Votaves-Cucurbita moschata Duschesne
ย ย ย ย ย ย ย ย ย ย ย Deux variรฉtรฉs ont รฉtรฉ testรฉes dans lโexpรฉrimentation ร savoir les variรฉtรฉs ยซ Mara ยป et ยซ Bozaka ยป. La variรฉtรฉ Bozaka se distingue grรขce ร son fruit unicolore, vert ou plutรดt jaune. Elle provenait des autoproducteurs de semences dโAntananarivo. Fournie par les revendeurs de semences dโAgrivet dโAntananarivo, la variรฉtรฉ ยซ Mara ยป quant ร elle est facilement reconnue ร partir de ses feuilles et fruits marbrรฉs de blanc. Cโest la plus รฉtalรฉe au niveau du pays. Leur fruit peut peser entre 1 ร 10 kg.
Climat pendant lโexpรฉrimentation
ย ย ย ย ย ย ย ย Le climat englobe les tempรฉratures et la pluviomรฉtrie. La figure nยฐ4 suivante prรฉsente les variations des prรฉcipitations moyennes mensuelles (en mm) prรฉlevรฉes pendant la pรฉriode expรฉrimentale au niveau de la zone dโรฉtude comparรฉes ร celles de Farafangana sur 20 ans. Une forte variation de pluie est constatรฉe. En revanche, aprรจs une chute lรฉgรจre le mois dโoctobre (59,30 mm), la pluviomรฉtrie cumulรฉe suit une รฉvolution nette jusquโau mois de dรฉcembre (380,5 mm), puis, une lรฉgรจre diminution les mois de janvier et fรฉvrier. La hauteur de pluie totale est dโenviron 1500 mm. En comparaison avec les prรฉcipitations de Farafangana sur 20 ans (1994- 2014, en ligne discontinue sur la figure), lโexpรฉrimentation sโest dรฉroulรฉe pendant une pรฉriode beaucoup pluvieuse. Si avant, la pluviomรฉtrie moyenne maximale se situait au mois de janvier et tournait autour de 250mm, ce mois-ci a enregistrรฉ 327,5 mm cette annรฉe. Sโil est considรฉrรฉ quโau tout dรฉbut de la culture (mois dโaoรปt), la pluviomรฉtrie est supรฉrieure ร celle de septembre9 (15รจme ร 45รจme JAS), la pluviomรฉtrie cumulรฉe pendant la pรฉriode vรฉgรฉtative (en gรฉnรฉral les deux premiers mois) aurait dรป รชtre de lโordre de 200mm. La figure nยฐ5 suivante prรฉsente lโรฉvolution des tempรฉratures moyennes mensuelles (en ยฐC) recueillies ร Karimbelo pendant lโexpรฉrimentation comparรฉes ร celles de Farafangana sur 20 ans. Au cours du cycle cultural, le climat รฉtait gรฉnรฉralement chaud. Dโaprรจs la courbe ci-dessus (figure nยฐ5), une รฉvolution progressive de la tempรฉrature est remarquรฉe. Le mois de janvier a enregistrรฉ le maximum de tempรฉrature moyenne, de lโordre de 30ยฐC. Comparรฉes ร celles de Farafangana sur 20 ans (en ligne discontinue sur la figure), les tempรฉratures moyennes pendant la pรฉriode expรฉrimentale sont beaucoup plus รฉlevรฉes. Ces derniรจres accusent un surplus de 3ยฐC environ. Sur 20 ans passรฉs, le maxima des tempรฉratures moyennes รฉtait environ 25ยฐC. Tandis que cette annรฉe, cette valeur correspond au minima des tempรฉratures moyennes mensuelles. Les tempรฉratures au cours de la phase vรฉgรฉtative variaient entre 23,5ยฐC ร 29,5ยฐC.
