Inexistence d’un modèle de collecte des informations comptables

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Forme organisationnelle de LECOFRUIT et de son service Fabrication

Organisation fonctionnelle

La société ayant un Président Directeur Général, est dirigée par un Directeur Général assisté par un consultant. Sous la Direction Générale, se trouvent un Directeur Technique et sept services dont:
– le service Administration Générale,
– le service Production Agricole,
– le service Logistique,
– le service Fabrication
– le service Achat,
– le service Personnel,
– le service Contrôle et Qualité
Par contre, comme il est présenté dans l’organigramme du groupe, le service Comptable et Financier de toutes les sociétés du groupe se situe au siège, sous tutelle de la direction financière.

Attributions de chaque fonction

Président Directeur Général (PDG)

En relation permanente avec les partenaires extérieurs et nationaux, il élabore la politique générale du groupe et fixe les objectifs à atteindre en faisant coordonner toutes les actions à mettre en œuvre.

Directeur Générale (DG)

En relation directe avec le PDG, il met en œuvre la politique élaborée pour atteindre ses objectifs. Il prépare toutes les actions à entreprendre, pour les objectifs aussi bien à court terme qu’à long terme.
Son rôle consiste à faire marcher l’entreprise avec tous les pouvoirs qu’on lui a conféré. Il a aussi pour mission de réaliser des profits à partir des moyens bien adaptés.

Consultant

C’est le conseiller du DG, il se charge des relations extérieures relatives aux appels d’offres sur les achats des intrants à l’étranger. Il est toujours en contact permanent avec les fournisseurs extérieurs.

Directeur Technique

Il est le responsable de tous les travaux relatifs à la fabrication, recherche du bon rendement et de la bonne qualité des produits finis.

Service Administration générale

Ce service assume la gestion des paysans, la gestion du magasin des intrants agricoles (MIA), des stocks, des immobilisations, de la sécurité et du parc informatique. Il s’occupe aussi du paiement des paysans (agent payeur)

Service production agricole

Il se charge de l’encadrement des paysans, en suivant toutes les activités agricoles. En outre, ce service coordonne et organise le travail des chefs de culture, des chefs de zone, des assistants cultures et des stagiaires.

Service Logistique

Ce service s’occupe de la réparation des voitures essentiellement appartenant à la société, du magasin des pièces de rechange (MPR), de la collecte des produits aux paysans, des entretiens de bâtiments et de la préparation aux embellissements de la société.

Service Fabrication

Il a pour rôle principal la préparation et conditionnement des produits agricoles. Par ailleurs, il a d’autres fonctions, entre autres, l’étude des produits et suivre des activités des ateliers, la mise en place de la comptabilité fabrication (calcul des coûts et prix de revient) ainsi que la gestion de deux grands magasins à savoir le magasin des intrants de fabrication (MIF) et le magasin des services d’entretien et de la maintenance (MSEM).

Service Achats

Il se charge d’assurer la gestion des fournitures de bureau et son magasin (MFB), la caisse usine et les achats proprement dite. En outre, ce service assure aussi les approvisionnements des matières d’usage à la société et des paiements des factures des marchandises achetées directement par l’usine Lecofruit.

Service Personnel

Il applique et organise les ressources humaines en gérant le personnel. (salaires, déclarations fiscales, tenue des registres d’employés, Cnaps, Ostie, tenue du dossier d’assurance …)

Service contrôle qualité

Ce service se charge du bon fonctionnement du laboratoire en vérifiant et en contrôlant la qualité des produits dès l’arrivé à l’usine, en cours de fabrication et des produits finis en vue d’exportation. Il assure aussi la protection en hygiène des produits à fabriquer et à expédier.

Organigramme de Lecofruit

L’organigramme de la société suit la structure de « commandement hiérarchique  » .

Structure du service Fabrication

L’un de pivots essentiels d’une société de production est la fabrication. La fabrication des produits et leurs méthodes sont les points importants. Pour cela ; la fabrication doit avoir les matériels perfectionnés et performants avec de bon professionnalisme. Sa structure doit s’adapter aux conditions environnementales actuelles et futures.

