Indicateurs de synthèse objective et subjective tournées vers l’analyse du bien-être et de la satisfaction environnementale

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Un Intérêt Récent

Le obstacle principal a la prise en compte des inégalités environnementales par les pouvoirs publics est en grande partie lie a la difficulté à conduire des réflexions transversales intégrant les aspects sociaux et l’environnement. C’est en effet sous l’angle social que les inégalités sont abordées.
Néanmoins, la Charte de l’environnement promulguée en mars 2005 donne une place de premier ordre a l’égalité environnementale puisque l’article 1er dit que « chacun a le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé ». Le processus pour arriver à cette reconnaissance est récent. Cette idée a eu du mal à s’imposer et les premiers dispositifs de mesure de ces inégalités commencent seulement à se développer.
En 2002, le Comite français pour le sommet mondial du développement durable, qui avait pour mission de préparer la participation de la France au sommet de Johannesburg, avait mis en place un groupe de travail sur les inégalités sociales et écologiques.
Le Livre blanc5 rédige a cette occasion souligne que « le champ des “ inégalités écologiques ” est en fait fort étendu et recouvre aussi bien une exposition aux risques naturels et techniques, une dégradation de la qualité de vie, une privation relative de certains biens et services communs allant jusqu’à un accès restreint ou altéré à des ressources vitales, toutes choses se traduisant

Les Quartes Dimensions Des Inégalités Environnementales

Les inégalités territoriales renvoient aux différences de la qualité des territoires et à la répartition différentielle des groupes de population sur ces territoires.
Les inégalités d’accès à l’urbanité et au cadre de vie : se réfèrent, pour les différentes catégories de citadins, aux possibilités inégales de mobilisation en ville, d’usage des espaces et des possibilités inégales des choix des lieux de résidence.
Les inégalités par rapport aux nuisances et aux risques : (naturelles, technologiques industriels…) désigne des inégalités de production et de d’exposition aux nuisances, l’inégalité perception et appréciation de ces nuisances (bruit, pollution,…), l’accès inégal a l’information sur les risques dangereux et de traitement inégal de ces risques.
Les inégalités dans la capacité d’action et d’interpellation de la puissance pour la transformation du cadre de vie, quant a elles, se réfèrent a la place et au rôle des habitant, des associations, des aménageurs, des techniciens des villes, des acteurs politiques et économiques dans les médiation et les décisions présidant a la conception et a la réalisation des projets d’aménagement du cadre de vie.

