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Observations sur le terrain
Nous avons procédé par une pré enquête préalable,ui nousq a permise de recadrer nos hypothèses et nos guides de recherches. Il s’agit entre autre d’entretiens préliminaires qui servent à contextualiser l’étude, par rapport à la réalité vécue par les sujets d’enquête. Par ailleurs, cette séance de pré enquêtconstitue pour nous une forme de routine, puisque nous avons passé un certain laps de temps à Bemanonga, et cela bien sur en dehors du cadre de cette recherche.
Approches théoriques
Pour les considérations théoriques en général, nousnous basons sur les théories de BOURDIEU sur la reproduction sociale, le concept d’habitus et sur l’engagement des chercheurs. Il y a aussi GOFFMAN qui donne un éclairage essentiel sur l’individualité. Dans le contexte de notre étude, ces deux personnages offrent un regard croisé sur une démarche holiste, à la fois durkheimienne et marxiste. En bref, nous adoptons une méthodologie globalisante et individualiste à la fois, et ce dans le but de cerner les réalités qui entourent la santé et le vécu socialn milieu rural.
Techniques d’échantillonnage
Pour pouvoir mener à bien notre enquête, nous avonschoisi un échantillonnage à partir de la population locale habitant dans les 04 Fokontany de la commune rurale de Bemanonga, des élus locaux, des leaders communautaires (Chefs d’Eglises, des notables), ainsi que des personnes œuvrant dans des structures non gouvernementales (ONG, Œuvres caritatives, etc.). Pour que cet écha ntillonnage soit représentatif, nous avons choisi au hasard un certain nombre de ménageset d’individus. En tout, nous avons 80 individus d’enquête. La population d’enquête sera constituée sur la base de sondages auprès des types d’échantillons suivants.
La première catégorisation de notre population d’enquête consiste en leurs statuts, par rapport à leur fonction au sein de la collectiv ité.
Cohabitation entre pratique traditionnelle et pratique moderne en médecine
Les pratiques traditionnelles ont été institutionnalisées, de façon à réduire le taux d’importation de médicaments, pour permettre à la population un accès plus effectif aux services de santé. En effet, Madagascar importe de plus en plus de médicaments. Rien qu’en 2008 cette importation a augmenté de 50% par rapport à celle de 2005 6.
Par ailleurs, le 31 août 2007, un grand pas a été ranchif par la reconnaissance officielle des tradipraticiens. L’Etat malagasy reconnaît la médecine traditionnelle et a déjà publié les textes qui les régissent. Il a récemment ouvert une filière « Médecine traditionnelle » au sein de l’INSPC (Institut national de la Santé public et communautaire) à Befelatanana.
Le ministère de la Santé s’est donc engagé dans la structuration et la professionnalisation du secteur en intégrant cette méthode aux systèmes de soins. D’ailleurs, la médecine traditionnelle a une place importante dans la société malagasy. Selon l’OMS 7 (Organisation mondiale de la Santé), environ 70 % de la population y ont recours. Seulement, le problème auquel font face les Malagasy c’est de bien distinguer les tradipraticiens des charlatans.
Pour la population malgache qui croit depuis longtemps aux pouvoirs curatifs des plantes médicinales, cette décision n’est que justice. Pourtant, il existe un dysfonctionnement, concernant les tradipraticiens, qui ne sont ni recensés, ni formés pour une médecine formelle.
Cet aspect « informel » des pratiques traditionnelles tend à faire en so rte que les prescriptions ne soient pas dosées de façon scientifique, mais surtout sur la base d’intuitions, d’empirisme générique, ou encore surfond de divination. Ce qui fait que la sécurité en matière médicamenteuse de la populationest précaire. Alors que beaucoup de personnes s’adonnent à ces pratiques, étant donnéesles coûts de la médecine formelle.
