INCIDENCES DU NIVEAU D’INSTRUCTION DANS LE DEVELOPPEMENT

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La théorie du cercle vicieux de la pauvreté ed NURKSE

Ragnar NURKSE est le promoteur de l’analyse en termes de cercle vicieux de la pauvreté. Il propose sa principale théorie dans sonouvrage : « Les problèmes des formations du capital dans les pays sous développés».
Partant des problèmes économiques, il avance commeformule celle qui revient fréquemment « le cercle vicieux de la pauvreté ». lInous explique l’existence d’un rapport circulaire entre différentes forces qui interagissent les unes des autres, de telle sorte qu’elles tiennent de façon continuelle un pays dans un état de pauvreté : « la pauvreté qui traduit la faiblesse des revenus, donc une épargneréduite qui ne permet pas l’accumulation du capital et donc la productivité restant basse, les revenus demeurent faibles… ». A titre d’illustration, le mouvement circulaire qui fait d’ un pays pauvre puisque de son état d’origine il est déjà pauvre et en reste se voit dans le cas d’un ménage ayant comme source de profit un métier précaire. Ses besoins fondamentaux, ainsi que ses vivres dépendent dans ce cas du minimum salarial qu’il aura dans sa journée, des fois même il n’y en a pas. Cette situation d’insuffisance d’argent aura comme conséquence un faible revenu journalier du dit ménage, faisant suite à l’incapacité d’épargner pour des projets futurs ou aux investissements à la vie quotidienne ou aux mic roprojets pour parvenir à un mode de vie plus rassurant que d’ordinaire et au bien-être familial. De cette façon, le lendemain matin, il jouira du même salaire qu’il aura et se poursuit ainsi. En conclusion, le ménage est pauvre parce qu’il est pauvre, puisque sa faiblesse économique le réduit à l’incapacité d’épargner et d’agir malgré tout ses souhaits.

Socialisation et éducation

Emile DURKHEIM7, un sociologue français, considéré comme fondateur de la sociologie moderne est le représentant d’un vaste champ de recherche sur la sociologie de l’éducation.
L’éducation et l’école ont été estimées dans l’unede ses hypothèses les plus fécondes comme caractère reproducteur ; elles fontpartie des conditions d’existence d’une société. Ce sont donc les principales propositionsdurkheimiennes pour la paysannerie au début du XXème siècle.
DURKHEIM (E.) étudiait les sociétés dans leur développement historique et cherchait au début de sa carrière à dégager des lois de la vie sociale en comparant les sociétés. Il cherchait aussi les causes de l’évolution plutôt que d’élaborer une synthèse de l’histoire humaine en concevant que la progression des sociétés suit un cours déterminé par les résultats en rassemblant les individus en collectivité et par la transmission de la culture.
DURKHEIM (E.) s’intéressait à l’éducation en voulant renseigner sur sa société aux formes qu’elle a pu prendre depuis le Moyen âge et qu’elle devrait prendre pour inculquer aux nouvelles générations les éléments moraux de régulation et d’intégration.
DURKHEIM assimile donc l’éducation à la socialisation : « L’éducation est l’action exercée par les générations adultes sur celles qui ne sont pas encore mûres pour la vie sociale »8. Elle a pour objet de susciter et de développer chez l’enfant, des éléments essentiels physiques, intellectuels et moraux que certainement.
D’après cette théorie de Nurkse, ces rapports circulaires sont les fortes causes compromettant le processus de développement d’un pays arriéré économiquement. Selon lui, l’offre du capital est commandée par la capacité et la volonté d’épargner, la demande de capital est commandée par les incitations à investir. Du côté de l’offre, il y la faible capacité d’épargner engendrant un bas niveau du revenu réel. Ce faible revenu réel est lui-même issu de la faible productivité qui résulte àons tour pour une large part, du manque de capital. Ceci est en effet un résultat de la faible capacité d’épargner et ainsi, le cercle vicieux est fermé.
Du côté de la demande, l’incitation à investir peut être faible à cause du pouvoir d’achat réduit des individus, une conséquence de lafaiblesse de leurs revenus réels qui, elle est le résultat de la faible productivité. Cette faiblesse de la productivité est due à la faiblesse du volume du capital utilisé dans la production, celle qui résulte à son tour de l’incapacité d’investir et ainsi de suite. La faiblesse du revenu réel est l’élément caractéristique de ces deux circonstances.
En conclusion, le cercle vicieux de la pauvreté découle premièrement du bas niveau du revenu, qui entraînera ensuite une faible possibilité d’épargner. Ceci impliquera un manque de capital et résultera à son tour une faible productivité et de nouveau un faible niveau du revenu de tout un chacun.

