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L’HTA en Afrique
Traditionnellement en Afrique, les maladies transmissibles et les conditions maternelles, périnatales et nutritionnelles ont représenté le plus lourd fardeau de morbidité et de mortalité. Ce fardeau se penche rapidement vers les maladies chroniques non transmissibles, et par extension, les maladies cardiovasculaires. Ce phénomène est ce que l’on appelle la «double charge morbide». Alors que le phénomène de tension artérielle élevée était pratiquement inconnu dans les sociétés africaines dans la première moitié du 20ème siècle, dans certains milieux en Afrique, plus de 40 % des adultes souffrent d’hypertension de nos jours. La prévalence de l’hypertension a sensiblement augmenté au cours des deux ou trois dernières décennies. En 2000, environ 80 millions d’adultes souffraient d’hypertension en Afrique subsaharienne et les prévisions fondées sur les données épidémiologiques actuelles suggèrent que le nombre atteindra 150 millions à 2025. Par ailleurs, des preuves existent selon lesquelles les complications liées à l’hypertension, et en particulier, les accidents cérébrovasculaires et l’insuffisance cardiaque, deviennent de plus en plus communes dans cette région. Ces tendances ont été fortement associées aux changements intervenus dans les modes de vie des individus autant que des sociétés, par exemple, l’accroissement de la consommation de tabac, la consommation immodérée d’alcool, une activité physique réduite et l’adoption d’habitudes alimentaires occidentales riches en sel, sucre raffiné et matières grasses néfastes à la santé [17].
Dans une enquête multicentrique prospective menée en Afrique [45], les auteurs situent les cardiopathies ischémiques au troisième rang de maladies cardio-vasculaires à raison d’un taux d’incidence de 3,17%. Les cardiopathies ischémiques prédominent chez l’homme 81,5%/18,5%. L’âge moyen est de 55,5 + 13,3 ans.
Les patients sont d’un niveau socio-économique moyen ou élevé dans 73,7% de cas et ont une activité physique faible ou moyenne dans 73%.
Une recherche épidémiologique de type cas témoins avec appariement (âge et sexe) [54] a montré que l’intellectuel noir africain serait un sujet plus exposé au risque de cardiopathie ischémique. L’urbanisation galopante est souvent accusée d’être à l’origine de l’accroissement du stress et de la dépression.
L’accident vasculaire cérébral occupe la 10è place. En effet, l’athérosclérose cérébrale est plus prévalante chez les noirs et les japonais que chez les caucasiens. Longo-Mbenza et coll. étudiant la relation entre la mortalité par AVC et le sexe, l’âge, l’ethnie, la classe sociale, la pression artérielle et autres facteurs ont montré que le sexe masculin, l’âge avancé, la classe sociale basse, la migration, l’HTA systolique, la tachycardie, sont des facteurs de risque d’augmentation de la mortalité par AVC [11,83].
L’HTA au Sénégal
Au Sénégal, en 2005, les maladies cardio-vasculaires représentaient la première cause de décès chez l’adulte selon les statistiques du Ministère de la santé.
En 2010, une étude réalisée à Saint-Louis au Sénégal retrouvait une prévalence élevée des facteurs de risque : 46% d’hypertension artérielle, 10% de diabète, 36,3% d’hypercholestérolémie, 23% d’obésité, 18,4% de tabagisme chez les hommes, 52,2% de sédentarité. Cette étude trouve également une prévalence significative de maladies cardio-vasculaires et insuffisance rénale [3]. En 2011, une étude menée dans la communauté rurale de Darou Mousty trouve une prévalence moindre des facteurs de risque, comparée à celle relevée dans la ville de Saint-Louis : 22,15% d’HTA, 6,4% d’obésité, de 2,8% de diabète [27].
Problématiques et objectifs
Problématiques
Formulation, Question de recherche, Intérêt de l’étude
Le travail intitulé «Contribution à la prise en charge des maladies chroniques en milieu rural : cas de l’hypertension artérielle dans la zone de Mérina Dakhar» cherchera à répondre aux questions suivantes :
o La prise en charge des Personnes atteintes de l’hypertension est-elle globale (psychologique, sociale, nutritionnelle, économique) dans la zone ?
o 2. Quelles sont les conditions des Personnes atteintes de l’hypertension; dans cette zone ?
o 3. Quels sont les besoins des Personnes atteintes de l’hypertension dans la zone en matière de la prise en charge ?