Pour parler en termes de chiffres, disons qu’il n’y a que 2000 tradipraticiens qui soient enregistrés dans le registre de l’Association nationale des tradipraticiens de Madagascar (FMN) et qui ont leurs cartes professionnelles, alors que dans tout Madagascar, on en compte 6 0008. De grands efforts doivent être déployés pour lesfaire inscrire sur la liste car Madagascar est vaste. De plus, ces tradipraticiens sont éparpillés dans les zones inaccessibles et isolées.
L’approche courante dans le milieu médical
Nous prendrons d’emblée comme modèle premier, les actions de mise en œuvre du Planning Familial, qui se fait de manière indifférente, que ce soit pour l’homme, la femme ou l’enfant. Nous voulons dire ici que les IEC/CCC concernant le PF ne comportent pas une application prenant en compte quelques réalités sociologiques.
Selon une enquête d’envergure nationale, menée parl’INSPC 9, la pratique du Planning Familial, surtout dans les zones rurales, n’incluent pas une implication systématique du chef de ménage. C’est-à-dire qu’ilincombe seulement à la femme de pratiquer ou non le Planning Familial, sans que l’homme n’ait aucune responsabilité. Pour en juger, il faut dire qu’environ 70% des femmes enquêtées le cachent à leur mari. Alors qu’une telle décision doit se faire de manière conjointe. Il faut le dire, les prérogatives du planning familial, sont devenues au fil des projets des programmes de financement faramineux, qui sont des enjeux de la compétition entre consultants, bureaux d’études et corporations diverses.
Etant donnée les tabous, les interdits, les pratiques au cours de la vie quotidienne, les femmes rencontrent plus de problèmes, à cause du fait que d’une part, elles doivent satisfaire les besoins conjugaux, mais d’autre part, elles sont seules à prendre les responsabilités sur les conséquences des pratiques.Il existe alors à ce niveau une lacune d’ordre sociologique et éducationnelle, dans la mesure où, une meilleure instruction en matière d’éducation sexuelle constitue la meilleurebase en matière de planning familial.
Mais comme nous l’avons déjà évoqué, l’accès à l’école n’est pas l’apanage de tout le monde. Nous avons comme conséquence, un enfermement des spécialistes dans un carcan médical, qui n’est pas conforme à une action efficace, mais qui est une application « aveugle » des actions à mener. Nous avons réservé dans cetexposé une place particulière à cet ésotérisme médical qui constitue la structuration actuelle des situations sanitaires à Madagascar.
Insuffisance de couverture médicale moderne
Nous avons en premier lieu des situations de manque chronique, en matière de personnel médical, de fournitures médicamenteuses teles zones de couverture des CSB constituent parfois un vrai parcours du combattant pour les consommateurs.
Il arrive que certaines personnes soient recrutéeslocalement, pour assurer certains soins, après avoir suivi quelques formations formelles, et avec un savoir empirique. Quant aux insuffisances en matière de fournitures médicales, il faut aussi y associer la prescription routinière effectuée par les médecins,notamment en matière d’ordonnance, qui se résument parfois en des comprimés courants paracétamol,( aspirine, etc.). Pour les médicaments plus chers et qu’il faut aller chercher dans les zones urbaines, les patient abandonnent parfois et se tournent vers d’autres solutions.
Actuellement, les médecins malgaches assistent à un boom des manifestations allergiques respiratoires à Madagascar, et le nombr e actuel d’allergologues dans l’île n’arrive pas à répondre aux besoins réels. Les spécialistes ont annoncé une augmentation des cas d’allergies, notamment l’allergie respiratoire dans le pays : « environ 12% des Malgaches ont des problèmes d’allergie et l’allergi respiratoire est devenue un problème de santé publique à Madagascar, la rhinite allergique et l’asthme étant les formes les plus fréquentes»10.
Les dangers provenant des médicaments
Le paludisme connaît une structure épidémiologiquequi est qualifiée de «rare » mais meurtrière (environ 100.000 morts en 1987 à Antananarivo). Par contre, dans la côte Est, il existe un risque constant et une prévalence à la résistance très faible.