Rôles de l’école

Puisque la socialisation est définie comme une «intériorisation normative et culturelle, affirmant ainsi la réversibilité de lasubjectivité des acteurs et l’objectivité du système »10, et que par rapport à elle l’école joue un rôle ma jeur, alors celle-ci présente un facteur essentiel au passage de la tradition à la m odernité, c’est-à-dire du non-développement au développement proprement dit. D’après la définition susmentionnée qu’attribue Durkheim à l’école, de par elle et pour que la société ait un avenir meilleur, les générations adultes sont largement en mesure de transmettre tous leurs savoirs, leurs acquis et connaissances de leur vie sociale vécue, les manières d’agir, de penser, les différentes mesures à prendre en cas de difficulté surtout face à la mondialisation, les différentes techniques d’innovation à ceux qui s’apprêtent à le s succéder ; aussi, les expliquer et les démontrer tels ou tels mécanismes dépendent de telles variables ; de par elle encore, ils peuvent également les diriger et ainsi les prévenirde toutes circonstances possibles et évidentes. Sans pour autant sortir de la culturalité et de l’identité de la société mais à condition que celles-ci ne sont aussi à l’encontre des objectifs.
En définitive, l’éducation est une arme que détienn une génération pour mieux préparer son futur. Elle est considérée comme un lément de base et important au développement des personnes en estimant fondamentalement l’impact qu’elle aura sur le milieu social auquel elles sont particulièrement destinées.
De ce fait, avoir un système éducatif performant est de toute évidence un avantage majeur pour une collectivité ou une société quelconque.

Le cadre conceptuel de l’étude

Après avoir mentionné dans la précédente section slequelques théories des grands penseurs et chercheurs relatives à nos travaux d’en quête, il nous paraît intéressant de présenter dans la section qui suit quelques concepts clefs et des définitions se rapportant étroitement à notre domaine d’étude.

Le développement à Madagascar

Madagascar avant 196011

Partant de la chasse, la cueillette et la pêche, des pirates arabes et austronésiens envahissaient la grande île et y apportaient de nouvelles techniques de survie.
Ensuite, lors des anciennes époques, étant celles esd gouvernances royales, chacun des régimes qui se succédaient connaissait une certaine forme d’évolution sociale. En dépit d’un repli au cours de longues années sous le règnede Ranavalona 1ère, une impulsion donnée par Radama 1er au royaume de Madagascar poursuit sa transformation tout au long du XIXème siècle. Sous l’aval du roi, des missionnaires étrangers apprenaient au peuple malgache l’alphabet latin et qui inculquaient leurs valeurs et normes. Un embryon d’industrialisation se mettait également sur la côte Est sous la direction d’un corps étranger et à Antananarivo, un hôpital et une école étaient créés.
Peu de temps après, La France a exercé son influenc sur Madagascar et c’est ainsi que, l’île a été colonisé en 1895.
Durant cette colonisation française, une grande mut ation au profit des colons a été élaborée dans tous les domaines.

Madagascar après 196012

La première République
1960 a été l’année de retour à l’indépendance. La remièrep République malgache a commencé en cette année mais n’empêche que les Français continuent à exercer leur domination sur l’administration, l’armée de la nouvelle république, les activités économiques et la vie culturelle.
Le Revenu National Brut ou RNB par habitant était au même niveau que celui de la Corée du Sud. La population malgache avait chacun un métier digne de soi, un habitat adéquat, une bonne santé. Bref, en général, chacunavait un niveau de vie stable et un mode de vie normal, loin de connaître ce qu’est la pauvr eté et de vivre dans des conditions vulnérables.
La deuxième République
Quelques années plus tard, le pays a basculé à la deuxième République en instaurant un régime révolutionnaire, de nombreux ecteurs de l’économie sont ainsi nationalisés, entraînant une dégradation rapide del’activité économique et une aggravation de la paupérisation. Au bout d’une quinzaine d’années de ce régime, Madagascar se retrouve parmi les pays les plus pauvres de la planète.
La troisième République
En 2002, la troisième République a vu le jour. La econstruction des routes et des infrastructures locales et régionales comme base de développement du pays ont été au premier rang. Mais la vie socio-économique d’une forte masse de la population ne s’est malheureusement améliorée et se retrouve ainsi aujourd’hui dans un état de grande pauvreté, selon l’échelle du développement humain mondial.
Ces successions de faits réels sociaux, politiques et économiques, depuis les temps lointains jusqu’à nos jours, ont d’une manière et d ’une autre façonné une forme finale représentative du pays tout entier. Mais s’intéressant à un point particulier de la recherche, il importe de centrer nos études sur le développement du monde rural.

