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TYPE DโUTILISATIONS DE DMOS
De maniรจre gรฉnรฉrale, les circuits produits par lโindustrie des semiconducteurs voient leurs fonctionnalitรฉs, leurs performances et leur autonomie augmenter alors que leur poids et leur taille diminuent continuellement. Lโinnovation de lโindustrie a รฉtรฉ particuliรจrement stimulรฉe par le dรฉveloppement du secteur des microprocesseurs.
Depuis lโexplosion des applications dโรฉchanges dโinformations, les technologies radiofrรฉquences (R.F.) et analogiques permettent une croissance rapide du marchรฉ des communications sans-fil et reprรฉsentent des technologies essentielles et critiques pour de nombreux manufacturiers. Les produits communicants remplacent dรฉsormais les ordinateurs comme levier pour la production de volume. Ainsi les produits grand public reprรฉsentent la moitiรฉ de la demande de semiconducteurs. Par exemple, les tรฉlรฉphones cellulaires de troisiรจme gรฉnรฉration (3G) contiennent beaucoup plus de composants semiconducteurs quโauparavant et constituent ainsi prรจs de 50% du marchรฉ des cellulaires, comparรฉ seulement ร 5% il y a quelques annรฉes.
Cette partie grand public du marchรฉ des produits sans-fil sont trรจs sensibles aux coรปts. Ainsi le choix entre plusieurs technologies, comparables en termes dโimpรฉratifs techniques, se fera sur la capacitรฉ ร รชtre mature rapidement pour une production de masse.
La tendance vers une intรฉgration et des performances plus importantes des circuits, mixant logique et analogique, dรฉveloppe la capacitรฉ de traitement de lโinformation.
La miniaturisation des composants รฉvoluant plus rapidement que les standards dโalimentation, les tensions dโalimentation des technologies logiques, analogiques et de puissance utilisรฉes sont diffรฉrentes. Ainsi pour les technologies logiques, la rรฉduction agressive de la taille des puces permet une rรฉduction drastique de la tension dโalimentation (de lโordre actuellement de 1,2V). Pour les technologies analogiques, le niveau de tension diminue modรฉrรฉment avec la miniaturisation (entre 2,5V et 5V). Pour les technologies de puissance, la tension dโalimentation est pratiquement constante avec lโintroduction de nouvelles technologies (dรฉpend fortement de lโapplication visรฉe). (Figure I-3, [Pen05]).
Fonctionnement ร lโรฉtat bloquรฉ
A lโรฉtat bloquรฉ, cโest-ร -dire lorsque la tension grille-source est infรฉrieure ร la tension de seuil, la tension appliquรฉe entre drain et source est soutenue principalement par la zone de dรฉplรฉtion qui apparaรฎt dans la rรฉgion de drift. ร lโรฉtat bloquรฉ le transistor LDMOS peut donc รชtre assimilรฉ ร une diode PN-N+ polarisรฉe en inverse.
Ainsi, la tension de claquage dรฉpend des propriรฉtรฉs de la zone N- (dopage, longueur), de la jonction zone de canal/extension de drain mais aussi de la position et de lโรฉpaisseur de lโoxyde de grille. Elle est aussi fondamentalement liรฉe ร la forme de la jonction : une jonction plane soutient une tension plus importante quโune jonction cylindrique ou sphรฉrique (Figure I-21). Cette hiรฉrarchie peut รชtre expliquรฉe par un phรฉnomรจne proche dโun phรฉnomรจne de ยซ pointe ยป oรน il y a une compression du champ รฉlectrique ([Cha90][Bon05]).
Transistor M.O.S. ร รฎlots flottants (FLIMOS)
Le principe MOS ร รฎlots flottants ou Floating Island (FLI) MOS (Figure I-26) consiste ร insรฉrer une (ou plusieurs) couche(s) dopรฉe(s) P entre le drain et lโextrรฉmitรฉ de la grille dโun transistor LDMOS conventionnel [Cรฉz01]. Lโinsertion de cet รฎlot dopรฉ de maniรจre opposรฉe ร celle de lโextension de drain va permettre dโamรฉliorer la rรฉpartition du potentiel et donc dโaugmenter la tenue en tension du transistor.