Les actions prophylactiques les plus utilisées et recommandées sont alors la protection contre les moustiques, avec les répulsifs, les moustiquaires imprégnées. Nous avons aussi l’utilisation de la chloroquine, pour la plupart des types de séjours dans les Centres de Santé de Base. Dernièrement, la chloroquine a été remplacée. C’est dire aussi une des difficultés rencontrées par le secteur santé, concernant la résistance médicamenteuse constatée au niveau de ce médicament.
En effet, le fait d’avoir proposé et autorisé ces omprimésc dans les petites épiceries, que ce soit en milieu urbain ou rural, n’a pas arrangé les choses. La population s’en procure, sans prescription médicale et sans avis du médecin. Dès qu’une petite fièvre se fait sentir, on va au petit marché du coin pour acheter de la chloroquine (ou de la nivaquine). Nous voici en plein dans le concept d’automédication, qui a fait qu’il a fallu remplacer la chloroquine par un autre remède.
Le mercantilisme médica l
Il nous faut considérer les intérêts mercantiles sdeentreprises ou des organismes qui s’occupent de la production ou de la distribution des médicaments. En effet, la concurrence, l’accaparation des marchés, bref, le marketing économique qui s’y opère, ne semble pas résoudre les problèmes de santé de la masse. Les objectifs des entreprises sont tournés vers le système de marché, sans considération des éléments de prévention. Certes, il existe des institutions au niveau de l’Etat, qui ont cette notion comme prérogative, cependant, étant données les difficultés économiques et la défaillance du personnel administratif, ces institutions n’arrivent pas à mettre en place une structure préventive efficace. Une telle prospection requiert une sociologie économique du médicament, qui prend en compte les logiques d’acteur et les formes de concurrence sur le marché du médicament, pour aboutir à une meilleure gestion de la situation.
Il nous faut évoquer le fait qu’étant donné la reconnaissance attribuée à la médecine traditionnelle, il faut y déceler une tentative de récupération des consommateurs, par la médecine moderne. En effet, force est de constater que puisque la confiance des gens dans la médecine moderne reste encore à un niveau majoritaire très bas, ils se tournent vers la médecine traditionnelle. Cependant, cette situation doit être exploitée, de manière à faire en sorte que l’éducation moderne à la santé soit plus effective. Il faut toutefois prendre soin d’éviter un entretien de la dépendance à la médication, mais plutôt de considérer la prévention.
Certains sont tentés de vanter les vertus des plantes médicinales. Certes, elles ont prouvé leurs valeurs curatives. Seulement, la récupération effectuée par les entreprises qui en font leurs activités, ne profitent pas à tout le monde. Cet aspect non démocratique de l’accès aux plantes médicinales contrôlées est constatable au niveau du fait que les gens qui sont habitués aux produits de l’IMRA ou de l’Homéopharma, sont constitués d’une certaine couche aisée de la population.
Problématique d’efficience de la médecine traditionnelle dans le Sud
La médecine traditionnelle est reconnue pour son rôle de promotion, de prévention, de traitement et de réhabilitation. Elle peut constituer la principale méthode de soins de santé ou être partie intégrante de soinde santé conventionnels ou encore un substitut ou un complément à la principale méthodede soins de santé. Selon HATTIE : « À mesure que les bienfaits de la médecine moderne sont parvenus aux pays pauvres dans la deuxième moitié du siècle dernier, l’espérance de vie durant ces années est passée de 53 à 65 ans. L’action de l’UNICEF par des programmes d’immunisation a sauvé la vie à des millions d’enfants.11 ».
