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La Folliculogenèse
La folliculogenèse est l’ensemble des phénomènes qui participent à la croissance et à la maturation des follicules. La croissance folliculaire résulte de trois phénomènes :
¾ l’augmentation de la taille de l’ovocyte;
¾ la multiplication des cellules de la granulosa;
¾ l’augmentation de la taille de l’antrum.
L’Ovulation
L’ovulation est la libération d’un ou de plusieurs gamètes femelles (au stade ovocytes II) aptes à être fécondés, après rupture d’un ou de plusieurs follicules pré-ovulatoires.
Après l’ovulation, les corps Jaunes se forment; c’est un organite qui correspond à une transformation morphologique et fonctionnelle du follicule après libération de l’ovocyte. On distingue trois phases dans l’évolution du corps jaune :
¾ la lutéogenèse, ou phase de croissance;
¾ la lutéotrophie, ou phase de maintien ou de fonctionnement du corps jaune, qui est la phase pendant laquelle le corps jaune maintien son développement et son activité endocrinienne;
¾ la lutéolyse, avec le corps jaune qui régresse rapidement, mais reste cependant présent pendant plusieurs semaines, sous la forme d’un organite de petite taille.
La Fonction endocrine de l’ovaire
Les Hormones ovariennes
L’ovaire produit principalement trois catégories d’hormones :
¾ les oestrogènes sécrétés par les cellules folliculaires, en particulier les cellules de la Granulosa et de la Thèque interne. Les principales Hormones oestrogéniques d’origine ovarienne sont l’oestradiol et la folliculine (Oestrone).
¾ les progestagènes dont la principale est la progestérone sécrétée par les cellules lutéales du corps Jaune.
¾ l’inhibine d’origine folliculaire.
La cinétique de sécrétion de ces hormones est très variable. Cette grande variabilité est fonction du stade physiologique de la femelle. Les pics oestrogéniques s’observent le jour des Chaleurs; la concentration de progestérone atteint un maximum en milieu de cycle pour chuter en fin de cycle.
Le Rôle des hormones ovariennes: le Cycle sexuel
Définition et durée du cycle sexuel
Le cycle sexuel est l’ensemble des modifications au niveau de l’ovaire et du comportement de la femelle, qui se succèdent du début d’un oestrus au début de l’oestrus suivant.
Chez tous les mammifères, l’appareil génital femelle présente des modifications morphologiques et physiologiques au cours et pendant toute la durée de l’activité sexuelle. Ces modifications se produisent toujours dans le même ordre, et reviennent à intervalles périodiques, suivant un rythme bien défini pour chaque espèce; elles commencent au moment de la puberté, se poursuivent tout au long de la vie génitale, sont interrompues momentanément lors de la gestation, et définitivement à la ménaupose (DERIVAUX, 1971).
Lorsqu’on prend comme repère l’oestrus, on parle de cycle oestral ou oestrien.
La durée du cycle sexuel est assez caractéristique de l’espèce, mais comporte cependant des variations individuelles notables, ce qui peut rendre difficile la prévision des retours en Chaleurs. Le cycle sexuel dure 20 à 23 jours chez la vache, avec une moyenne de 21 jours chez les pluripares et de 20 jours chez les génisses. (BONNES et al., S.d).
La durée de l’Oestrus présente des variations entre espèces et des variations individuelles intra spécifiques. Elle est de 18 à 36 heures en moyenne. Cette durée est très brève chez la vache, soit environ 13 à 23 heures (CISSE, 1991); chez les Ndama, elle est de 10 heures (DIOP, 1998). Comme il est rapporté pour d’autres races (PLASSE et al., 1970), la durée de l’oestrus naturel ou induit par l’injection de prostaglandines est équivalente.
Le cycle sexuel de la vache peut être subdivisé en trois composantes (THIBIER, 1976):
¾ Cellulaire;
¾ Comportementale;
¾ Hormonale.
