Information environnementale

ENJEUX THEORIQUES

   Cette recherche s’inscrit dans la littérature relative aux effets de la réglementation des divulgations. Comme le soulèvent Ioannou et Serafeim (2014), les études académiques analysent le plus souvent, voire exclusivement, les effets de la réglementation des divulgations financières. Nous nous intéressons ici aux effets de la réglementation des divulgations extra financières. Ces divulgations s’inscrivent dans un cadre institutionnel en pleine évolution. La nécessité de les réglementer n’est pas généralement admise. La question de leur réglementation fait débat aujourd’hui entre diverses parties prenantes. Ioannou et Serafeim (2014) analysent les effets de la mise en place de réglementations obligatoires du reporting extra financier sur les pratiques de divulgation des entreprises dans quatre pays : la Chine, le Danemark, la Malaisie et l’Afrique du Sud. Notre recherche se différencie de leur analyse par deux aspects. Tout d’abord, nous comparons les niveaux de divulgation environnementale d’entreprises soumises à un environnement réglementaire du reporting extra financier différent : réglementation ou recommandations. Ensuite, notre étude concerne des Etats membres de l’Union Européenne, donc des pays soumis à un cadre institutionnel commun en pleine évolution. A notre connaissance, aucune étude de ce type n’a été effectuée en Europe. Cette recherche s’inscrit également dans la littérature relative à la gestion stratégique des parties prenantes, notamment en matière de communication environnementale. Carroll  (1991) suggère qu’en matière de RSE, les entreprises recherchent un équilibre entre les intérêts des investisseurs et ceux d’autres parties prenantes. Selon Huang et Watson (2015), cette tension génère des questions importantes traitées dans les recherches en comptabilité relative à la RSE. A travers leur revue de littérature, ils montrent qu’en matière de RSE, les entreprises prennent en compte différemment leurs parties prenantes. Notre recherche traite de ces questions, notamment en matière de communication environnementale. Enfin, cette recherche s’inscrit dans la littérature relative à la prise en compte des informations environnementales par les investisseurs. De nombreuses recherches traitent de ce sujet, mais les résultats ne sont pas homogènes. La plupart des études concluent soit à une non prise en compte (Clarkson et al. 2008; Déjean et Martinez, 2009; Campbell et Slack, 2011), soit à une prise en compte inégale sous contrainte d’autres facteurs (Holm et Rikhardsson, 2008; Moneva et Cuellar, 2009; Coram, Mock, et Monroe, 2011; Plumlee et al., 2015). Notre recherche s’inscrit dans la lignée des études qui font état d’une prise en compte inégale de l’information environnementale par les investisseurs.

COMPLEMENTARITE DES DIVULGATIONS OBLIGATOIRES ET VOLONTAIRES

   Selon Einhorn (2005), les divulgations obligatoires et volontaires des entreprises constituent le flux d’information le plus important sur les marchés de capitaux. Pour comprendre ce flux d’information, il est nécessaire de prendre en considération l’interaction entre les divulgations obligatoires et les divulgations volontaires. Les stratégies de divulgations volontaires des entreprises ne peuvent pas être étudiées isolément de l’impact des divulgations obligatoires. De même, l’intérêt des divulgations obligatoires ne peut pas être correctement appréhendé sans une prise en compte des divulgations volontaires. Selon Bagnoli et Watts (2007), l’information privée fournie par le manager complète les divulgations obligatoires. Le contenu et la probabilité d’une divulgation volontaire dépendent des bonnes ou des mauvaises nouvelles véhiculées par les divulgations obligatoires. De plus, les changements concernant la réglementation des divulgations obligatoires peuvent avoir des conséquences fortuites sur les divulgations volontaires : les managers peuvent être incités à fournir volontairement des divulgations supplémentaires. Compte tenu d’un certain niveau de divulgations obligatoires, niveau contraint par la réglementation, il paraît intéressant de s’interroger sur les déterminants des divulgations volontaires.

UNE INFORMATION DE QUALITE

   En se basant sur les travaux de l’IASB (International Accounting Standards Board) datant de 1989, Botosan (2004) définit la qualité en terme d’utilité de l’information dans la prise de décision économique. L’auteur retient quatre attributs de qualité : la pertinence, la fiabilité, la comparabilité et la compréhensibilité. Le nouveau cadre conceptuel pour l’information financière (IASB, 2010) précise les caractéristiques qualitatives essentielles et auxiliaires de l’information.
 Une information financière est pertinente si elle est susceptible d’influer sur les décisions. L’information a alors une valeur prédictive – elle permet de prédire les résultats futurs – et/ou une valeur confirmatoire – elle confirme ou modifie des évaluations précédentes (Obert, 2011).
 Une information est fiable si elle « repose sur la fidélité avec laquelle elle représente ce qu’elle prétend représenter, accompagné d’une assurance pour l’utilisateur qu’il a cette qualité représentative » (IASB, 1989). La fiabilité de l’information financière repose donc sur la fidélité – information complète, neutre et exempte d’erreurs significatives – et sur la vérifiabilité – information qui fournit l’assurance aux utilisateurs d’une image fidèle des phénomènes économiques qu’elle représente (Obert, 2011).
 Une information est comparable si elle « permet aux utilisateurs de relever les similitudes et les différences de deux séries de phénomènes économiques » (Obert, 2011, p.28-29). La comparabilité de l’information est facilitée par la cohérence et la permanence des méthodes utilisées pour divulguer. L’objectif d’une information comparable est de permettre aux utilisateurs « de comparer les indicateurs dans le temps et entre les entreprises afin d’identifier et d’analyser les résultats de changements survenus dans les orientations et la gestion » (CNUCED).
 Une information est compréhensible si les utilisateurs comprennent sa signification. « Pour plus d’intelligibilité : a) elle devrait être bien conçue; b) les sujets et les indicateurs devraient être classés de manière systématique; c) des termes concis devraient être employés; et d) les mots inconnus devraient être expliqués ou figurer dans un glossaire » (CNUCED). Si une information est classée, définie, présentée de façon claire, concise et comparable, cela augmente sa compréhensibilité (Obert, 2011). Selon Depoers (1999), la qualité et la comparabilité des données est assurée par la réglementation, qui définit précisément la nature des informations à publier et les modalités de leur présentation. Ainsi, pour ce qui concerne l’information financière, les normes comptables réglementent les modes de présentation des états financiers. Ce type de réglementation réduit les coûts de traitement pour les utilisateurs en fournissant un langage communément accepté que les managers peuvent utiliser pour communiquer avec les investisseurs (Healy et Palepu, 2001). Ainsi, en harmonisant la présentation et le contenu des états financiers des entreprises, et en contraignant les entreprises à adopter ce cadre, la réglementation comptable conduit à la production d’une information financière complète et de qualité. En effet, la normalisation des modalités de production, de divulgation et de présentation permet une lecture et une analyse comparative plus pertinente. La pertinence de cette information est attestée par l’audit obligatoire (Quairel, 2004). De plus, la normalisation limite la sélectivité des divulgations : sélectivité de l’information transmise et sélectivité des destinataires de cette information.

UNE FORTE CROISSANCE DU REPORTING EXTRA FINANCIER ET DE SA REGLEMENTATION

   Le reporting extra financier trouve sa source dans la prise de conscience par les entreprises de leur responsabilité extra financière, appelée plus couramment responsabilité sociale. Selon Acquier et Aggeri (2008), la responsabilité sociale des entreprises (RSE) relèverait d’un ensemble d’obligations incombant aux entreprises, qui s’additionnent à leurs obligations strictement financières et légales. Les entreprises subissent ainsi de fortes pressions de la part de diverses parties prenantes, pouvant résulter dans de nouvelles réglementations encadrant leurs actions. Selon Giordano-Spring et Rivière-Giordano (2008), la publication d’informations extra financières est la conséquence de la financiarisation de l’économie. Les investisseurs ont pris conscience des risques sociétaux de l’entreprise dont le reporting extra financier est censé rendre compte. Afin de garantir la valeur de leurs actifs, ils accordent une attention croissante à la qualité du reporting à travers les référentiels, les recommandations, les audits de l’information produite. Le reporting extra financier est également la conséquence du succès du développement durable auprès des parties prenantes. Pour l’entreprise, il constitue la clé d’entrée dans le développement durable (Saghroun et Eglem, 2004). Une étude de KPMG (2008) analyse l’évolution du reporting extra financier des 100 plus grandes entreprises de 22 pays21 entre 2005 et 2008. Le nombre d’entreprises publiant des informations extra financières a augmenté dans l’ensemble des pays. Les pays où la croissance des rapports extra financiers indépendants du rapport annuel est la plus importante sont les Etats-Unis (+41%), la Suède (+39%), l’Espagne (+34%) et les Pays-Bas (+31%). Les entreprises intègrent également de plus en plus d’informations extra financières dans leur rapport annuel : Afrique du Sud (19%), France (12%) et Norvège (12%). Les études KPMG (2010, 2013)22 confirment cette croissance du reporting extra financier : en 2008, 79% des 250 plus importantes entreprises du monde divulguaient des informations extra financières ; en 2013, le pourcentage est de 93%. Cette croissance s’accompagne de réglementations nationales et internationales de plus en plus nombreuses, dans un nombre croissant de pays. Dans les 30 pays couverts par l’étude, 142 initiatives de régulation relatives au reporting extra financier ont été comptabilisées : 65% sont obligatoires et 35% sont volontaires (directives, guides de bonnes pratiques). Par ailleurs, 73% des réglementations ont été publiées à partir de 2000 et 35% entre 2005 et 2009. Malgré la croissance du reporting extra financier, l’information extra financière reste toutefois inégalement prise en compte par les investisseurs.

POURTANT LES INVESTISSEURS SEMBLENT RECONNAITRE L’IMPORTANCE DE LA RSE

   Selon l’étude de l’UNEP (United Nations Environment Program) réalisée en 2004, les analystes et les institutions financières ne prennent pas en compte les informations extra financières dans leur analyse financière et dans leurs décisions d’investissement alors qu’ils reconnaissent que ces informations affectent, à long terme, la valeur des actifs des actionnaires. Ainsi, la question de l’utilité de l’information extra financière pour les investisseurs peut être posée. Kurtz (2005) considère qu’un financier intéressé par ce type d’information serait susceptible de se poser la question suivante : « What has the performance been, and what are the risks ? ». Ainsi, l’information extra financière est utile aux investisseurs si elle leur permet d’évaluer la performance et/ou les risques sociétaux des entreprises mais aussi d’apprécier leur impact sur le couple rentabilité-risque. Concernant le lien entre performance sociétale et performance financière, les études empiriques qui traitent de cette question aboutissent à des résultats mitigés, voire contradictoires (Kurtz, 2005 ; Orlitzky, 2008 ; Ntim et Soobaroyen, 2013). Cho, Freedman et Patten (2012a) relèvent que les entreprises utilisent plus les divulgations environnementales comme un outil stratégique pour réduire leur exposition aux questions réglementaires et politiques que comme un indicateur visant à signaler une performance supérieure aux autres entreprises. On peut donc penser que les investisseurs, conscients de cette situation, utilisent peu les informations extra financières pour évaluer la performance des entreprises. Il semble cependant que l’information extra financière soit utile aux investisseurs pour évaluer les risques sociétaux susceptibles d’affecter la valeur de l’entreprise (Saghroun et Eglem, 2004). Orlitzky (2008) soutient d’ailleurs que la performance sociétale peut réduire le risque d’activité de l’entreprise. L’étude de Boutin-Dufresne et Savaria (2004), citée par (Kurtz, 2005, p.129), confirme cette idée : l’analyse des profils de risque de 277 entreprises canadiennes montre que les entreprises ayant les moins bonnes évaluations sociétales sont aussi celles dont les niveaux de risque sont les plus élevés. Cohen et al. (2012) justifient la croissance importante du volume des informations extra financières constatée par PricewaterhouseCoopers (2002)25 en arguant du fait que de nombreux dirigeants des grandes entreprises multinationales pensent que les mesures de performance extra financières sont plus utiles que les mesures de performance financière traditionnelles pour évaluer la valeur à long terme de l’entreprise, d’où un intérêt croissant pour les informations extra financières. Cet intérêt serait également lié à la croissance du nombre d’actifs gérés par les fonds d’investissement socialement responsables (Eccles, Serafeim et Krzus, 2011). L’émergence d’un nombre important d’agences de notation RSE illustrerait également cet intérêt de la part des investisseurs (Ioannou et Serafeim, 2010). Ces auteurs montrent que depuis récemment l’impact des stratégies RSE sur les recommandations des analystes financiers est positif et significatif. Cet impact est toutefois d’autant plus grand que les analystes financiers sont spécialisés dans l’information extra financière. Kurtz (2005) considère en outre que la prise en compte de l’information extra financière par les investisseurs dépend de leur sensibilité personnelle à ce type d’information. Si les investisseurs intègrent peu l’information extra financière dans leurs décisions d’investissement alors même qu’ils sont conscients de son impact sur la valeur de l’entreprise, nous pouvons penser que c’est parce que le reporting extra financier échoue à leur fournir une information complète et de qualité. Nous émettons l’hypothèse que cet échec serait lié à l’insuffisante réglementation de ce reporting qui n’impose pas un cadre suffisamment contraignant aux entreprises.

