-4-1-1-Présentation Globale de L’AEP
A-Abondance de la Ressource et AEP Satisfaisante
B-Insuffisance de la Ressource
C-Ressource Suffisante avec Présence de Déficit
I-5-CONCLUSION
Chapitre II : Géomorphologie
II-1-INTRODUCTION
II-2-PRINCIPALES FORMATIONS
II-2-1-Les Marais de la Mekrada
II-2-2-Les Grabbens
II-2-3-Les Horests
II-2-4-Le Massif Dunaire
II-2-5-Les Terrasses
II-2-5-1-Basses Terrasses
II-2-5-2-Moyennes et Hautes Terrasses
II-2-6-Les Massifs Rocheux
II-2-6-1-Massif des Grés Numidiens
II-2-6-2-Massif et Cordon Dunaire
II-2-7-Les Lacs
II-2-7-1-Lac Oubaira
II-2-7-2-Lac Mellah
II-2-7-3-Lac Tonga
II-2-7-4-Lac des Oiseaux
II-2-8-Les Montagnes
II-2-9-Les Collines
II-2-10-Les Oueds
II-2-11-Les Plaines
II-2-11-1-La Plaine d’Annaba
II-2-11-2-La Plaine d’El Tarf
II-2-11-3-La Plaine Alluviale de Bouteldja
II-2-11-4-La Plaine d’El Asfour
II-2-11-5-La Plaine d’Oum Teboul
II-3-CONCLUSION
Chapitre III : Lithologie de la région
III-1-INTRODUCTION
III-2-STRATIGRAPHIE
III-2-1-Le Secondaire
III-2-1-1-Crétacé Supérieur (Cénomanien)
III-2-2-Le Tertiaire
III-2-2-1-Eocène Inférieur
III-2-2-2-Eocène Moyen
III-2-2-3-Eocène Supérieur
III-2-2-4-Oligocène
III-2-2-5-Miocène Supérieur
III-2-2-6-Pliocène Ancien
III-2-2-7-Pliocène Récent
III-2-3-Le Quaternaire
III-2-3-1-Le Quaternaire Ancien
III-2-3-2-Le Quaternaire Moyen
III-2-3-2-1-Pléistocène Ancien
III-2-3-2-2-Pléiostocène Moyen
III-2-3-2-3-Pléiostocène Récent
III-2-3-3-Le Quaternaire Récent
III-2-3-4-Le Quaternaire Actuel
III-3-TECTONIQUE
III-3-1-Monts Gréseux-Argileux de la Cheffia
III-3-2-La Plaine d’El Tarf
III-4-INTERPRETATION DES COUPES GEOLOGIQUES
III-4-1-Coupe Géologique dans la Plaine d’El Tarf
III-4-2-Coupe Géologique dans la Plaine de Bouteldja
III-4-3-Coupe Géologique dans la Plaine d’Oum Teboul
III-5-RAPPORT GEOLOGIE-HYDROGEOLOGIE
Chapitre IV : Hydroclimatologie
IV-1-CLIMATOLOGIE
IV-1-1-Introduction
IV-1-2-Les Facteurs Climatiques
IV-1-2-1-La Température
IV-1-2-2-L’humidité
IV-1-2-3-Le Vent
IV-1-2-4-Le Brouillard
IV-1-2-5-Le Sirocco
IV-1-2-6-La Précipitation
IV-1-3-Le Climat
IV-1-3-1-L’indice de DE MARTONNE
IV-1-4-Estimation de L’évaporation
*L’évaporation
*La Transpiration
IV1-4-1-Evapotranspiration Potentielle (ETP)
IV-1-4-2-Evapotranspiration Réelle (ETR)
A-Formule Annuel de TURC
B-Formule de COUTAGNE
D-Formule de THONTHWAITE (ETR et Bilan d’Eau)
E-Résultats de l’ETR Obtenus dans les deux Stations par Différentes
IV-1-5-Estimation du Ruissellement
IV-1-6-Estimation de L’infiltration
IV-2-HYDROLOGIE DE SURFACE
IV-2-1-Introduction
IV-2-2-Les Secteurs Importants
IV-2-2-1-Secteur de la Mafragh
IV-2-2-2-Secteur d’Oum Teboul
IV-2-3-Les Eaux Stagnantes
IV-2-3-1-La Lac Tonga
IV-2-3-2-La Lac Oubeïra
IV-2-3-3-Le Lac des Oiseaux
IV-2-3-4-La Tourbière du Lac Noir
IV-2-3-5-Le Lac Mellah