Ces différents éléments sont interdépendants entre eux, et la résultante de leur interaction aboutit à la régulation du cycle sexuel.
Composante cellulaire du Cycle Sexuel
Le cycle sexuel s’articule autour de variations morphologiques ovariennes. Celles-ci se caractérisent par la succession d’une phase folliculaire (croissance brutale, terminale et permissive d’un ou plusieurs follicules) conduisant à l’ovulation, et d’une phase lutéale (croissance, développement et régression du corps jaune) (THIBIER, 1976).
D’après VERSSAIRE (1977), deux phases caractérisent la composante cellulaire du cycle sexuel chez la vache :
¾ la phase Folliculaire ou Pré-ovulatoire;
¾ la phase Lutéale.
La Phase Folliculaire
Cette phase est représentée par deux étapes qui se suivent de façon chronologique :
¾ Le Pro-Oestrus qui correspond à la période de croissance accéléré d’un ou de plusieurs follicules à antrum destinés à ovuler; cette croissance se fait par un phénomène de vagues folliculaires (BA, 1989). C’est également pendant cette période que se termine la lyse du corps jaune du cycle précédent. Cette étape a une durée d’environ trois (3) à quatre (4) jours chez la vache (KAMARA, 1985).
¾ L’oestrus qui est la période de maturation folliculaire, suivie de l’ovulation par rupture du follicule mûr. Il se caractérise par des modifications comportementales dites chaleurs ou Rut, période où la femelle accepte le chevauchement par le mâle ou par ses congénères. Généralement, l’ovulation se produit pendant l’oestrus, sauf chez la vache où elle est postérieure aux Chaleurs.
La phase Lutéale
Cette phase comporte également deux étapes :
¾ Le Mét-Oestrus ou post-oestrus qui est la période de formation du corps jaune ; cette étape a une dure d’environ quatre (4) jours chez la vache.
¾ Le Dioestrus qui correspond à la période de croissance, de fonctionnement et de début de régression du Corps Jaune, avec l’installation d’un état pré-gravide par le biais de la sécrétion de progestérone. Cette étape a une durée d’environ dix (10) à quinze (15) jours.
Dans certains cas, cette étape peut se prolonger, et on parle d’Anoestrus ou de Repos Sexuel. L’anoestrus ou absence de chaleurs est une période d’une durée au moins égale à celle d’un cycle, au cours de laquelle aucun comportement d’oestrus n’est manifesté. Elle ne doit pas être confondue avec la période du cycle oestrien situé entre la fin des Chaleurs et le début des Chaleurs suivantes; cette période au cours de laquelle rien ne se produit sur le plan comportemental de l’animal peut être appelée inter-Oestrus.
Cet anoestrus peut être :
¾ saisonnier, lié à la période favorable au disponible fourrager;
¾ de gestation, lié au repos sexuel qui précède la mise bas;
¾ ou de lactation, lié à l’intensité de traite ou à la présence du veau.
Chez la vache, seuls les anoestrus saisonniers et de gestation peuvent être observés. (BONNES et al., S.d
A la fin de ce repos sexuel, un nouveau cycle reprend par le pro-oestrus.
Composante Comportementale du Cycle sexuel
Elle est très intense au moment de l’oestrus. Elle traduit les relations existant entre l’activité sexuelle de la vache et son activité ovarienne, et sert le plus souvent de repère pour la détermination de la durée du cycle. (LY, 1992).
¾ sur le plan Anatomo-clinique, l’ovaire se ramollit, le follicule mûr est perceptible par palpation transrectale. La trompe utérine est le siège de fortes contractions et de fortes congestions; son épithélium présente des cellules hautes et ciliées. La muqueuse utérine est tuméfiée. Le col est affaissé, avec une sécrétion abondante de glaire cervicale. Le vagin est dilaté dans la portion antérieure, et présente une grande élasticité. La vulve est transparente et oedémateuse.
