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GENERALITES SUR LA REACTION INFLAMMATOIRE
Physiopathologie
Définition [13 ; 23]
La réaction inflammatoire est une réponse des tissus vivants vascularisés à une agression d’origine endogène ou exogène. C’est une composante de la réponse immune. Elle est impliquée dans l’immunité naturelle face à un signal de danger. Elle favorise ainsi l’induction de la réponse immune spécifique.
La réaction inflammatoire est le plus souvent un processus bénéfique : elle permet d’éliminer l’agent pathogène et de réparer les tissus lésés.
Elle peut être délétère si elle conduit à une inflammation chronique sans élimination des causes néfastes sous-jacentes.
L’inflammation se caractérise par quatre signes symptomatiques : une rougeur, un œdème, une chaleur et une douleur.
Les causes de l’inflammation [11]
L’inflammation peut être causée par des agressions physiques (comme le chaud, le froid, les radiations ionisantes), chimiques (occasionnées par des composés acides ou basiques, des toxines bactériennes). Elle peut être les conséquences d’une infection (en rapport avec la présence de bactéries, de virus, de parasites ou de champignons). Elle peut être provoquée par une allergie telle qu’un antibiotique. Elle est enfin souvent la conséquence d’une nécrose tissulaire, elle-même secondaire à de nombreuses causes, par exemple une occlusion artérielle.
Les différentes phases de l’inflammation [21 ; 35]
L’agression due à un agent pathogène par exemple déclenchant la réaction inflammatoire, se déroule en trois phases successives :
– La phase vasculaire,
– La phase cellulaire,
– La phase de cicatrisation.
¾ La phase vasculaire
C’est une phase précoce déclenchée par le contact de l’agent causal avec l’organisme. Elle se caractérise par une vasoconstriction fugace transitoire, limitée aux artérioles et suivie d’une vasodilatation importante durable due à la libération de substances vasoactives comme l’histamine, les kinines, les substances P, les prostaglandines, la sérotonine.
Elle a pour conséquence une augmentation de la pression hydrostatique des capillaires d’où l’apparition d’œdème et d’une néoformation qui résulte de l’activation du facteur plaquettaire de la coagulation du facteur XII.
Aussi, on note dans cette phase une augmentation de la perméabilité vasculaire qui est à l’origine de l’exsudation des cellules et du plasma vers les tissus.
¾ La phase cellulaire
Elle est caractérisée par une migration des leucocytes vers le foyer inflammatoire : c’est la diapédèse leucocytaire guidée par un chimiotactisme activé par le facteur V complémentaire (C5a).
Le foyer inflammatoire est rapidement infiltré par un grand nombre de cellules à savoir les polynucléaires neutrophiles, les macrophages, les monocytes, les lymphocytes et les plaquettes. C’est une infiltration cellulaire qui est à l’origine du granulome.
Les polynucléaires neutrophiles phagocytent l’agent pathogène et induisent la stimulation des enzymes membranaires (phospholipase A2) et cytosoliques (cyclo-oxygénase et lipo-oxygénase) de la cascade arachidonique.
¾ La phase de cicatrisation
Elle peut être divisée en deux phases: la détersion et la réparation ou cicatrisation.
9 La détersion : elle consiste à éliminer l’agent pathogène, c’est-à-dire le circonscrire et elle peut se faire selon plusieurs modalités:
– la détersion interne : par phagocytose, pinocytose,
– la détersion externe : par élimination des substances non résorbantes par les orifices naturels ou par abcès puis fistulisation,
– la détersion chirurgicale : par incision de l’abcès.
9 La réparation ou cicatrisation
Les fibroblastes prolifèrent et synthétisent les fibres de collagène des mycopolysaccharides des glucoprotéines et des glucosaminoglucanes qui vont constituer la trame du nouveau tissu conjonctif.
Parallèlement, les capillaires et les vaisseaux lymphatiques se développent pour reconstituer un nouveau tissu. Une bonne cicatrisation dépend généralement d’une bonne détersion.
les cellules de l’inflammation [14 ; 17 ; 23]
Les cellules de l’inflammation comprennent:
– les lymphocytes,
– les cellules phagocytaires ou phagocytes polynucléaires, (principalement les neutrophiles et les monocytes-macrophages),
– les mastocytes et les polynucléaires basophiles,
– les fibroblastes.