Floraison
ย ย ย ย ย ย ย ย ย ย Les chayottes nโont pas fleuri dans les trois (3) types dโombrage. Certes, quelques pieds ont donnรฉ de fleurs, mais le taux de 50% nโa pas รฉtรฉ atteint. Cโest la qualitรฉ exceptionnelle de semences qui a privilรฉgiรฉ la floraison de ces derniers. Mais en gรฉnรฉral, elles nโont pas trouvรฉ les conditions optimales pour leur dรฉveloppement reproductif. La floraison de la pipengaille a eu lieu au 65รจme jour aprรจs semis. Ce qui correspond aux 9,3 semaines aprรจs semis. Les premiรจres fleurs sont donc apparues dans un temps normal. Une abondance de fleurs a รฉtรฉ constatรฉe, elles apparaissent successivement les unes aprรจs les autres. Ce qui a rendu le comptage difficile voire mรชme impossible. En revanche, le nombre de fleurs tombรฉes permettaient dโestimer la multitude de fleurs que les plantes auraient pu รฉmettre. Seulement, elles ne sโouvrent pas en mรชme temps que trรจs rarement. La forte densitรฉ de la plantation a augmentรฉ la chance de fรฉcondation. Pour le cas des votaves, les 50% des pieds de la variรฉtรฉ Bozaka ont fleuri 2 jours (54รจme jour aprรจs semis) avant ceux de la variรฉtรฉ Mara (56รจme jour aprรจs semis) en mileiu dรฉcouvert. La variรฉtรฉ Bozaka est plus prรฉcoce que la variรฉtรฉ Mara. Sous ombrage, la variรฉtรฉ Mara nโa pas รฉmis de fleurs ร 50% quโau 68รจme jour aprรจs semis. Ce qui est trรจs tardive. Autre que la liaison avec la variรฉtรฉ, la floraison est soumise aux influences des facteurs agroclimatiques de chaque milieu. En outre, pendant les pรฉriodes de floraison, il a รฉtรฉ remarquรฉ que les fleurs mรขles รฉtaient beaucoup plus nombreuses que les femelles. Les deux figures nยฐ14 suivantes regroupent le nombre de fleurs รฉmises par les variรฉtรฉs de votaves dans chaque type dโombrage. Dโaprรจs ces figures nยฐ14, le nombre des fleurs mรขles est largement supรฉrieur ร celui des fleurs femelles, quโil soit observรฉ en terme de variรฉtรฉs ou en terme de type dโombrage. Les conditions รฉtaient ainsi favorables ร lโapparition de fleurs mรขles (masculinisantes). Le rรฉsultat est dโautant plus remarquรฉ pour les plantes sous ombragรฉes. La comparaison de la variรฉtรฉ Mara selon le type dโombrage illustrรฉe par la figure ร droite met en รฉvidence lโexistence dโune diffรฉrence significative entre le nombre de fleurs mรขles dans les deux types dโombrage. Le manque de lumiรจre favorise davantage la formation de fleurs mรขles.
Caractรฉristiques de la floraison
ย ย ย ย ย ย ย ย ย Les chayottes nโont pas fleuri. Les plantes nโont pas trouvรฉ les conditions optimales pour assurer cette รฉtape physiologique importante. Normalement, les premiรจres fleurs peuvent apparaรฎtre dรจs le deuxiรจme mois aprรจs le semis lorsque la pรฉriode est favorable ร une bonne croissance. Cependant, la chayotte est une plante de jours courts (Monnerville et al., 2001). Ce qui pourrait expliquer lโabsence de floraison vu que lโexpรฉrimentation sโest dรฉroulรฉe pendant une pรฉriode dโรฉtรฉ (donc jours longs). En outre, dans leur travail, Engels & Jeffrey (1993) mettent en รฉvidence que des prรฉcipitations รฉlevรฉes et des tempรฉratures comprises entre 13ยฐC et 21ยฐC sont requises pour favoriser la floraison et la fructification de la chayotte. Or les tempรฉratures prรฉlevรฉes lors de lโรฉtude qui se situent entre 25ยฐC et 30ยฐC ont largement dรฉpassรฉ ces tempรฉratures. Pour la pipengaille, la floraison a eu lieu aux 9,3 semaines aprรจs semis. En se rรฉfรฉrant ร ses caractรฉristiques de base tirรฉes de Soladoye et Adebisi (2004), les fleurs sont apparues dans un temps normal car inclus entre la 6 au 10รจme semaine aprรจs semis. Comme il est รฉvoquรฉ prรฉcรฉdemment, elle se trouve dans un milieu propice pour sa croissance. La pipengaille est dโailleurs une plante indiffรฉrente ร la longueur du jour. Pour le cas des votaves, la floraison des deux variรฉtรฉs en milieu dรฉcouvert sโest dรฉroulรฉe รฉgalement dans un temps normal car comprise entre le 35รจme et 60รจme jour aprรจs la levรฉe (Grubben et Chigumira, 2004). En revanche, les deux