¾ sur le plan psychique, (DIOP et al., 1998) rapportent que la vache s’agite. On note une diminution de l’appétit, et l’animal est inquiet. Il effectue des mouvements dans tous les sens, et présente une légère hyperthermie. La vache dévie la queue vers la gauche, et la vulve est nettement perceptible.
Le signe le plus caractéristique est l’acceptation du chevauchement par le mâle ou par les autres congénères.
Chez la vache Ndama, les Chaleurs sont le plus souvent silencieuses (RALAMBOFIRINGA, 1978).
Composante Hormonale du Cycle sexuel
Au cours du cycle sexuel, les concentrations dans le sang des hormones ovariennes (oestrogènes et progestérone) et hypophysaires (FSH et LH) subissent des variations caractéristiques.
¾ la phase folliculaire est caractérisée par la sécrétion de quantités croissantes de FSH (1 ng/ml à 4 ng/ml ou pic) qui conduit à la croissance Folliculaire. Au cours de cette croissance, les follicules sécrètent des Oestrogènes 1 à 12 pg/l au moment de l’oestrus) qui provoquent l’oestrus et la décharge de LH. La décharge de LH provoque l’Ovulation dans un délai de 12 heures après l’Oestrus (17,5 à 20 ng/ml, puis chute à 2 ng/ml).
¾ pendant la phase lutéale, le follicule éclaté se transforme en corps jaune qui sécrète de la progestérone (2,5 à 7 ng/ml au 7e jour) sous l’effet de la LH hypophysaire.
Si la vache n’est pas fécondée au 17e jour du cycle, l’utérus produit la PGF2α qui provoque l’arrêt de la sécrétion de la Progestérone, suite à une dégénérescence du corps jaune. La chute de la progestérone permet le démarrage d’un nouveau cycle sexuel.
Le Contrôle Hormonal du cycle sexuel: déterminisme de la cyclicité
Les étapes de la reproduction sont contrôlés par un enchaînement complexe et imparfaitement élucidé d’actions combinées du système nerveux central, des nombreuses cellules réceptrices, des cellules cibles et d’un certain nombre d’hormones (BROERS, 1995).
Les structures (ou organes) qui interviennent sont essentiellement l’hypothalamus, l’hypophyse et l’ovaire.
Les hormones hypophysaires et ovariennes interagissent les unes avec les autres. L’hypothalamus supervise cette interaction, assurant ainsi le contrôle du cycle sexuel. (Figure 2)
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Table des matières
Introduction générale
Premier Partie : Conduite et gestion de la reproduction chez la vache : détection des chaleurs et insémination artificielle
Chapitre I : Physiologie de la Reproduction
I.1 – Anatomie de l’Appareil Génital de la vache
I.1.1 – Partie Glandulaire ou Ovaires
I.1.2 – Le Tractus Génital
I.1.2.1 – Partie Gestative
I.1.2.1.1 – Les Oviductes (ou Trompes utérines/Salpinx)
I.1.2.1.2 – L’Utérus ou Matrice
I.1.2.2 – Portion Copulatrice
I.1.2.2.1 – Le Vagin
I.1.2.2.2 – Le Vestibule vaginal
I.1.2.2.3 – La Vulve
I.2 – Physiologie de l’activité sexuelle de la vache non gravide
I.2.1 – Mise en place de la fonction sexuelle
I.2.1.1 – Définition de la Puberté