Les organismes de contrôle compétents : un choix difficile

   Dans les rares cas où un contrôle ou une certification sont imposés par la réglementation, les entreprises se heurtent au choix d’un organisme compétent. En effet, la confiance accordée aurapport d’audit est parfois mise en doute car ce dernier manque de documentations et d’explications quant à la réalisation de la mission de vérification (Gillet, 2010). Mikol (2003) souligne également qu’il n’y a aucune raison pour que le public ait confiance dans les informations publiées si elles ne sont pas validées par des auditeurs indépendants et compétents. La certification des rapports DD par un organisme spécialisé, indépendant, distinct des commissaires aux comptes est également un souhait des analystes financiers (Saghroun et Eglem, 2004). Si l’on considère que le rating des agences de notation extra financière peut être assimilé à un audit social et environnemental de l’entreprise (Saghroun et Eglem, 2004), les résultats de l’étude de Cellier, Chollet et Gajewski (2011) confirment lacrédibilité des informations extra financières certifiées. Les auteurs procèdent à des études d’événement par les rentabilités et les volumes de transaction aux annonces de notations extra-financières. A travers un échantillon de 113 entreprises et 268 annonces de notation diffusées par Vigéo, ils montrent que les annonces de notations sociétales ont un impact globalement positif sur les rentabilités, impact qui dépend de la valeur du score et du domaine de notation. Les domaines les plus influents et ayant un impact positif sont l’environnement, l’engagement sociétal et la gouvernance. Concernant les volumes de transaction, ils constatent une baisse des volumes avant l’annonce, compensée par une hausse après l’annonce. Ces résultats tendent à prouver que les informations certifiées sont prises en compte par les investisseurs. Cependant, les notations extra financières sont généralement effectuées à la demande des investisseurs et/ou des entreprises. Elles n’ont donc pas de caractère obligatoire.

Indicateurs de divulgation « hard »

   Les indicateurs qualifiés de « hard » sont ceux qui sont difficilement imitables par les entreprises qui ont une mauvaise performance environnementale. La catégorie A1 concerne les divulgations environnementales (DE) qui se rapportent à la structure de la gouvernance et aux systèmes de gestion que l’entreprise met en place en matière de protection de l’environnement. L’hypothèse sous-jacente est que les entreprises dont le conseil d’administration comporte un comité environnemental ou qui mettent en place la norme ISO 14001 vont en informer leurs parties prenantes. La catégorie A1 comporte 6 indicateurs évalués 0 (DE non mentionnée) ou 1 (DE mentionnée). La catégorie A2 concerne la crédibilité des divulgations dans le rapport environnemental. Les entreprises qui font certifier de manière indépendante leur rapport ou les entreprises dont les produits et programmes environnementaux sont certifiés par des agences indépendantes ou des tiers reçoivent le score le plus élevé de la catégorie. La catégorie A2 comporte 10 indicateurs évalués 0 (DE non mentionnée) ou 1 (DE mentionnée). La catégorie A3 traduit l’étendue selon laquelle les entreprises divulguent des indicateurs de performance environnementaux spécifiques, tant de leurs émissions de pollution réelles que de leurs efforts de conservation et de recyclage. Ce sont les informations « hard » que les entreprises divulguent pour convaincre leurs parties prenantes de leur engagementenvironnemental. Le score le plus élevé est attribué aux entreprises qui divulguent la tendance historique, les objectifs et la moyenne du secteur. La catégorie A3 comporte 10 indicateurs évalués de 0 à 6 : 0 si la DE n’est pas mentionnée, 1 si la DE est seulement mentionnée, 2 si la DE est présentée en rapport des concurrents ou du secteur, 3 si la DE est présentée en rapport des périodes précédentes (analyse de la tendance), 4 si la DE est présentée en regard des objectifs, 5 si la DE est présentée dans une forme complète et normalisée, 6 si la DE est présentée à un niveau agrégé (matériel, unité d’affaire, géographique, segment). La catégorie A4 concerne le montant des dépenses environnementales. Il s’agit des économies réalisées grâce aux efforts et programmes environnementaux, des dépenses discrétionnaires dans les nouvelles technologies et la recherche et développement liées à l’environnement, des autres dépenses environnementales. Cette catégorie est sensée traduire le réel engagement financier environnemental de l’entreprise. Elle comporte 3 indicateurs évalués 0 (DE non mentionnée) ou 1 (DE mentionnée).