Importance de la fonction fabrication

Le service Fabrication a des relations fonctionnelles bien définies avec les autres services. Les matières premières doivent être bien analysées avant d’être transformées. Les produits fabriqués doivent également satisfaire la clientèle suivant une conformité prédéfinie par les deux parties. Ainsi, dans le service Fabrication, les taches et les actions d’un chef sont très complexes et rien ne doit être négligé. Une erreur de fabrication a une grande influence à la situation financière de la société. Donc, le chef du service Fabrication doit avoir la détermination d’entreprendre toute action et avoir la volonté professionnelle

Présentation théorique du système comptable : outil de gestion

Deux points sont à considérer dans ce second chapitre :
– les règles qui ont habituellement pour objet de définir les objectifs d’un système comptable et la répartition des responsabilités,
– la détermination des composants du système comptable et leur fonction.

Système comptable : outil de gestion

Définition et principes fondamentaux de la comptabilité

Définition

Dans le dictionnaire Larousse le mot « outil » est un instrument fabriqué par l’homme pour faire un travail manuel « .
La comptabilité a pour objet de rendre des services. Elle n’est pas une fin en soi , mais un moyen, elle n’est pas régie par des principes de causalité, mais par des principes de finalité
Elle doit donc évoluer, sous l’influence des besoins du chef d’entreprise, de la profession de la Nation et des sciences économiques. Ces besoins se renouvellent et s’accroissent sans cesse à mesure que s’intensifie la complexité de la civilisation.
Ainsi se développent les méthodes comptables et la nécessité de leur emploi, à mesure que s’étend le progrès technique, générateur de progrès économique.
Une certaine connaissance de la comptabilité est donc nécessaire à ce qui veut participer à la vie financière, économique et sociale du monde actuel.
Selon l’idée fondamentale de la comptabilité, le système comptable a pour définition d’enregistrer les dépenses et les recettes et fournir le solde possédé en monnaie. Il sert à :
• Tenir des comptes (les créances et dettes des correspondants) ;
• Fournir des informations aux utilisateurs (états financiers)
• Elaborer la base de référence pour la prévision et la vérification de la réalisation
• Répondre à des besoins micro économique (besoins internes du chef d’entreprise, besoins externes des apporteurs de capitaux)
• Permettre enfin pour l’Etat de connaître la détermination de différents impôts.
De cette évolution se dégage essentiellement deux aspects complémentaires au niveau de l’organisation comptable, d’une part, aspect ou organisation comptable qui est orienté vers l’information externe (la comptabilité financière), et d’autre part, aspect orienté vers l’information interne (la comptabilité de gestion).
Pratiquement, ces deux branches de la comptabilité puisent leurs renseignements des mêmes enregistrements et des mêmes sources.

Principes fondamentaux de la comptabilité

But de la comptabilité

La comptabilité a pour but :
– De connaître le montant et l’origine des résultats passés et futurs ;
– De vérifier les décisions prises ou à prendre à cet égard c’est bien un outil de gestion et de prévision ;
– De connaître la position de l’entreprise vis à vis de tous les tiers ;
– De contrôler l’évolution du patrimoine de l’entreprise.
Une comptabilité organisée en vue de risquerait de priver les responsables indispensable. ne répondre qu’à des soucis de fiscalité de l’entreprise d’un outil de gestion

Principes comptables fondamentaux

Le plan comptable général (PCG) 1987 a retenu huit principes comptables fondamentaux :
1) Principe de coût historique : coût comptabilisé l’élément du bilan par exemple à leur coût d’acquisition selon le montant inscrit dans le contrat de vente. Réévaluation du bilan : selon la valeur réelle par l’application des taux de réévaluation par le Ministère des finances ; dans ce cas, tous les éléments du bilan doivent être réévalués ;
2) Principe de prudence :
 Les pertes latentes doivent être comptabilisées,
 Les gains latents ne doivent pas être comptabilisés ;
3) Principe d’autonomie ou d’indépendance d’exercice comptable ;
4) Principe de permanence des méthodes qui a quatre méthodes : – Méthode LIFO (en période de l’inflation),
– Méthode FIFO (en période de récession), – Méthode coût moyen après chaque entrée,
– Méthode du coût unitaire pondéré (CMUP), en période de conjonctures économiques stables (par de variation de prix) ;
5) principe de bonne information ;
6) principe de continuité d’exploitation : l’entreprise doit être créée pour 99 (au minimum 50 ans) ;
7) principe de non – compensation des comptes du bilan, pour veiller au principe ;
8) Principe d’identité du bilan d’ouverture d’exercice au bilan de clôture de l ‘exercice précédent.
Si nous mettons l’accent sur l’image fidèle, elle fait l’objet de différents aspects dans la conception dominante du PCG 87 ; les comptes doivent être établis dans le respect des principes de prudence, de régularité, de la sincérité et de continuité.

