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Agriculture urbaine et péri-urbaine
On entend par péri-urbaines des zones appartenant à un rayon de 20 à 30 km autour du centre-ville d’Antananarivo. Elle est cadrée par Talatavolonondry au Nord, Fenoarivo à l’Ouest, Ambatofotsy (Commune Tsiafahy) au sud et Anjeva à l’Est (Rakotoarisoa et al. 1993). Selon Larousse, cet espace constitue un espace d’urbanisation nouvelle par lotissement et construction individuelle, prenant parfois la forme de mitage. Il peut conserver une forte proportion de paysage rural, mais reste polarisé par la ville, par ses infrastructures, son habitat et le mode de vie de ses résidents.
A ce niveau, l’Agriculture se diffère du cas en monde rural. La différence se base sur la présence de différents types de contraintes tels que la proximité des marchés des emplois urbains, la technologie, la rente de localisation, urbanisation et pollution, industrialisation et enjeu foncier… (Dufour et al. 2003 ; Germain et al. 2006 ; Rouget, 2008). Par rapport à cela il est impératif d’avoir une forte capacité d’innovation pour faire face à ces différentes pressions citées d’ordres sociaux, politiques ou économiques. Un exemple concret sur cet aspect innovateur concerne le cas de Buenos Aires et Stockholm. Des néo-agriculteurs pauvres ont su s’organiser avant d’entrer dans un réseau de commercialisation des produits afin de minimiser les risques que courent les producteurs sur la fluctuation des prix. Ces innovations d’ordre local, économique ou social ont été reprises par le pouvoir public et légalisées juridiquement pour régler d’autres problèmes comme les enjeux fonciers (Soulard et al. 2011). Dans une dynamique locale, ce sont les paysans qui sont innovateurs. La politique d’appui doit tenir compte de cette capacité d’innovation pour être efficace, entre autres dans la création de micro-entreprises ou la modernisation des filières rurales.
Filière maraichère
La filière maraichère regroupe les acteurs impliqués dans le système depuis la production jusqu’à la consommation. Il s’agit d’un rapport de force, en intégration ou en opposition structurelle. La vision classique de l’approche filière se fonde essentiellement sur une forme capitaliste de rationalité économique des acteurs (Charlery, 2002). Actuellement, chaque acteur est contraint de respecter des éthiques qui ont surgi comme le « durable » et « équitable ».
La culture maraîchère est une culture intensive visant à la production de légumes consommés généralement en frais, englobé sous le vocable légumes (sensu lato). Voici quelque définition de différents auteurs :
les plantes légumières fraîches des régions tempérés : choux, carottes, navets, aubergines, oignons, salades, pois, haricots… cultivées toute l’année sur les hautes terres centrales et seulement en hiver sur les côtes ;
Les légumineuses fraîches : pois de cap, voandzou, haricot… ;
Les condiments : piments, poivrons, persils… ;
Les épices : safran (tamotamo), gingembre ;
Les bourgeons terminaux de certains arbres : cœur de ravenala, cocotier… consommés en milieu rural ;
Les feuilles vertes : brèdes ;
Les sous-produits d’une culture : feuilles de manioc, de patate, de taro, de pomme de terre … jeunes pousses de cucurbitacées ;
Les autres acteurs sont constitués par des intermédiaires économiques comme les collecteurs, grossistes ou demi-gros, revendeurs et détaillants.
Cette filière possède un double visage pour Antananrivo. D’une part, on assiste au développement d’une forme de « vivrier marchand » qui assure la connexion de la capitale à ses campagnes périphériques proches et lointaines, notamment celles du Vakinankaratra montagneux (Blanc-Pamard et Rakoto Ramiarantsoa, 2002 ; Chaléard, 1998 ; Chaléard et Dubresson, 1999). Impulsée par une demande urbaine, morcelée par la crise mais en croissance, l’intensification du maraîchage dans ces campagnes s’est faîte surtout à travers l’introduction des cultures de contre-saison dans les rizières. Il en résulte une multiplication des va-et-vient entre les villes et les campagnes dans des proportions considérables ; l’inscription spatiale de cette filière est complexe et renouvelle la vision classique : aux territoires de production et aux circuits de distribution rationnels s’associent désormais des réseaux sociaux parfois informels qui assurent une nouvelle forme d’intégration des espaces ruraux aux métropoles urbaines.