I.2.1.2 – Déterminisme et Conséquences de la Puberté
I.2.1.3 – Conditions d’apparition de la puberté
I.2.1.3.1 – Influence du niveau alimentaire
I.2.1.3.2 – Influence de l’environnement
I.2.1.3.3 – Rôle des facteurs Génétiques
I.2.2 – La Fonction germinale de l’ovaire
I.2.2.1 – L’Ovogenèse
I.2.2.2 – La Folliculogenèse
I.2.2.3 – L’Ovulation
I.2.3 – La Fonction endocrine de l’ovaire
I.2.3.1 – Les Hormones ovariennes
I.2.3.2 – Le Rôle des hormones ovariennes: le Cycle sexuel
I.2.3.2.1 – Définition et durée du cycle sexuel
I.2.3.2.2 – Composante cellulaire du Cycle Sexuel
I.2.3.2.2.1 – La Phase Folliculaire
I.2.3.2.2.2 – La phase Lutéale
I.2.3.2.2.3 – Composante Comportementale du Cycle sexuel
I.2.3.2.2.4 – Composante Hormonale du Cycle sexuel
I.2.4 – Le Contrôle Hormonal du cycle sexuel: déterminisme de la cyclicité
I.2.4.1 – Rôle du complexe hypothalamo-hypophysaire
I.2.4.2 – Rôle des hormones ovariennes
I.2.4.2.1 – Les Oestrogènes
I.2.4.2.2 – La Progestérone
I.2.4.2.3 – L’Inhibine
I.2.4.3 – Rôle de l’utérus
I.3 – Physiologie de l’activité sexuelle de la vache gravide
I.3.1 – La Fécondation
I.3.2 – La Gestation
I.3.2.1 – Durée de la Gestation
I.3.2.2 – Régulation hormonale de la gestation
I.3.3 – La Parturition
I.3.4 – Le Post-Partum
Chapitre II : Gestion de la Reproduction chez la vache
II.1 – La Détection des Chaleurs chez les Vaches
II.1.1 – Moment d’Observation des Chaleurs
II.1.2 – Signes de Reconnaissance des Chaleurs
II.1.2.1 – Le Signe Primaire ou Majeur
II.1.2.2 – Les Signes Secondaires ou Mineurs
II.1.2.3 – Outils d’Aide à la Détection des Chaleurs
II.1.2.3.1 – Les Révélateurs de Chevauchements
II.1.2.3.1.1 – Application de Peinture
II.1.2.3.1.2 – Les systèmes « Kamar et Oesterflash
II.1.2.3.1.3 – Les détecteurs électroniques de chevauchement
II.1.2.3.2 – Les licols marqueurs
II.1.2.3.3 – Les méthodes annexes de détection
II.2 – Induction et Synchronisation des Chaleurs
II.2.1 – Définition et Intérêts
II.2.1.1 – Définition
II.2.1.2 – Intérêts
II.2.2 – Les Techniques ou Méthodes
II.2.2.1 – Méthode Chirurgicale
II.2.2.2 – Méthode médicale
II.2.2.2.1 – Hormones utilisées
II.2.2.2.1.1 – Les Oestrogènes
II.2.2.2.1.2 – Les Progestagènes
II.2.2.2.1.3 – Les Prostaglandines
II.2.2.2.1.4 – Les Gonadotrophines
II.2.2.2.2 – Techniques utilisées chez la vache
II.2.2.2.2.1 – La Spirale Vaginale (PRID (ND))
II.2.2.2.3 – L’Implant sous-Cutané (CRESTAR (ND))
II.3 – L’Insémination Artificielle Bovine
II.3.1 – Définition
II.3.2 – Historique
II.3.3 – Intérêts de l’Insémination Artificielle
II.3.3.1 – Intérêt Sanitaire
II.3.3.2 – Intérêts Technique et Pratique
II.3.3.3 – Intérêt Génétique
II.3.3.4 – Intérêt Economique
II.3.4 – Technique d’Insémination Artificielle
II.3.4.1 – Moment d’IA
II.3.4.2 – Le lieu de dépôt de la semence
II.3.4.3 – Procédé d’IA
II.3.4.4 – Evaluation de l’IA
II.3.4.4.1 – Moyens Cliniques
II.3.4.4.1.1 – Détermination du non-retour en chaleurs
II.3.4.4.1.2 – La Palpation Transrectale
II.3.4.4.1.3 – Moyens Paracliniques