Système comptable : outil de gestion

Approche micro-économique de l’outil de gestion

Les états de synthèse, c’est à dire le compte de résultat (analytique) et le bilan sont donc essentiellement tournés vers l’entreprise et vers l’explication des résultats obtenus par l’activité de chaque responsable afin de le pousser à l’action (calquée sur le fonctionnement concret des processus commerciaux). La comptabilité décrit notamment une accumulation progressive des coûts d’achats pour aboutir à dégager la notion de coûts des ventes, lors de la sortie effective du majeur des produits à destination de la clientèle.
Ainsi, pour atteindre les objectifs opérationnels, il faut se doter d’un système de comptabilité et de contrôle permettant d’enregistrer toutes les opérations financières et d’en rendre compte de manière fiable.
Il ne s’agit pas là uniquement de permettre à l’entreprise de s’acquitter de ses responsabilités, mais, surtout de fournir aux responsables décideurs l’information de gestion financière dont ils ont besoins pour mesurer les résultats et les performances de l’entreprise par rapport à ses concurrents et de mesurer l’objectif par rapport aux prévisions.
Ce système doit être opérationnel lorsque les dépenses de l’entreprise commentent les caractéristiques de rapports financiers seront fonction des besoins de la firme.
Il est par conséquent extrêmement important que toutes les évaluations financières incluent, lors d’au moins une des missions pertinentes, un agent de l’entreprise qualifié pour évaluer la capacité et la fiabilité des structures et des instruments de gestion.
L’étude doit porter sur les aspects tels que :
– Système de budgétisation et de comptabilité
– Système de contrôle interne
Dans ce cas, le système comptable doit être entièrement intégré, chaque fois que cela est possible, à tous les systèmes de gestion financière (budget, trésorerie de gestion de la dette), de manière à fournir une base de données commune pour l’information financière.
Il doit y avoir un lien entre les catégories de coûts utilisées par le système de comptabilité et les apports nécessaires à l’exécution des objectifs. Ce lien doit être transparent. Les coûts importants doivent être enregistrés séparément.

Système comptable : instrument pour mesurer la performance de l’entreprise

Approche macro-économique :
Le but est ici de fournir la mesure la plus objective possible de la performance d’ensemble de la firme qui n’est autre que celle de ses dirigeants.
Les vraies performances de l’entreprise, du point de vue macro-économique sont :
– sa valeur ajoutée, seul véritable flux de richesse qu’elle ait produit dans l’économie par son activité propre. La participation au produit intérieur brut (PIB) exprime l’aspect concordant de l’intérêt de l’entreprise ;
– Sa propre part dans la valeur ajoutée, après que l’entreprise a servi les autres parties prenantes de la valeur ajoutée. Les surplus que représente cette part n’est autre que si l’on considère du point de vue des flux financiers, que l’autofinancement dégagé par l’entreprise.
– le flux net général par l’entreprise, qui indique la tendance de l’entreprise vers l’endettement ou le désendettement
– La variation du disponible, soit la différence entre les encaissements et le décaissement de la période.
Tous ces éléments sont à la fois objectifs et macro-économique, même s’ils ont lieu au niveau de l’entreprise ou des agents.

Composition du « système comptable »

Actuellement, ce système a beaucoup évolué et est composé de plusieurs aspects :
– La comptabilité financière apparaît comme le procédé retenu pour la présentation des informations à l’usage des différents groupes extérieurs ; elle se réfère au passé et à la gestion des responsables ;
– La comptabilité de gestion apparaît comme le procédé retenu pour la présentation des informations à l’usage des responsables de la gestion et permettant par référence au passé, de prévoir et d’orienter les décisions de gestion ;
– La comptabilité générale ;
– La comptabilité analytique ;
– La comptabilité budgétaire.
A préciser que ces trois dernières précitées sont partie des deux premières.
Toutefois, elles seront développées succinctement dans cette section.

La comptabilité générale

La comptabilité générale est le système d’information qui présente un ensemble d’éléments (journal, grand livre, balance, bilan) et qui permet de percevoir et de connaître le fonctionnement d’une entreprise.
Elle a pour but l’enregistrement en unités monétaires des mouvements de valeurs économiques, en vue de faciliter la conduite des affaires financières, industrielles et commerciales.
Tandis que son objet est de faciliter la mémoire des opérations économiques, d’en exprimer les résultats et d’en permettre le contrôle. Ces trois principes dominent la matière, aussi bien à son aspect juridique qu’au point de vue économique.

Le bilan

C’est un instantané pris à un moment déterminé pour évaluer la situation financière générale de l’organisme à cette date. Les éléments pris en compte dans le bilan sont les éléments d’actif, les dettes et les fonds propres.
Le bilan donne des informations quant aux ressources qui sont actuellement disponibles pour le fonctionnement futur de l’organisation, il renseigne aussi sur le mode de financement des éléments d’actif, financement par prélèvement sur les fonds propres.
Un bilan est ordinairement établi à la clôture de l’exercice. Il donne le détail de tous les éléments d’actif (immobilisations, actifs circulants et autres), des dettes (comptes créditeurs, dettes à court et à long terme) et des capitaux propres (capital appelé et libéré, bénéfices non distribués, ou déficits)

Compte de résultat

Le compte de résultat donne les résultats de l’activité de la période considérée. Les éléments pris en compte pour le calcul du résultat sont les produits et les charges. Les montants devraient être ventilés entre les grandes catégories de l’information financière : les produits d’exploitation, les charges d’exploitation, le résultat net comptable, etc…

La comptabilité analytique d’exploitation

Nécessité et définition

La comptabilité n’est plus seulement aujourd’hui, un système d’enregistrement chronologique des faits, un instrument de contrôle « à posteriori », un moyen de détermination du bénéfice imposable. Elle est désormais, technique de gestion, technique qui traite des données internes de l’entreprise, alors que l’étude du marché rassemble les données externes et que la recherche opérationnelle permette l’extrapolation dans l’espace et dans le temps.
Toutefois, aucune méthode de détermination des coûts n’est imposée aux entreprises. Le plan comptable général considère que la technique normale est constituée par la tenue d’une comptabilité analytique d’exploitation; mais il prévoit également la possibilité de se livrer à des calculs statistiques, ou encore de pratiquer une décote forfaitaire sur le prix de vente.
Par conséquent, la définition de la comptabilité analytique d’exploitation est la suivante :
C’est une comptabilité qui permet aux entreprises quelles que soient leurs secteurs d’activité, pour la détermination des coûts et prix de revient des prestations relatives à un programme.
Elle sert à :
– s’assurer de la fiabilité de leur technique,
– recouper les coûts ainsi dégagés avec les divers éléments du compte d’exploitation,
– établir les coûts des éléments en stock,
– Mettre en relief les éléments constitutifs des coûts et résultats qui présentent le plus d’intérêt pour la direction de l’entreprise.

Eléments des coûts et des prix de revient

Les coûts sont constitués par l’ensemble des charges incorporables se rattachant, soit à une fonction ou à une partie de l’entreprise, soit à un objet, une prestation de services, dans l’état où il se trouve au stade final.
Les coûts et les prix de revient sont la somme de deux catégories différentes de charges : les matières ou fournitures, les œuvres ou façons.
Comme l’entrepreneur a peu de moyens d’actions sur le prix des marchés extérieurs, facteurs extérieurs à l’entreprise, il sera amené à se pencher sur les facteurs internes de rentabilité qu’il pourra mieux contrôler.
L’état concurrentiel du marché a imposé aux entreprises de diversifier leur production ou leur produit destiné à la vente, pour être moins vulnérable en cas de méventes d’un produit. Ceci conduit l’entreprise à rechercher parmi les produits qu’elle commercialise, celui qui lui procure le maximum de rentabilité.
L’analyse du résultat global en résultats analytiques permet à l’entreprise d’orienter ses efforts vers les activités les plus rentables.
L’analyse des coûts devra se situer plus au niveau des canaux de distribution du prix de revient réel en fonction des délais de paiement accordés aux clients.