LES INEGALITES SPATIALES

Différences spatiales, contrastes spatiaux, inégalités spatiales, disparités spatiales : comment s’y retrouver dans la diversité du vocabulaire utilisé pour comparer des lieux entre eux.
Ce n’est qu’au terme d’un parcours où seront analysées les sources des inégalités et les remèdes apportés à celles-ci que nous tenterons de clarifier le vocabulaire utilisé. Nous partirons d’une définition simple de l’inégalité : ce qui peut-être mesuré comme différent. Elle renvoie à la différence de valeur entre deux objets (deux états, deux régions, deux quartiers, etc.).
Comité français pour le sommet mondial du développement durable de Johannesburg, 2002. Livre blanc du développement durable. Paris, ministère de l’ةécologie et du Développement durable et ministère des Affaires étrangères, de la Coopération et de la Francophonie. 249 p
Les Inégalités dépendent des Lieux
Il existe des inégalités d’origine géographique qui dépendent des caractères des lieux où l’on vit »6 Nous nous interrogerons sur les inégalités qui existent entre les mailles confectionnées par les sociétés (Etats, régions, communes, etc.). 7 L’inégalité, dont il est question ici, concerne l’exercice du pouvoir et l’accès aux richesses. Au sein de chaque maille, les sociétés disposent de plus ou moins de potentialités pour exercer sur l’espace environnant des pouvoirs de domination.
De même, les sociétés y disposent de plus ou moins d’atouts pour créer, s’offrir et se répartir les richesses matérielles ou culturelles.
La dimension de ces mailles, leur position à la surface de la terre, les ressources ainsi réservées aux populations qui y demeurent, la densité de population qu’elles abritent, sont source d’inégalités qui sont d’origine géographique. La combinaison de ces quatre éléments (dimension, position, ressources, densité de population) et leur articulation avec d’autres facteurs sociaux et culturels expliquent les inégalités entre mailles.
L’inégalité d’accès aux ressources selon les mailles.
Nous prendrons, ici, l’exemple des Etats. Le découpage du monde par les frontières conduit à de grandes inégalités de ressources « naturelles » entre les Etats.
A l’échelle des régions ou des communes, les découpages produisent aussi de l’inégalité.8
L’inégale dimension des mailles.
L’extrême variété de dimension des Etats produit, entre eux, de l’inégalité. Il y a en particulier une corrélation évidente entre la taille et la quantité de ressources disponibles. Cela dit, de très petits Etats peuvent avoir la chance d’être naturellement richement dotés (cf. le Koweït et son pétrole). A plus grande échelle, les circonscriptions électorales fournissent un bon exemple d’inégalités spatiales introduites par les découpages des mailles de l’espace.
Les effets de l’inégale occupation humaine
L’inégale densité d’occupation humaine introduite des inégalités entre les mailles de l’espace. Les faibles densités conduisent à l’isolement relatif des populations, un accès plus difficile aux équipements et aux services. Ces inconvénients atteignent surtout les populations les moins mobiles et les moins fortunées.
Des positions inégalement favorables
La position dans l’espace des différentes mailles est également source d’inégalité. Ainsi, dans un monde où les échanges maritimes jouent un rôle essentiel, l’enclavement d’un Etat ou d’une région constitue un handicap. Une façade maritime longée par une intense circulation maritime ou une position de détroit est des avantages indéniables.
Ces effets de position peuvent jouer sur la longue durée. J. Lévy développe l’hypothèse9, par exemple, que la position de la France, du Royaume-Uni, de l’Espagne au « Finistère » de l’isthme européen a permis aux populations qui vivaient là d’être, très tôt, à l’abri face aux grandes invasions qui ont balayé le continent eurasiatique. C’est ce qui aurait permis la construction précoce d’Etats stables dans cette partie de l’Europe.
Ainsi, dimension, position, ressources disponibles, densité de population qui est des faits spatiaux, sont générateurs d’inégalités spatiales. Mais ils n’ont de sens qu’en interaction les uns avec les autres. Leurs effets ne sont pas permanents et ils doivent être inclus dans des systèmes explicatifs
comportant des facteurs sociaux, économiques et culturels car les inégalités spatiales sont produites par les sociétés.
Les Approches Spontanées
Dans les Enquêtes d’Opinion
Si l’on interrogeait les citadins dans la rue sur les inégalités écologiques dont ils sont victimes, peu d’entre eux seraient en mesure de répondre … sans doute en raison des ambiguïtés du mot écologie », à la fois science du vivant et des systèmes, sensibilité politique, mot souvent associé à un type de comportement, à un mode de vie.
Si l’on précisait « inégalités liées à l’environnement urbain », à l’environnement dans la ville, leurs réponses évoqueraient sans doute le bruit, la pollution, les encombrements, les espaces verts. Le concept même de nature en ville, celui du paysage urbain, du patrimoine culturel que représentent 21 les grands monuments, pourraient, peut-être, être évoqués, mais c’est surtout leurs conditions de vie, leur cadre de vie, qu’ils commenteraient. Les habitants expriment surtout leur vécu, leur ressenti, quant à la qualité de leur vie.
Ces appréciations, mériteraient d’être vérifiées : la question des inégalités écologiques n’a jamais été posée au travers des enquêtes d’opinion dont elle a pu prendre connaissance.
Dans les enquêtes réalisées par l’IFEN10 et l’INSEE11, les personnes interrogées hiérarchisent leurs sujets de préoccupation et les actions à mener dans le domaine de l’environnement, sans faire appel
la notion d’inégalités (par rapport à d’autres groupes d’habitants ou d’autres territoires). Tout au plus peut-on déceler un effet positif de proximité.
On notera aussi que les résultats de ces enquêtes semblent peu discriminés en fonction des catégories socioprofessionnelles, exception faite de « coups de projecteur », sur les agriculteurs par exemple.
En ce qui concerne plus précisément la ville, l’enquête précitée de l’IFEN sur la sensibilité écologique s’appuie elle-même sur le thème « l’écologie en ville » la priorité habituelle des problèmes de collecte et traitement des déchets, la surpopulation de certains quartiers, la propreté des rues, la lutte contre le bruit, les espaces verts. Quant aux « différences d’urbanisme entre quartiers ou d’architecture des immeubles, elles apparaissent moins prioritaires pour les citadins ». Ces approches spontanées ne se réfèrent donc nullement à la notion d’« inégalités écologiques ».
Dans les Palmarès des Villes
Si en prend le modèle français, nous sommes habitués qui exposent les qualités de vie dans les grandes villes, et les hiérarchisent. Apparaissent ainsi des « inégalités » entre villes, où les paramètres environnementaux jouent un rôle important. Dans le palmarès publié en janvier 2005 par le magazine « Le Point », sur dix critères, on en note deux concernant notre sujet, à savoir celui de l’environnement et celui du cadre de vie. Le critère environnemental concerne la récente par habitant consacrée par la ville à la propreté urbaine, aux espaces verts et à l’environnement (sans plus de précision pour ce que recouvre ce terme, mais un article renvoie au prix et à la qualité de l’eau).
Quant au critère de la qualité de la vie, il se décompose en de nombreux sous critères, mélangeant les aspects physiques (ensoleillement, précipitations, possibilité de baignade, de ski, densité de la population), avec des évaluations concernant les transports (pourcentage d’actifs se rendant au travail à pied, existence de tram, métro…).
Il convient de rester critique envers ces comparaisons entre villes et agglomérations. Les indicateurs retenus, comme on vient de le voir, ne sont pas clairement définis. Les villes qui ont bien compris l’intérêt de tels classements pour fonder leur célébrité et mettre en valeur leur attractivité, ont tendance à sur évaluer certaines données. L’exemple des espaces verts est à ce titre significatif
Une Tentative de Clarification
Si l’on considère, selon la définition du Petit Robert, que l’écologie est « l’étude des milieux au sein desquels vivent et se reproduisent les êtres vivants ainsi que des rapports de ces êtres avec le milieu », le terme « inégalités » accolé à « écologiques » ne produit légèrement de sens. On voit mal en effet comment l’étude du fonctionnement des écosystèmes urbains peut produire de l’inégalité.
D’après des experts comme Jacques Theys12 ou Cyria Emelianoff 13, les inégalités écologiques désignent un cumul des inégalités d’accès à la qualité du cadre de vie et des inégalités dans l’exposition aux nuisances engendrées par l’expansion urbaine et aux risques, industriels et naturels. Pour eux, ces inégalités ne sont pas indépendantes des autres formes d’inégalités sociales (inégalités de revenu, d’emploi, ou de consommation).
De fait, les inégalités écologiques sont implicitement connues, mais peu évaluées et donc peu traitées en tant que telles par les pouvoirs publics car il n’existe pas à ce jour de conception unifiée, et surtout opérationnelle, de ces inégalités. L’évaluation des risques encourus par les citadins particulièrement exposés aux nuisances urbaines n’est pas envisagée de la même manière par les différents acteurs, faute de cadre d’analyse commun.
Une contribution des quatre approches du CSTB 14
C’est sur la base de ce constat que les chercheuses du CSTB ont choisi d’établir en s’appuyant sur les travaux de recherche menés autour du concept, une typologie des différentes approches des inégalités écologiques telles qu’elles sont identifiées par les acteurs locaux : les inégalités écologiques entre territoires, les inégalités d’accès à l’urbanité, les inégalités d’exposition aux nuisances et aux risques, les inégalités dans la capacité d’action des citadins.
Ces chercheuses ont placé au centre de leurs travaux l’analyse des mécanismes de production des inégalités écologiques, telles qu’elles les ont définies.
Les travaux des chercheuses du CSTB démontrent que si les inégalités écologiques ne sont pas systématiquement corrélées avec les inégalités sociales, elles ne peuvent être étudiées indépendamment, puisque ce sont les inégalités sociales qui déterminent les parcours résidentiels des citadins et leur capacité à agir en faveur de leur cadre de vie.
Les quatre dimensions constitutives qu’elles proposent sont également riches d’enseignements par l’analyse des effets cumulatifs qu’elles décrivent et par l’identification des supports d’action qu’elles proposent pour réduire ces inégalités écologiques et tout particulièrement les effets de cumul.
Le point de vue adopté par la mission
L’expression « inégalités écologiques » correspond donc à une convention de langage qui oblige à préciser le sujet de la présente étude : il s’agit en fait, de traiter ici d’inégalités de situation résultant des variations qualitatives de l’environnement urbain15 et d’analyser dans quelle mesure ces inégalités de situation recoupent d’autres inégalités, celles issues de l’appartenance sociale des individus.
Encore faut-il préciser ce que l’on entend par « environnement urbain ». Cette expression peut en effet sans difficulté recouvrir tout ce qui relève de la réalité physique et du fonctionnement d’une ville, des formes urbaines à l’accès aux services de toute nature, en passant par la sécurité, et se confondre avec « le cadre de vie » et sa plus ou moins grande qualité.

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Table des matières

 NTRODUCTION GENERALE
Développement du sujet dans l’Aménagement du Territoire et des villes Algérienne
Les Inégalités environnementales ou écologiques
Pourquoi? Et, qu’est-ce qu’une inégalité environnementale et/ou écologique ?
Les Inégalités environnementales en Algérie
Les Inégalité environnementales sur le plan européen
Les quatres dimensions des inégalités environnementales
Hypothèses logiques du travail
Problématiques de la recherche
L’objectif de l’étude
SECTION
Approche Méthodologique et Définition des concepts
Chapitre Premier 
Les Inégalités Environnementales et Espace Urbain
I)-LES INEGALITES ENVIRONNEMENTALES
1-Préambule Conceptuel
II) -Les Inégalités Spatiales
2-Un Intérêt Récent
3-Les Quartes Dimensions Des Inégalités Environnementales
II)-LES INEGALITES SPATIALES
1-Les Inégalités dépendent des Lieux
1.1 L’inégalité d’accès aux ressources selon les mailles
1.2 L’inégale dimension des mailles
1.3 Les effets de l’inégale occupation humaine
1.4 Des positions inégalement favorables
III)-INEGALITES ECOLOGIQUES EN MILIEU URBAIN
1-Un Concept à Clarifier
2- Les Approches Spontanées
2.1 Dans les Enquêtes d’Opinion
2.2 Dans les Palmarès des Villes
3- Une Tentative de Clarification
3.1 Une contribution des quatre approches du CSTB
3.2 Le point de vue adopté par la mission
IV) BUT D’ETUDE DES INEGALITES SPATIALES ET ENVIRONNEMENTALES
1- Environnement
1-1 Dimensions de l’environnement
2-But D’étude Inégalités Spatiales Et Environnementales
Conclusion
Chapitre Deuxième  Qualité de vie et Qualité des lieux Résidentiels
I)-LA QUALITE DE VIE: CONCEPTUALISATION, MESURE ET APPLICATION
1-Introduction
II)- Qualité Des Lieux Résidentiels.
2-Le Concept de Qualité de Vie
2-1) La Qualité de Vie est un phénomène Multidimensionnel
3) L’Evolution de la Recherche sur la Qualité de Vie
4) Les deux Approches de la Qualité de Vie
4-1) L’Approche des Indicateurs Sociaux
4-2) L’Approche du bien-être subjectif
5- Modèle de Qualité de Vie
5-1) Les facteurs culturels
4-2 Aspects de certaines expérieces de la vie
4-3 La qualité de vie perçue
4-4 Indicateurs de la qualité de vie
4-5 La qualité de vie et les facteurs associés
5)-La Qualité de Vie dans les diagnostics Urbains détaillés
II)-QUALITE DES LIEUX RESIDENTIELS
1. Dépendance entre Qualité de Vie et Qualité des Lieux
2. Deux Notions Inséparables
3-Mesurer La Qualité De Vie
3-1 Identification des critères d’évaluation de la qualité de vie quotidienne
4-Application du Concept de La Qualité de Vie
4-1 Développement de politiques
III) L’INTERET POUR LA RECHERCHE SUR LA QUALITE DES LIEUX ET DE VIE
1) Objectifs de la recherche de la qualité de vie et des espaces
Conclusion 
Chapitre Troisième  Le Quartier espace de vie et Unité urbaine de Mesure spatiale
I – LE QUARTIER
I- LE QUARTIER: CONCEPT ET DEFINITION
1- Définition
2-Critères d’identification et de délimitation des quartiers
3-Problèmes de Cartographie des limites les Quartiers
4-Pourquoi L’échelle D’un Quartier
4-1 Critère d’évaluation.
II. IMPORTANCE DE L’ECHELLE D’ETUDE SPATIALE
Conclusion 
Chapitre Quatrième Indicateurs de qualité de vie définition Caractéristiques et fonctions
I)-QU’EST-CE QU’UN INDICATEUR?
1) Définition et Caractéristiques d’un Indicateur
1-1
Définition :
1-2
Objectif :
2) Les différents types d’indicateurs
3)-Les Caractéristiques Des Indicateurs
II) LES FONCTIONS DES INDICATEURS
III-QUANTIFICATION DES INDICATEURS
1) Les Indicateurs les plus représentatifs dans notre cas d’étude
1-1)-Dimensions, indicateurs et types de questions retenus par l’enquête
2) Le Degré d’importance des Indicateurs :
Chapitre Cinquième  Conclusion et Objectifs de l’Etude
Conclusion 
L’étude comporte trois objectifs
SECTION II
 Analyse des résultats d’enquête effectuée.
 Les résultats des facteurs qui influent la qualité de vie.
Introduction 