Figure I-26 : Coupe schรฉmatique d’une cellule รฉlรฉmentaire d’un transistor FLIMOS de puissance Pour expliquer le fonctionnement dโun transistor ร รฎlots flottants, nous prenons lโexemple simple dโun transistor ร un seul รฎlot. Dans un transistor LDMOS conventionnel, le claquage est dรป ร un pic de champ รฉlectrique prรฉsent en surface sous lโextrรฉmitรฉ de la grille. Dans un transistor ร รฎlot flottant, deux pics de champ รฉlectrique apparaissent au claquage : le premier en surface sous le bord de la grilleย (comme dans un transistor LDMOS conventionnel), le second au niveau de la jonction ยซ P flottant/N- drift ยป, permettant de lisser le champ รฉlectrique le long du transistor. Le champ critique est ainsi atteint pour une tension plus รฉlevรฉe.
Cette structure relativement simple amรฉliore la tenue en tension de maniรจre non nรฉgligeable par rapport ร une structure conventionnelle. En contrepartie, la rรฉsistance passante spรฉcifique est dรฉgradรฉe. Ceci est dรป au fait que le trajet des porteurs entre canal et drain est plus long en raison de la prรฉsence de lโรฎlot et de lโaugmentation de la longueur de drift, nรฉcessaire ร lโinsertion de la rรฉgion dopรฉe P flottante.
Le principal inconvรฉnient dโun transistor ร รฎlot flottant rรฉside donc dans son encombrement supรฉrieur par rapport aux solutions conventionnelles et dans lโaugmentation du trajet des porteurs entre drain et source. Ces deux paramรจtres contribuent ainsi ร lโaugmentation globale de la rรฉsistance passante spรฉcifique Ron.S.
Transistor M.O.S. ร SuperJonction (SJMOS)
Une SuperJonction (SJ) est une succession de bandes N et P, remplaรงant la zone N- dโextension de drain des transistors LDMOS conventionnels (Figure I-27, [Fuj97]). De ce fait, ร surface de silicium identique, la jonction P-/N- obtenue est alors beaucoup plus รฉtendue dans le transistor ร SuperJonction que dans les transistors conventionnels.
Le mรฉcanisme physique sur lequel repose le principe de la SuperJonction est la balance de charges. En effet une SJ nรฉcessite un dopage et une largeur de bande judicieusement choisis (par exemple Na=Nd et Wn et Wp<<H). Le phรฉnomรจne induit par lโapplication dโune tension positive sur le drain, alors que le transistor se trouve en mode bloquรฉ, se dรฉroule en deux รฉtapes :
– dans un premier temps, les couches N et P se dรฉsertent plus vite latรฉralement que verticalement du fait du facteur de forme des bandes (Wn,p/H<<1).
Ainsi seule la composante latรฉrale Ey du champ รฉlectrique augmente mais reste infรฉrieure ร la valeur du champ critique Ec.
– dans un deuxiรจme temps, puisque la dรฉplรฉtion des bandes N et P est totale, la distribution du champ รฉlectrique dans le volume est uniforme. Il convient alors de considรฉrer les rรฉgions N et P dรฉpeuplรฉes comme un diรฉlectrique avec le champ critique du silicium.
Le principal avantage de la SuperJonction est que le dopage des rรฉgions N et P peut รชtre choisi supรฉrieur au dopage N- de lโextension de drain dโun transistor LDMOS conventionnel. Le paramรจtre primordial nโest plus la concentration, mais la balance de charges. Pour quโune SuperJonction fonctionne correctement, il faut donc que les bandes N et P soient complรจtement dรฉpeuplรฉes avant dโatteindre le champ รฉlectrique critique, mais aussi que la balance des charges entre les rรฉgions N et P soit quasiment parfaite. Pour un dopage donnรฉ, en rรฉduisant la largeur des bandes N et P, la dรฉsertion est de plus en plus totale : la distribution uniforme du champ รฉlectrique sโen trouve alors amรฉliorรฉe (Figure I-28).
