Dans cette nouvelle รจre de technologie de plus en plus sophistiquรฉe et la course vers la miniaturisation, la tรฉlรฉcommunication se situe au cลur mรชme de ces รฉvolutions. Cette รฉvolution des tรฉlรฉcommunications est de plus en plus liรฉe ร lโinformatique. Actuellement les rรฉseaux innervent complรจtement la planรจte et grรขce aux รฉvolutions dโรฉquipements de communication, il est permis dโatteindre de hauts dรฉbits. Parmi ces rรฉseaux figurent les rรฉseaux cellulaires tels le GSM qui est une grande รฉvolution dans le domaine de la tรฉlรฉcommunication ces derniรจres annรฉes, lโUMTS qui est une รฉvolution du rรฉseau de deuxiรจme gรฉnรฉration quโest le GSM, et depuis quelques temps le rรฉseau de nouvelle gรฉnรฉration ou NGN (Next Generation Network) qui a permis de dรฉfinir lโIMS (IP Multimedia Subsystem) et de lโintรฉgrer dans le rรฉseau UMTS afin de faciliter la convergence de ce rรฉseau vers un rรฉseau ยซ Tout IP ยป.
Ces รฉvolutions rรฉsultent surtout des demandes accrues de services venant des utilisateurs et des entreprises qui nรฉcessitent un systรจme beaucoup plus performant en termes de dรฉbit et de bande passante dโune part, et les problรจmes liรฉs ร lโincapacitรฉ des systรจmes prรฉcรฉdents de satisfaire ces demandes dโautre part. Les services demandรฉs par les utilisateurs convergent surtout vers des services nรฉcessitant des dรฉbits รฉlevรฉs notamment le multimรฉdia, etc. Le monde de la tรฉlรฉcommunication doit alors lever de nouveaux dรฉfis : lโinfrastructure et les technologies conรงues pour porter exclusivement la tรฉlรฉphonie doivent sโorienter surtout sur les services et le multimรฉdia. LโInternet qui est le rรฉseau opรฉrant sous IP (Internet Protocol), reste le modรจle le plus intรฉressant et possรฉdant encore un domaine trรจs large pour des recherches pouvant satisfaire les demandes, de plus en plus exigeantes des clients, qui vont de paire avec la concurrence au sein des opรฉrateurs de tรฉlรฉcommunications.
LE PROTOCOLE INTERNET (IP)ย
Historique
Les travaux de lโARPA (Advanced Research Project Agency) dรฉbutรจrent au milieu des annรฉes 70 dans le but de dรฉvelopper un rรฉseau ร commutation de paquet afin dโรฉchanger plus facilement courriers et donnรฉes entre les diffรฉrents centres. Le but รฉtant de construire un rรฉseau rรฉsistant ร dโรฉventuelles attaques militaires ou ร des catastrophes naturelles ; il ne fallait pas de points dont la neutralisation pouvait entraรฎner lโarrรชt complet du rรฉseau. Cโest ainsi que le rรฉseau ARPANET fut conรงu sans nลud particulier le contrรดlant de telle sorte que si une voie de communication venait ร รชtre dรฉtruite, le rรฉseau est capable de dรฉterminer un nouveau chemin dโacheminement des donnรฉes. En 1974, TCP est crรฉรฉ afin dโamรฉliorer et de standardiser le mode de connexion entre machines hรฉtรฉrogรจnes. En 1978, TCP est fragmentรฉ en TCP/IP, et cโest vers 1980 que le rรฉseau Internet est apparu. A ce moment lร , lโARPA commenรงa ร faire รฉvoluer les ordinateurs en utilisant des protocoles de communication plus รฉlaborรฉs tels que TCP/IP. Vers 1989 est crรฉรฉ par Tim Bernes-Lee le WWW (World Wide Web), mais cโest seulement vers le milieu des annรฉes 90 quโil est exploitรฉ pour le commerce รฉlectronique. IP est lโacronyme de ยซ Internet Protocol ยป, il est standardisรฉ dans la RFC 791 et a รฉtรฉ conรงu en 1981 pour remplacer NCP (Network Control Protocol), le protocole de lโARPANET. Plus de vingt ans aprรจs sa premiรจre implรฉmentation, ses limitations se font de plus en plus pรฉnalisantes pour les nouveaux usagers sur les rรฉseaux. Avant de le jeter aux sorties, posons-nous la question de qui pouvait prรฉvoir ร cette รฉpoque oรน moins de mille ordinateurs รฉtaient reliรฉs ensembles, que deux dรฉcennies plus tard des dizaines de millions d’hรดtes l’utiliseraient comme principal protocole de communication ? Sa longรฉvitรฉ est donc remarquable et il convient de l’analyser de prรจs avant de pouvoir le critiquer de maniรจre constructive.
Description du protocole IP
Comme son nom lโindique (Internet Protocol), le protocole IP a pour rรดle de router le trafic ร travers un ensemble de rรฉseaux interconnectรฉs. Ceci est rรฉalisรฉ en transfรฉrant les datagrammes d’un module Internet ร l’autre jusqu’ร atteindre la destination. Il a รฉtรฉ conรงu pour rรฉaliser lโinterconnexion de rรฉseaux informatiques et permettre ainsi les communications entre systรจmes.
Le protocole IP multiplexe les protocoles de la couche transport et a la facultรฉ de dรฉtruire les paquets ayant transitรฉs trop longtemps sur le rรฉseau. Il permet รฉgalement de fragmenter et de rassembler de nouveau les fragments de donnรฉes. Cependant, il nโeffectue ni contrรดle dโerreur, ni contrรดle de flux. Un des plus importants mรฉcanismes du protocole Internet est la gestion de cette adresse Internet. Lors de lโacheminement d’un datagramme d’un module Internet vers un autre, les datagrammes peuvent avoir รฉventuellement ร traverser une section de rรฉseau qui admet une taille maximale de paquet infรฉrieure ร celle du datagramme. Pour surmonter ce problรจme, un mรฉcanisme de fragmentation est gรฉrรฉ par le protocole Internet. Remarque : Dans le modรจle OSI, nous parlons plutรดt de paquets au niveau de la couche rรฉseau. En revanche, dans le modรจle TCP/IP, lโunitรฉ transfรฉrรฉe est le datagramme. Toutefois, dans la suite de lโouvrage, nous les mentionnerons indiffรฉremment.
Principe de lโadressage des machinesย
Une distinction doit รชtre faite entre nom, adresse, et chemin. Un nom indique ce que nous cherchons. Une adresse indique oรน cela se trouve. Un chemin indique comment y aboutir. Le protocole Internet sโoccupe essentiellement des adresses. Cโest ร des protocoles de niveau plus รฉlevรฉ (exemple : hรดte-vers-hรดte ou application) que revient la tรขche de lier des noms ร des adresses. Le module Internet dรฉduit de lโadresse Internet une adresse rรฉseau local. La tรขche qui consiste ร transcrire lโadresse de rรฉseau local en termes de chemin (exemple : sur un rรฉseau local ou dans un routeur) revient au protocole de bas niveau.
Structure dโadresses IP
Chaque machine dโInternet possรจde une adresse IPv4 reprรฉsenter sur un entier de 4 octets (32 bits) notรฉs de faรงon dรฉcimale de 0 ร 255, ce qui lui permet dโรชtre identifiรฉe de maniรจre unique dans le rรฉseau. Une adresse est constituรฉe de deux parties : un identificateur de rรฉseau (netid) et un identificateur de machine pour ce rรฉseau (hostid), {netid, hostid}. Elle commence toujours par le numรฉro ou lโidentificateur de rรฉseau, suivi de lโidentificateur de machine. Pour assurer lโunicitรฉ des numรฉros de rรฉseau, les adresses Internet sont attribuรฉes par un organisme central, lโInterNIC. Lorsque lโon veut รฉtablir une communication, il est intuitivement indispensable de possรฉder trois informations :
โคย Le nom de la machine distante,
โคย Son adresse,
โคย La route ร suivre pour y parvenir.
Le nom dit ยซ qui ยป est lโhรดte distant, lโadresse nous dit ยซ oรน ยป il se trouve et la route ยซ comment ยป on y parvient. En rรจgle gรฉnรฉrale les utilisateurs prรฉfรจrent des noms symboliques pour identifier les machines tandis que les processeurs des machines sont plus ร lโaise avec les nombres. Cet adressage nโest pas hiรฉrarchisรฉ dans le sens que 193.50.126.0 pourrait รชtre un rรฉseau japonais, alors que 193.50.125.0 serait un rรฉseau franรงais. Cโest la trรจs grosse faiblesse de cet adressage. Le successeur (IPv6) prรฉvoit des hiรฉrarchies dโadresses ร la maniรจre du tรฉlรฉphone. Etant donnรฉ que la saturation dโadressage ne semble pas encore รชtre un problรจme majeur, IPv4 reste largement le plus utilisรฉ malgrรฉ lโexistence de la nouvelle gรฉnรฉration du protocole IP : IPv6. IPv6 utilise un adressage utilisant huit groupes de quatre lettres hexadรฉcimales sรฉparรฉs par ยซ : ยป. Les enjeux majeurs de lโIPv6, outre lโextension de lโespace dโadressage sont : un traitement plus rapide grรขce ร un en tรชte plus simplifiรฉ, la sรฉcuritรฉ, la notion de flux (qualitรฉ de service, etc).
Les classes dโadresses IP
Lโadresse rรฉseau est placรฉe sur les bits de poids forts, alors que lโadresse machine est calculรฉe sur les bits de poids faibles. Pour des raisons administratives et de routage, on regroupe ces adresses sous forme de classes. On pourra ensuite utiliser ces adresses ร sa guise pour gรฉrer son rรฉseau. Il existe plusieurs classes dโadresses. On parle des classes A, B, C, D et E. Elles sont diffรฉrenciรฉes par les bits de poids forts qui les composent.
Une adresse IP est toujours de la forme X1.X2.X3.X4 (les Xi sont des blocs de 8 bits). La spรฉcification du netid dรฉpend de la classe. Dans le cas dโune classe A, la valeur de X1 permet de reconnaรฎtre le rรฉseau ; les X2, X3, X4 permettent de constituer des adresses individuelles. On pourra donc adresser thรฉoriquement 16 777 214 machines. Dans le cas dโune classe B, il est spรฉcifiรฉ par X1 et X2. On pourra alors adresser 65 534 machines. Une classe C fixe les valeurs de X1, X2, X3 pour le netid. On pourra donc adresser 254 machines. La classe D est une classe quelque peu diffรฉrente, puisquโelle est rรