Incidences économiques des cuirs et peaux sur les professionnels

Taches de sel

Ce sont des taches rondes qui varient dans leur aspect. Celles qui existent sur le côté chair sont rouillées à consistance indurée, contiennent du fer et peuvent devenir vertes.
Du côté fleur, certaines taches sont semblables mais ne deviennent pas vertes.
Les taches de sel semblent dues aux ionscalcium amenés par le sel, aux ions phosphate provenant du phosphore organique de la peau et du fer apporté par le fer organique de la peau (sang). Ces taches, lorsqu’elles sont profondes sur la fleur, sont visibles sur le cuir fini. L’emploi de 2.5 p. 100 de carbonate desodium semble les éliminer [15].

Défauts de stockage

Les insectes, les moisissures et les rongeurs sont le plus souvent responsables de ces défauts.

Dus aux insectes (ou mitages)

Ceux qui s’attaquent aux peaux sont des arthropodes dont certains semblent jouer un rôle important, notamment les blattes de la famille des Dermestidés et les mites en général.

Coléoptères

Ce sont des insectes à appareil buccal broyeur. Ils ont des ailes antérieures rigides (élytres). Il existe de très nombreuses espèces dont certainessont nuisibles : hanneton.
Il y a trois genres dangereux :
– les dermestes noirs, assez gros ;
– les anthrènes petits, de couleurs variées, le corps étant couvert d’écailles ;
– les allagènes brun foncés.
Les larves creusent des galeries, s’attaquent parfois au grain et au poil et parviennent à trouer les peaux [3].

Lépidoptères

Ce sont des insectes à appareil buccal suceuravec quatre paires d’ailes recouvertes d’écailles ; ils ont des larves cruciformes (chenilles). Il existe de très nombreuses espèces. Certaines causent de gros dégâts à l’agriculture ; ceux qui s’attaquent aux peaux séchées sont les teignes et les mites. Les larves ont l’aspect d’une chenille. Elles fabriquent avec les poils, un fourreau dans lequel se forme la chrysalide.

Termites

Ce sont des insectes à pièces buccales broyeuses, avec deux paires d’ailes. Elles s’attaquent à une pile de cuirs par sa base et frayent un chemin en creusant des galeries caractéristiques.

Dus à l’eau et aux moisissures

Lorsque l’eau tombe sur une peau sèche, elle cause des taches de dégradations. Quant aux moisissures, elles sont causées par des champignons qui se développent sur le côté chair de la peau stockée en atmosphère humide.

Dus aux rongeurs

La présence des rongeurs dans les locaux de stockage peut faire de bonnes peaux, une marchandise de troisième choix ou le réduire en écart ou enrognures, bonne à fabriquer de la colle [3].

Détériorations au cours du transport

Les cuirs et peaux sont transportés par des moyens les plus divers, des zones les plus enclavées vers les centres commerciaux.
Le frottement des surfaces les unes contreles autres au cours du chargement endommage considérablement le grain. Le remouillage (pluie, rosée) risque également de favoriser l’activité bactérienne, s’il n’y a pas un séchage immédiat [3]. Les défauts des cuirs et peaux tiennent aux contextes de préparation, de l’animal ou de la dépouille. Ceux dus aux maladiessont essentiellement parasitaires. Tous ces défauts auront des conséquences économiques importantes.

PRODUCTION ET COMMERCIALISATION

Les cuirs, à l’instar des peaux, ont une grande importance économique. Ils font l’objet d’un commerce, tant à l’exportation que pour l’économie locale. Ce commerce est régi par des normes de classement qui définissentles quatre choix en fonction des divers défauts (emplacement, concentration, profondeur, surface).

