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« Développement » et « Décentralisation »
D’une manière générale, ces deux termes sont considérés comme différents dans l’acception globale mais ils sont complémentaires sur le plan administratif et organisationnel.
définition de la décentralisation
Madagascar a déjà commencé à prendre certaines mesures en vue de décentraliser et de déconcentrer sa structure instutionnelle sur le plan éducatif et politique en général. Mais avant d’appréhender ceoncept, on va voir d’abord les lois qui ont imposé ce politique dans le territoire malgache.
Selon la constitution de la république de Madagascar, texte modifié par le référendum du 04 avril 2007, Article 2 :
« La république de Madagascar est organisée en collectivités territoriales décentralisées, dont l’autonomie administrative et financière est garantie par la constitution. Ces collectivités territoriales décentralisées concourent avec l’Etat au développement de la nation».
– Selon la loi n°90-008 du 26 Avril 1995 fixant les règles relatives à l’organisation au fonctionnement et aux attributions des collectivités territoriales décentralisées, chapitre1, section1, article premie :
« Une collectivité territoriale décentralisée est uneportion du territoire nationale dans laquelle l’ensemble de ses habitants électeurs de nationalité malagasy dirige l’activité régionale et locale en vue de promouvoir le développement économique, social, sanitaire, culturel et scientifique et technologique de sa circonscription. Elle assure, avec le concours de l’Etat, l’aménagement du territoire, la protection de l’environnement, l’amélioration du cadre de vie ainsi que la préservation de son identité. Elle est dotée de la personne morale et de l’autonomie financière. Elle assure avec le concours de l’Etat la sécurité publique et l’administration »5.
De ce fait, la décentralisation est le processus detransférer le pouvoir, l’autorité, les fonctions, les responsabilités, et les ressources requises de l’administration centrale vers l’administration locale ou subdivisions administratives.
Bref historique de la décentralisation
Historiquement, la politique de Madagascar était marquée par de différents systèmes d’organisation mais il y avait toujours des points communs. Ainsi, depuis et bien avant l’indépendance, la grande île est influencée par la politique de décentralisation quelque en soit la forme :
Sous la période coloniale
C’était depuis le temps que la métropole a divisé Madagascar en région administrative marquée par les régions(6), 29 petits provinces subdivisées en sous-préfectures, en arrondissements et cantons. Les communes et les Fokonolona comme communautés villageoises utilisée surtout pour l’organisation et l’exécution des corvées, le maintien de l’ordre au sein du groupement ; c’est l’une des formes premières de la décentralisation à Madagascar.
De l’indépendance à 1972
Il y a l’ordonnance du 06 juillet 1962 portant la révision de la constitution, et qui aboutit à la « déconstitutionnalisation » des dispositions relatives aux collectivités locales qui désormais relèvent de la loi :
Les provinces :(ordonnance du 20 et 29 septembre 1962) statut calqué sur celui du département français où il y avait le chef de province nommé par le pouvoir central et le conseil général comme membre élus et membre eddroit (parlementaire de la province).
Commune :(Ordonnance du 24 aout 1960) En 1959, généralisation de l’institution : 778 communes dont 46 urbains. Il y avait 2 régimes juridiques distincts des communes urbaines et rurales (composition des conseils, système électoral, autonomie financière restreinte…).
Fokonolona :(ordonnance de 11 Mars 1968) Statut vague, notamment en ce qui concerne les relations du Fokonolona avec la commune rurale, mais se voit assigner un rôle de suppléance et de relais de l’Etat et des collectivités publiques, notamment pour le maintien de la sécurité publique.
De 1972 à 1975
L’organisation de l’Etat est marquée par le discours du général RAMANANTSOA le 27 juillet 1972 : « Réaliser la maîtrise populaire de développement et préparer l’avènement d’une sociétéfondée sur la démocratisation à tous les échelons de centre de décision politique,administratif et économique ». Ce système mettait en valeur les provinces, communes, et le FKT comme cellule de base à caractère ascendante :
Province : En 1973, il y a le dépérissement de l’autorité rovincialep. Sous l’ordonnance du 18/01/73 il y avait l’abolition de l’IMF (Impôt Minimal Fiscal) et impôts sur les bovidés, principe ressource des budgets provinciaux. L’ordonnance du 30/03 et 30/07/1973 qui a mis la suspension du fonctionnement des conseils généraux et transfert de leurs attributions aux chefs des provinces. Commune : En général, le système communal a modifié un peupar l’ordonnance n°73-009 du 24 Mars 1973 portant la st ructuration du monde rural pour une maîtrise populaire du développement et adoption du Fokonolona comme une cellule de base.
Fokonolona : Cela est érigé au rang de collectivité territoriale décentralisée, en tant que cellule de base d’une organisation ascendante et communautaire sous 4 paliers successifs : le Fokonolona, Firaisam-pokonolona, Fivondronam-pokonolona, Faritany dont l’assise territoriale devait correspondre à la préfecture.
2002 à nos jours
On a marqué que la crise de 2002, et les fonctionnements constatés conduisent à un recentrage du pouvoir. Mais dès qu’on a surmontéces problèmes économiques et sociaux, la politique de Madagascar revient peu à p eu à la déconcentration et décentralisation du pouvoir central. Vu donc le décret n°2002-1170 du 04/10/2002 fixant les règles relatives à l’organisation, aux f onctionnements et aux attributions du FKT et du Fokonolona.
Par cette analyse diachronique de la décentralisation, on peut dire que la constitution révisée du 04 Avril 2007 a intensifiécette politique qui était déjà instauré depuis le période colonial. De ce fait, cette politique nationale est basée sur l’engagement du gouvernement de donner le pouvoir à sa population de déterminer propre avenir. Pour Madagascar, la décentralisation est comme une politique clé visant : -à la réduction de la pauvreté,
– à améliorer la qualité de gouvernance dans le pays,
– à promouvoir la mobilisation des énergies et ressources de la population locale pour participer directement dans la détermination de leur bien être politique, social et économique. Et pour atteindre ses objectifs de la décentralisation, L’Etat malgache a adopté le MAP (Plan d’Action de Madagascar) comme « le feuille de route » de la dynamique des malgaches pour un avenir prometteur.
Acception générale sur la décentralisatio
La décentralisation couvre un large éventail de concepts qui concerne tous les transferts de pouvoir et de responsabilités de l’administration centrale publique à des collectivités publiques territoriales subordonnéesou quasi indépendantes. Elle peut avoir 3 dimensions :
· Plan administratif
· Plan politique
· Plan budgétaire
Pour notre analyse, les dimensions communales sont actuellement considérées comme collectivité publique de base de note pays. En ce sens, sous les différents aspects et potentialités qu’elle admet, celles-ci représentent un niveau efficace et viable de l’administration que ce soit urbain ou rural. Pourtant, les communes sont les principales victimes du marchandage et de l’incertitude politique, ce qui explique que nombreux des compétences qui leur ont été conféréens principe, ne leur aient pas encore été effectivement transférées surtout les mmunesco ruraux. Ainsi, les financements communaux représentent seulement trois à quatre pourcent des financements publics totaux et même moins dans lescommunes rurales où vivent la grande majorité des malgaches pauvres. Les ressources propres des communes rurales sont insuffisantes aux besoins de la communauté. Dece fait, les communes dépendent surtout des transferts venant de l’Etat, qui sont arrivés généralement en retard et parfois pas du tout.