Les lymphocytes
Les lymphocytes, cellules de l’immunité spécifique, humorale et cellulaire, sont de type B (CD20), T (CD3), ou ni B ni T (NK pour naturel killer). Parmi les lymphocytes T, certains sont dits auxiliaires ou helper (CD4), d’autres sont cytotoxiques (CD8). Les lymphocytes sont à la mémoire de l’immunité acquise et servent à son expression.
Les lymphocytes NK peuvent avoir une relation cytotoxique.
Les mastocytes et les polynucléaires basophiles
Les mastocytes et les polynucléaires basophiles comportent des granulations qui contiennent des médiateurs chimiques de l’inflammation, en particulier l’histamine et l’héparine.
Les cellules phagocytaires
Les cellules phagocytaires ou phagocytes comprennent les polynucléaires neutrophiles, les cellules du système, les monocytes-macrophages (incluant les histiocytes résidents, c’est à dire les macrophages des tissus comme les cellules alvéolaires du poumon ou les cellules de kupffer du foie). La cellule micro-gliale est le macrophage du cerveau.
Les fibroblastes
Ce sont des cellules qui produisent le collagène. Elles jouent un rôle important dans la cicatrisation.
La phagocytose [11]
La phagocytose comprend plusieurs stades :
– l’adhérence, c’est l’adhésion de la cellule à la particule à phagocyter. Le processus est parfois favorisé par des opsonines.
– l’englobement correspond au moment ou les pseudopodes entourent la particule à phagocyter. Leur fusion est responsable de l’apparition d’une vacuole de phagocytose ou phagosome.
– la digestion, c’est la fusion du phagosome et de lysosome qui est à l’origine du phagolysosome. La destruction des bactéries dans le polynucléaire neutrophile est en partie due à la synthèse du péroxyde d’hydrogène (H2O2).
II – Les Médiateurs Chimiques de L’inflammation [8 ; 15 ; 21] Le déclenchement et la poursuite de l’inflammation, sa diffusion à partir du foyer initial, font appel à des facteurs qui sont synthétisés localement ou qui sont à l’état de précurseurs inactifs dans la circulation.
Les facteurs d’origines locales
Amines vasoactives (Histamine et Sérotonine)
Elles sont stockées dans les mastocytes, les polynucléaires basophiles, les plaquettes. Libérées dans l’espace extracellulaire, elles produisent une vasodilatation et une augmentation de la perméabilité vasculaire qui entraîne une congestion active et un œdème inflammatoire.
Prostaglandines et leucotriènes [15]
Les prostaglandines et les leucotriènes sont des acides gras comportant 20 atomes de carbones, synthétisés dans les membranes à partir de l’acide arachidonique.
Cet acide arachidonique est libéré à partir des phospholipides membranaires sous l’effet de la phospholipase A2 par deux voies principales :
– une voie sous l’action de la lipo-oxygénase, transforme l’acide arachidonique en hydroxypéroxydes puis en leucotriènes.
– l’autre voie sous l’action de la cyclo-oxygénase (Cox1, Cox2), permet l’obtention des endopéroxydes, précurseurs de la formation des prostaglandines (PGE2 ; PGF2), de thromboxane A2 et de prostacycline (PGI2) (figure 3).
Les cytokines [10]
Les cytokines sont des peptides ou des protéines produites par de nombreuses cellules, parmi lesquelles les lymphocytes (principalement T) et les monocytes-macrophages.
Elles peuvent être considérées comme des hormones produites par des cellules isolées plutôt que par des glandes. Comme les hormones, elles agissent par l’intermédiaire de récepteurs membranaires sur la cellule qui les produit (effet autocrine), sur des cellules proches (effet paracrine), et sur des cellules situées a distance (effet endocrine).
Certaines cytokines sont pro-inflammatoires (interleukine 1ou IL1, IL6 et tumor necrosis factors ou TNF-alpha) ; d’autres au contraire sont anti-inflammatoires (IL4, IL10, IL13).