PRODUCTION DES CUIRS ET PEAUX BRUTS

Production des cuirs de bovins

D’un point de vue général, la croissance dela production de cuirs est irrégulière. En effet, les cuirs et les peaux sont un sous-produit d’élevage dont la production est liée à la demande en viande ainsi que deproduits laitiers et de laine[19]. Cette croissance dépend aussi de la population animale et du taux d’abattage [18]. Ainsi, de 2000 à 2005, selon les estimations de la Direction de l’élevage du Sénégal (DIREL), la moyenne de la production s’élève à 3.886,33 t.
Le tableau IV donne les chiffres concernant la production pour chaque année (période 2000-2005).

COMMERCIALISATION DES CUIRS DE BOVINS

La demande en cuirs est faible sur le marché local en dehors des transactions entre collecteurs et exportateurs. Contrairement aux peaux qui connaissent des utilisateurs au plan local, pour les cuirs de bovins, l’essentiel de la production est exportée.

Prix à la collecte

La fixation du prix des cuirs verts à la collecte est fonction du prix en vigueur sur le marché international. Juste après la suppression du monopole del’exploitation des cuirs et peaux par la SERAS, les prix étaient fixés à la suite de concertations entre collecteurs avec ou non la participation des chevillards [15]. A ce jour, du fait de la concurrence accrue, il existe unecertaine anarchie dans lafixation des prix et cela ajouté au fait que les exportateurs se chargent eux-mêmes de la collecte et constituent des collecteurs exportateurs. Mais, comme danstout commerce, il existe tout de même un seuil de prix en déça duquel aucun concurrent n’ose descendre. Enoutre, les prix ne tiennent plus compte dela qualité qui définit les différents choix, mais plutôt du poids pour les cuirs et de la pièce pour les peaux.
Le tableau VI donne les chiffres concernant les prix à la collecte ces dernières années à la SOGAS.

Exportation des cuirs bruts

Contrairement au contenu du rapport fait par le Ministère du développement industriel du Sénégal en 1987 qui stipulait que les cuirs et peaux étaient exportés vers les pays Européens avec en tête l’Italie, l’Espagne, le Portugal et à un moindre degré la France et la hollande auxquels s’ajoutaient certains pays Africains (Egypte,Maroc, Algérie et certains pays voisins) [38], les exportations se font ces dernières années vers la Chine (en tête), la Turquie, l’Italie, ainsi que vers certains pays voisins [40]. En effet, le tableau X donne des chiffres concernant le nombre de conteneurs 20’ (= 20 pieds) par pays pour la SOGAS qui est à ce jour l’un des principaux exportateurs.

Incidences économiques des cuirs et peaux sur les professionnels

Exportateurs

Pour la SOGAS, qui représente l’un des principaux exportateurs de cuirs et peaux au Sénégal, la part des revenus tirés de l’activité de son département des cuirs et peaux qui est de 4,07 % pour l’exercice 2003 (année de la reprise des activités de ce département; plus exactement à partir demi-février 2003) passe à 21,64 % pour l’exercice 2004 et augmente nettement chaque année [42].

Collecteurs

Depuis la suppression du monopole de l’exportation des cuirs et peaux par la SERAS qui remonte au temps de son existence (arrêt définitif des activités cuirs et peaux au 31 décembre 2002), cette fonction tend à disparaître. Eneffet, les exportateurs s’investissent eux-mêmes dans la collecte et constituent à ce jour des collecteurs exportateurs. Il en est de même des chevillards.

Chevillards

Selon DANJOU cité par DAT [13], le prix de vente de la carcasse est fortement influencé par le revenu total tiré de la récupération du cuir. En effet, selon une étude réalisée sur la valeur commerciale du cinquième quartier des bovins de boucherie sénégalais, NDIAYE [32]soutient qu’un cuir de 23,10 kg rapporte 4.370 FCFA soit 20,69 % des éléments du cinquième quartier ; la valeur du cinquième quartier étant de l’ordre de 21.120 FCFA pourune carcasse de 196.135 FCFAet couvrant la totalité des frais d’abattage et 6.51 % du prix d’achat de l’animal vif.