Avant-propos
Terrain et méthodologie d’enquête
Chapitre Premier  Approche et Cadre Méthodologique
I-APPROCHE ET CADRE MÉTHODOLOGIQUE
1) Cadre méthodologique et opérationnel de la recherche
1-L’Enquête.
2-L’échantillon.
3-Questionnaire.
2) Enquête sur la qualité de vie à Annaba
3)-Les Moyens 

Chapitre Deuxième Analyse Ébauchée de l’étude
I)-QUELQUES RESULTATS D’UNE PREMIERE LECTURE DE L’ENQUETE
1) Le Taux De Réponse
2-Synthèse
II) METHODOLOGIE D’ANALYSE DES RESULTATS
1- Plan d’analyse des résultats
2-Qualité des données et limites de l’enquête.
3-Importance des études Quantitatives.
4-Outils de gestion statistique et spatiale des indicateurs
III) PRESENTATION DE LA VILLE D’ANNABA
1. Localisation:
2-Situation de la commune d’Annaba.
3. Situation économique :
4-Caractéristiques démographique:
Conclusion 
Chapitre Troisième  Analyse Exhaustives de l’étude
I–CARACTERISTIQUE MORPHOLOGIQUE ET DEMOGRAPHIQUE DES QUARTIERS
1-Facteurs du choix des quartiers
II)-Caractéristiques des personnes interrogées
2-Les cas d’étude
3- Les caractéristiques morphologiques et urbanistiques des quartiers :
.1. Habitat Collectif :
2. habitat précaire :
4-Caractéristiques démographiques:
II)-CARACTERISTIQUES DES PERSONNES INTERROGEES
1-Revenu moyen des familles
2. Genre (sexe) Q. «1» et « 2 »
3-Age Q.2
4-Enfant(s) Q.5
5. Formation « niveaux d’instruction des parents » Q.4
6. Type d’habitat Q 16
III)-LES PERCEPTIONS DES REPONDANTS CONCERNANT LA QUALITE DE VIE
1- Éléments constitutifs de la représentation de la qualité de vie
2- Éléments jugés importants pour la qualité de vie actuelle
IV) L’ENVIRONNEMENT BIOPHYSIQUE.
1-Qualité de l’environnement.
2-Pollution et risques environnementaux pour la qualité de vie des citoyens bônois
V) LE LOGEMENT
1-Nombre d’occupants du logement
2-Les intentions et de changer de résidence « Désir de déménager » 