Les cytokines ont de nombreux effets et parmi ceux-ci, nous en retiendrons 3 principaux :
– médiation de l’immunité naturelle : certaines cytokines favorisent
l’immunité naturelle (c’est-à-dire non spécifique) : c’est le cas des interférons qui provoquent l’apparition dans la cellule d’une activité antivirale non spécifique.
– régulation de l’activation, de la croissance et la différenciation des lymphocytes. Selon le type de l’activation lymphocytaire, l’inflammation met principalement en jeu l’immunité cellulaire ou au contraire la sécrétion d’anticorps. La réaction cellulaire est surtout marquée lorsque le pathogène est intracellulaire (virus, mycobactéries, certains parasites); la sécrétion d’anticorps, au contraire est importante lorsque l’agression fait intervenir des pathogènes extracellulaires (bactéries ou parasites).
– stimulation de l’hématopoïèse : certaines cytokines appelées colony stimulating factors ou CSF sont capables de stimuler spécifiquement la prolifération de différentes lignées hématopoïétiques, telles que les lignées produisant les polynucléaires ou les macrophages.
Molécules d’adhérence [8; 11]
Les cellules du foyer inflammatoire sont concentrées à l’endroit précis de l’organisme où l’agression a eu lieu. Ce ciblage est le résultat d’interactions complexes de molécules d’adhérence et de ligands cellulaires, qui, par exemple augmentent ou diminuent l’adhérence au tissu interstitiel. Les vaisseaux du foyer expriment des molécules d’adhérence pour retenir les cellules sanguines qui portent le ligand correspondant.
Facteur d’activation plaquettaire (PAF) [5]
Il est libéré par les phospholipides membranaires de nombreuses cellules; c’est un puissant activateur plaquettaire.
Les radicaux libres oxygénés [16]
Ils sont essentiellement représentés par l’oxygène moléculaire (O2-) et l’hydroxyle (OH). Ces radicaux libres sont produits lors de l’augmentation de la consommation d’oxygène secondaire à la phagocytose par les neutrophiles.
Ils contribuent en grande partie à la lyse des bactéries phagocytées en cas d’infection. A l’inverse, ils ont une action délétère au niveau cellulaire et sont responsables d’une désorganisation des membranes, d’une cytolyse, d’une dépolymérisation des mycopolysaccharides tels que l’acide hyaluronique du liquide synovial et des protéoglycanes du cartilage articulaire.
Les facteurs d’origine circulants [11]
Les médiateurs circulants ne sont actifs qu’à la suite d’une cascade de réaction qui permet d’en réguler la production.
Le système des kinines [8]
Les kinines proviennent du kininogéne activé par la kallikréine, elle-même issue du clivage de la prékallikréine circulante. Le facteur XII (Hageman) activé est l’une des molécules qui clive la prékallikréine. Les kinines sont de puissants vasodilatateurs. Elles augmentent la perméabilité vasculaire. La bradykinine qui est un médiateur de la douleur, est la plus importante des kinines (figure 4).
Le système du complément [8]
Elle regroupe un ensemble de protéines sériques (les facteurs du complément), dont l’activation s’effectue par des réactions de protéolyse en cascade.
Les facteurs sont numérotés (C1, C3, C5….). Une lettre minuscule est éventuellement associée pour décrire le fragment (exemple : C3a, C3b). Les fragments libérés ont des effets spécifiques, pour la plupart en rapport avec l’inflammation. Le système est activé par la réaction antigène-anticorps (c’est la voie classique), ou par divers composés provenant en particulier de microorganismes comme les bactéries (c’est la voie alterne).
Le système de la coagulation / fibrinolyse [8 ; 12]
Le système de la coagulation aboutit au caillot (qui peut être obtenu a partir du plasma in vivo, in vitro, ou après la mort). Le résultat de la coagulation, lorsqu’elle est produite in vivo dans une cavité vasculaire ou cardiaque, porte le nom de thrombus.
Au cours de la coagulation, une cascade de protéolyse aboutit à la production de fibrine à partir du fibrinogène. La fibrine est un composé important de l’exsudat inflammatoire ; elle limite le foyer inflammatoire et constitue une matrice sur laquelle les cellules inflammatoires peuvent se déplacer.
