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Morphologie et anatomie générale des Ixodidae :
Les tiques dures sont des acariens de grande taille au corps globuleux : les larves, à trois paires de pattes, mesurent entre 0,5 et 1 mm, tandis que les tiques adultes mesurent entre 3 et 10 mm à jeûn, pouvant atteindre, pour les femelles gorgées de sang jusqu’à 30 mm de longueur. Le mâle est de taille inférieure à la femelle.
La partie antérieure du corps, le gnathosoma, comprend le capitulum, de forme rectangulaire ou hexagonale, qui constitue la zone de liaison au corps, et le rostre qui regroupe les pièces buccales (Figure 8). Ces pièces buccales comprennent les pédipalpes qui ont une fonction sensitive, les chélicères, organes perforateurs, et un organe immobile médian et ventral, l’hypostome constitué de nombreuses dents incurvées qui permet d’ancrer fermement la tique à la peau de son hôte.
Répartition géographique :
Les tiques sont présentes partout en Europe. Il existe de nombreuses espèces, dont plus de douze d’entre elles peuvent être retrouvées sur le chien.
En France, trois espèces de tiques sont largement dominantes, mais avec des répartitions géographiques variables. Certaines espèces de tiques sont plus fréquemment retrouvées dans les bois, d’autres dans les prairies, tandis que certaines espèces sont plus spécifiquement présentes autour du bassin méditerranéen. Comme les différentes espèces de tiques ne transmettent pas les mêmes agents pathogènes, la répartition territoriale des tiques a un impact sur les risques encourus par les animaux de compagnie.
– Ixodes ricinus ou tique des bois (Figure 9) : on la retrouve dans les forêts, régions boisées ou les parcs, transportée par des espèces telles que les cervidés.
Capable de parasiter aussi bien les animaux que l’homme, il s’agit de l’agent vecteur de Borrelia burgdorferi, agent pathogène de la maladie de Lyme.
Sa répartition géographique s’étend à l’ensemble du territoire national, à l’exception des zones situées à plus de 1200 m d’altitude ainsi qu’en zone méditerranéenne sèche (sauf au sein de petites zones fraiches et humides circonscrites) (31-32), mettant en évidence tout de même une forte disparité de présence en France (Figure 10).
Risques pour l’Homme :
La maladie de Lyme est une zoonose mais l’homme ne s’infecte pas au contact du chien.
Il doit être piqué par une tique, seul agent vecteur potentiel.
Chez l’homme, la maladie de Lyme évolue en général en trois phases bien définies :
– La première phase correspond aux manifestations cutanées précoces localisées au point d’inoculation du germe. Dans les 10 jours qui suivent la piqûre : un érythème apparaît au niveau de la piqûre puis s’étend (érythème migrant) (Figure 17), et des « symptômes grippaux » apparaissent.
– La seconde phase peut survenir quelques semaines à quelques mois après l’infection. Il apparait alors des douleurs articulaires (genou, coude), une asthénie généralisée, des troubles visuels, des troubles nerveux (fourmillements, paralysie faciale, méningite).
– La troisième phase, apparait en l’absence de traitement, plusieurs mois à années après la piqûre, et se caractérise par une atteinte chronique.
Piqûre de tiques et Ehrlichiose :
L’Ehrlichiose est une rickettsiose, maladie infectieuse causée par une bactérie intramonocytaire à Gram négatif (Ehrlichia canis le plus souvent) appartenant au groupe des Rickettsies et transmise par Rhipicephalus sanguineus.
Cet agent pathogène présente un tropisme pour les éléments figurés du sang sauf les érythrocytes (on les rencontre dans les monocytes, granulocytes ou plaquettes selon les espèces), et se développe dans le cytoplasme de ces cellules (Figure 18).
La tique se contamine au stade larvaire ou nymphal, au cours d’un repas sanguin sur le chien en phase aigüe d’Ehrlichiose. La fixation de la tique a généralement lieu sur une zone à peau fine (oreilles, mamelle…).