PRESENTATION DU CADRE D’ETUDE EXPERIMENTALE

HISTORIQUE DE LA GESTION DES ABATTOIRS DU SENEGAL

Les abattoirs municipaux de Dakar sont les premiers implantés au Sénégal. Ils furent d’abord gérés par l’Union des Services Publics d’Afrique (U.S.P.A.), filiale de l’Union des Services Publics de France (U.S.P.F.), jusqu’en 1964 où la SERAS, société d’économie mixte créée en 1962, fut désignéecomme administrateur délégué pour la gérance des abattoirs régionaux et les entrepôts frigorifiques.
En 1990, l’Etat vendit 70 % de ses actions au groupe INTERCO-AFRAN-IBM et 1,3 % au personnel de la SERAS. Cette privatisation s’accompagnait de la résiliation du contrat de gérance entre l’Etat et la SERAS au profit d’un contrat de concession entre l’Etat et les futurs gérants. L’Etatest demeuré jusqu’en1998 avec 28,7 % du capital.
La Société de Gestion des Abattoirs du Sénégal (SOGAS) fut enregistrée en février 1996, avec un capital de 150.000.000 FCFA, mais ne démarra de manière effective ses activités qu’en janvier 1998. Son capital social à ce jourest de 250.000.000 FCFA.
La SOGAS, société anonyme, assure aujourd’hui la gestion des abattoirs du Sénégal, selon un contrat de concession entre elle et l’Etat. La structuration des actionsde la société est la suivante :
– 64,01 % pour le groupe CISSE ;
– 29,70 % pour l’A.N.P.R.O.B.V.S. ;
– 5,39 % pour Sadia-Export ;
– 0,82 % pour le personnel de la SOGAS ;
– 0,08 % pour Amadou FALL ;

DEPARTEMENT DES CUIRS ET PEAUX

Du temps de l’existence de la SERAS, ce département faisait également la collecte, le traitement et la commercialisation des phanères. Ce département est sous la hiérarchie du Directeur Général Adjoint de la SOGAS, qui en est également le chef de département. Il emploie 6 personnes qui y travaillent de façon permanente. En cas de besoin, le chef de département recrute des ouvriers contractuelspour une durée de travail de 3 mois, renouvelable ou non. Son fonctionnement économique est autonome.
Le démarrage effectif de ses activités s’est fait en mi-février 2003 et n’a eu aucune interruption jusqu’à ce jour.

PRESENTATION SUCCINCTE DES DIFFERENTES GENERATIONS D’ABATTOIRS

La SOGAS gère quatre générations d’abattoirs :
• 1 ère génération: les abattoirs municipaux de Dakar construits entre 1952 et 1954 sur crédit du F.I.D.E.S., etmis en service en1956 ;
• 2 ème génération: les abattoirs régionaux de Thiès et Saint-Louis construits en 1974 sur crédit F.E.D., et mis en service en 1978 ;
• 3 ème génération: Les abattoirs régionaux de Kaolack et Louga, fruits de la coopération sénégalo-helvétique, mis en service en 1984 ;
• 4 ème génération: Les abattoirs de Diourbel, Tambacounda et Ziguinchor, fruits de la coopération sénégalo-allemande, mis en service en janvier 1988.