Objectifs
Général
Ce travail a pour objectif de contribuer à l’amélioration de la prise en charge des Personnes atteintes de l’hypertension en milieu rural en essayant de découvrir les entraves aux soins.
Spécifiques
A cet objectif global, nous avons accolé les objectifs spécifiques ci-dessous :
1. Expliquer et comprendre la situation des Personnes atteintes de l’hypertension dans la zone de Mérina Dakhar ;
2. Evaluer la situation de la prise en charge des Personnes atteintes de l’hypertension dans cette zone ;
3. Apprécier les conditions de vie des Personnes atteintes de l’hypertension dans la zone ;
4. Identifier les besoins des Personnes atteintes de l’hypertension dans la zone ;
Déterminants
Si l’hypertension artérielle est un facteur de risque distinct et reconnu d’accidents vasculaires cérébraux et de maladie coronaire, un certain nombre d’autres facteurs liés au mode de vie, à l’environnement et à l’hérédité ont été incriminés dans l’hypertension. Parmi ces facteurs, on peut retenir :
Facteurs non-modifiables
L’âge
L’âge a été retenu comme facteur de risque non modifiable dans les maladies cardio-vasculaires et particulièrement dans l’HTA [24,29].
Les différentes études montrent une augmentation de la PA avec l’âge. Au cours de la vie et cette élévation est continue pour la systolique tandis que la diastolique augmente jusqu’à 60 ans puis s’abaisse lentement [34, 40].
Des études contradictoires suggèrent que la pression artérielle (P.A) ainsi que la prévalence de l’HTA accroissent avec l’âge dans les sociétés industrialisées [2]. Mais d’autres par contre ne montrent que peu ou pas de variation avec l’âge [22,25,33].
Les populations primitives africaines et celles de la société rurale sont caractérisées par un mode de vie traditionnel sans acculturation où, la P.A augmenté peu ou pas avec l’âge et qu’il n’existe peu ou pas d’HTA [62,67].
Des études antérieures réalisées en Afrique de l’Est, du Sud, de l’Ouest et du centre notent l’augmentation de la P.A et de l’HTA avec l’âge [1, 8,65,83]. Dans les pays développés, le risque de décès par AVC et maladies coronaires est multiplié par trois à quatre fois dans chaque décade de sujets âgés de 45-74 ans [81].
Le Sexe
L’évolution de la PA avec l’âge varie selon le sexe. Dans les études transversales le niveau tensionnel des hommes de 15 à 65 ans est supérieur à celui des femmes, l’inverse étant vrai après cet âge [16].
En ce qui concerne la prévalence de l’HTA, le ratio homme/femme est égal à 1,3 pour l’HTA systo-diastolique avant 40 ans et varie peu avec l’âge. Par contre, l’HTA diastolique pure, 2,7 fois plus fréquente chez l’homme que chez la femme avant 40 ans, devient moins spécifiquement masculine après 60 ans, puisque le sex-ratio s’abaisse à 1,6.
L’HTA systolique pure est plus fréquente chez l’homme avant 40 ans avec un ratio homme/femme de 1,6. Après 60 ans l’inverse est observé, le ratio homme/femme s’abaissant à 0,8. Aucune étude n’a démontré la responsabilité de la ménopause, naturelle ou artificielle, dans cette évolution de la PA avec l’âge chez la femme [34].
L’hérédité
Les antécédents génétiques ont une influence sur le développement de l’hypertension artérielle. Si un membre de votre famille en fait, vous risquez d’en faire aussi, même si l’apparition de la maladie est souvent attribuable à des habitudes de vie communes, comme l’obésité ou la consommation d’alcool. Ainsi plusieurs études génétiques sont en cours, cependant aucune d’entre elles n’a encore apporté la preuve formelle de l’implication de ces facteurs [40,46,79]. Malgré tout, si un membre de votre famille souffre d’hypertension artérielle, assurez-vous de le dire à votre médecin.