Historicité de la médecine traditionnelle
La médecine traditionnelle fait partie de l’héritage culturel de chaque société. La plupart des systèmes de médecine traditionnels ont évolué en même temps que les cultures et les modes de vie dont ils font partie. Toutefois, de nombreux systèmes traditionnels de médecine partagent un certain nombre de caractéristiques communes, notamment :
· La croyance que la vie est l’union du corps, des émotions, du mental et de l’âme ou de l’esprit et que la santé résulte de l’équilibre entre plusieurs aspects en opposition à l’intérieur du corps humain et entre celui-ci et l’environnement. La maladie survient lorsqu’un individu perd cet équilibre, physiquement, émotionnellement, mentalement ou spirituellement.
· La médecine traditionnelle utilise une approche holistique de diagnostic et de traitement. Elle envisage la personne dans sa globalité, dans un contexte écologique et ne se penche pas seulement sur la partie malade du corps. Outre le traitement proprement dit, les médecins traditionnels donnent souvent des conseils sur les modes de vie et les comportements sains.
· La médecine traditionnelle se fonde sur les besoins des individus. Différentes personnes peuvent recevoir différents raitements, même si, selon la médecine moderne, elles souffrent de la même maladie. Les médecins traditionnels considèrent que chaque individu a sa propre constitution et son propre contexte social qui induisent des réactions différentes aux « causes de la maladie » et au traitement.
La diversité de la pratique traditionnelle
Les différents contextes philosophiques et les origines diverses de la médecine traditionnelle et de la médecine moderne font toujours obstacle à la compréhension et au respect mutuels et peuvent expliquer le peu d’empressement à lancer des actions soutenant l’usage de la médecine traditionnelle. Nombreux sont les pays qui négligent le potentiel de la médecine traditionnelle pour améliorer la santé et les services sanitaires, et son rôle possible dans le développement économiqueet social.
Certains systèmes traditionnels de médecine sont très évolués et il existe une documentation abondante à leur sujet. Ils reposent sur une connaissance systématisée, une méthodologie exhaustive et une expérience clinique fournie. La médecine traditionnelle chinoise entre dans cette catégorie.Originaire de Chine, elle fut introduite dans les pays voisins comme le Japon, la Républiquede Corée, le Viet Nam et d’autres encore, qui ont ensuite élaboré leurs propres méthodes. La médecine traditionnelle indienne est un autre système de médecine traditionelle bien évolué, pratiqué dans certains pays de la Région, la Malaisie notamment.
Il existe également un grand nombre de pratiques traditionnelles plus simples qui ont été élaborées au sein de petits groupes ethniques isolés. Ces pratiques reposent essentiellement sur des expériences empiriques de raitement. La plupart des connaissances ne sont jamais retranscrites et se transmettent oralement de génération en génération. La plupart des praticiens n’acquièrentpas ces connaissances au cours d’une formation formelle.
La médecine traditionnelle dans le monde
Les thérapies utilisées par les différents guérisseurs issus de diverses communautés et populations insulaires peuvent êtretout à fait différentes. Une même plante peut ainsi être utilisée pour soigner différentes affections et dans des buts distincts. Dans ces communautés, les thérapies psychosocialesprédominent et se fondent souvent dans les pratiques magiques et religieuses.
Selon un ouvrage conduit par MACLENNAN12, en Australie, une étude a montré qu’en 1993,48% de la population avait recours à au moins une médecine alternative non prescrite médicalement. Toujours selon le même ouvrage, en Chine, le nombre d’hôpitaux pratiquant une médecine traditionnelle et le nombre d’employés et de lits ont augmenté de façon significative au cours des vingt dernières années.
Les types de médecines pratiquées varient. Dans certains pays, notamment en Chine, au Japon, en République démocratique populaire du Lao, en Mongolie, en Nouvelle-Zélande, en République de Corée, aux Philippines, à Singapour et au Viet Nam, la médecine traditionnelle est pratiquée non eulements dans les soins de santé primaires mais également dans les hôpitaux assurant les soins secondaires et tertiaires. Dans d’autres pays, la médecine traditionnelle est utilisée essentiellement dans un contexte familial et communautaire.