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Table des matières
INTRODUCTION 
PREMIERE PARTIE : GENERALITESSUR LES CUIRS ET PEAUX
CHAPITRE I : RAPPELS ANATOMO-HISTOLOGIQUES 
I.1. DEFINITIONS
I.2. DIFFERENTES PARTIES DE LA PEAU
I.3. STRUCTURE DE LA PEAU
I.3.1. Epiderme
I.3.2. Derme
I.4. CAUSES DE VARIATION DE LA STRUCTURE DE LA PEAU
I.4.1. Espèce
I.4.2. Race
I.4.3. Age
I.4.4. Sexe
I.4.5. Pelage
I.4.6. Climat
I.4.7. Alimentation
I.4.8. Etat de santé
CHAPITRE II : FILIERE CUIR AU SENEGAL 
II.1. SECTEUR PEAU BRUTE
II.1.1. Abattoirs
II.1.2. Espèces abattues et répartition
II.1.3. Etapes de la préparation des Cuirs bruts
II.1.3.1. Transport des animaux aux abattoirs
II.1.3.2. Stabulation : Réception-Attente (ou repos) et diète hydrique
II.1.3.3. Amenée et contention
II.1.3.4. Saignée
II.1.3.5. Habillage ou « dressing » du gros bétail (bovins et chevaux)
II.1.3.5.1. Pré-dépouille
II.1.3.5.2. Dépouille ou dépouillement ou dépeçage
II.1.3.5.2.1. Dépouille manuelle
II.1.3.5.2.2. Dépouille mécanique
II.1.3.6. Echarnage, rognage, lavage
II.1.4. Collecte, négoce et Conservation
II.1.4.1. Collecte, négoce
II.1.4.2. Conservation des cuirs verts
II.1.4.2.1. Séchage ou sèche
II.1.4.2.1.1. Séchage au sol
II.1.4.2.1.2. Séchage sur un séchoir
II.1.4.2.1.3. Séchage sur perche à cheval
II.1.4.2.2. Arsénicage
II.1.4.2.3. Salage
II.1.4.2.3.1. Mode de salage
II.1.4.2.3.2. Meilleures conditions de salage
II.1.4.2.3.3. Pratique du salage des cuirs
II.1.4.2.4. Picklage
II.1.4.2.5. Froid
II.1.4.2.5.1. Refroidissement
II.1.4.2.5.2. Réfrigération
II.1.4.2.5.3. Congélation
II.1.4.3. Présentation des cuirs pour l’expédition
II.2. SECTEUR TANNERIE
II.2.1. Tanneries
II.2.2. Mégisseries
II.2.3. Transformation artisanale
II.3. SECTEUR MANUFACTURIER
II.3.1. Industrie de la chaussure
II.3.2. Maroquinerie
CHAPITRE III : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE DES DEFAUTS RENCONTRES SUR LES CUIRS BRUTS DE BOVINS 
III.1. DEFAUTS ANTE-MORTEM
III.1.1. Défauts liés à l’animal
III.1.1.1. Faible surface utilisable et présence de bosse
III.1.1.2. Rides
III.1.2. Défauts mécaniques ou traumatiques
III.1.2.1. Marquage
III.1.2.2. Coups de cornes ou encornages
III.1.2.3. Coups d’aiguillon
III.1.2.4. Eraflures
III.1.2.5. Souillures de crottes et d’urine
III.1.2.6. Traces de joug
III.1.2.7. Contusions
III.1.2.8. Plaies
III.1.3. Défauts liés à l’alimentation
III.1.3.1. Cuir gras
III.1.3.2. Poches persistantes
III.1.4. Défauts résultant d’une maladie
III.1.4.1. Dommages d’origine bactérienne
III.1.4.1.1. Abcès
III.4.1.2. Dermatophilose
III.1.4.2. Dommages d’origine virale
III.1.4.2.2. Peste bovine
III.1.4.2.3. Dermatose nodulaire cutanée des bovins
III.1.4.2.1. Vaccine (Cow-pox) et pseudovaccine
III.1.4.3. Dommages d’origine parasitaire
III.1.4.3.1. Dommages causés par les protozoaires
III.1.4.3.1.1. Trypanosomoses animales
III.1.4.3.1.2. Besnoitiose ou globidiose
III.1.4.3.2. Dommages causés par les helminthes parasites