variรฉtรฉs montrent une diffรฉrence au niveau de la date de floraison. La variรฉtรฉ Bozaka est prรฉcoce par rapport ร la variรฉtรฉ Mara. Ce rรฉsultat concorde avec les affirmations de Bachabi, et al. (2013) sur les tomates en considรฉrant que la pรฉriode de floraison et de fructification dโune plante est une caractรฉristique variรฉtale. En milieu ombragรฉ, la floraison de la variรฉtรฉ Mara est tardive comparรฉe au milieu sans ombrage. Ce retard peut avoir plusieurs causes, mais tout particuliรจrement le manque de lumiรจre. Conformรฉment ร lโรฉtude de Bae et Choi (2008) sur le comportement du riz vis-ร -vis de la durรฉe dโexposition de la plante ร la lumiรจre, le phytochrome responsable de la floraison retarde lโapparition des fleurs pour une plante sous ombrage. Les rรฉsultats sur la culture de votave montrent รฉgalement que les fleurs mรขles sont abondantes quel que soit la variรฉtรฉ et le type dโombrage. Le rรฉsultat est dโautant plus remarquรฉ pour les plantes sous-ombragรฉes. Bien que les fleurs mรขles apparaissent gรฉnรฉralement les premiรจres chez les Cucurbitacรฉes (Cuers, 1990), les tempรฉratures รฉlevรฉes et les jours longs durant lโรฉtude tendent ร maintenir les plantes dans la phase mรขle ou ร รฉlever la proportion de fleurs mรขles comme chez le concombre (CFPPA, 2010). Lโรฉtude sur la courgette rรฉalisรฉe par Gry en 1992 confirme รฉgalement ce fait : les fleurs mรขles se forment davantage en conditions difficiles comme le stress climatique. Le travail de Bodnar et Fitts en 2000, explique dโailleurs que lorsque plantes souffrent dโun manque de lumiรจre solaire, la plupart des cultivars de citrouille et de courge rรฉagissent en produisant surtout des fleurs mรขles.
Importance des lรฉgumes dans leur alimentation
ย ย ย ย ย ย ย ย ย ย A la lumiรจre des rรฉsultats, les femmes sont les plus attirรฉes par lโรฉducation nutritionnelle et culinaire. Elles sont รฉgalement le centre de dรฉcision dans la consommation des aliments, dont des lรฉgumes. En effet, leur rรดle dans le choix et la prรฉparation des aliments est capital (FAO, 2005). Les plats prรฉparรฉs par les cuisiniers sont ร dominance de lรฉgumes et tous les enquรชtรฉs ont รฉvoquรฉย leur prรฉsence lors de la sรฉance de dรฉgustation. Les lรฉgumes sont ainsi bien connus dans la zone. En effet, le maraรฎchage est dรฉjร pratiquรฉ par les 2/3 des exploitants agricoles ร Karimbelo. Presque tous les types de lรฉgumes y sont prรฉsents mais les lรฉgumes feuilles (brรจdes moutardes et choux de chine) et les lรฉgumes fruits (aubergine africaine) sont les plus cultivรฉs (Ravelombola, 2016). La majoritรฉ des enquรชtรฉs a dรฉfini lโalimentation รฉquilibrรฉe comme une alimentation constituรฉe dโingrรฉdients de diffรฉrentes couleurs dont les lรฉgumes sont les constituants essentiels. Dโautres lโont dรฉfinie comme une alimentation complรจte intรฉgrant des aliments รฉnergรฉtiques, constitutionnels et protecteurs. Certains ont parlรฉ dโaliments contenant de vitamines, aliments sains ou propres. Pourtant, un rรฉgime alimentaire รฉquilibrรฉ doit รชtre composรฉ de diverses sortes dโaliments appartenant ร diffรฉrents groupes, de faรงon ร contenir la totalitรฉ des nombreux macronutriments et micronutriments dont un individu en a besoin (FAO, 2005). Leur dรฉfinition est alors incomplรจte. En effet, ils apprรฉcient tellement les lรฉgumes que la dรฉfinition donnรฉe sโest orientรฉe vers ces derniers et ses avantages. Nรฉanmoins, les lรฉgumes contribuent ร lโรฉquilibre alimentaire (Berghmans, 2011) et le fait de manger des lรฉgumes diffรฉrents apporte des quantitรฉs variables de diffรฉrents micronutriments (FAO, 2005). Comme mode de cuisson, les cuisiniers ont versรฉ derniรจrement les lรฉgumes afin de prรฉserver les vitamines. La FAO (2005) le rรฉsume par une cuisson rapide des lรฉgumes. En outre, les dรฉgustateurs ont fait remarquer lโimportance de lโhuile pour eux. Dโaprรจs Ravelombola (2016), les mรฉnages de la zone de Karimbelo utilisent rarement de lโhuile lors de la prรฉparation des repas. Or, son utilisation est perรงue