IV-2-3-6-Les Marais de la Mekrada
IV-2-3-7-Barrage Mexa
IV-2-3-8-Barrage Cheffia
IV-2-3-9-Les Retenues Collinaires
IV-3-CONCLUSION
Chapitre V: Aperçu Hydrogéologique
V-1-INTRODUCTION
V-2-INVENTAIRE DES POINTS D’EAUX
V-2-1-Les Sources
V-2-1-1-Les Sources Thermales
V-2-1-2-Les Sources Froides
V-2-2-Les Puits
V-2-3-Les Forages
V-3-DEFINITION DES AQUIFERES
V-3-1-La Nappe Superficielle et Nappe Profonde des Graviers (Confondues)
V-3-2-La Nappe du Massif Dunaire de Bouteldja
V-3-3-La Nappe Superficielle et Nappe Captive Profonde d’El Tarf (Superposée)
V-3-4-La Nappe Semi Captive d’Oum Teboul
V-3-5-La Nappe Superficielle d’Oum Teboul
V-3-6-La Nappe du Cordon Dunaire
V-3-7-La Nappe des Terrasses
V-3-8-Nappe Superficielle et Nappe Profonde des Graviers (Superposées)
V-4-ETABLISEMENT DES COUPES HYDROGEOLOGIQUES
V-4-1-Massif Dunaire de Bouteldja
V-4-2-Plaine de Bouteldja
V-4-3-Plaine d’El Tarf
V-4-4-Plaine d’El Asfour
V-4-5-Plaine d’Oum Teboul
V-5-CONCLUSION
Chapitre VI : Hydrochimie
VI-1-INTRODUCTION
VI-2-DIFFERENTS REJETS D’EAUX USEES
VI-2-1-Rejets d’Eaux Usées Urbaines
VI-2-2-Rejets d’Eaux Usées Industriels
VI-3-METHODE D’ECHANTILLONNAGE
VI-3-1-Points de Prélèvements et Echantillonnage
VI-3-1-1-Période des Hautes Eaux (du 21/11/2004 au 01/01/2005)
VI-3-1-2-Période des Basses Eaux (du 01/08/2005 au 22/08/2005)
VI-4-LES EAUX SOUTERRAINES
VI-4-1-Les Paramètres Physiques
VI-4-1-1-Potentiel d’Hydrogène (pH)
VI-4-1-2-Potentiel d’Oxydo-Réducteur (Eh)
VI-4-1-3-Relation entre PH et Eh
VI-4-1-4-Conductivité Electrique (CE)
VI-4-1-5-La Température
VI-4-1-6-Le Titre Hydrométrique (TH)
VI-4-1-7-Les Matières en Suspensions (MES)
VI-4-1-8-La Turbidité
VI-4-2-Paramètres Chimiques
VI-4-2-1-Les Chlorures (Cl-)
VI-4-2-2-Les Sulfates (SO4–)
VI-4-2-3-Le Calcium (Ca++)
VI-4-2-4-Le Magnésium (Mg++)
VI-4-2-5-Les Bicarbonates (Hco3-)
VI-4-3-Paramètres Biologiques
VI-4-3-1-La Demande Biologique en Oxygène (DBO5)
VI-4-3-2-L’oxygène Dissous (O2)
VI-4-3-3-Relation entre la DBO5 et O2
VI-4-3-4-Les Nitrites (No2)
VI-4-3-5-L’oxydabilité
VI-4-3-6-Les Phosphates
VI-4-4-Paramètres Toxiques
VI-4-4-1-Le Fer (Fe++)
VI-4-4-2-Le Zinc (Zn++)
VI-4-4-3-Le Cuivre (Cu++)
VI-5-LES EAUX DE SURFACES
VI-5-1-Les Paramètres Physiques
VI-5-1-1-Potentiel d’Hydrogène (pH)
VI-5-1-2-Potentiel d’Oxydo-Réducteur (Eh)
VI-5-1-3-Relation entre PH et Eh
VI-5-1-4-Conductivité Electrique (CE)
VI-5-1-5-La Température
VI-5-1-6-Le Titre Hydrométrique (TH)
VI-5-1-7-Les Matières en Suspensions (MES)
VI-5-1-8-La Turbidité
VI-5-2-Paramètres Chimiques
VI-5-2-1-Les Chlorures (Cl-)
VI-5-2-2-Les Sulfates (SO4–)
VI-5-2-3-Le Calcium (Ca++)
VI-5-2-4-Le Magnésium (Mg++)
VI-5-2-5-Les Bicarbonates (Hco3-)
VI-5-3-Paramètres Biologiques
VI-5-3-1-La Demande Biologique en Oxygène (DBO5)
VI-5-3-2-L’oxygène Dissous (O2)
VI-5-3-3-Relation entre la DBO5 et O2
VI-5-3-4-Les Nitrites (No2)
VI-5-3-5-L’oxydabilité
VI-5-3-6-Les Phosphates
VI-5-4-Paramètres Toxiques
VI-5-4-1-Le Fer (Fe++)
VI-5-4-2-Le Zinc (Zn++)
VI-5-4-3-Le Cuivre (Cu++)
VI-6-ETABLISSEMENT DE LA CARTE DE L’INDICE DE LA POLLUTION ORGANIQUE DES EAUX NATURELLES DE LA REGION D’ETUDE
VI-6-1-Définition
VI-6-2-Classification des Eléments Organiques par Classes d’Altération
VI-6-3-Calcul de l’Indice de la Pollution Organique Selon Différentes Méthodes
VI-6-3-1-Indice de Pollution Organique (IPO, Leclercq&Maquet, 1987)
VI-5-3-1-1-Calcul de l’Indice de Pollution Organique (IPO)
VI-6-3-2-Lisec-Index (Beckers& Steegmanz, 1979)
V-5-3-2-1-Calcul de l’Indice de Pollution Organique (Lisec-Index)
VI-6-3-3-Classification des Paramètres (Institut d’Hygiène et d’Epidémiologie, 1986)
VI-6-3-3-1-Calcul de l’Indice de Pollution Organique (IHE)
VI-6-4-Représentation Graphique des Trois Indices Obtenus par les Différentes Méthodes
VI-6-5-Etablissement de la Carte de Pollution Organique (IPO) des Eaux Naturelles
VI-6-6-Interprétation de la Carte d’Indice de Pollution Organique (IPO)
VI-7-CONCLUSION
Chapitre VII : La Station d’Epuration
VII-1-INTRODUCTION
VII-2-DETRMINATION DE LA CAPACITE DE LA STATION
VII-2-1-Données de Base
VII-2-1-1-Localité d’El Tarf
VII-2-1-1-1-Estimation de la Population Future
VII-2-1-1-2-Estimation des Besoins en Eau aux Différents Horizons
VII-2-1-1-2-1-Besoin en Eau Domestique
VII-2-1-1-2-2-Les Pertes
VII-2-1-1-2-3-Besoin Récapitulatifs de la Ville d’El Tarf
VII-2-1-1-2-4- Estimation du Débit des Eaux Usées.
VII-2-1-1-3-Estimation de la Composition des Eaux Usées
VII-3-QUALITE DES EAUX USEES EPURES
VII-3-1-Demande Biochimique en Oxygène (DBO5)
VII-3-2-Matières en Suspension Totale (MES)
VII-4-DIMENSIONNEMENT DE LA STATION D’EPURATION
VII-4-1-Ouvrage de Prétraitement
VII-4-1-1-Le Dégrillage
VII-4-1-1-1-Nombre d’Espacements entre les Barreaux
VII-4-1-1-2-Calcul de la Largeur de la Grille
VII-4-1-1-3-Calcul des Pertes de Charge dans la Grille
VII-4-1-1-4-Calcul du Volume des Détritus dans la Grille
VII-4-1-2-Le Dessablage
VII-4-1-2-1-Calcul de la Longueur du Dés sableur
VII-4-1-2-2-Volume du Sable Sédimenté (W1)
VII-4-1-2-3-Calcul du Lit de Séchage
VII-4-1-2-4-Calcul de la Surface du Lit de Séchage (F)
VII-4-2-Traitement Biologique
VII-4-2-1-Bassin d’Aération
VII-4-2-1-1-Besoin en Oxygène
VII-4-2-1-2-Calcul de Temps de Séjour
VII-4-2-1-3-Age des Boues
VII-4-2-1-4-Choix des Aérateurs de Surface
VII-4-2-2-Décantation Secondaire
VII-4-2-2-1-Bilan des Boues
VII-4-2-2-2-Age des Boues
VII-4-2-2-3-Recirculation des Boues
VII-4-2-2-4-Taux de Recirculation
VII-4-3-Traitement des Boues
VII-4-3-1-Epaississement des Boues
VII-4-3-2-Lits de Séchage
VII-5-CONCLUSION
Conclusion Générale
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