PROBLEMATIQUE DE LโINTEGRATION DโUN CIRCUIT DE PUISSANCE
Le dรฉveloppement de filiรจres de puissance ne se limite pas aux aspects liรฉs au dรฉveloppement de composants. Etant donnรฉ le niveau des tensions appliquรฉes, une bonne isolation entre blocs est nรฉcessaire. Nous allons dรฉvelopper dans la partie suivante les diffรฉrents types dโisolation et la problรฉmatique de lโintรฉgration dโun circuit de puissance sur silicium.
Faire cohabiter de nombreux composants, fonctionnant sous des tensions diffรฉrentes et gรฉrant des niveaux de courants sans aucun rapport, nรฉcessite une parfaite isolation entre รฉlรฉments. Les technologies actuelles peuvent intรฉgrer concrรจtement des blocs CMOS complexes, des mรฉmoires mais aussi une partie dite de ยซ puissance ยป. Cette intรฉgration, et la rรฉduction des dimensions qui y est associรฉe, nรฉcessite de rรฉsoudre le problรจme de lโisolation galvanique entre les diffรฉrents blocs. Actuellement il existe deux familles principales dโisolation pour rรฉsoudre ces problรจmes [Mor07] :
– les technologies dโisolation par jonction,
– les technologies dโisolation par diรฉlectrique.
Les technologies dโisolation par jonction constituent les solutions conventionnelles les plus utilisรฉes actuellement. Cependant, la densitรฉ de plus en plus importante de composants pose de nombreux problรจmes que nous allons dรฉtailler dans un premier temps. Dans un second temps, nous verrons les technologies dโisolation par diรฉlectrique.
Diode Schottky
Une autre solution consiste ร insรฉrer une diode Schottky (Mรฉtal- Semiconducteur) ร lโintรฉrieur du caisson du composant de puissance ร lโorigine du courant de substrat [Gon01]. La tension de seuil dโune diode Schottky รฉtant faible, elle va rentrer en conduction avant la diode d’isolation de substrat, retardant ainsi sa mise en conduction.
Il faut cependant noter que son intรฉgration ne peut se faire sans avoir rรฉsolu la faible tenue en tension en mode bloquรฉ, problรจme inhรฉrent aux diodes Schottky.
Transistor M.O.S. isolรฉ
Utilisรฉ en gรฉnรฉral pour les dispositifs 15/20V, le transistor isolรฉ consiste ร rรฉaliser le drain non plus dans une couche N- mais dans une couche P- de sorte que le drain nโait plus de contact direct avec la couche N- [Mor07]. Cette couche N- est alors contactรฉe via la couche enterrรฉe N+. Ainsi, lorsque le drain du transistor est polarisรฉ nรฉgativement et que la diode drain/P- passe en direct, le fort courant injectรฉ par celle-ci est collectรฉ par la couche contactรฉe N+. Il nโy a plus aucune injection de porteurs minoritaires dans le substrat.
INTERET DE LA TECHNOLOGIE S.O.I. RF
Nous allons ici montrer lโintรฉrรชt du SOI par rapport aux technologies standard rรฉalisรฉes sur substrat massif, en insistant sur lโamรฉlioration des performances RF.
Nous avons vu que la diminution de la longueur de grille des transistors MOS avait permis dโatteindre des frรฉquences de fonctionnement de lโordre du gigahertz (Figure I-7). Ainsi la technologie CMOS reprรฉsente la meilleure possibilitรฉ dโintรฉgration des fonctions RF, digitale et analogique sur une mรชme puce. Bien quโelle puisse se rรฉvรฉler onรฉreuse, cette approche SoC reste รฉconomiquement prรฉfรฉrable. Les technologies CMOS sur substrat massif garantissent aujourdโhui de bonnes performances pour les รฉlรฉments actifs des parties analogiques et radiofrรฉquences ( T f รฉlevรฉ, faible bruit, bonne linรฉaritรฉ, โฆ). De plus, une forte densitรฉ autorise lโintรฉgration des processeurs numรฉriques. Il reste pourtant des blocages technologiques importants.
En effet, pour rรฉaliser des systรจmes mixtes intรฉgrรฉs, les technologies doivent dรฉvelopper :
โข des interconnexions de bonne qualitรฉ afin de rรฉduire les pertes (faible rรฉsistivitรฉ et faibles capacitรฉs parasites),
โข une bonne isolation entre les diffรฉrents blocs analogiques, radiofrรฉquences et numรฉriques afin de rรฉduire les effets de bruit par le substrat,
โข et une consommation totale des systรจmes rรฉduite au maximum.
Les technologies SOI pour les applications RF peuvent apporter des avancรฉes significatives par rapport ร ces difficultรฉs. Nous allons, dans les paragraphes suivants, expliquer les phรฉnomรจnes de base et les avantages liรฉs au dรฉveloppement dโune filiรจre technologique SOI RF.
รlimination des capacitรฉs de jonctions
Le principal avantage connu des technologies SOI RF rรฉside dans la rรฉduction des capacitรฉs de jonctions des transistors. Grรขce ร la prรฉsence de lโoxyde enterrรฉ, les diffusions de drain et de source sont circonscrites ร la couche de silicium supรฉrieure : la partie infรฉrieure des diffusions touche lโoxyde enterrรฉ. Ainsi en SOI on remplace une capacitรฉ de jonction Cjonctions par une capacitรฉ dโoxyde de plus faible valeur.
Effet de substrat flottant et rรฉduction de la consommation
En technologie SOI, grรขce ร la prรฉsence de lโoxyde enterrรฉ qui isole le substrat de conduction (appelรฉ aussi ยซ body ยป) du substrat de support, il existe un couplage capacitif entre la grille et le substrat, si ce dernier nโest pas contactรฉ ร un potentiel (le transistor est dit ยซ flottant ยป ou ยซ ร substrat flottant ยป). De ce couplage va rรฉsulter une charge et une dรฉcharge du substrat flottant, qui va crรฉer une variation dynamique de la tension de seuil du transistor.
En mode statique, la variation du potentiel de body provient de mรฉcanismes dโaccumulation et de dรฉplรฉtion de charges ร lโintรฉrieur de celui-ci. Lโaccumulation dans le substrat flottant est due aux courants de fuite latรฉraux des jonctions, au couplage capacitif entre la grille et le body et au phรฉnomรจne dโionisation par impact, prรฉsent uniquement ร tension de drain รฉlevรฉe.
Lโionisation se produit lorsque les porteurs, accรฉlรฉrรฉs par un fort champ รฉlectrique, atteignent leur vitesse de saturation. Les collisions entre ces porteurs et le rรฉseau (i.e. les atomes fixes de la couche de silicium) crรฉent des paires รฉlectrons/trous dont certaines ne se recombinent pas. Les รฉlectrons libres sont alors accรฉlรฉrรฉs par le champ vers le drain, alors que les trous sโaccumulent dans le body flottant (Figure II-3). La barriรจre de potentiel de la diode source-body empรชche lโรฉvacuation des trous vers la source : le potentiel du body augmente.