La tradipratique à Madagascar
6000 tradipraticiens sont actuellement recensés à travers le pays. Certains d’entre eux ont mené des recherches sur cette maladie. La médecine traditionnelle tient une place prépondérante dans la société malgache. Plus de 80%de la population y ont recours et se fient totalement aux tradipraticiens ou « mpitsabo nentim-paharazana », pour résoudre tous les problèmes liés à la santé (accouchement, irconcision, maladies diverses ).
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE CONTEXTE GENERAL DES PROBLEMATIQUES EN MEDECINE
CHAPITRE 1 : LE CONTEXTE SANITAIRE MALGACHE
1.1.- La santé
1.2.- Cohabitation entre pratique traditionnelle et pratique moderne en médecine
1.3.- L’approche courante dans le milieu médical
1.4.- Insuffisance de couverture médicale moderne
1.5.- Les dangers provenant des médicaments
1.6.- Le mercantilisme médical
CHAPITRE 2 : PROBLEMATIQUE D’EFFICIENCE DE LA MEDECINE TRADITIONNELLE DANS LE SUD
2.1.- Historicité de la médecine traditionnelle
2.2.- La diversité de la pratique traditionnelle
2.3.- La médecine traditionnelle dans le monde
2.3.1.- La tradipratique à Madagascar
2.3.2.- Le contexte de pauvreté dans le domaine sanitaire
2.3.3.- Inefficience du système de santé moderne
DEUXIEME PARTIE : INTERACTIONS ENTRE LES PRATIQUES TRADITIONNELLES ET LES PRATIQUES MODERNES A BEMANONGA
CHAPITRE 3 : TENDANCES POPULAIRES EN MATIERE D’APPROCHE DE STRUCTURES SANITAIRES
3.1.- Bemanonga comme point d’observation
3.2.- Prédisposition d’approche pour des raisons de proximité
3.2.1.- Les tendances générales
3.2.2.- Leitmotiv socioéconomique
3.3.- Assurance culturelle dans la tradipratique
3.4.- Assurance efficiente dans la médecine moderne
3.5.- Portée sociologique des différentes pratiques
CHAPITRE 4 : HABITUS SOCIAL EN MATIERE SANITAIRE
4.1.- L’automédication
4.2.- L’attachement à la nature
4.3.- Données culturelles et scientifiques
4.3.- Portées économiques
4.4.- Evolution sociale et santé
4.4.1.- Combinaison des deux méthodes
4.4.2.- L’exemple de la natalité
4.4.3.- L’exemple du planning familial
4.4.4.- Position peu enviable des femmes
CHAPITRE 5 : DIMENSIONS HUMAINES DES PRATIQUES MEDICINALES
5.1.- La psychologie des médecins modernes
5.2.- La psychologie des tradipraticiens
5.3.- Nécessité d’instaurer des normes adaptées à la médecine traditionnelle
TROISIEME PARTIE : PROSPECTIVES DE VALORISATION DE LA TRADIPRATIQUE
CHAPITRE 6 : ACCROISSEMENT DES MESURES DE SENSIBILISATION
6.1.- Stratégie synergique pour une meilleure prise en charge du système de santé à Madagascar
6.2.- La mise en conformité avec la modernité
6.3.- Evaluer le potentiel économique de la médecine traditionnelle
6.4.-Inciter au respect de l’intégrité culturelle de la médecine traditionnelle
6.5.- Accent particulier concernant la santé maternelle et infantile
CHAPITRE 7 : PERSPECTIVES MULTIDISCIPLINAIRES
7.2.- Nécessité d’une approche factuelle
7.3.- Elaborer une politique nationale en faveur de la médecine traditionnelle
7.4.- Volet pratique
7.4.1.- Faire connaître la santé comme problème social
7.4.2.- Mesurer les effets sociaux de l’organisation des soins de santé
7.4.3.- Intervenir dans l’élaboration des politiques de santé
7.4.4.- Devenir des agents de prévention
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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