Le développement
Sous le reflet de trois décennies de déclin économique, on a constaté que près de trois quarts de la population malgache vivent aujourd’hui dans la pauvreté dont 86% en milieu rural. De même, la notion de développement qu’on doit adopter dans les pays de Sud et celle du Nord est totalement différente parce que ces deux mondes ont ses propres réalités sociales en fonction de ses potentialités économiques et humaines. Pour cela, l’Afrique doit penser par elle-même et pour lle-même, avant d’agir, de concert avec les partenaires des autres régions pour son développement. En revanche, sur le cas de Madagascar, la notion de développement jusque là n’est pas celle qu’on avait attendu depuis l’indépendance. En fait, il n’y a pas vraiment de changement radical dans notre pays mais seulement de mouvement éphémère. A titre d’illustration, le mode de production paysan malgache n’est pas changé dans ses formes. Par ailleurs, le riz, qui est le principal produit agricole reste entièrement consommable sur place, alors que Madagascar a une énorme potentialité pouren exporter. De ce fait, on peut dire que le vrai développement est loin d’être établi mais ce qui se passe, c’était seulement une évolution de la société en un autretades. Le stade lignager est devenu stade tribal villageois ou encore en stade patriarcaux…
Des différentes acceptions en matière du développement
Du point de vue de la politique des pays du Nord, le développement consiste à enraciner en profondeur les structures de pérennisation d’une économie moderne et mondiale visant à faire des pays pauvres des réserves permanentes de main d’œuvre bon marché de matière premier et de marché de consommation tel qu’il en a toujours été depuis l’ère coloniale.
Mais la logique des pays du Sud n’est pas la même. En ce sens, le développement se définie par la rationalisation desrapports entre les ressources disponibles et les besoins. Ainsi, les ressources naturelles, matérielles et humaines ont toujours été abondantes dans un pays pauvres commeMadagascar. Par ailleurs, les besoins6 ont constitués dans tout temps un cortège de fractures sociales7 siégeant dans tous les domaines de la structure sociale.
Selon RANAIVOARIVONY (G.de P.) « (…) le développement est d’abord un processus de valorisation humaine des personnes qui, à travers l’accroissement du produit global et l’amélioration des conditions matériels d’existence, permet un épanouissement de l’être individuel et collectif. eL développement est un processus d’accomplissement humain intégral » 8.
Pour lui, la véritable stratégie du développementeposer essentiellement surtout en Afrique sur cette optique globale, qui tient compte de l’importance du développement du capital humain.
Les impacts de la décentralisation sur le développement
Comme on l’avait dit que la décentralisation couvre tous les transferts de pouvoir et de responsabilité de l’administration centrale publique à des collectivités publique territoriale. Donc elle peut avoir trois dimensions :
· Dimension administrative
· Dimension politique
· Dimension budgétaire
Dans notre étude, on a bien remarqué ces trois dimensions surtout sur le plan éducatif. Selon MARX, «l’éducation c’est l’épanouissement de l’homme sur la base d’un monde matériel révolutionné de fond en comblepour socialiser et développer l’homme en tout sens »9.
Pour Marx, l’éducation est conditionnée par l’infrastructure. Et l’éducation sous ces différentes formes doit être efficace et rentable. On a bien visualisé actuellement la formation en cascade c’est-à-dire la formation pédagogique est transmise à chaque échelon. Premièrement, au niveau du ministère de tutelle, ensuite au niveau de la direction provinciale, régionale et enfin la CISCO (circonscription scolaire) de chaque district.
Ce dernier va transmettre la formation aux zones administratives et pédagogiques de chaque commune. A la base de cette hiérarchie est le chef ZAP, c’est lui qui tient la responsabilité de sa zone administrative et d’en dégager les problèmes au niveau de son département. Il a pour rôle de médiateur en tant que représentant du CISCO. Et aussi animateur et formateur des maîtres et élèves-maitres de part les écoles privées que publiques dans la commune. Pour la commune Ampasina Maningory, le chef ZAP a ses écoles à contrôler que se soit écoles primaires ou secondaires.
Sur le plan politique, L’Etat a organisé des formations des formateurs et puis il y avait des formations des enseignants dans chaque zone comme l’APC (Approche par les compétences). Cela est une nouvelle méthode d’approche pédagogique qui consiste à prioriser la capacité des élèves à résoudre quelque problème à eux même c’est-à-dire que les enseignants dirigent petit à petit les élèves afin qu’ils puissent résoudre le problème de la vie quotidienne en utilisant des outils didactiques (une livre pour chaque élève) et sonores (radio à manivelle). Sur la dimension budgétaire, l’un des problèmes rencontrés par les instituteurs et institutrices est la notion de motivation. Cette dernière est très importante car la rémunération mensuelle ensuffit pas les besoins quotidiens. On a vu aussi que de nombreux FKT sont si loin du chef lieu de la commune. En ce sens, l’Etat est conscient de ce fait, alors il a octroyé une sorte d’indemnité pour les enseignants lors d’une journée pédagogique. Sur leplan psychologique, la motivation pousse les gens à faire des efforts et à concentrer ses intensions sur le but ou finalité d’une activité donnée.
A cette exemple, l’impact de la décentralisation sur le développement est évident non seulement sur les formateurs mais aussi les apprenants. En plus, les techniques pédagogiques anciennes ont changé dans es théories que dans ses pratiques et sur les modes de transmissions sur les élèves. Dans cette perspective, on a pu remarquer l’augmentation de taux de réussite scolaire sur les trois ans successifs. Alors l’éducation n’est seulement conditionnée par l’infrastructure mais aussi il est basé sur l’action et le rôle de la superstructure. Selon DUR KHEIM dit que « L’éducation est l’action des générations adultes sue celles qui nesont pas encore mûre, touchant les normes, les valeurs, les principes dans le milieu social dans lequel elles sont appelées à vivre »10
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
1. Contexte
2. Motifs du choix du thème et du terrain
3. Problématique
4. Objectifs
4.1.- Objectifs généraux
4.2.- Objectifs spécifiques
5. Les Hypothèses
6.- Méthodologie
6.1.- Les travaux préliminaires
6.2.- Les concepts et instruments d’analyse
6.3.- Techniques d’enquêtes
6.4.- Techniques d’échantillonnage
7. Structuration du document
REMIERE PARTIE : Approches conceptuelles du développement et cadre commu
CHAPITRE 1 : Les collectivités décentralisées à Madagascar
1.1.- Notions clés sur le développement
1.1.1.- « Développement » et « Décentralisation »
1.1.1.1.- définition de la décentralisation
1.1.1.2.- Bref historique de la décentralisation
Sous la période coloniale
De l’indépendance à 1972
De 1972 à 1975
2002 à nos jours
1.1.1.3.- Acception générale sur la décentralisation
1.1.2.- Le développement
1.1.2.1.- Des différentes acceptions en matière du développement
1.2.- Les impacts de la décentralisation sur le développement
1.2.1.- L’Approche participative
1.2.1.1.- Acception générale
1.2.1.2.- L’Approche projet
1.3.1.- Acception générale
1.3.2.- Pauvreté et sous développement
CHAPITRE 2 : Présentation monographique de la Commune Ampasina Maningory
2.1.- Historique de la commune
2.1.1.- Approche chronologique
2.2.2.- Les traits physiques de la commune
2.2.- La géographie humaine
2.2.1.- Localisation et rattachement administratif
2.2.2.- Les communes voisines
2.2.3.- Les fokontany constituants la commune
2.2.4.- Occupation des sols
2.3.- Les caractéristiques démographiques
2.3.1.- Données démographiques
2.3.2.- Mouvement de la population
2.3.3.- Composition ethnique
2.4.- Les données sociales
2.4.1.- Enseignement et éducation
2.4.2.- Secteur santé
2.4.3.- Les services fournis
2.4.4.- Les maladies courantes
2.4.5. – Médecine traditionnelle
2.4.6.- Habitat
2.5.- L’agriculture comme activité principale
2.5.1.- Cultures vivrières
2.5.2.- Cultures de rente : « Girofle et café »
2.5.2.1.- Le giroflier,
2.5.2.2.- Le caféier
2.5.3.- Les activités d’appoints : « Elevage »