La comptabilité budgétaire

Utilités et définition

« Prévision » et « contrôle » deviennent des facteurs fondamentaux de la gestion des entreprises, sous des formes diverses, parmi lesquelles il y en a une plus particulièrement liée à l’ensemble des activités d’une firme : la technique budgétaire.
La méthode budgétaire s’est avérée très efficace, mais elle est restée l’affaire des praticiens. La diversité des termes qui la désignent : contrôle budgétaire ; procédure budgétaire ; technique budgétaire, la multiplicité des définitions qui en sont données montrent qu’il n’existe pas encore un corps de doctrines suffisamment précises et générales.
Par ailleurs, la connaissance des concepts et des objectifs fondamentaux s’avère nécessaire, car la plupart des définitions courantes révèlent des points de vue particuliers, financiers, industriels ou patronaux : la comptabilité budgétaire embrassant toutes les activités de l’entreprise, la notion de budget est plus riche et plus nuancée que ne laissent croire des optiques trop étroites.
Il en résulte que le budget est un outil de gestion plus efficace que la comptabilité ; son efficacité n’est limitée que par les moyens de traitement des données dont l’entreprise dispose. Les moyens usuels conduisent à utiliser la comptabilité analytique, l’organisation et la méthode budgétaire comme outils de gestion distincts quoique présentent des interférences.
A partir de tous ces divers aspects que découle la définition générale de la comptabilité budgétaire.
« La comptabilité budgétaire est comme un plan coordonné d’action financière pour l’entreprise qui s’appuie sur des prévisions et des contrôles » (Jean MEYER).
L’expression « comptabilité budgétaire » et les mots « prévisions et contrôle de gestion », recouvrent l’ensemble des techniques quantitatives susceptibles d’être utilisées pour faciliter, améliorer la prise de décision, à savoir :
– Comptabilité générale ;
– Comptabilité industrielle ;
– statistique ;
– ratio ;
– tableau de bord, et bien entendu
– gestion budgétaire.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES
Chapitre I : PRESENTATION GENERALE DE LA SOCIETE LECOFRUIT
Section 1 : Identification de la Société
Section 2 : Forme organisationnelle de Lecofruit et de son service Fabrication
Chapitre II : PRESENTATION THEORIQUE DU SYSTEME COMPTABLE : OUTIL DE GESTION
Section 1 : Système comptable outil de gestion
Section 2 : Composition du système comptable
DEUXIEME PARTIE : CRITIQUES DE LA SITUATION EXISTANTE
Chapitre I : PROBLEMES RENCONTRES AU NIVEAU DE LA COLLECTE DES INFORMATIONS
Section 1 : Inexistence d’un modèle de collecte des informations comptables
Section 2 : Ecritures comptables insatisfaisantes
Section 3 : Circulation insatisfaisante des informations internes
Chapitre II : PROBLEMES RENCONTRES AU NIVEAU DU SYSTEME COMPTABLE
Section 1 : Comptabilité générale hors norme
Section 2 : Comptabilité analytique d’exploitation incomplète
Section 3 : Comptabilité budgétaire insuffisante
TROISIEME PARTIE : PROPOSITION DES SOLUTIONS ET SOLUTIONS RETENUES
Chapitre I : SUGGESTION AU NIVEAU DE LA COLLECTE DES INFORMATIONS
Section 1 : Amélioration de la collecte des informations comptables
Section 2 : Rationalisation des écritures comptables
Section 3 : Création d’un réseau informatique en connexion avec tous les services
Chapitre II : AMELIORATION DU SYSTEME COMPTABLE
Section 1 : Normalisation de la comptabilité générale
Section 2 : Amélioration de la comptabilité analytique d’exploitation
Section 3 : Amélioration du contrôle et du suivi de la comptabilité budgétaire
Chapitre III : SOLUTIONS RETENUES – RESULTATS ATTENDUS – RECOMMANDATIONS
Section 1 : Solutions retenues
Section 2 : Résultats attendus et recommandations
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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