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
1 EMERGENCE DE L’OBJET DE RECHERCHE
2 PROBLEMATIQUE DE LA RECHERCHE
3 DEMARCHE GENERALE DE LA RECHERCHE
4 ENJEUX DE LA RECHERCHE
4.1 ENJEUX THEORIQUES
4.2 ENJEUX METHODOLOGIQUES
4.3 ENJEUX MANAGERIAUX 1
5 PLAN DE LA THESE
CHAPITRE LIMINAIRE FAUT-IL REGLEMENTER LE REPORTING EXTRA FINANCIER AFIN D’AUGMENTER SON UTILITE POUR LES INVESTISSEURS ? 
1 INTRODUCTION DU CHAPITRE 
2 PROBLEMATIQUE ET CADRE THEORIQUE 
2.1 PROBLEMATIQUE DU CHAPITRE
2.2 LA THEORIE DE L’AGENCE
3 LE REPORTING OU LE RENDU DES COMPTES DANS L’ENTREPRISE 
3.1 POURQUOI LES ENTREPRISES RENDENT-ELLES DES COMPTES ?
3.2 DIVULGATIONS OBLIGATOIRES ET DIVULGATIONS VOLONTAIRES
3.3 LES CATEGORIES DE REPORTING DES ENTREPRISES
4 LA REGLEMENTATION DU REPORTING DES ENTREPRISES 
4.1 L’OBJECTIF DE LA REGLEMENTATION DU REPORTING FINANCIER DES ENTREPRISES
4.2 POURQUOI ETENDRE CET OBJECTIF AU REPORTING EXTRA FINANCIER ?
5 LE REPORTING EXTRA FINANCIER : REGLEMENTATION ET PRISE EN COMPTE PAR LES INVESTISSEURS 
5.1 UNE FORTE CROISSANCE DU REPORTING EXTRA FINANCIER ET DE SA REGLEMENTATION
5.2 MAIS UNE INFORMATION EXTRA FINANCIERE INEGALEMENT PRISE EN COMPTE PAR LES INVESTISSEURS
5.3 POURTANT LES INVESTISSEURS SEMBLENT RECONNAITRE L’IMPORTANCE DE LA RSE
6 LA REGLEMENTATION DU REPORTING EXTRA FINANCIER : ETAT DES LIEUX 
6.1 QUELLES REGLEMENTATIONS NATIONALES POUR LE REPORTING EXTRA FINANCIER EN EUROPE ?
6.2 POURQUOI FAUT-IL MIEUX REGLEMENTER LE REPORTING EXTRA FINANCIER ?
7 DISCUSSION ET CONCLUSION DU CHAPITRE 
7.1 DISCUSSION
7.2 CONCLUSION DU CHAPITRE
CHAPITRE 2 LA MESURE DES SCORES DE DIVULGATION ENVIRONNEMENTALE 
1 INTRODUCTION DU CHAPITRE 
2 PROBLEMATIQUE ET CADRE THEORIQUE 
3 METHODOLOGIE D’ELABORATION DE LA MESURE DES DIVULGATIONS ENVIRONNEMENTALES 
3.1 OUTILS METHODOLOGIQUES DE REFERENCE
3.2 CONSTRUCTION DE LA GRILLE DE MESURE
4 MESURE DES DIVULGATIONS ENVIRONNEMENTALES DES ENTREPRISES EUROPEENNES 
4.1 ETUDE DE L’ENVIRONNEMENT REGLEMENTAIRE EUROPEEN SUR LE REPORTING ENVIRONNEMENTAL
4.2 CHOIX DES PAYS PAR CATEGORIE
4.3 CHOIX DES SECTEURS ETUDIES
4.4 SELECTION DE L’ECHANTILLON DES ENTREPRISES
4.5 SCORING DES ENTREPRISES
5 DECLINAISONS DE LA GRILLE DE MESURE GLOBALE 
5.1 GRILLE DE MESURE DES DIVULGATIONS ENVIRONNEMENTALES « EFFAS »
5.2 GRILLE DE MESURE DES DIVULGATIONS ENVIRONNEMENTALES « GRENELLE »
6 RESULTATS ET STATISTIQUES DESCRIPTIVES 
6.1 RESULTATS « BRUTS »
6.2 STATISTIQUES DESCRIPTIVES DES SCORES
7 CONCLUSION DU CHAPITRE 
CHAPITRE 3 DE L’UTILITE DE L’INFORMATION ENVIRONNEMENTALE POUR L’INVESTISSEUR 