La coagulation est en équilibre avec la fibrinolyse : la plasmine dégrade la fibrine en produisant des fragments appelés produits de dégradation de la fibrine (PDF). Les PDF sont abondants lors de la coagulation intra vasculaire disséminée au cours de laquelle, une coagulation se produit de façon incontrôlée dans les capillaires de l’organisme par exemple sous l’action de toxines bactériennes. C’est l’activation du facteur XII par des fragments tissulaires altérés qui constitue le mode de déclenchement habituel de la coagulation au cours de l’inflammation.
Les enzymes lysosomiales [11]
Parmi ces enzymes, on peut citer l’élastase, la collagénase, le cartilage et la membrane basale. Leur action peut être directe (protéolyse) ou indirecte (production de substances bio actives).
Les complications de la réaction inflammatoire
La réaction inflammatoire peut se compliquer de nécrose ou de suppuration au lieu d’évoluer vers la cicatrisation.
Aussi, dans certains circonstances comme la persistance de l’agent causal, la faiblesse immunitaire (par exemple : le SIDA) ou l’existence d’antigènes endogènes, on peut observer le passage vers la chronicité avec la constitution d’un granulome.
Dans certains cas, pour des raisons non élucidées, la stimulation de la reconstruction persiste anormalement ; on assiste alors à l’édification d’un tissu fibreux post inflammatoire chronique : c’est le cas de divers types de scléroses comme les cirrhoses hépatiques et l’athérome.
Si le foyer inflammatoire est articulaire, il y a en plus une perte de fonction : c’est le cas du rhumatisme articulaire aigu (RAA), de la spondylarthrite ankylosante [27 ; 37 ; 40].
Traitement [9 ; 41]
L’inflammation existe dans de nombreuses maladies, ce qui explique la large utilisation des médicaments anti-inflammatoires.
C’est en 1893, que HOFMAN isola l’acide acétyle salicylique (Aspirine®) ; et plus tard, la famille des AINS s’enrichit avec d’autres classes chimiques que sont : les pyrazolés, les proprionates, les fénamates, les oxicams qui sont doués pour la plupart de propriétés antipyrétiques et antalgiques. HENCH, entre temps, a prouvé que la cortisone possédait une action antipolyarthrite rhumatoïde. Les anti-inflammatoires sont des médicaments destinés à combattre l’inflammation sous toutes ses formes (aigue, chronique). Il existe deux grands groupes d’anti-inflammatoires.
– les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
– les anti-inflammatoire stéroïdiens (AIS)
De nouvelles stratégies thérapeutiques permettent à présent de mieux cibler les médiateurs impliqués dans l’inflammation.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens
Définition [9]
Les AINS sont des médicaments aux propriétés analgésiques, antipyrétiques et anti-inflammatoires. Ils constituent un groupe de composés hétérogènes du point de vue chimique qui ont en commun des actions thérapeutiques et des effets indésirables.
Cependant, on peut classer les AINS en différentes familles chimiques (tableau III et figure 5).
Présentation des anti-inflammatoires non stéroïdiens
Les AINS représentent une classe médicamenteuse hétérogène de substances qui réduisent ou suppriment les conséquences de la réaction inflammatoire. Ils sont prescrits dans un grand nombre d’affections mettant en jeu le processus inflammatoire (rhumatologie, stomatologie, traumatologie, ORL) [7].