II.3.4.4.1.4 – La Méthode des Ultra-Sons
II.3.4.4.1.4.1 – Effet Doppler
II.3.4.4.1.4.2 – Echographie
II.3.4.4.1.5 – Méthodes Biochimiques
II.3.4.4.1.5.1 – Le Dosage de La Progestérone
II.3.4.4.1.5.2 – Le Dosage des protéines Foetales
Deuxième Partie : Insémination Artificielle sur Chaleurs Naturelles chez la Vache
Chapitre I : Matériel et Méthodes
I.1 – Les Zones d’Etudes (carte 1)
I.1.1 – Le Bassin Arachidier
I.1.1.1 – Présentation de la Région de Fatick
I.1.1.1.1 – La Situation Géographique (Localisation et situation administrative)
I.1.1.1.2 – Le Milieu Physique
I.1.1.1.2.1 – .Le Climat
I.1.1.1.2.2 – . La Végétation
I.1.1.1.2.3 – . Les Cours d’eau
I.1.1.1.2.4 – .La Pédologie
I.1.1.1.2.5 – L’Activité Socio-Economique
I.1.1.2 – . Présentation de la Région de Kaolack
I.1.1.2.1 – La Situation Géographique (Localisation et situation administrative)
I.1.1.2.1.1 – Le Milieu Physique
I.1.1.2.1.2 – . Le Climat
I.1.1.2.1.3 – La Végétation
I.1.1.2.1.4 – Les Cours d’eau
I.1.1.2.1.5 – La Pédologie
I.1.1.2.1.6 – L’Activité Socio-Economique
I.1.2 – La Zone Sylvo-Pastorale
I.1.2.1 – . Présentation de la Région de Louga
I.1.2.1.1 – Situation Géographique (Localisation et situation Administrative)
I.1.2.1.2 – .Le Milieu Physique
I.1.2.1.2.1 – . Le Climat
I.1.2.1.2.2 – La Végétation
I.1.2.1.2.3 – Les Cours d’eau
I.1.2.1.2.3.1 – . Les Eaux de surface
I.1.2.1.2.3.2 – . Les Eaux Souterraines
I.1.2.1.2.4 – . La Pédologie
I.1.2.1.2.5 – Activité Socio-Economique
I.2 – Les Structures impliquées dans le Programme d’IA
I.2.1 – Le PAPEL
I.2.2 – Le FNRAA
I.2.3 – L’EISMV de Dakar
I.2.4 – L’ISRA
I.2.5 – L’ASEM
I.2.6 – Le Cabinet Vétérinaire AFRIVET
I.3 – Matériel
I.3.1 – Matériel Animal
I.3.1.1 – Echantillonnage
I.3.1.1.1 – Contexte
I.3.1.1.2 – Nombre
I.3.1.1.3 – Répartition
I.3.1.2 – . Races utilisées
I.3.1.3 – Conduite des animaux
I.3.2 – Plateau Technique
I.3.2.1 – Matériel pour Formation des Eleveurs sélectionnés
I.3.2.2 – Matériel pour les traitements médicaux des animaux
I.3.2.3 – . Matériel pour la synchronisation des Chaleurs
I.3.2.4 – . Matériel pour l’IA
I.4 – Méthodes
I.4.1 – Les Actions préliminaires
I.4.1.1 – La réalisation des fiches d’enquêtes et de collecte des données sur le terrain
I.4.1.2 – La Sensibilisation des éleveurs et Présélection des animaux
I.4.1.3 – La Sélection finale des animaux et Constitution des Lots dans chaque Zone
I.4.1.4 – La Formation des Eleveurs Sélectionnés
I.4.1.4.1 – Le module sur la détection des chaleurs naturelles chez la vache
I.4.1.4.2 – Le Module Alimentation de la vache laitière et Conduite du troupeau
I.4.1.4.3 – La Projection vidéo
I.4.1.5 – Le Choix des Inséminateurs
I.4.2 – Les Modalités de l’IA
I.4.2.1 – La Détection des Chaleurs Naturelles par les Eleveurs
I.4.2.2 – La Synchronisation des Chaleurs par les Inséminateurs (photos 7)
I.4.2.3 – L’IA proprement dite
I.4.2.3.1 – L’Appréciation quantitative et qualitative de la semence
I.4.2.3.2 – La Décongélation de la semence