III.1.4.3.2.1. Onchocercose
III.1.4.3.2.2. Stephanofilariose cutanée
III.1.4.3.2.3. Parafilariose
III.1.4.3.3. Dommages provoqués par les arthropodes parasites
III.1.4.3.3.1. Varrons ou larves d’hypoderme
III.1.4.3.3.2. Larves de Callitroga
III.1.4.3.3.3. Poux
III.1.4.3.3.4. Tiques
III.1.4.3.3.5. Agents de gale
III.1.4.3.4. Dommages causés par les annélides parasites : Les sangsues
III.1.4.4. Dommages dus à des champignons
III.1.4.5. Dommages d’origine diverse
III.1.4.5.1. Hyperkératose (x-disease)
III.1.4.5.2. Suette du bétail
III.1.4.6. Dommages d’origine thérapeutique
III.1.4.6.1. Induration du derme
III.1.4.6.2. Cicatrice de césarienne
III.2. DEFAUTS POST-MORTEM
III.2.1. Veinules
III.2.2. Abrasion du cuir
III.2.3. Mauvaise parfente
III.2.4. Souillure par le sang
III.2.5. Eclatement de la fleur et fleurage
III.2.6. Coutelures et baisses
III.2.7. Trous, ganses, coupures
III.2.8. Echauffe et putréfaction
III.2.9. Echarnage et rognage insuffisants
III.2.10. Défauts de conservation
III.2.10.1. Liés au séchage
III.2.10.1.1. Boursouflures, échauffures et décolorations
III.2.10.1.2. Cuirs mal cadrés
III.2.10.1.3. Cuirs tendus insuffisamment
III.2.10.1.4. Cuirs très tendus et déformés
III.2.10.1.5. Cuirs racornis
III.2.10.2. Liés au salage
III.2.10.2.1. Côté fleur
III.2.10.2.1.1. Arborescences
III.2.10.2.1.2. Piqûres de sel
III.2.10.2.2. Côté chair
III.2.10.2.2.1. Taches de sang
III.2.10.2.2.2. Colorations rouges
III.2.10.2.3. Côté chair et côté fleur
III.2.10.2.3.1. Colorations violettes
III.2.10.2.3.2. Taches de sel
III.2.11. Défauts de stockage
III.2.11.1. Dus aux insectes (ou mitages)
III.2.11.1.1. Coléoptères
III.2.11.1.2. Lépidoptères
III.2.11.1.3. Termites
III.2.11.2. Dus à l’eau et aux moisissures
III.2.11.3. Dus aux rongeurs
III.2.12. Détériorations au cours du transport
CHAPITRE IV : PRODUCTION ET COMMERCIALISATION 
IV.1. PRODUCTION DES CUIRS ET PEAUX BRUTS
IV.1.1. Production des cuirs de bovins
IV.1.2. Production des peaux d’ovins et de caprins
IV.2. COMMERCIALISATION DES CUIRS DE BOVINS
IV.2.1. Prix à la collecte
IV.2.2. Normes de classement des cuirs bruts
IV.2.2.1. Classement par qualité
IV.2.2.1.1. Défauts
IV.2.2.1.2. Classement des cuirs
IV.2.2.2. Représentation graphique du classement
IV.2.3. Exportation des cuirs bruts
IV.2.3.1. Quantités exportées
IV.2.3.2. Prix à l’exportation
IV.2.3.3. Incidences économiques des cuirs et peaux sur les professionnels
IV.2.3.3.1. Exportateurs
IV.2.3.3.2. Collecteurs
IV.2.3.3.3. Chevillards
DEUXIEME PARTIE : AMELIORATION DE LA QUALITE DES CUIRS SALES VERTS A LA SOGAS 
CHAPITRE I : PRESENTATION DU CADRE D’ETUDE EXPERIMENTALE
I.1. HISTORIQUE DE LA GESTION DES ABATTOIRS DU SENEGAL
I.2. ORGANISATION ET ACTIVITES
I.2.1. Organigramme
I.2.2. Domaines d’activités
I.3. DEPARTEMENT DES CUIRS ET PEAUX
I.4. PRESENTATION SUCCINCTE DES DIFFERENTES GENERATIONS D’ABATTOIRS
CHAPITRE II : MATERIEL ET METHODES 
II.1. MATERIEL
II.1.1. Matériel animal
II.1.1.1. Zébu Gobra (Bos indicus)
II.1.1.2. Taurin Ndama (Bos taurus)
II.1.1.3. Djakoré ou « Macc »
II.1.1.4. Circuits des animaux
II.1.1.5. Transport
II.1.2. Cuirs de bovins : Particularités du conditionnement
II.1.2.1. Stabulation et amenée
II.1.2.2. Contention et saignée
II.1.2.3. Dépouille ou dépouillement ou dépeçage
II.1.2.4. Echarnage-rognage
II.1.2.5. Lavage et égouttage
II.1.2.6. Conservation (salage au sel sec)
II.1.2.7. Diagramme de préparation des cuirs salés de bovins
II.1.3. Matériel de terrain
II.2. METHODES
II.2.1. Méthodes d’étude sur le terrain
II.2.2. Echantillonnage
II.2.3. Analyses statistiques
CHAPITRE III : RESULATS ET DISCUSSION
III.1. ETUDE QUALITATIVE DES DEFAUTS
III.1.1. Défauts ante-mortem
III.1.1.1. Défauts traumatiques ou maux de fleur
III.1.1.1.1. Abrasions de fleur ou Eraflures
III.1.1.1.2. Coups de cornes
III.1.1.1.3. Marques au feu
III.1.1.1.4. Plaies et cicatrices
III.1.1.1.5. Ecchymoses et hématomes
III.1.1.2. Défauts liés aux pathologies (maladies)
III.1.1.2.1. Infestations par les tiques
III.1.1.2.2. Démodécie
III.1.1.3. Défauts liés à l’alimentation : hanches saillantes
III.1.2. Défauts post-mortem
III.1.2.1. Défauts d’habillage
III.1.2.1.1. veinules
III.1.2.1.2. Mauvaise parfente
III.1.2.1.3. Coutelures et baisses
III.1.2.1.4. Perforations
III.1.2.2. Défauts de traitement et de conservation
III.1.2.2.1. Echarnage insuffisant
III.1.2.2.2. Lavage insuffisant
III.1.2.2.3. Echauffe
III.1.2.2.4. Défauts spécifiques aux cuirs salés verts
III.1.2.2.4.1. Piqûres de sel
III.1.2.2.4.2. Empreintes de palettes
III.1.2.2.4.3. Taches rouges
III.2. ETUDE QUANTITATIVE DES DEFAUTS
III.2.1. Production des cuirs à la SOGAS
III.2.2. Statistiques des défauts du vivant de l’animal
III.2.3. Statistiques des défauts d’habillage et d’écharnage
III.2.4. Statistiques des défauts de salage
III.2.5. Statistiques des localisations
III.2.6. Statistiques des pertes liées à l’écharnage, au rognage et au salage
III.3. ETUDE DU SEL UTILISE POUR LE SALAGE
III.3.1. Origine et mode d’approvisionnement
III.3.2. Etude qualitative
III.3.3. Etude quantitative
CHAPITRE IV : AMELIORATIONS SOUHAITABLES ET PERSPECTIVES D’AVENIR 
IV.1. AMELIORATIONS SOUHAITABLES
IV.1.1. Actions à mener du vivant de l’animal
IV.1.1.1. Préventions des traumatismes
IV.1.1.1.1. Marques au feu
IV.1.1.1.2. Abrasions de fleur
IV.1.1.1.3. Coups de cornes
IV.1.1.1.4. Hématomes
IV.1.1.2. Prévention des pathologies cutanées et des défauts d’origine alimentaire
IV.1.2. Actions à mener après l’abattage
IV.1.2.1. Prévention des défauts de dépouillement et d’écharnage
IV.1.2.2. Prévention des défauts de lavage
IV.1.2.3. Prévention des défauts de salage
IV.1.3. Mesures générales : Inspection et normalisation des cuirs bruts de bovins
IV.2. PERSPECTIVES D’AVENIR
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 
ANNEXES 

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