2.5.4.- La destination de la production
2.6.- Les activité d’AVSF dans la Commune
ME PARTIE : LE VECU PAYSAN A AMPASINA MANINGORY
CHAPITRES 3 : Interactions structuro-paysannes et participation
3.1.- Considérations organisationnelle
3.1.1.- Administration et fonctionnement de la commune
3.1.2.- Stratification socio-économique de la population
3.1.3.- Groupe socioprofessionnel de la population
3.1.4.- Associations paysannes par fokontany dans la commune
3.1.5.- Intervenants extérieurs
3.2.- Perception de la population sur le développement de la commune
3.2.1.- Selon les élus locaux
3.2.2.- Selon les responsables du projet
3.2.3. Selon les populations locales
3.3.- Résultat d’enquête
3.4.- Les différents problèmes existants dans la commune
3.4.1.- Au niveau communal
3.4.2.- Au niveau de la région d’Analanjirofo
3.4.3.- Au niveau des OP et le projet AVSF
CHAPITRE 4 : Vie sociale, culturelle et associative à Ampasina Maningory
4.1.- Les valeurs culturelles
4.1.1.- Institutions traditionnelles
4.1.2.- Us et coutumes
4.1.3.- Institutions religieuses
4.2.- La coopérative « FANEVAN’ANALANJIROFO »
4.2.1.- Identification
4.2.2.- Caractéristiques
4.2.3.- Environnement social et relation avec les partenaires
4.2.4.- Valeur productive
4.2.5.- Valeur technique
4.3.- Les relations intragroupes
4.4.- Appréciations sur l’éducation
4.5.- Les accès et activité les plus importants
4.5.1.- Le budget des ménages
4.5.2.- Absence de participation populaire
4.5.3.- Les desideratas populaires
CHAPITRE 5 : Intégration de la dynamique des associations paysannes dans le développement rural
5.1.- Dynamique sociale des paysans
5.2.- L’interaction entre les paysans membres et les personnels de chaque associatio
5.4.- Les caractères d’intégration et la dynamique « société » au sein de la localité étudiée
5.4.1.- Les caractéristique des relations entre les personnes au sein de chaque association
5.4.2.- Les caractéristiques d’intégration et la dynamique sociale des paysans membres au sein de chaque association
5.4.2.1.- Les caractéristiques d’intégration
5.4.2.2.- Analyse organisationnelle de l’association
5.5.- La structure mentale
5.5.1.- Mise en évidence des relations entre Fokonolona et celles des associations paysannes
5.5.2.- Articulation des transformations sociales avec la transformation psychologique des paysans
TROISIEME PARTIE : Prospectives de développement rural à partir des associations paysannes
CHAPITRE 6 : Le développement rural à partir du développement communautaire77
6.1.- Esquisses de solutions et autres propositions
6.2.- Potentialités de la région d’Analanjirofo
6.3- La proposition d’orientation pour le développement de la région.
6.4- L’enjeu de l’approche projet dans le développement
6.5- Le développement rapide et durable
6.5.1.- La structure éducationnelle
6.5.2.- La structure sociale
CHAPITRE 7 : Quelque solution face à des problèmes ressentis
7.1.- Quelques pistes d’actions de développement communal
7.1.1.- Les ressources naturelles
7.1.2.- Sur les ressources humaines
7.2.- Les types d’Organisations Paysannes
7.2.1.- Les organisations paysannes à caractère économique :
7.2.2.- Les Organisations Paysannes de type syndical :
7.3.- Les rôles du projet AVSF envers les OP
7.3.1.- Contexte général au niveau des filières et des petits producteurs
7.3.2.- Des appuis d’AVSF aux organisations de producteurs d’Analanjirofo
7.3.3.- Enjeux pour l’appui aux OP et stratégie d’intervention
7.3.3.1.- Les enjeux principaux :
7.3.3.2.- La stratégie d’intervention proposée :
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
TABLE DES MATIERES
LISTE DES ABREVIATIONS
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES GRAPHES
ANNEXES
Annexe 1 : Questionnaire menage
Annexe 2 : QUESTIONNAIRE POUR LE RESPONSABLE DU PROJET
ANNEXE 3 : QUESTIONNAIRE POUR LES AUTORITES PUBLIQUES
Annexe 4 : produits de rente et population de la Commune Ampasina Maningory
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