VI)-L’ENVIRONNEMENT SOCIAL
1-Perceptions et comportements concernant l’environnement social.
2-Intégration Sociale
VII) L’ENVIRONNEMENT URBAIN
1-Appropriation Du Quartier :
2-Fréquentation des Organismes Communautaires et Associations:
Résumés du résultat d’Analyse 
Chapitre Quatrième  Spécificités Emergentes
Les Perceptions des répondants concernant La Qualité de Vie
Éléments les plus importants actuellement
Éléments les plus négatifs
Éléments les plus importants dans l’avenir
L’Environnement biophysique
Qualité actuelle de l’environnement
Les sources de pollution
État futur de l’environnement
Le Logement
Les motifs pour déménager
Les motifs pour demeurer dans la même résidence
L’environnement Social
Perceptions et comportements concernant l’environnement social
Intégration Sociale
L’environnement Urbain
1-Appropriation Du Quartier
2-Fréquentation Des Organismes Communautaires et Associations
Conclusion 
CONCLUSION
Section III
Approche synthétique utilisée des champs de recherche de la qualité de vie
Indicateurs de synthèse objective et subjective tournées vers l’analyse du bien-être et de la satisfaction environnementale.
Introduction 

Chapitre Premier  Approche synthétique utilisée des champs de recherche de la qualité de vie
I) La vie locale & indicatrice de qualité environnementale
1-Définition
2- Evaluation
II) Analyse des Indicateurs de Qualité de vie
Les indicateurs de la qualité de vie 
III)-Démarche et méthodes de Synthèe utilisées
1 La méthode cartographique
1-1 Systèmes d’informations géographiques ou gestion spatiale
1-2 Critères de conception des cartes de vécu urbain.
1.2-1 Présentation et structuration des bases de données
1-2-2 Réflexion sur la représentation cartographique
2-Méthodes de synthèse par régression multiple d’impacts sur la qualité de vie
2-1 Corrélations
2-2 Matrices d’impact
2. 2-a). Différents types de matrices
2.2- b). Avantages et inconvénients
Conclusion 
Chapitre Deuxième  Indicateurs de synthèse objective et subjective tournées vers l’analyse du bien-être et de la satisfaction environnementale.
I).Introduction;
II).Indicateurs de synthèse pour analyser le bien-être et de la satisfaction environnementale
1)-Perceptions et niveaux de satisfaction de QDV
2)-Explication économique de qualité de vie par l’habitat;
3)-Transports et Stationnement urbain
4)-Sources de pollutions
5)-Sécurité et niveau de la criminalité
6)-L’exercice politique « vote »
III). CONCLUSION 
Section IV Recommandations et Conclusion
Recommandations et préconisations
Diminuer les disparités entre les secteurs de la Ville d’Annaba
Améliorer la qualité des environnements de vie axée sur les quartiers: placer la participation citoyenne au centre des préoccupations
Thème 1; Habitation et Logement
Thème 2 : Aménagement urbain de la vile et quartiers.
Thème 3 : Améliorer le Transports et Infrastructures de base
Thème 4 : Sécurité
Thème 5 : Environnement physique et biologique
Thème 6 : Culture et Loisir
Conclusion finale
Référence bibliographique
Extrais de presse
Moteurs de recherche
Référence Bibliographique

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