Internet est-il un outil révolutionnaire par rapport aux NTIC

Internet et les technologies nouvelles à l’Ecole: tentative de définition. De quoi parle-t-on ?

Sujet de toutes les discussions, de tous les débats et de toutes les polémiques, Internet mérite que l’on se penche une fois de plus sur son sort. Quel est donc cet outil dont on entend sans cesse parler ? Et quels sont les éléments faisant de lui un instrument si novateur qu’il faille absolument l’intégrer au sein de l’Ecole et au sein des apprentissages.

Internet

Internet : historique et définition

INTERcommunication NETwork est l’héritier d’un réseau, ARPANET, conçu en 1969 par les militaires américains pour connecter entre eux les ordinateurs de manière à maintenir des liaisons en cas de destruction de certains raccordements. La technique consiste en un protocole (TCP/IP) de communications et d’échanges de données entre ordinateurs. Internet permet de faire dialoguer, à distance, des ordinateurs de configurations et de standards différents reliés par des réseaux. Ce n’est que vingt ans plus tard, en 1989, qu’il commence à faire parler de lui. C’est en effet à cette date que le C.E.R.N (Centre d’Etudes et de Recherches Nucléaires) conçoit le World Wide Web (W.W.W), un logiciel capable de relier des informations écrites, sonores et vidéo. Conçu au départ comme un outil de communication entre les chercheurs, les physiciens, le Web atteint la sphère publique environ cinq ans plus tard en 1994. Internet et le Web sont souvent confondus. S’ils sont liés, ils correspondent aussi à deux entités bien distinctes ; la deuxième représentant l’un des services de la première.

Les fonctionnalités d’Internet

Les fonctionnalités d’Internet sont nombreuses et permettent à l’heure d’aujourd’hui, de correspondre avec n’importe qui dans le monde (pourvu que la personne contactée soit ellemême équipée d’un ordinateur, qu’elle dispose l’un logiciel de messagerie et d’un modem), de transférer des fichiers à l’autre bout de la planète, et de participer à des débats. Il permet aussi d’accéder à toutes sortes d’informations et autorise la recherche documentaire grâce à des moteurs de recherche ou grâce à des annuaires.
Pour résumer, il propose :
-un système de messagerie (E-Mail).
-l’accès à des listes de diffusion le transfert de fichiers informatiques (FTP File Transfert Protocole).
-la participation à des forums de discussion l’accès à des informations, des bases de données grâce au Web Internet possède donc un potentiel considérable, susceptible d’intéresser sous ces multiples facettes enseignants et élèves. Les arguments en faveur de son introduction dans les établissements scolaires sont nombreux, comme sont nombreux les risques liés à son utilisation à l’Ecole.

Internet à l’Ecole : atouts et dangers

Selon le Gouvernement, Internet est un facteur de communication et de travail collectif chez les enseignants. Il leur offre la possibilité d’avoir une adresse électronique. Grâce à celle-ci, les enseignants peuvent correspondre, échanger et travailler en équipe avec leurs collègues. Qui plus est, Internet permet l’envoi et la réception de documents de façon quasi-simultanée et les documents transmis peuvent être exploités et réutilisés par ceux-ci sans qu’ils aient à procéder à une quelconque manipulation informatique. Pour ce faire, pour que les enseignants travaillent de façon rapprochée, il faut évidemment que les établissements scolaires soient reliés entre eux. par des réseaux. Cet argument explique donc la mise en place d’EDUCNET, le réseau auquel sont rattachés tous les établissements scolaires, dont un des objectifs majeurs est le désenclavement géographique et culturel des enseignants.

Que sont réellement les NTIC ?

Avant de répondre, il est important de savoir ce qui se cache sous les sigles suivants : N.T.I, N.T.I.C, T.I.C ? Les significations ayant changé au fil du temps et des innovations, le sigle lui-même ayant été à l’occasion enrichi ou amputé d’une lettre, il est important d’apporter des précisions sur les termes utilisés afin de définir d’une part ce que sont réellement les technologies nouvelles et d’autre part de déterminer les fonctions supplémentaires qu’offre Internet par rapport au reste des nouvelles technologies de l’information et de la communication ?