I.4.2.3.2.1 – La Mise en place de la semence (photo 9)
I.4.3 – Méthode d’analyse Statistique des résultats
Chapitre II : Résultats
II.1 – Présentation des critères traditionnels utilisés par les éleveurs pour la détection des chaleurs et des résultats de la formation des éleveurs
II.1.1 – Présentation des critères traditionnels utilisés par les éleveurs pour la détection des chaleurs
II.1.2 – Résultats de la formation des éleveurs
II.1.2.1 – La détection des chaleurs chez les vaches à inséminer sur chaleurs naturelles
II.1.2.2 – La relation entre l’éleveur et l’inséminateur
II.1.2.3 – La conduite et le suivi des animaux à inséminer sur chaleurs naturelles et induites, et l’état de l’élevage
II.2 – Résultats de l’IA
II.2.1 – Résultats de l’IA sur les chaleurs induites
II.2.1.1 – Les taux de synchronisation et d’insémination
II.2.1.1.1 – Influence de la NEC sur les taux de synchronisation et d’insémination
II.2.1.1.2 – Influence du post-partum, de l’âge et du nombre de lactation sur les taux de synchronisation et d’insémination
II.2.1.1.3 – Influence du statut ovarien sur les taux de synchronisation et d’insémination
II.2.1.1.4 – Relation délai moyen retrait des spirales vaginales et moment et heure d’insémination
II.2.1.2 – Taux de gestation
II.2.1.2.1 – Taux de gestation et NEC
II.2.1.2.2 – Taux de gestation et inséminateur
II.2.1.2.3 – Taux de gestation et moment d’insémination
II.2.2 – Résultats de l’IA sur les Chaleurs Naturelles
II.2.2.1 – Les taux de détection des chaleurs et d’insémination
II.2.2.2 – Influence de la NEC sur les taux de détection des chaleurs et d’insémination
II.2.2.2.1 – Influence du post-partum, de l’âge et du nombre de lactation des animaux sur les taux de détection des chaleurs et d’insémination
II.2.2.2.2 – Influence du statut ovarien sur les taux de taux de détection des chaleurs et d’insémination
II.2.2.2.3 – Relation détection des chaleurs et appels de l’inséminateur par l’éleveur
II.2.2.3 – Taux de gestation
II.2.2.3.1 – Taux de gestation et note d’état corporel
II.2.2.3.2 – Taux de gestation et inséminateur
II.2.2.3.3 – Taux de gestation et moment d’insémination
II.2.2.3.4 – Taux de gestation et zone de l’insémination
II.3 – Comparaison des Résultats de l’IA sur Chaleurs Naturelles et sur Chaleurs Induites
II.3.1 – Comparaison taux de synchronisation ou de détection des chaleurs et d’insémination
II.3.2 – Comparaison du taux global de gestation
Chapitre III : Discussion
III.1 – Considérations générales
III.2 – Facteurs de variation de la réussite de l’IA sur chaleurs naturelles
III.2.1 – Facteurs alimentaires
III.2.2 – Facteur éleveur
III.2.3 – Facteurs liés à la pratique de l’insémination
III.2.3.1 – Le statut ovarien des animaux
III.2.3.2 – Le moment et l’heure d’insémination
III.2.3.3 – Qualification de l’inséminateur
III.2.4 – Les facteurs climatiques
Chapitre IV : Recommandations
Conclusion générale
Références bibliographiques
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