Facteurs modifiables (environnementaux ou liés au mode de vie)
La consommation excessive de sel
La pression artérielle présente incontestablement une relation avec l’apport individuel en sel. Certaines populations primitives ne présentent pas de risque d’HTA à cause de leur faible consommation en sel [8].
L’abus d’alcool
Plusieurs études rétrospectives et prospectives dans le monde, ont fait état du rôle protecteur de l’alcoolisme modéré (1 à 3 verres de vin) dans les maladies cardio-vasculaires ainsi que dans les autres maladies comme le cancer [12,54].
En Afrique, Kacou et Monken supposent que les coronariens consomment plus d’alcool que les groupes témoins [9].
L’obésité
Toutes les études trouvent une forte corrélation entre l’index pondéral et le niveau tensionnel. Aux États-Unis entre 20 et 39 ans, le risque d’avoir une PAD supérieure à 95 mm Hg est 2,4 fois plus élevé chez les obèses. A l’inverse la prescription d’un régime hypocalorique chez des obèses hypertendus entraîne une baisse de tension même si la perte de poids est modérée [26].
Cette baisse est indépendante de la restriction sodée qui accompagne la restriction des apports caloriques, car elle a été observée à consommation de sel constante. Plusieurs mécanismes ont été mis en cause : réduction de l’hyperactivité adrénergique observée chez l’obèse, inhibition du système rénine-angiotensine, diminution du débit cardiaque et du volume d’éjection systolique [34]. Des études ont montré cependant que la répartition de tissu graisseux fournissait un meilleur reflet de risque de complications que le poids corporel [61,81]. Ainsi l’obésité centrale (androïde ou abdominale) donnait une valeur prédictive importante du risque d’infarctus du myocarde, d’affection coronarienne et de mort subite [31,69,81,82] chez l’homme et indépendamment du poids corporel. Cette association agirait par le biais de l’hyperinsulinisme et de l’insulinorésistance. Tandis que pour l’obésité de type périphérique ou gynoïde, le risque est celui de l’intolérance au glucose, du diabète sucré, de goutte et d’athérosclérose [81].
La sédentarité
Il parait difficile de lui attribuer un rôle indépendant dans les maladies cardio-vasculaires sans tenir compte des autres facteurs de risque qui lui sont souvent associés.
Des études épidémiologiques montrent la place de l’activité physique dans l’effet préventif vis-à-vis de la survenue des accidents coronariens en Afrique et dans le monde [9- 69]. Il s’avère que les coronariens africains marchent moins [9].
Le niveau socio-économique
L’HTA serait favorisée par le faible niveau économique, ainsi que certaines catégories professionnelles, notamment celles exposées au bruit [35].
Il apparaît que les sujets aisés sont plus souvent atteints par les maladies cardio-vasculaires que les sujets de niveau modeste en pays en voie de développement, ce qui est inversé dans les pays développés [42,61]. En Afrique noire, c’est la classe moyenne qui est la plus touchée.
Les facteurs psychosociaux et le stress
Le stress, paramètre peu mis en évidence dans les études épidémiologiques à cause de difficultés d’évaluation, est toutefois évalué à partir de plusieurs sortes d’événements et comportements tels que le surmenage professionnel, les soucis personnels et les autres changements de situation, pouvant être responsables de modifications biologiques qui favorisent la maladie ischémique: élévation de la pression artérielle, agrégation plaquettaire.
Certaines variables psycho-comportementales ont été étudiées pour leur rôle dans les maladies par athérosclérose.
Ainsi, des études ont montré que les coronariens avaient un comportement de type A (sujets toujours pressés, impatients, ambitieux) par excès d’influx sympathique au cœur (élévation de la fréquence cardiaque) et aux vaisseaux [9,44,50].
On pense qu’un individu confronté à deux cultures risque d’être mal adapté à l’une et à l’autre et qu’il peut en résulter un stress pouvant majorer le risque coronarien [9].
Le tabagisme
Qu’il soit actif ou passif, le tabagisme à la cigarette, intervient comme facteur de risque majeur et indépendant des artériopathies de membres et des maladies cardio-vasculaires [43,69].