Le sigle T

Quel que soit le sigle, l’élément inchangé reste la lettre T. A quel terme cette lettre renvoie-telle ? A la technique, ou comme c’est le plus souvent le cas à la technologie ? Seules les définitions peuvent nous éclairer à ce sujet.

Le plus d’Internet ?

Internet relève-t-il des techniques de l’information et de la communication ? Possède-t-il les mêmes qualités et offfe-t-il les mêmes possibilités ? En somme, que propose-t-il de plus ? Internet ne propose rien qui n’existait auparavant.
Tout comme les cédéroms, il propose des documents multimédia et profite des possibilités de navigation offertes par l’hypertexte (l’hypertexte permet une lecture non-linéaire des documents grâce à la création de liens entre les informations).
De même manière que les base de données, il offre des outils de recherche efficaces – si l’on sait s’en servir-. Il utilise les mêmes opérateurs de recherche ainsi que la recherche sur le plein texte.
Il n’inaugure pas non plus au sein et entre les établissements scolaires la correspondance. Le Minitel, expérience purement française avait déjà initié les élèves à la communication à distance.
Internet enfin n’a pas le monopole de la création de publications. Les élèves produisait déjà des journaux ou autres bulletins d’informations grâce à des logiciels spécialisés ou plus simplement grâce au collage et à la photocopie des documents ainsi constitués. Les enseignants quant à eux ne l’ont pas attendu pour communiquer et pour échanger des informations.
Ce qui fait sa nouveauté, et ce qui le différencie des techniques de l’information et de la communication, c’est l’ouverture plus large qu’il offre sur le monde, ainsi que la rapidité et la facilité d’exécution des diverses manipulations. Les échanges et la diffusion des informations se font par conséquent dans l’instant et à l’échelle planétaire. Internet permet par ailleurs de rompre l’isolement, de travailler plus rapidement et de manière plus rentable. Ainsi des enseignants ou des élèves peuvent communiquer, échanger des documents, débattre de leurs idées et organiser conjointement un projet de manière très rapide, et cela même en étant à des centaines ou des milliers de kilomètres.
Internet ne propose rien de fondamentalement nouveau. Comme le reste des N.T.I.C, il s’appuie sur des techniques existantes et en perpétuel renouvellement. Cependant les possibilités qu’il offre ne sont pas des moindres. Il favorise les échanges et la communication, élargit les champs de recherche…C’est en cela qu’il a trouvé sa place à l’Ecole. Il n’est cependant pas arrivé en terrain vierge. Il est venu s’ajouter et compléter les autres techniques de l’information et de la communication.

L’informatique et les Centre de Documentation et d’Information : des rapports quasi-inexistants

Malgré le rôle grandissant des C.D.I, ils n’ont que rarement été envisagés dans les plans d’équipement des établissements solaires. Oubliés en 1979, les C.D.I sont pris en compte en 1983 lors de l’opération « 100 000 micro-ordinateurs». Ainsi, deux cent cinquante C.D.I choisis par les recteurs sont équipés de Micral (appareils fin de gamme). Mais à part ceux-là, les autres connaissent un fonctionnement traditionnel. De plus si les ordinateurs sont rares dans les C.D.I, les logiciels de recherche documentaire se comptent sur les doigts de la main et sont peu performants (capacités limités, absence de normalisation de supports). Pourtant la demande des documentalistes existe, et nombreux sont ceux qui s’investissent en salle informatique.
Les documentalistes, au moins une partie d’entre eux, sont pourtant prêts au changement. Ils réfléchissent aux implications pédagogiques et financières de l’informatisation et travaillent au développement de l’informatique documentaire. Des projets se mettent en place tel que :
-le projet Sidéral (Système informatisé de documentation pour l’enseignement en Rhônes-Alpes) qui met en œuvre la mise en réseau des plusieurs établissements (CRDP, CDDP, CDI) en vue de la consultation et de l’échange de données.
-l’élaboration du thésaurus dans la perspective de l’automatisation de la recherche documentaire par un groupe d’enseignants-chercheurs dès septembre 1980. Parallèlement, plusieurs rapports16 réalisés à la demande d’Alain Savary et fixant le cadre théorique de la rénovation scolaire donnent aux centres de documentation le moyen de se développer. Dans ces rapports, l’accent est mis sur l’apprentissage documentaire dans le cadre des CDI, sur le travail autonome et sur l’acquisition des méthodes de travail…Qui plus est, la problématique du document évolue. Il n’est plus un moyen d’enseignement au service de l’enseignant (illustration des propos) mais devient un outil au service de l’élève.
De 1970 à 1985 nous assistons à l’entrée de l’informatique à l’Ecole. Pour cela, quatre opérations allant de l’expérimentation avec l’opération dite des «58 lycées» en 1976 à l’opération de grande envergure avec le Plan I.P.T en 1985. Mais si l’ordinateur est présent dans les salles informatiques, il ne fait pas partie du paysage des C.D.I. En dépit de ce fait, l’intérêt de la documentation au sein des établissements est progressivement reconnu et la réflexion sur l’informatique documentaire progresse. Le début des années 80 représente donc une étape importante dans l’évolution des centres de documentation et d’information. Avec la crise de l’Ecole et la multiplication des pratiques de travail sur documents, les C.D.I voient leur rôle pédagogique affirmé. Il ne manque plus que la décentralisation pour donner au développement des C.D.I un élan décisif

1985-1990 : développement des NTIC à l’Ecole

L’informatique, un outil au service des apprentissages

Au milieu des année 80, l’informatique comme objet d’enseignement est remis en question pour devenir un outil au service des apprentissages. L’intégration de l’informatique à la pédagogie prime donc largement sur l’enseignement de la programmation. Dans cette optique, l’informatique est perçu comme un moyen de renouveler l’enseignement. Ainsi la loi d’orientation de 198918 va dans ce sens en réaffirmant l’intérêt de l’informatique pédagogique et en présentant les technologies comme un instrument idéal pour le travail et la réussite scolaire : « l’informatique est un outil d’enseignement permettant une meilleure individualisation de l’apprentissage, de situations pédagogiques nouvelles et le développement de capacités logiques organisatrices ».

Quel est le nombre d’ordinateurs possédés par le C.D. I

Cette question a pour but de connaître le nombre d’ordinateurs dans les C.D.I. Elle a aussi pour but d’introduire la suivante sur le nombre de connexions à Internet au C.D.I. Bien que le nombre d’ordinateurs n’ai pas de lien avec le nombre de connexions, il est toutefois intéressant de rapprocher les résultats. Pour cette raison, nous avons choisi le même type de classement pour les réponses.
Le classement des réponses « 1 à 4 », de 5 à 9 » etc.. a été choisi selon une logique particulière. Il s’agit d’imaginer dans l’absolu comment les documentalistes peuvent organiser une formation à la recherche documentaire en fonction du nombre de postes. Partant sur une classe de 25 élèves et sur une base de 2 élèves par ordinateurs, avec 1 à 4 ordinateurs, le documentaliste peut former 2 à 8 élèves soit 1/4 de la classe 5 à 9 ordinateurs, le documentaliste peut former 10 à 18 élèves soit 1/3 ou la moitié de la classe 10 à 19 ordinateurs, le documentaliste peut former plus de 20 élèves soit plus de la moitié de la classe à une classe entière. 20 ordinateurs et plus, le documentaliste peut former toute une classe, chaque élève ayant pratiquement un poste pour lui seul.

Pouvez-vous décrire la formation en quelques mots (objectifs, nombre d’heures, nombre d’élèves,… ?