E. canis se développe ensuite dans les cellules des glandes salivaires, des hémocytes, et dans l’intestin de la tique conservé au cours des mues successives.
Le rôle pathogène indirect de la tique est fondamental dans la transmission puisque le passage de l’infection d’un chien à l’autre dépend entièrement de la présence du vecteur.
L’Ehrlichiose sévit essentiellement dans le Sud-Est de la France, avec un pic clinique décrit au printemps et à l’automne, période pendant laquelle l’activité du vecteur est maximale.
Diagnostic :
Les principaux symptômes, bien que peu spécifiques, peuvent être évocateurs. Cependant le diagnostic repose surtout sur des examens sanguins :
Numération et formule sanguines (NFS) avec mesure du taux de plaquettes et d’érythrocytes (examen non spécifique qui doit donc être complété par un examen de diagnostic direct).
En effet, la thrombopénie n’est pas spécifique de l’Ehrlichiose, mais sa mise en évidence dans un contexte épidémiologique, permet de poser un diagnostic de suspicion.
Recherche de morula dans les cellules sanguines ou de moelle osseuse.
Les morulae ne sont présentes que durant les 10 premiers jours suivant l’inoculation, c’est donc durant la première semaine de mise en évidence des symptômes, que la recherche doit être réalisée.
Sérologie : recherche d’anticorps spécifiques (IgG) par immunofluorescence indirecte, ou test d’immunomigration rapide.
PCR : recherche de la présence d’ADN d’E.canis sur différents tissus du chien (reins, foie, rate, poumon, cellules mononuclées du sang).
Cycle de développement du pou :
La reproduction des poux se déroule sur la peau de l’animal parasité. Les femelles pondent une cinquantaine d’œufs qu’elles collent à la base des poils : formations ovoïdes blanchâtres, visibles à l’œil nu, dénommées communément lentes.
Durant sa vie, une femelle peut pondre 30 à 60 œufs, qui éclosent en 1 à 2 semaines. La totalité du cycle se réalise en 4 à 6 semaines.
La contamination d’un animal à un autre se fait surtout par contact rapproché, de chien à chien, ou par l’intermédiaire du milieu de vie, notamment lorsqu’un animal se couche dans le panier d’un animal de même espèce porteur ou via le matériel de toilettage.
Saison d’apparition :
On suppose que les infestations par les poux sont plus fréquentes en saison hivernale, du fait de la longueur des poils, du contact rapproché entre animaux, et des défenses immunitaires plus faibles.
Pathogénicité et thérapeutique :
Rôle pathogène :
Les poux hématophages peuvent provoquer, suivant leur nombre, une anémie, contrairement aux poux broyeurs qui se nourrissent de débris cutanés, occasionnant ainsi un prurit. La présence des poux peut entraîner des inflammations cutanées avec présence de pellicules, de croûtes, d’une alopécie et s’accompagner de séborrhée nauséabonde.
Infestation par les puces et dermatite par allergie aux piqûres de puces (DAPP) :
La puce est la première cause de prurit chez les animaux domestiques. Lorsque l’animal est sensible aux allergènes contenus dans la salive de la puce, ce dernier développe une dermatite allergique très prurigineuse, poussant l’animal à se gratter et ainsi entretenir un cercle vicieux (grattage, lésion, surinfection, grattage), interrompu uniquement par l’élimination du parasite.
Une seule puce suffit à entraîner des lésions très étendues, débutant généralement sur la zone dorsolombaire et pouvant conduire à une alopécie.
Principaux symptômes :
La symptomatologie dépend du niveau d’infestation et de la sensibilité de l’animal.
Les signes cliniques qui peuvent être observés sont les suivants :
–Un état de maigreur chez des animaux surinfestés .
–Des troubles digestifs inconstants, appétit irrégulier, diarrhée .
– La présence de segments ovigères au niveau des marges anales ou dans les matières fécales .
– Des démangeaisons fréquentes et caractérisées par un réflexe de léchage et de mordillement de la base de la queue, ou encore le signe du traîneau (frottement du train arrière sur le sol).
PHLEBOTOMES :
Les Phlébotomes sont des arthropodes insectes de petite taille, de l’ordre des Diptères et du sous ordre des Nématocères, morphologiquement proches des moustiques.
En Europe, seuls les phlébotomes du genre Phlebotomus ont une importance en médecine vétérinaire, et sont bien décrits en région méditerranéenne (Corse, Alpes-Maritimes, Cévennes, Pyrénées Orientales…) (Figure 29) (70).
Les phlébotomes jouent le rôle d’agents vecteurs de Leishmania infantum chez le chien (ou d’autres mammifères), l’un des agents pathogènes de la leishmaniose viscérale. En France, cinq espèces sont connues, dont deux, Phlebotomus ariasi et Phlebotomus perniciosus, présentent un rôle en santé publique et médecine vétérinaire.
Le phlébotome est un insecte de petite taille, environ 2 à 4 mm de long, velu, lancéolé, bossu et de couleur jaunâtre (Figure 30). Ses ailes sont dressées en forme de V au repos. Sa petite taille, sa pâleur et son déplacement en vol silencieux, font qu’il est rarement remarqué.
Les Phlébotomes mâles et femelles se nourrissent de sucs végétaux. Les sources directes de parasites sont représentées par les phlébotomes femelles infestées (vecteur biologique). Les femelles prennent en effet, un repas de sang nécessaire à la reproduction (les mâles sont dépourvus de mandibules, les empêchant de percer la peau). Lors de la piqûre, les pièces buccales forment un lac hémolymphatique à partir duquel l’insecte se nourrit. Le repas se déroule pendant quelques minutes, et est facilement interrompu. Plusieurs piqûres seront alors nécessaires sur le chien en divers endroits, afin qu’il y ait inoculation de leishmanies.
MOUSTIQUES :
Les moustiques sont des insectes de l’ordre des Diptères, groupe des Nématocères, famille des Culicidae, identifiables par un système buccal de type piqueur-suceur. Cette famille regroupe les moustiques au sens strict et comprend environ 3 000 espèces.
Les trois principaux genres d’importance médicale sont Anopheles, Culex, et Aedes en tant qu’agents vecteurs potentiels.
Dans la région méditerranéenne, deux espèces de moustiques sont potentiellement dangereuses pour le chien : Aedes aegypti et Culex pipiens, qui ont la capacité de transmettre une maladie mortelle, la dirofilariose ou « maladie des vers du cœur ».
Cycle de développement du moustique :
Les moustiques sont des insectes holométaboles (suivant un cycle de métamorphose complète) passant par les stades œuf, larve, et nymphe avant d’évoluer en forme adulte. Chaque stade de développement possède une morphologie externe différente, adaptée au milieu de vie (aquatique pour les trois premiers stades et aérien pour le stade adulte) et spécifique de chaque sous-famille et espèce de moustiques.
Cycle de développement de Dirofilaria immitis :
Le cycle de Dirofilaria immitis est un cycle hétéroxène obligatoire, il n’existe aucun passage dans le milieu extérieur (Figure 43).
L’hôte définitif de D. immitis est habituellement le chien, mais d’autres espèces animales peuvent l’héberger, tandis que l’hôte intermédiaire est un moustique appartenant à l’un des genres Culex, Aedes, Psorophora ou Mansonia. Les moustiques ingèrent les microfilaires en prenant leur repas sanguin, ces dernières se développent dans le tube de Malpighi de l’insecte, 36 heures après son infestation. Le stade parasitaire L2 apparaît 4 jours après l’infestation, puis le stade L3 perfore la paroi du tube de Malpighi, pour se retrouver dans la cavité générale, puis le thorax, la trompe, et enfin la cavité du labium.
Les moustiques porteurs de larves infestantes, les transmettent lors du repas sanguin sans les inoculer, en effet, les larves sortent activement de la trompe. Lors du repas, de l’hémolymphe est excrétée, recouvrant les larves et les protégeant ainsi de la dessiccation.
Chez le chien, les larves L3 cheminent dans le tissu conjonctif, pour donner le stade L4 au 10ème jour post-infestation, et le stade adulte entre le 60ème et le 80ème jour.
Le stade adulte immature passe dans la circulation sanguine et arrive dans le coeur droit, où les larves s’engagent dans l’artère pulmonaire pour y demeurer pendant 7 à 8 semaines.
A partir de la 16ème semaine, ces larves effectuent une migration rétrograde dans le ventricule. Les microfilaires femelles mesurent 15 à 30 cm de long et 1 à 1,3 mm de diamètre, tandis que les mâles sont plus petits et plus fins, 12 à 18 cm et 0,6 à 0,8 cm de diamètre. Le cycle dure environ cinq mois chez le chien.
Symptômes généraux :
En règle générale, les chiots présentent un risque plus élevé que les chiens adultes d’être infectés par des parasites et de les transmettre.
Chez les chiens contaminés par un helminthe digestif, les principaux symptômes rencontrés sont les suivants :
– Troubles de croissance : les helminthes digestifs entrainent un retard de croissance essentiellement sur les chiots de grande race. Les vers se logent dans les villosités de l’intestin, et entrainent un amaigrissement lié aux diarrhées, et à l’activité de spoliation des vers.
– Troubles digestifs : la présence d’helminthes dans l’intestin grêle ou le gros intestin peut provoquer des diarrhées ou des constipations. Ils peuvent être responsables de ballonnements, ou encore de la présence de sang dans les selles de l’animal.
– Anorexie : le chiot parasité peut présenter des troubles de l’appétit, pouvant être associés à des vomissements.
– Amaigrissement : le chiot parasité peut présenter un aspect physique particulier de « chèvre » (perte de poids et ballonnements abdominaux).
– Prurit anal : caractérisé par le « signe du traineau », lié à l’obstruction des glandes anales par des anneaux de vers.
LES NEMATODES :
Vers cylindriques, pseudo-coelomates (organisme possédant une cavité unique dépourvue de paroi propre, dans laquelle baignent les organes mésodermiques entre épiderme et tube digestif), au corps non segmenté, ils ont un tube digestif complet et les sexes des adultes sont séparés. Les nématodes sont des espèces à vie libre (dans les sols, l’eau, les sédiments…) ou parasites des animaux et des végétaux (cycle monoxène ou hétéroxène).
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Table des matières
PARTIE I REGLEMENTATION EN PHARMACIE VETERINAIRE
I- GENERALITES
II- DISPENSATION
1) SUBSTANCES ET MEDICAMENTS VETERINAIRES POUVANT ETRE DELIVRES SANS ORDONNANCE
2) SUBSTANCES ET MEDICAMENTS VETERINAIRES DONT LA DELIVRANCE NECESSITE UNE PRESCRIPTION VETERINAIRE
a) Prescription vétérinaire
b) Règles générales d’exécution des ordonnances
3) DELIVRANCE AU VETERINAIRE
III- PHARMACOVIGILANCE VETERINAIRE
1) QUEL CAS DECLARER ?
2) QUI DOIT DECLARER ?
PARTIE II GENERALITES SUR LE CHIEN
I- UN PEU D’HISTOIRE
II- MORPHOLOGIE
III- COMPORTEMENT
IV- PHYSIOLOGIE
PARTIE III PARASITES ET ANTIPARASITAIRES EXTERNES (APE)
I- DETECTER LE PARASITE EXTERNE
1) ÉLEMENTS CLINIQUES D’ORIENTATION
2) ÉLEMENTS PHYSIQUES D’ORIENTATION
II- AOUTATS
1) CYCLE DE DEVELOPPEMENT
2) SAISON D’APPARITION
3) PATHOGENICITE ET THERAPEUTIQUE
a) Rôle pathogène
1. Clinique
2. Diagnostic
3. Traitements
4. Les risques pour l’homme
b) Rôle vectoriel
III- TIQUES
1) CYCLE DE DEVELOPPEMENT
2) SAISON D’APPARITION
3) PATHOGENICITE ET THERAPEUTIQUE
a) Rôle pathogène
1. Clinique
2. Diagnostic
3. Traitements
b) Rôle vectoriel
1. Piqûre de tiques et Maladie de Lyme
1.1. Clinique
1.2. Diagnostic
1.3. Traitements
1.4. Risques pour l’Homme
2. Piqûre de tiques et Ehrlichiose
2.1. Clinique
2.2. Diagnostic
2.3. Traitements
2.4. Risques pour l’Homme
3. Piqûre de tiques et Piroplasmose
3.1. Clinique
3.2. Diagnostic
3.3. Traitements
3.4. Risques pour l’Homme
IV- POUX (5
1) CYCLE DE DEVELOPPEMENT DU POU
2) SAISON D’APPARITION
3) PATHOGENICITE ET THERAPEUTIQUE
a) Rôle pathogène
1. Clinique
2. Diagnostic
3. Traitements et Stratégie thérapeutique
b) Rôle vectoriel
V- PUCES
1) CYCLE DE DEVELOPPEMENT
2) SAISON D’APPARITION
3) PATHOGENICITE ET THERAPEUTIQUE
a) Rôle pathogène
1. Clinique
1.1. Excitation et affaiblissement de l’animal
1.2. Spoliation sanguine
1.3. Infestation par les puces et dermatite par allergie aux piqûres de puces (DAPP)
2. Diagnostic
3. Traitements
4. Risques pour l’Homme
b) Rôle vectoriel
1. Transmission de Dipylidium caninum
1.1. Principaux symptômes
1.2. Diagnostic
1.3. Traitements
1.4. Risques pour l’Homme
VI- PHLEBOTOMES
1) CYCLE DE DEVELOPPEMENT DU PHLEBOTOME
2) SAISON D’APPARITION
3) PATHOGENICITE ET THERAPEUTIQUE
a) Rôle pathogène
1. Clinique
14
2. Traitements
b) Rôle vectoriel
1. Clinique
2. Diagnostic
3. Traitements
4. Risques pour l’Homme
VII- MOUSTIQUES
1) CYCLE DE DEVELOPPEMENT DU MOUSTIQUE
2) SAISON D’APPARITION
3) PATHOGENICITE ET THERAPEUTIQUE
a) Rôle pathogène
1. Clinique
2. Traitements
3. Risques pour l’homme
b) Rôle vectoriel
1. Clinique
2. Diagnostic
3. Stratégie thérapeutique
4. Risques pour l’Homme
FICHES CONSEILS
PARTIE IV PARASITES INTERNES ET VERMIFUGATION
I- GENERALITES
1) DEFINITION
2) CLASSIFICATION
3) SYMPTOMES GENERAUX
II- LES NEMATODES
1) LES ASCARIDES
a) Toxocara canis
1. Cycle de développement
2. Saison d’apparition
3. Pathogénicité et thérapeutique
a. Rôle pathogène
b. Rôle vectoriel
b) Toxascaris leonina
1. Cycle de développement
2. Saison d’apparition
3. Pathogénicité et thérapeutique
a. Rôle pathogène
b. Rôle vectoriel
2) LES ANKYLOSTOMES
a) Cycle de développement
b) Saison d’apparition
c) Pathogénicité et thérapeutique
1. Rôle pathogène
2. Rôle vectoriel
3) LES TRICHURES
a) Cycle de développement
b) Saison d’apparition
c) Pathogénicité et thérapeutique
1. Rôle pathogène
2. Rôle vectoriel
III- LES CESTODES
1) TAENIA SP.
a) Cycle de développement
b) Saison d’apparition
c) Pathogénicité et thérapeutique
1. Rôle pathogène
2. Rôle vectoriel
2) ECHINOCOQUES
a) Cycle de développement
b) Saison d’apparition
c) Pathogénicité et thérapeutique
1. Rôle pathogène
3) DIPYLIDIUM CANINUM
a) Cycle de développement
b) Saison d’apparition
c) Pathogénicité et thérapeutique
1. Rôle pathogène
FICHES CONSEILS
CONCLUSION
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
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