Les AINS sont caractérisés par :
– le fait qu’ils sont des acides faibles liposolubles, fortement liés aux protéines plasmatiques,
– leur inhibition de la synthèse des prostaglandines,
– leurs actions anti-inflammatoire, antalgique et antipyrétique,
– leurs effets indésirables pratiquement communs en passant d’une molécule à une autre.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: RAPPELS BIBLIOGRAPHIQUES
A -GENERALITES SUR MITRAGYNA INERMIS
I -ETUDE BOTANIQUE
I–1 Place en systématique
I–2 Le port
I–3 Les feuilles
I–4 Les fleurs
I–5 Les fruits
II – HABITAT ET REPARTITION GEOGRAPHIQUE
III– EMPLOIS
IV– CHIMIE
V – PHARMACOLOGIE
VI – TOXICITE
B – GENERALITES SUR LA REACTION INFLAMMATOIRE
I – PHYSIOPATHOLOGIE
I – 1 Définition
I – 2 Les causes de l’inflammation
I – 3 Les différentes phases de l’inflammation
I – 2 – 1 La phase vasculaire
I – 2 –2 La phase cellulaire
I – 2 – 3 La phase de cicatrisation
I– 4 Les cellules de l’inflammation
I – 4 – 1 Les lymphocytes
I – 4 – 2 Les mastocytes et Polynucléaires
I – 4 – 4 Les fibroblastes
I –5 La phagocytose
II –LES MEDIATEURS CHIMIQUE DE L’INFLAMMATION
II – 1 Les facteurs d’origines locales
II – 2 Les facteurs d’origine circulants
III – LES COMPLICATIONS DE LA REACTION INFLAMMATOIRE
IV – TRAITEMENT
IV – 1 Les anti-inflammatoires non stéroïdiens
IV – 1 – 1 Définition
IV – 1 – 2 Présentation des anti-inflammatoires non stéroïdiens
IV – 1 – 3 Mécanisme d’action des anti-inflammatoires non stéroïdiens
IV – 1 – 4 Indications
IV – 1 – 5 Inconvénients
IV – 1 – 5 – 1 Effets secondaires
IV–1 – 5 – 2 Interactions médicamenteuses
IV – 1 – 6 Contre-indications
IV – 2 Les anti-inflammatoires stéroïdiens
IV – 2 – 1 Définition
IV – 2 – 2 Présentation
IV – 2 – 3 Mécanisme d’action des anti-inflammatoires stéroïdiens
IV – 2 – 4 Indications des anti-inflammatoires stéroïdiens
IV – 2 – 5 Les inconvénients
IV – 2 – 5 – 1 Effets secondaires
IV – 2 – 5 – 2 Interactions médicamenteuses
IV – 2 – 6 Contre-indications
IV – 3 Autres Anti-inflammatoires
V –LES MODELE D’ETUDE DE L’ACTIVITE ANTI-INFLAMMATOIRE
V – 1 Test de l’érythème cutané aux UV chez le cobaye
V – 2 Test de la perméabilité chez le lapin
V – 3 Test de granulome à la carragénine chez le rat
V – 4 Oedème de l’oreille de souris à l’huile de croton
V – 5 Arthrite à l’adjuvant de Freud
V – 6 Oedème à la carragénine selon Winter
DEUXIEME PARTIE : INHIBITION DE L’OEDEME AIGU DE LA PATTE DE RAT A LA CARRAGENINE
I – MATERIELS ET METHODES
I – 1 Matériels
I – 1 – 1 Matériel végétal
I – 1 – 2 Matériel animal
I – 1 – 3 Les réactifs
I – 2 Méthodes
I – 2 – 1 Méthode d’étude expérimentale : screening chimique
I – 2 – 1 – 1 Recherche des flavonoïdes
I – 2 – 1 – 2 Recherche des tanins
I – 2 – 1 – 3 Recherche des hétérosides anthracéniques
I – 2 – 1– 4 Recherche des saponosides
I – 2 – 1 – 5 Recherche des alcaloïdes
I – 2– 1 – 6 Recherche des hétérosides cardiotoniques
I –2– 1– 7 Séparation et identifiant des composants de l’extrait par CCM
I – 2 – 2 Méthode d’étude de l’activité anti-inflammatoire des feuilles de Mitragyna inermis
I – 2 – 2 – 1 Mode opératoire
I – 2 – 2 – 2 Protocole d’étude
I – 2 – 2 – 3 Analyse statistique
II– RESULTATS
II – 1 Résultats de la phytochimie
II – 1 – 1 Résultats des essais de colorations et de précipitations
II – 1 – 2 Résultat de la Chromatographie sur Couche Mince (CCM)
II – 2 Résultats de l’activité anti-inflammatoire de Mitragyna inermis
III – DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
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