Importance d’un développement rural

Les termes « développement rural » ont chacun leursignification et leur importance que cela nous renvoie à différentes étapes. D’abord, qu’est-ce que le développement et pourquoi parler d’un développement ? Ensuite, qu’est-ce qu’on entend par milieu rural et quel est l’intérêt d’un développement en ce milieurural ? Nous allons en conséquence essayer d’éclaircir la démarche de l’étude selon ces points fondamentaux.

Généralités sur le développement

Le développement est un mot qui nous est familier, surtout avec les pays jugés pauvres. L’observation de ce phénomène de développement comme réalités sociales relève de nombreuses perspectives.

Essais de définition

Autant de dictionnaires et d’encyclopédies essaient d‘expliquer l’acception du terme et il y en a plusieurs.
D’après une simple définition que nous avons recueillie de Wikipédia, le développement est une action de développer, c’est–àdire d’assurer la croissance et l’extension d’une chose, d’un élément.
Le dictionnaire de la langue française, sous un aut re sens, exprime que le développement est un processus d’accroissement, de progression, d’expansion, d’évolution, de prospérité.
Le dictionnaire Larousse lui, propose que le développement est un fait pour quelque chose de progresser, de s’accroître, de prendre un important essor ou expansion.
D’après le trésor de la langue française informatisée, le mot développement désigne l’action de développer, de se développer ou le résultat de cette action.
D’un sens commun, sens temporel apparu vers 1755, développement signifie une « action de se développer (organisme, organe) ; évolution de ce qui se développe c’est-à-dire prend de l’extension » (« Le Robert »).
De toutes ces définitions il y a eu lieu de s’enquérir de la signification du verbe « développer ». Il s’agit de déployer ou de faire ccroîtrea une chose physique, intellectuelle ou morale. Par ailleurs, lorsque le concept de développement est appliqué à une communauté humaine, il désigne alors le progrès dupoint de vue économique, social, culturel ou politique.
En outre, une encyclopédie affirme que le mot développement d’un pays, d’une région ou d’une localité a toujours été appréhendéd’un seul point de vue économique. Alors que cette notion met aussi l’accent sur des aspects qualitatifs comme l’amélioration du bien-être de la population dans son ensemble, etde son état social.
Une définition critique que Gilbert Rist donne du concept de développement tel qu’utilisé par les acteurs du développement : « ensemble de pratiques parfois contradictoires qui, pour assurer la reproduction sociale, obligent à transformer et à détruire, de façon généralisée, le milieu naturel t eles rapports sociaux en vue d’une production croissante de marchandises (biens et services) destinées, à travers l’échange, à la demande sociale »
Ce concept de développement, appliqué au social, induit parfois des comportements pratiques absurdes et contraires à l’intérêt de cespopulations pauvres selon des critères statistiques quantitatifs qui ne rendent compte que d’une partie du social. Cette conception globale, du devenir de toute la société aura pour onséquence alors une implication de tous les acteurs sociaux sans exception.
De ce constat, s’impliquer au développement d’un milieu social n’est forcément meilleur pour la société, si ce n’est la dégradation de son environnement.
En définitive, le mot développement a plusieurs significations Le mot désigne un type de changement dans un cadre de logique positive, constituant une croissance qualitative et quantitative dans un système de valeur donné.
La définition que le Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD), faisant partie des programmes et fonds de l’Organisation des Nations-Unies (ONU) se conforme à l’indice composite connu sous l e nom d’Indice de Développement Humain (IDH). Cet indice statique est calculé par la moyenne de trois indices, à savoir :
· La longévité / santé (mesurée par l’espérance dee viàla naissance) ;
· Le niveau de vie calculé par le Produit Intérieur Brut par habitant (PIB/hab.), à parité du pouvoir d’achat (PPA);
· l’éducation (mesurée par le taux d’alphabétisationdes adultes et la durée attendue de scolarisation des élèves à l’école maternelle, ua collège, au lycée et à l’université).

Approches technicistes

Développement social
François PARTANT 13 affirme que « le développement ne peut-être que al réalisation progressive d’un double potentiel. D’une part, le potentiel que représentent toutes les collectivités humaines et tous les individus qui la composent ; d’une autre part, celui qui constitue le milieu physique dans lequel se trouve cette collectivité, un milieu qu’elle utilise pour assurer son existence et celle de ses générations à venir (…). Le développement est un processus endogène et autocentré d’évolution globale spécifique à chaque société ».
Développement socio-économique
Une approche marxiste indique qu’ « une des conditions préalables de production est l’existence des forces de production c’est-à-di re d’instruments, et d’hommes capables de les utiliser. Pour les besoins de la production, les hommes s’organisent d’une certaine façon, mettent leurs efforts en commun et nouent en tre eux des rapports sociaux, que l’on appelle rapports de production. Les forces productives de la société et les rapports de production des hommes constituent le mode de production. Il faut souligner qu’il ne s’agit pas là d’une combinaison d’éléments hétérogènes mais d’une véritable unité ; les rapports de production sont inséparablement liés aux forcesde production dont ils sont fonction. Quelles que soient les forces de production, tels sont les rapports de production ; si l’harmonie entre ces deux éléments est rompue, la ociétés traverse une période de crise et de lutte qui doit aboutir tôt ou tard à une adaptat ion des rapports de production aux forces de production existantes ou à une catastrophe au sy stème socio-économique considéré. Car la façon dont les hommes règlent leurs relations et organisent la production ainsi que les rapports sociaux qu’ils établissent à cette fin, dépendent en dernière analyse des instruments qu’ils ont à leur disposition.»
En effet, l’état des forces de production, déterminant les rapports de production déterminent aussi le mode de production qui devientà son tour la base du développement social.

Indicateurs de pauvreté

Partant de tous ces propos, le développement étantun passage d’un fait x1 se situant à l’instant t1 au fait x2 à l’instant t2. L ’état de pauvreté d’un pays, d’une région, d’une localité quelconque est dans ce cas le premier fait à remarquer et son changement est le deuxième fait à passer. Selon PNUD14, l’indicateur de pauvreté est centré sur trois aspects essentiels de la vie humaine déjà envisagé dans le cadre de l’IDH 15 (longévité, instruction et condition de vie décente).
Selon la Banque Mondiale quant à elle, passe une série d’indicateurs ou pistes de réflexion possibles pour évaluer les divers domaines concernés par la pauvreté (la santé, l’éducation, la vulnérabilité, le manque de parolet le manque de pouvoir).
Des économistes se sont presque appuyés sur les revenus, la consommation et la qualité de vie en tant qu’indicateurs indirects pour mesurer le degré de pauvreté et de bien-être d’une personne ou d’une famille. Ce concept découle de la question si l’individu ou le ménage dispose des moyens suffisants pour parvenir au niveau indispensable de consommation ou de qualité de vie.
Pour les spécialistes des sciences sociales, la pauvreté est liée au manque de capacités individuelles telles qu’éducation ou santé qui empêche de jouir d’une qualité de vie indispensable. Ainsi, dans le cadre de notre recherche, afin de mesurer les réalités sociales au sein de notre terrain d’investigation, nous allons nous intéresser sur tous les aspects relatifs à cet indicateur de pauvreté, sinon, à l’IDH en mettant en exergue une dimension particulière étant donné que le champ d’étude nous semble un peuvaste.

Intérêt du développement en milieu rural

Généralités sur le milieu rural

« L’espace rural se caractérise en général par une nsitéde de population relativement faible, par un paysage à couverture végétale prépondérante (champs, prairies, forêts, autres espaces naturels), par une activité agricole relativement importante, du moins par les surfaces qu’elle occupe ».
La méthode la plus courante consiste à fixer une taille limite entre ville et campagne, limite qui varie cependant sensiblement d’un Etat à l’autre. Le seuil des 5 000 habitants est retenu dans plusieurs pays d’Afrique
Certaines définitions étrangères intègrent d’autrescritères, en plus de la taille : nature des activités (pourcentage d’actifs agricoles relativement élevé par exemple), densité maximum de population et manque de certains équipements
La notion d’espace rural est donc floue et varie d’ un pays à un autre.

Caractéristiques du milieu rural à Madagascar

L’importance de vouloir parler d’un milieu rural réside dans les particularités du monde rural à Madagascar. Très souvent largement enclavé, peu tourné vers le mécanisme de marché et de scolarisation. Il est certain qu’aucun espace rural n’a connu le sens du développement dans ces domaines de l’économie, santé et éducation.
Compte tenu de la présentation de notre recherche, faisant suite aux concepts et théories des grands penseurs, une étude sociographique du terrain permettra d’appréhender préalablement le mode de vie sociale, économique etculturelle des gens locaux. En effet, il y a lieu de présenter la commune rurale dans cettepremière partie ; c’est la raison d’être du chapitre qui suit

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
Généralités
Motifs du choix du thème et du terrain
Problématique
Objectifs
Hypothèses
Méthodologie
Concepts et instruments d’analyse
L’anthropologie socioculturelle
L’anthropologie fonctionnaliste
L’individualisme méthodologique
Techniques
Techniques documentaires
Techniques vivantes
L’observation
L’entretien
Echantillonnage
Les limites de la recherche
Annonce du plan
PREMIERE PARTIE : CADRAGE THEORIQUE ET CONCEPTUEL
CHAPITRE 1 : Cadre théorique de l’étude
1.1.- La théorie du cercle vicieux de la pauvreté de NURKSE
1.2.- Socialisation et éducation
1.3.- Les interprétations relatives au cercle vicieux
1.4.- Rôles de l’école
1.5.- Le cadre conceptuel de l’étude
1.5.1.- Le développement à Madagascar
1.5.1.1.- Madagascar avant 1960
1.5.1.2.- Madagascar après 1960
La première République
La deuxième République
La troisième République
1.5.2.- Importance d’un développement rural
1.5.2.1.- Généralités sur le développement
1.5.2.2.- Essais de définition
1.5.2.3.- Approches technicistes
Développement social
Développement socio-économique
1.5.2.4.- Indicateurs de pauvreté
1.6.- Intérêt du développement en milieu rural
1.6.1.- Généralités sur le milieu rural
1.6.2.- Caractéristiques du milieu rural à Madagascar
CHAPITRE 2 : Sociographie de la commune d’Ambohijanaka
2.1.- Historique, situation géographique
2.1.1.- Historique
2.1.2.- Localisation géographique
2.2.- Les ressources
2.2.1.- Sa population
2.2.2.- Répartition par classe d’âge
2.2.3.- Répartition sectorielle de la population active
2.3.- Ressources économiques
2.4.- Enseignement
2.4.1.- Ecoles confessionnelles
2.4.2.- Ecoles privées
DEUXIEME PARTIE : INCIDENCES DU NIVEAU D’INSTRUCTION DANS LE DEVELOPPEMENT
CHAPITRE 3 : Niveau scolaire et pauvreté
3.1.- Niveau intellectuel des enquêtés
3.2.- Les différentes activités des paysans
3.2.1.- Activités principales
3.2.2.- Activités secondaires
3.2.3.- Secteur informel
3.3.- Conditions de vie des paysans
3.3.1.- Les revenus des ménages
3.3.2.- Situation des paysans en matière de bien-être
3.3.2.1.- Sur le plan sanitaire
3.3.2.2.- Sur le plan nutritionnel
3.3.2.3.- Adduction en eau potable et hygiène
3.3.2.4.- Electricité
3.4.- Les problèmes économiques
3.4.1.- Conditions monétaire des ruraux
CHAPITRE 4 : Culture traditionnelle et logique paysanne
4.1.- Dynamique communautaire
4.1.1.- Mentalité conservatrice
Sur le plan agricole
Sur le plan sanitaire
Planning familial et paysans démunis
4.1.2.- Comportement irrationnel des paysans
4.1.2.1.- Décrochage scolaire
4.2.- Migration en ville
4.2.1.- Les raisons de la migration
4.2.1.1.- Problèmes fonciers
4.2.1.2.- Chômage
4.3.- Conséquences pour le milieu rural
CHAPITRE 5 : Dynamique communautaire et développement local
5.1.- Réalités sociales
5.2.- Initiative et participation de la population cible
5.2.1.- Le programme de la FAO
5.2.2.- De l’initiative à la coopération des ménages
5.2.3.- Participation des paysans et leur statut agricole
5.3.- Education, une arme pour progresser
5.4.- Conception et attitude des villageois
TROISIEME PARTIE : RESORBER LES INEGALITES SOCIALES POUR DES INTERVENTIONS SOCIALES EFFICACES
CHAPITRE 6 : Impact des situations des parents sur leurs enfants
6.1.1.- Impacts sociaux
6.1.2.- Au sein de la famille
6.1.3.- Au sein de la société
6.1.2.- Impact sur l’économie
6.1.3.- Une logique de reproduction sociale
6.2.- Le développement étant une étude d’ensemble
6.2.1.- Entreprenariat et identification des stratégies des couches dominantes
CHAPITRE 7 : Pistes de réflexions et acquisitions
7.1.- Stratégies relatives à la régulation sociale
7.1.1.- Sur le plan social
7.1.2.- Sur le plan économique
7.2.- solutions pour le développement rural dans les pays du Sud
7.3.- Nos acquis professionnels
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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