D’autre part, l’autre branche est plus concentrée spatialement et dominée par une minorité d’opérateurs économiques nationaux et étrangers s’efforce de se constituer à destination de la grande distribution ou de l’exportation ( Rabemanambola et al., 2009).
Diversification des activités
La diversification des activités est la pratique de plusieurs activités en parallèle ou successives au sein de l’exploitation. Elle comprend la diversification des activités agricoles et des activités extra-agricoles (Zoundi, 2003). La diversification est reconnue comme une stratégie permettant de développer la production ou la commercialisation de plusieurs produits au sein d’une exploitation (Belton et al., 2002). La diversification des activités représente la principale stratégie des exploitations familiales malgaches (MinAgri, 2009), et des agriculteurs dans la Région SAVA (MAEP, 2003). Elle est reconnue comme un élément majeur de la gestion du risque lorsque les marchés du crédit et de l’assurance sont imparfaits (Ellis, 2000). Elle permet d’atténuer les risques agricoles (Dalila, 2013). Cependant, le degré de diversification augmente avec la richesse de l’exploitation. L’exploitation pauvre présente un faible degré de diversification tandis que l’exploitation riche est caractérisée par un degré de diversification élevé (Ranaivoson, 2010 ; Randrianomanana, 2013).
Etat de l’art
Maraichage dans le temps et dans l’espace
D’après « Le manuscrit de l’Ombiasy », repris par Pierre Verin in « l’Agriculture en Imerina, il y un siècle », vers 1870, certaines cultures maraichères pratiquées par des européens étaient déjà bien acclimatées à Antananarivo et les pratiques culturales avaient déjà atteint un haut degré de perfection. La période de la colonisation constitue par la suite une période d’expansion massive. C’était dans le but de satisfaire les besoins en légume les européens résidents à Antananarivo (Rakotoarisoa, et al. 1993).
Actuellement, les campagnes des hautes terres malgaches figurent parmi les campagnes les plus peuplées du monde. A ce niveau, il existe une double recomposition socio-spatiale dans l’interaction « ville périurbaine ». D’une part, la paysannerie centrée sur le riz a toujours pratiqué la polyculture et la poly-activité. Le premier est constitué de l’élevage laitier traditionnel et le maraîchage considéré comme les activités vivrières marchandes adaptées à l’écologie tropicale d’altitude et indispensables à la survie des régions rurales. D’autre part, au fil de son extension, l’agglomération devient de plus en plus dépendante des campagnes d’altitude environnantes pour son approvisionnement en produits frais (Rabemanambola, et al. 2009).
En termes des demandes en fruits et légumes au sein des ménages urbains, les dépenses en légumes représentent de 15 à 20 % du budget alimentaire des ménages de l’Afrique subsaharienne (Moustier et al. 1996), et 18 % pour le cas d’Antananarivo ( Rabemanambola, et al. 2009). Les 4 groupes de légumes dominants sont les légumes feuilles comprenant les brèdes, les choux, la salade, puis les légumes fruits qui sont les tomates et concombres. Ensuite, on a les légumineuses constituées par le haricot, le petit pois. Enfin, parmi les légumes racines, on peut citer la pomme de terre et la carotte (Rajoelison, 2003). Suite à la forte fluctuation des prix, la consommation de légume varie faiblement. En cas de faible pouvoir d’achat, la viande et le poisson sont sacrifiés avant les légumes « de base » (Moustier et al. 1996).
Zone péri-urbaine et diversification de types d’activités au sein d’un ménage péri- urbain
La diversification des activités au niveau péri-urbain entraine une remise en question de l’ordre des types d’activités. Pour le moment, la riziculture tient la première place vu que ce sont des zones à caractères ruraux. A ce niveau, riziculture et maraichage ont toujours été privilégiés, mais cette affirmation conduit à une confusion de l’importance que tiennent ces deux types d’activités dans une zone ou une autre.
D’un côté des auteurs ont insisté sur la priorisation de la riziculture face au maraichage sur un plan plus large. La riziculture constitue la principale culture en termes d’occupation de la superficie agricole pour trois quarts des communes malgaches et la principale source de revenu des ménages dans 45 % des communes (Minten et al, 2003). Selon UPDR en 2003, les cultures vivrières (dont céréales telles que riz et maïs) tiennent la première place suivie des cultures maraichères. De point de vue plus orienté vers le péri urbain, la riziculture est très importante vu que la population d’Antananarivo se procure près de 14 % de ses besoins en riz, soit 24 000 tonnes, à partir de la production urbaine, périurbaine et rurale proche (Dabat et al. 2004).
D’un autre côté, la diversification est de plus en plus constatée. Elle dépend de l’accès à l’eau autrement dit le riz reste dominant dans les zones inondables et le maraichage ailleurs lorsque l’eau est accessible (Aubry, et al. 2008 ; Rabemanambola, et al. 2009). Les produits maraîchers sont seulement pratiqués dans la mesure où ils n’épuisent pas les sols des rizières. Leur entretien n’accapare pas le temps du paysan et ils sont faciles à écouler sur les marchés urbains (Rabemanambola, et al. 2009). Cependant, en considérant les études déjà conduites sur la zone d’étude, on peut s’attendre à des changements d’ordres des types d’activités. De plus, les changements sont susceptibles d’être différents d’une zone à l’autre.
Premièrement, la priorisation du riz peut être remise en question. La riziculture irriguée est peu performante avec un rendement moyen de 2,5 T à l’hectare en raison de faible utilisation d’intrants, variétés obsolètes, technique de production peu efficiente (plan à repiquer âgé donc faible capacité de tallage) et d’une gestion collective d’eau inexistante ou très limitée. De plus, la briqueterie s’est fortement développée ces dernières années. Par rapport à cela, les rizières deviennent de moins en moins productives. Au niveau des plaines où la riziculture a été abandonnée, les marécages à jacinthe d’eau se multiplient, sources de nouvelles activités agricoles par exemple fourrage des bovins (Aubry, et al. 2008). Par conséquent, la production en riz ne couvre pas les besoins annuels des ménages. D’autres spéculations et activités commencent à se développer sous diverses contraintes spécifiques à chaque zone.
Ensuite, la spécialisation est remarquée selon la distance par rapport à la ville. Les habitants plus proches d’Antananarivo exercent beaucoup de travaux non agricoles très liés à la demande de la ville et aux opportunités qu’elle offre. Les revenus dégagés sont destinés à la survie de la famille et sont très rarement réinvestis dans l’agriculture pour l’intensification c’est-à-dire achat d’intrant ou à la rémunération des salariats agricoles et exceptionnellement à l’achat de foncier (Aubry et al. 2008). Ces auteurs ont initié des modalités d’affectation de ressources pour ce cas entre les activités agricoles et non agricoles, mais il n’est pas démontré qu’il existe ou non une interdépendance entre les spéculations respectives. La pratique de culture maraichère à cycle court est importante pour ce cas. Comme caractéristiques, elles ne nécessitent pas beaucoup d’intrant et sont peu sensible aux maladies, s’adressant à une large clientèle et source rapide d’argent (Moustier et al. 1996).
Pour d’autres zones, les systèmes de cultures maraichères sont plus diversifiés, avec alternance de types à cycle court et long conduits de façon plus intensive. Ils sont souvent associés à un petit élevage laitier pour la fertilisation des tanety. On y rencontre la combinaison « riz-canard-pêche-brique » qui est un système limité dans le temps (4 ans). Les légumes-feuilles de cycle court (un à deux mois), peu risqué à la production, et à la commercialisation permettent de disposer de fortes recettes périodiques qui peuvent répondre à des besoins financiers plus importants (Moustier et al. 1996).
Zones péri-urbaines et innovations agricoles
Dans et autour des villes, différents modèles d’agriculture coexistent. Ce sont leurs combinaisons territoriales qui sont intéressantes à comprendre, au sein de territoires complexes, multifonctionnels et dynamiques. Certains analystes ont proposé des concepts aptes à éclairer cette complexité. En 1997, Bryant proposait de considérer l’agriculture périurbaine comme un milieu innovateur. Cette idée a été développée par M. Poulot (2010) qui identifie les projets agri-urbains comme des lieux d’innovations dès lors qu’ils permettent aux acteurs d’explorer des voies d’articulation entre des intérêts contradictoires et entre des actions sectorielles, dans des territoires en émergence. Ces travaux amènent les géographes à s’intéresser au concept d’innovations territoriales (Giraut, 2009) ou d’inter-territorialité (Vanier, 2007), pour décrire les agencements territoriaux qui se créent et se reconfigurent sans cesse, supposant parfois des innovations organisationnelles, socio-spatiales ou institutionnelles (Sabatier et al. 2007). Les agronomes et économistes agricoles sont aussi force de proposition avec le concept d’agriculture de proximité qui suggère une différenciation des systèmes agricoles sous l’effet des dynamiques territoriales, qu’elles soient urbaines ou rurales (Duvernoy et al. 2005). En effet, comprendre ces dynamiques supposent d’articuler la double durabilité « interne » et « externe » de l’exploitation agricole, et d’élargir l’analyse du système de production agricole au système d’activités et au système de commercialisation.
Cependant dans la majorité des cas les ajustements à un nouvel environnement ou un contexte changeant s’expriment parfois par des adaptations réactives que des réponses anticipées (Oudart et al. 2012). Ainsi, cela incite à effectuer une analyse prospective.
Types de pressions et sources de dynamique
Pour le cas de la zone d’étude, on peut citer comme types de pressions la forte densité de la population au niveau de certaines communes dont Tanjombato et Andoharanofotsy puis l’urbanisation. La carte suivante présente l’importance de la densité de la population au niveau des communes.
Carte 1: carte de la densité de la population au niveau des communes de la zone d’étude La commune Tanjombato subit une forte pression démographique compte tenu d’une population très dense dépassant les 10 000 hab/km² par rapport à 3 000 hab/km² en moyenne pour la zone d’étude et 345 hab/km² au niveau national. Ainsi, la commune Tanjombato est largement surpeuplée, suivie d’Andoharanofotsy avec plus de 6 500 hab/km². Les communes les moins peuplées se trouvent dans la partie Est (Alasora et Ambohijanaka au environ de 1800 hab/km²), extrême Ouest dont Fenoarivo et Alakamisy (plus de 1000 hab/km²) et enfin la partie
Sud ayant 232 hab/km².
Forme de dynamisme locale
Actuellement au niveau péri-urbain, les bourrelets alluviaux en bordure des bas-fonds rizicoles appelés baiboho sont saturés. De ce fait, les cultures maraichères se sont étendues sur les tanety depuis une dizaine d’années. Elles ont donc substitué les cultures de manioc. Cette extension au niveau des tanety s’est accompagnée de l’introduction de l’élevage de vache laitière pour la production de fumier pour le maraichage d’une part, mais aussi pour la production laitière d’autre part. La construction de la fertilité´ des tanety se fait par combinaison de cultures à cycle plus ou moins long avec apport important en fumier. Cependant, cette dynamique territoriale est freinée aujourd’hui par les contraintes liées au développement de l’élevage bovin. Il existe désormais une concurrence entre affouragement et cultures maraichères pour l’espace, limitation du fumier dont la gestion est très couteuse en temps (N’Dienor,, et al. 2011).
En général, la question de la durabilité des agricultures urbaines s’avère au final une clé d’entrée opportune pour mettre en exergue le nombre d’innovations sociales, techniques et commerciales, organisationnelles ou institutionnelles, qui contribuent à redéfinir localement la nature du lien villes-agricultures (Soulard, et al. 2011).
Potentialité agronomique de la zone d’étude
La dynamique peut aussi être expliquée par les potentialités agronomiques des zones, suivant le facteur édaphique et climatique. Pour l’ensemble de la zone d’étude, on distingue 2 types de sol dominants. D’abord, on distingue le sol ferralitique couvrant les reliefs élevés. Ceci résulte de l’évolution très diverse allant des argiles latéritiques relativement fertiles jusqu’aux cuirasses des Tampoketsa, imperméables, dépouillés d’éléments utiles, crevassés de « lavaka ». Dans l’ensemble, ces sols sont compacts, fragiles, difficiles à travailler. Néanmoins convenablement amendés, ils peuvent porter du maïs, manioc, pomme de terre ou arboriculture. Ensuite, les sols alluviaux, occupant les plaines, rencontrés surtout dans les cuvettes. Ils sont essentiellement réservés à la riziculture, parfois cultivés en contre-saison avec des cultures maraichères. On peut aussi trouver des sols à vocation herbagère constitués par les alluvions de la rivière Ikopa et ses affluents. Ce sont des sols profonds limono-argileux moins riches en éléments organiques. Avec un relief accidenté, la superficie cultivable sur tanety est environ 10% (Rakotondrabe, 2008).
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Table des matières
INTRODUCTION
I. CONCEPT ET ETAT DE L’ART
I.1 CONCEPTS
I.1.1 Agriculture familiale
I.1.2 Agriculture urbaine et péri-urbaine
I.1.3 Filière maraichère
I.1.4 Diversification des activités
I.2 ETAT DE L’ART
I.2.1 Maraichage dans le temps et dans l’éspace
I.2.2 Zone péri-urbaine et diversification de types d’activités au sein d’un ménage péri-urbain
I.2.3 Zones péri-urbaines et innovations agricoles
I.2.3.1 Types de pressions et sources de dynamique
I.2.3.2 Forme de dynamisme locale
I.2.3.3 Potentialité agronomique de la zone d’étude
I.3 INEFFICACITE DE L’APPROCHE ET NOUVEAU CONCEPT D’AGRICULTURE URBAINE
II. MATERIELS ET METHODES
II.1 MATERIELS
II.1.1 Cadrage de la zone d’étude
II.1.2 Justification du choix du thème et de la zone
II.2 METHODES
II.2.1 Démarches communes pour la vérification des hypothèses
II.2.1.1 Revue bibliographique
II.2.1.2 Elaboration du protocole de recherche
II.2.1.3 Enquête exploratoire
II.2.1.4 Enquête définitive
II.2.1.5 Limite de la méthodologie
II.2.2 Démarches spécifiques pour la vérification des hypothèses
II.2.2.1 Vérification de l’hypothèse1 : « les systèmes d’activités en milieu paysan entre les zones sont homogènes et dominés par la riziculture »
II.2.2.2 Vérification hypothèse2 : «chaque type d’activité à l’intérieur d’une zone possède sa caractéristique propre et dynamique entrainant la différence interzone»
II.2.2.3 Vérification hypothèse 3 : «les types d’activités prioritaires dégageront des surplus pouvant financer les autres types de rang inférieurs dans le futur proche »
II.3 SYNTHESES DES MATERIELS ET METHODES
II.3.1 Synthèse des matériels et méthodes communes et spécifiques aux hypothèses
II.3.2 Chronogramme des activités
III. RESULTATS
III.1 RESULTA1 : LES SYSTEMES D’ACTIVITES PRIORITAIRES PAR ZONE
III.2 RESULTAT 2 : LES FACTEURS INTERNES DE DYNAMISME
III.2.1 Ordonnancement des types d’activités
III.2.1.1 Zone Ouest
III.2.1.2 Zone Est
III.2.1.3 Zone Sud
III.2.1.4 Synthèse de l’ordonnancement
III.2.2 Analyse prospective
III.2.2.1 Analyse prospective des activités Zone Ouest
III.2.2.2 Analyse prospective des activités prioritaires Zone Est
III.2.2.3 Analyse prospective des activités prioritaires spécifiques Zone Sud
III.2.2.4 Synthèse de l’analyse prospective
III.3 RESULTAT 3 : LES AUTRES FACTEURS EXPLICATIFS DE LA DYNAMIQUE SPATIALE
III.3.1 Zone Ouest
III.3.2 Zone Est
III.3.3 Zone Sud
III.4 SYNTHESE DES RESULTATS
IV. DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
IV.1 DISCUSSIONS
IV.1.1 Hétérogénéité des types d’activités
IV.1.1.1 Influence de l’accès aux facteurs de production-Zone d’interface
a) Zone Est
b) Zone Ouest
c) Zone Sud
IV.1.1.2 Influence des milieux urbains
IV.1.2 Ordre et évolution des types d’activités prioritaires dans le futur proche
IV.1.2.1 Zone Ouest
IV.1.2.2 Zone Est
IV.1.2.3 Zone Sud
IV.1.3 Autres facteurs de dynamisme
IV.1.3.1 Facteurs économiques
a) Selon les types activités en communs
b) Zone Ouest
c) Zone Est
d) Zone Sud
IV.1.3.2 Influence des conditions édapho-climatiques
IV.1.3.3 Commercialisation des produits
IV.2 RECOMMANDATIONS
IV.2.1 Appui spécifique pour chaque zone en termes de type d’activité
IV.2.2 Commercialisation des produits et initiation à l’Agro-business
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXE1 : PROTOCOLE DE RECHERCHE
ANNEXE2 : QUESTIONNAIRE D’ENQUETE
ANNEXE3 : PROCESSUS CALCUL DU RESULTAT 1 SELON L’ANALYSE PAR CORRESPONDANCE PRINCIPALE
ANNEXE4 : PROCESSUS DE CALCUL RESULTAT 2
ANNEXE5 : PROCESSUS DE CALCUL RESULTAT 3
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