Là encore une question ouverte, difficile à traiter. Les réponses étaient multiples et peu exhaustives.
Qui plus est, les formations sont aussi différentes qu’il y a de documentalistes.
Pourtant, nous pouvons tirer quelques informations des données recueillies.
Les formations sauvages, ponctuelles et souvent individuelles, existent parallèlement aux formations de groupe qu’elles soient systématiques, décidées par le documentaliste ou demandées
par les enseignants. Quelques fois elles se font dans le cadre d’un club Internet ou d’un club informatique.
Les objectifs des formations sont nombreux et très différents. Soit ils sont liés à la technique et visent l’apprentissage de l’utilisation des moteurs de recherche et l’utilisation de la messagerie. Soit ils sont plus théoriques, liés à la pédagogie et recherchent le développement de l’autonomie de l’élève ou encore l’acquisition de nouvelles compétences documentaires.
Soit ils sont pratiques et visent la constitution de dossiers comme c’est le cas pour les T.P.E

Où ont lieu ces formations ?

Le but de cette question est de savoir si ces formations ont lieu au CDI ou dans une salle informatique . Un lieu de formation est un environnement qui implique des représentations.
Une salle informatique s’apparente plus à une salle de cours par la disposition du mobilier qui s’y trouve. Cela peut aussi laisser supposer aussi que le documentaliste organise sa formation comme un cours et qu’il se considère plus comme un professeur-documentaliste que comme un documentaliste.. Qui plus est une salle informatique demande aux documentalistes un autre type de préparation matériel et un autre type de connaissances et de compétences.

Pouvez,-vous décrire ta répartition des tâches en quelques mots ?

Comme pour les autres questions ouvertes, cette question fut difficile à traiter. Nous avons du procéder à quelques regroupements pour que les résultats de l’enquête soit utilisables. De manière générale, les résultats ne sont pas surprenants car les tâches correspondent aux rôles des personnes impliquées :
-le choix du domaine de recherche revient à l’enseignant (15 fois cité).
-la méthodologie de recherche sur Internet revient au documentaliste (19 fois citée).
-la mise en oeuvre technique et la surveillance reviennent aux emploi-jeunes (7 fois citées).
Un documentaliste nous précise que la répartition des tâches est aléatoire et qu’elle tient à la nature du projet. Deux autres nous précisent de l’objet de la formation est décidé soit par le professeur soit par le documentaliste. Deux autres indiquent que le repérage des sites est le travail du documentaliste ou de l’emploi-jeune. Deux autres encore ont parlé de la recherche papier préalable et complémentaire à la formation Internet en indiquant qu’elle revient à l’enseignant ou à l’emploi-jeune. Cinq autres enfin nous disent que les tâches sont réparties de façon égalitataire sans donner de précisions.
Finalement il s’agit plus d’un travail en atelier qu’un travail en collaboration.
Pour terminer, quatre documentalistes n’ont pas répondu et cinq ont donné des réponses qui ne sont pas exploitables.

Donnez-vous accès au Web ou à une sélection de site capturés ?

Cette question a pour but de savoir si les élèves ont accès à tous le Web et donc à toutes les informations quelque soit leur sujets et leur émetteur. Ou s’ils ont accès à une série de sites sélectionnés par le documentaliste. Dans ce cas, les élèves ne sont plus connectés ,ils ne sont plus en ligne. Il ne bénéficie pas non plus des liens proposés par le site. Par contre, quand une sélection de site est réalisée, il est plus facile d’organiser des séances pédagogiques. Le documentaliste ne risque pas d’être coupé lors du travail à cause d’un problème de connexion.
De même, il n’y a pas d’échappatoire pour l’élève qui ne peut naviguer à l’insu du documentaliste.
Par ailleurs, un sélection de site réclame un certain type d’équipement et demande au documentaliste qu’il possède un certain degré de technicité.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
I. Internet et les technologies nouvelles à l’Ecole : tentative de définition. De quoi parle-t-on ? 
1.1 Internet
1.1.1 Internet : historique et définition
1.1.2 Les fonctionnalités d’Internet
1.1.3 Internet à l’Ecole : atouts et dangers
1.2 Internet est-il un outil révolutionnaire par rapport aux NTIC
1.2.1 De l’avènement des NTIC à aujourd’hui : bref historique
1.2.2 Que sont réellement les NTIC ?
Le sigle T
Le sigle 1
Le sigle N
Le sigle C
1.2.3 Le plus d »Internet ?
2. De l’informatique aux nouvelles technologies à TEcole 
2.1 1970-1985 : Informatique, les premières initiatives
2.1.1 L’expérience des 58 lycées
2.1.2 1978-1985 : la phase d’expansion de l’informatique à l’école : les opérations d’envergure
2.1.3 L’informatique et les Centres de Documentation et d’Information : des rapports quasi-inexistants
2.2 1985-1990 : développement des NTIC à l’Ecole
2.2.1 L’informatique, un outil au service des apprentissages
2.2.2 Le développement de la télématique et de la vidéo
2.2.3 Développement de l’informatique documentaire
2.3 1990-2000 : le développement du multimédia et des réseaux
2.3.1 Une intégration progressive des NTIC : le multimédia
2.3.2 Internet dans les établissements scolaires
2.3.3 Documentation et Internet : un outil à double tranchant
3. Les NTIC à TEcole : intégration ou rejet ? 
3.1 Le milieu enseignant n’est pas près au changement 27
3.1.1 Le processus d’introduction des nouvelles technologies à TEcole
3.1.2 Les résistants : qui sont-ils, combien sont-ils ?
3.1.3 Les raisons invoquées par les enseignants
3.2 Les raisons sous-jacentes du rejet
3.2.1 A l’échelle de TEcole : des croyances « infondées » ?
La technique qui sauve
La technique facile
La technique qui tue
3.2.2 A l’échelle de l’enseignant : de la peur à la jalousie
3.3 A l’échelle du documentaliste : lecture d’InterCDI de janvier 1992 à juin 2000
Pourquoi InterCDI ?
Pourquoi 1992 ?
3.3.1 Le CDI : un lieu repensé avec l’arrivée des NTIC et Internet
Le CDI d’un
point de vue théorique
Le CDI concrètement : la réorganisation du lieu CDI
La réorganisation du travail
3.3.2 Apprentissage, documentation et Internet
Les modifications amenées par le multimédia et Internet
Les conséquences de ces modifications sur les formations documentaires
3.3.3 Le rôle et les missions du documentaliste ont-ils changé avec les NTIC ?
Les problèmes engendrés par Internet
Les réclamations des documentalistes
Conclusion de la Première Partie
DEUXIEME PARTIE
1, Méthodologie et démarche générale 
1.1 Objet de la recherche, problématique et hypothèse
1.1.1 Les constats
1.1.2 Hypothèse
1.2 Le questionnaire
1.2.1 Introduction
1.2.2 Description du questionnaire
Les questions
La structure
1.2.3 Présentation du questionnaire
1.2.4 Le déroulement du questionnaire
Le choix du public
Le lieu et la durée de l’enquête
2, Traitement du questionnaire : résultats et analyse 
Introduction
Traitements des résultats
2.1 L’établissement scolaire et le C.D.1
2.1.1 L’établissement scolaire
2.1.2 Le C.D.1
L’équipement du C D 1
2.1.3 Le personnel du C.D.1
2.2 Les pratiques documentaires au C.D.I
2.2.1 Les formations documentaires
2.2.2 Les formations autour d’Internet
2.2.3 L’accès à Internet
2.2.4 Animation et Internet
2.3 Vous et votre formation
2.3.1 Vous
2.3.2 Votre formation
2.3.3 Vos pratiques personnelles
3. Commentaires de l’enquête : les documentalistes ont-ils intégré Internet à leurs pratiques professionnelles 
3.1 Introduction
3.2 Les documentalistes ont-ils intégré Internet à leurs pratiques professionnelles
3.2.1 Les preuves de l’intégration ?
3.2.2 Les éléments favorisant l’intégration
3.2.3 Internet, un outil important
3.2.4 Mais un outil à utiliser sous certaines conditions
3.3 L’intégration d’Internet n’est pas encore une réalité
3.3.1 Les preuves de la non-intégration
3.3.2 Les obstacles à l’intégration
3.3.3 Internet pose des problèmes
3.3.4 Remarques intéressantes
Conclusion de la deuxième Partie
CONCLUSION 
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE

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