pendant le concours de cuisine. Lโhuile est donc considรฉrรฉe comme un facteur rehaussant le goรปt, un facteur dโapprรฉciation. Bien que la chayotte, la pipengaille, la votave ne soient pas encore cultivรฉes par la plupart des exploitants agricoles, la majoritรฉ de lโรฉchantillonnage les a dรฉjร mangรฉes en les achetant. La raison รฉvoquรฉe est la connaissance des nutriments apportรฉs par ces derniers. Ce constat pourrait cependant avoir un rapport avec lโรฉducation nutritionnelle reรงue. Car, en se rรฉfรฉrant ร leur niveau dโรฉtude, ils doivent รชtre rarement influencรฉs par les signes de qualitรฉ nutritionnelle dโun produit (ANSES, 2017). De plus, les consommateurs ร faible revenu et qui ont connu une insรฉcuritรฉ alimentaire pondรจrent toujours les attributs d’un aliment par rapport ร son prix. Toutefois, la plupart dโentre eux sont trรจs convaincus par rapport aux vitamines apportรฉes par ces lรฉgumes et leur rรดle dans la prรฉvention des maladies. Effectivement, les lรฉgumes sont dโimportantes sources de micronutriments entre autres les vitamines (FAO, 2005). Mais la connaissance des propriรฉtรฉs nutritionnelles et sanitaires d’un aliment n’augmente pas systรฉmatiquement sa consommation (Ginon et al., 2009). Et si la disponibilitรฉ d’un produit est la premiรจre condition de sa consommation, l’inverse n’est pas toujours vrai : un produit disponible peut รชtre nรฉgligรฉ en tant quโaliment (Rakotosamimanana, 2014), sauf quโil y a des facteurs leur poussant ร le consommer. En effet, les trois lรฉgumes sont majoritairement trรจs apprรฉciรฉs, mais la consommation est limitรฉe par la saisonnalitรฉ des produits et leur faible pouvoir dโachat. Ce qui est confirmรฉ par Ganry et Le Guilloux (2007), selon qui, la consommation des fruits et lรฉgumes reste trรจs รฉtroitement liรฉe ร une production saisonniรจre. Et, la faiblesse du revenu agricole est lโune des causes de lโinsรฉcuritรฉ alimentaire dans la rรฉgion Atsimo Atsinanana (INSTAT/PAM, 2013). Par ailleurs, ils ont mentionnรฉ le rรดle dรฉterminant du goรปt dans lโapprรฉciation des lรฉgumes. Comme lโa dรฉmontrรฉ Rakotosamimanana (2014) dans le cas de Manioc et Moringa, les propriรฉtรฉs sensorielles sont des facteurs qui influencent les choix alimentaires. Pour Vindras et Sinoir (2010), il affecte lโachat de lรฉgumes. Ce goรปt peut รชtre liรฉ au mode de cuisson11 . Selon Rocca et Polimรฉni (2007), la cuisson a un impact sur lโรฉtat nutritionnel, sanitaire et organoleptique de lโaliment dont la flaveur. Alors que cโest le seul mode de prรฉparation de fruits de ces trois lรฉgumes connus. Cependant, la prรฉparation dโun aliment fait partie des variables influenรงant la mesure hรฉdonique (Boutrolle, 2007). Cโest-ร -dire que la connaissance des autres modes de prรฉparations pourrait amรฉliorer leur apprรฉciation vis-ร -vis de ces lรฉgumes. Les fruits et les feuilles sont les parties jugรฉes comestibles des trois lรฉgumes. Les autres parties sont rarement considรฉrรฉes dans la consommation, ร lโexemple des tubercules de la chayotte. Ces derniรจres semblent peu connues vu que la culture nโest pas encore rรฉpandue. Pourtant, elles sont deux fois plus riche en matiรจre sรจche que le fruit, et les teneurs en amidon sont comparables ร celle de la pomme de terre (65% ร 85%) ou de la patate douce (70%) (Monnerville et al., 2001). Cโest donc un aliment trรจs rassasiant. En effet, la satisfaction de la faim influe aussi sur lโachat de nourriture, avant d’autres besoins et parfois au dรฉtriment de la santรฉ perรงue d’un aliment (Rakotosamimanana, 2014). La connaissance des autres parties comestibles de la plante pourrait ainsi influer leur comportement alimentaire voire lโadoption de ces trois lรฉgumes au sein de leur systรจme de culture. Considรฉrant leurs connaissances sur les lรฉgumes, sur les avantages tirรฉs de leur consommation ainsi que les divers facteurs pouvant influer sur leur apprรฉciation, lโhypothรจse 3 selon laquelle ยซ les perceptions affectives sur ces lรฉgumes peuvent dรฉterminer leur importance ยป est confirmรฉe.