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Table des matiรจres
CHAPITRE 1 : TECHNOLOGIES DE PUISSANCE
1. INTRODUCTION : CONTEXTE HISTORIQUE ET TECHNOLOGIQUE
2. TYPE DโUTILISATIONS DE DMOS
2.1. Gestion dโรฉnergie
2.2. Applications Radiofrรฉquences
3. QUโEST-CE QUโUN AMPLIFICATEUR DE PUISSANCE ?
3.1. Dรฉfinition dโun amplificateur de puissance
3.2. Figures de mรฉrite
3.3. Classes de fonctionnement
4. รTAT DE LโART DES COMPOSANTS DE PUISSANCE DE TYPE MOS
4.1. Transistor DMOS Latรฉral (LDMOS)
4.2. Transistor M.O.S. ร tranchรฉes (LUDMOS)
4.3. Transistor M.O.S. ร รฎlots flottants (FLIMOS)
4.4. Transistor M.O.S. ร SuperJonction (SJMOS)
5. PROBLEMATIQUE DE LโINTEGRATION DโUN CIRCUIT DE PUISSANCE
5.1. Isolation par jonction
5.2. Isolation par diรฉlectrique
5.3. Conclusion
6. CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
CHAPITRE 2 : TECHNOLOGIES S.O.I. ET PUISSANCE SUR S.O.I
1. INTRODUCTION
2. LA TECHNOLOGIE S.O.I. : PRESENTATION
3. INTERET DE LA TECHNOLOGIE S.O.I. RF
3.1. รlimination des capacitรฉs de jonctions
3.2. Effet de substrat flottant et rรฉduction de la consommation
3.3. Compatibilitรฉ avec des substrats Hautement Rรฉsistifs
4. INTEGRATION DE COMPOSANTS DE PUISSANCE SUR S.O.I.
4.1. Intรฉrรชt de la puissance sur S.O.I.
4.2. Impact du SOI sur les caractรฉristiques de puissance
4.3. Structure dโรฉtude et procรฉdรฉ de fabrication retenus
5. CONCLUSION : LES DEFIS A RELEVER POUR LA REALISATION DE LDMOS SUR SOI
BIBLIOGRAPHIE
CHAPITRE 3 : OPTIMISATION ELECTRIQUE DU DISPOSITIF
1. INTRODUCTION
2. FONCTIONNEMENT ET OPTIMISATION STATIQUE DU DISPOSITIF
2.1. Caractรฉristiques statiques gรฉnรฉrales
2.2. Influence de paramรจtres gรฉomรฉtriques sur les performances ร lโรฉtat passant
2.3. Caractรฉristiques statiques gรฉnรฉrales
2.4. Compromis SRon/BV et รฉtude de comportement de claquage
2.5. Comportement de claquage
2.6. Conclusion et applications de gestion dโรฉnergie
3. CONTROLE DES EFFETS FLOTTANTS
3.1. Technologie 130nm
3.2. Technologie 65nm
3.3. Bruit basse frรฉquence
4. CARACTERISATION EN HAUTE FREQUENCE
4.1. รtude de lโimpact de la largeur W (ร Wtotal constant)
4.2. Rรฉduction de la longueur de lโextension Lext
4.3. Rรฉduction du recouvrement oxyde de protection/grille (Ov)
4.4. Etude des transistors LDMOS flottant
4.5. Rรฉduction du recouvrement grille/extension (avec Ov nul)
4.6. Conclusion
5. CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
CHAPITRE 4 : ETUDE DES PHENOMENES THERMIQUES ET ENERGETIQUES
1. INTRODUCTION
2. รTUDE DE LโAUTOECHAUFFEMENT
2.1. Introduction : prรฉsentation du problรจme
2.2. Description des procรฉdures de mesures et de simulation
2.3. Rรฉsultats et discussion
2.4. Conclusion
3. COMPORTEMENT ENERGETIQUE DU DISPOSITIF
3.1. Principe de la mesure pulsรฉe ร ligne de transmission (TLP)
3.2. Caractรฉrisation TLP du composant incriminรฉ
4. รTUDE DE FIABILITE DU DISPOSITIF
4.1. Problรฉmatique : dรฉrive rencontrรฉe avec une intรฉgration diffรฉrente
4.2. Dรฉrive en mode ยซ porteurs chauds ยป (1er ordre)
4.3. Conclusion
5. CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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