1 INTRODUCTION DU CHAPITRE 
2 PROBLEMATIQUE, CADRE THEORIQUE ET OUTILS 
2.1 PROBLEMATIQUE ET CADRE THEORIQUE DE L’AGENCE
2.2 INVESTISSEURS ET ANALYSTES FINANCIERS
2.3 ASYMETRIE D’INFORMATION ET PREVISIONS DE BENEFICES
2.4 DE L’USAGE DES DIVULGATIONS RSE PAR LES INVESTISSEURS
3 DESIGN DE LA RECHERCHE 
3.1 LES HYPOTHESES
3.2 LE MODELE
3.3 L’ECHANTILLON ET LES DONNEES
4 PRESENTATION ET ANALYSE DES RESULTATS 
4.1 ANALYSE DES RESULTATS DU MODELE
4.2 DISCUSSION DES RESULTATS
5 CONCLUSION DU CHAPITRE 
CHAPITRE 4 IMPACT DE L’ENVIRONNEMENT REGLEMENTAIRE 
1 INTRODUCTION DU CHAPITRE 
2 PROBLEMATIQUE ET CADRE THEORIQUE 
2.1 PROBLEMATIQUE
2.2 CADRES THEORIQUES
3 ANALYSE DE L’ENVIRONNEMENT REGLEMENTAIRE EUROPEEN
3.1 LES NIVEAUX REGLEMENTAIRES DU REPORTING ENVIRONNEMENTAL DANS L’UNION EUROPEENNE
3.2 CARACTERISTIQUES ET COMPARAISON DE LA FRANCE, DE L’ALLEMAGNE ET DE L’ITALIE EN MATIERE DE CADRE REGLEMENTAIRE DU REPORTING ENVIRONNEMENTAL
4 MESURE DE L’IMPACT DE L’ENVIRONNEMENT REGLEMENTAIRE
4.1 FORMULATION DES HYPOTHESES
4.2 LE MODELE TOBIT
4.3 LA VARIABLE INDEPENDANTE DU MODELE : LES SCORES DE DIVULGATION ENVIRONNEMENTALE
4.4 LES VARIABLES DE CONTROLE DU MODELE : LES DETERMINANTS DES DIVULGATIONS ENVIRONNEMENTALES
4.5 PRESENTATION DU MODELE
4.6 ANALYSE DES RESULTATS
5 ETUDE DE LA CONFORMITE DES ENTREPRISES FRANÇAISES A LA REGLEMENTATION 
5.1 SCORE DE CONFORMITE A LA REGLEMENTATION ET ANALYSE STATISTIQUE
5.2 DETERMINANTS DES SCORES DE CONFORMITE A LA REGLEMENTATION
6 CONCLUSION DU CHAPITRE 
CHAPITRE 5 QUEL REFERENTIEL POUR QUELLES FINS ? 
1 INTRODUCTION DU CHAPITRE 
2 PROBLEMATIQUE ET CADRE THEORIQUE 
2.1 LA THEORIE NEO-INSTITUTIONNELLE
2.2 LA THEORIE DES PARTIES PRENANTES
2.3 REPORTING ENVIRONNEMENTAL : DES CADRES THEORIQUES QUI SE COMPLETENT
3 GRI VERSUS EFFAS 
3.1 LE GRI : UNE REFERENCE INTERNATIONALE RECONNUE MAIS CONTESTEE
3.2 GRI VERSUS EFFAS : QUELLES DIFFERENCES ?
4 LES DETERMINANTS DES SCORES DE DIVULGATION ENVIRONNEMENTALE 
4.1 FORMULATION DES HYPOTHESES
4.2 LE MODELE ECONOMETRIQUE
4.3 L’ANALYSE DES DETERMINANTS DES DIVULGATIONS ENVIRONNEMENTALES
5 EFFETS DU REFERENTIEL ADOPTE PAR L’ENTREPRISE SUR LES ANALYSTES FINANCIERS 
5.1 HYPOTHESE DE RECHERCHE
5.2 MODELE ECONOMETRIQUE
5.3 RESULTATS ET ANALYSE
6 CONCLUSION 
CONCLUSION GENERALE
1 CONTRIBUTIONS DE LA RECHERCHE
1.1 CONTRIBUTIONS THEORIQUES
1.2 CONTRIBUTION METHODOLOGIQUE
1.3 CONTRIBUTIONS MANAGERIALES
2 LIMITES DE LA RECHERCHE
3 PERSPECTIVES DE LA RECHERCHE

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