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
1. MATERIELS ET METHODES
1.1 Matรฉriels
1.1.1 Zone dโรฉtudes
1.1.1.1 Dรฉlimitation gรฉographique
1.1.1.2 Caractรฉristiques agro-climatiques
1.1.1.3 Relief et sols
1.1.2 Matรฉriels vรฉgรฉtaux
1.1.2.1 Raisons du choix
1.1.2.2 Votaves-Cucurbita moschata Duschesne
1.1.2.3 Pipengaille-Luffa acutangula Roxb
1.1.2.4 Chayotte_Sechium edule Swartz
1.1.3 Matรฉriels de conduite de lโexpรฉrimentation
1.1.3.1 Matรฉriels agricoles
1.1.3.2 Matรฉriels de suivis et de mesures
1.2 Mรฉthodes
1.2.1 Visites et รฉtudes prรฉliminaires
1.2.2 Etude expรฉrimentale
1.2.2.1 Choix des terroirs
1.2.2.2 Apprรฉciation de lโombrage
1.2.2.3 Description des dispositifs expรฉrimentaux
1.2.2.4 Caractรฉristiques du dispositif
1.2.3 Opรฉrations culturales pendant lโexpรฉrimentation
1.2.3.1 Prรฉparation du sol et semis
1.2.3.2 Entretiens
1.2.3.3 Rรฉcolte
1.2.4 Mรฉthodes et paramรจtres de mesures
1.2.4.1 Observations du climat
1.2.4.2 Observations et suivis des cultures
1.2.5 Etude de performance รฉconomique
1.2.6 Mรฉthodologie dโenquรชte
1.2.6.1 Elaboration du questionnaire
1.2.6.2 Modes et techniques dโenquรชte
1.2.7 Traitements et analyses statistiques des donnรฉes
1.2.8 Rรฉdaction du rapport et diffusion des rรฉsultats
1.3 Limites de lโรฉtude
2. RESULTATS
2.1 Climat pendant lโexpรฉrimentation
2.2 Phรฉnologie des plantes
2.2.1 Phase vรฉgรฉtative
2.2.1.1 Taux de germination / Taux de reprise de croissance
2.2.1.2 Croissance vรฉgรฉtative des plantes
2.2.2 Phase reproductive des plantes
2.2.2.1 Floraison
2.2.2.2 Rรฉcolte et rendement de la pipengaille et des votaves
2.3 Productivitรฉ de travail
2.3.1 Quantitรฉ de travail
2.3.2 Produit brut crรฉe par lรฉgume
2.4 Perceptions sur les lรฉgumes
2.4.1 Caractรฉristiques de lโรฉchantillonnage
2.4.2 Etats des connaissances sur les lรฉgumes
2.4.3 Perceptions sur une alimentation รฉquilibrรฉe
2.4.3.1 Description dโune alimentation รฉquilibrรฉe
2.4.3.2 Place des lรฉgumes dans le cadre dโune alimentation รฉquilibrรฉe
2.4.4 Mode de prรฉparation des lรฉgumes
2.4.5 Les lรฉgumes nouvellement introduits
2.4.5.1 Consommation et apprรฉciation
2.4.5.2 Prise de dรฉcision dans le choix de consommation
2.4.5.3 Connaissance des nutriments apportรฉs
2.4.5.4 Parties comestibles et prรฉparation
3. DISCUSSIONS
3.1 Capacitรฉ dโadaptation des cultures
3.1.1 Taux de germination ou de reprise de croissance
3.1.2 Croissance vรฉgรฉtative des plantes
3.1.3 Caractรฉristiques de la floraison
3.1.4 Rรฉcolte et rendement
3.2 Performance รฉconomique des cultures
3.3 Importance des lรฉgumes dans leur alimentation
4. SUGGESTIONS ET PERSPECTIVES DโAMELIORATION
4.1 Sur le plan technique et environnemental
4.2 Sur le plan รฉconomique et social
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
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