Des études épidémiologiques ont montré une forte relation entre le tabac et les accidents myocardiques aigus (infarctus, mort subite) [39]. L’existence d’une réduction efficace des récidives d’accidents coronaires en cas d’arrêt de tabac (pratiquement de moitié) [53], et son gradient social important aux dépens des ouvriers [75].
En Afrique noire, dans une étude faite en Algérie, le tabagisme à la cigarette apparaît comme le premier facteur de risque (70%) de l’infarctus du myocarde avec une consommation de plus de 20 cigarettes/jour exclusivement par les hommes [47].
Le Cholestérol sanguin et dyslipidémie
De nombreuses études ont montré le rôle indiscutable du cholestérol plasmatique et de ses fractions dans les maladies cardio-vasculaires par athérosclérose [9,71].
Le rôle péjoratif de ses différentes fractions s’exprime selon qu’on a une augmentation du cholestérol-LDL, une diminution de HDL-cholestérol et un rapport cholestérol total/HDL-cholestérol > 4,5 [82]. Le risque lié aux triglycérides reste discutable [63]. Sauf dans certains groupes de population: diabétique et féminine avant la ménopause et dans certaines conditions telles que l’association à un taux bas de cholestérol et une anomalie de coagulation.
Le taux bas de HDL-cholestérol constitue en soi un facteur de risque indépendant de maladie coronaire [82].Certaines études ont montré cependant un gradient direct entre le taux de cholestérol et la classe sociale [82]. Les valeurs idéales recommandées sont triglycérides < 200 mg/dL; cholestérol total < 200 mg/dL; HDL-cholestérol > 35 mg/dL; cholestérol-LDL < 150 mg/dL [58].
La Consommation excessive de graisse
Les acides gras polyinsaturés (notamment l’acide linoléique) abaissent la PA, comme le démontrent plusieurs enquêtes nutritionnelles et études d’intervention [8,30].
Le rapport acide gras mono-insaturé/acide gras saturé constitue le meilleur indicateur de la rentabilité des maladies ischémiques.
Le diabète
La fréquence des maladies cardio-vasculaires paraît en plus nette augmentation depuis des siècles chez les diabétiques que dans la population générale. On sait cependant que c’est par le biais d’hyperinsulinisme et de l’insulinorésistance qu’apparaissent les maladies cardio-vasculaires (coronaropathie, HTA, cardiopathie diabétique) [53].
Chez les coronariens africains, le diabète est souvent associé à d’autres facteurs de risque athérogène tels que l’HTA, l’hypercholestérolémie, le tabagisme, l’hyperglycémie et la sédentarité [61,63,76].
L a Migration
La migration, un des phénomènes courants de la société en voie de développement, a été incriminé indirectement dans la genèse des maladies cardio-vasculaires comme facteur de risque environnemental [65]. En effet, la population rurale qui rue vers le milieu urbain, se voit obliger de changer son comportement et ses habitudes alimentaires par le biais du tabagisme, alcoolisme, sédentarité, alimentation riche en graisse animale et sel qui sont des facteurs directs dans la genèse des maladies cardio-vasculaires.
Des études ont montré un changement dans la pression artérielle, dans le poids et dans la fréquence cardiaque en rapport avec la durée de migration dans la population africaine [64,65].
L’Ethnicité
Dans certains regroupements humains, de structures familiales, économiques et sociales homogènes, de langues et de cultures communes, existent des facteurs de risque cardio-vasculaire prédominants [45].
Ainsi dans l’HTA du noir africain, on note quelques particularités: elle se complique plus de cardiopathies, de rétinopathies, de néphropathies et d’AVC; et se retrouve chez les sujets en âge d’activité et l’insuffisance coronarienne est exceptionnelle, à l’inverse de ce qui est décrit en Occident [70].
La Prise en charge traditionnelle
Dans une étude faite en Guinée, le degré de connaissance des tradipraticiens et des herboristes vis-à-vis des effets secondaires des plantes, leur toxicité et les précautions pour leur emploi reste rudimentaire. Il a été recensé 17 recettes constituées de 24 plantes appartenant à 18 familles. Les césalpiniacées ont été les plus représentées. Ces plantes, sont employées soit seules, soit en association de 2 à plusieurs plantes. Comme noté dans les précédentes études [4], la notion d’HTA en médecine traditionnelle semble relativement récente et repose généralement sur un diagnostic conventionnel préétabli. La commercialisation des plantes employées dans le traitement de l’HTA est assurée par des hommes et femmes qui ont pour la plupart des places fixes dans les marchés.
Issues de cueillette directe, les plantes vendues par les herboristes sont soit fraîches soit sèches et sont toutes exposées sur des étales ou à même le sol sans aucune protection contre le soleil, la poussière, l’humidité ou la température. Les drogues sont vendues soit en bottes, soit finement ou grossièrement broyées et emballées dans des sachets en plastique (25 à 250 g). Le prix d’une botte ou d’un sachet est le plus souvent négociable et varie de 250 à 2500 FG, soit environ de 26 à 210 CFA. Le décocté et le macéré représentent les formes pharmaceutiques les plus employées. Les informations fournies sur l’administration et le dosage des plantes et la durée du traitement sont peu précises: il s’agit le plus souvent d’une administration à volonté jusqu’à la disparition des symptômes.
Aucune précaution d’emploi n’a été signalée. Toutes les plantes recensées ont été identifiées [5]. La plupart des recettes sont à base d’une plante. Deux recettes associant deux drogue ont été indiquées : Hymenocardia acida et Combretum micranthum .. Xylopia aethiopica et Nauclea latifolia. Une seule recette à 3 drogues a été signalée : Anacardium occidentale, Morinda geminata et N. latifolia. La recette la plus complexe a été l’association de plantes: Anacardium occidentalis, Albizzia zygia, Dialium guineensis, Annona senegalensis, Citrus medica, Terminalia albida, Piliostigma. thonningii et Daniella oliveri.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
I. Rappel sur l’HTA
I.1 Contexte historique de l’ HTA
I.1.1 Histoire de l’HTA
I.1.2 Définition de L’HTA
I.1.3 Détection et prévention
I.2 Contexte épidémiologique et morbidité associée
I.2.1 L’ HTA dans le monde
I.2.2 L’HTA en Afrique
I.2.3 L’HTA au Sénégal
II Problématiques et objectifs
II.1 Problématiques
II.2 Objectifs
II.2.1 Général
II.2.2 Spécifiques
IV Déterminants
III.1 Facteurs non-modifiables
III.1.1 L’âge
III.1.2 Le Sexe
III.1.3 L’hérédité
III.2 Facteurs modifiables (environnementaux ou liés au mode de vie)
III.2.1 La consommation excessive de sel
III.2.2 L’abus d’alcool
III.2.3 L’obésité
III.2.4 La sédentarité
III.2.5 Le niveau socio-économique
III.2.6 Les facteurs psychosociaux et le stress
III.2.7 Le tabagisme
III.2.8 Le Cholestérol sanguin et dyslipidémie
III.2.9 La Consommation excessive de graisse
III.2.10 Le diabète
Ill.2.11 L a Migration
III.2.12 L’Ethnicité
III.2.13 La Prise en charge traditionnelle
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
I. Cadre d’étude
II. Type d’étude
II.1 Cadre et modèle conceptuel
II.2 Modèle conceptuel
II.2 Variables opérationnelles
III. Méthode de recherche
1.Population d’étude
2.Critères d’inclusion
3.Critères de non inclusion
4.Échantillonnage
5. Taille de l’échantillon
6. Outils et techniques de collectes des données
7. REALISATION
IV. Traitement des données et résultats
IV.1 Traitement des données
IV.2 Résultats
IV.2.1 Caractéristiques sociodémographiques
IV.2.2 Informations relatives à l’état de santé
IV.2.3 INFORMATIONS RELATIVES A LA PRISE EN CHARGE
IV. 2. 4. Connaissance de l’existence de soins dans la zone
V. COMMENTAIRES
CONCLUSION
RECOMMANDATIONS
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXE
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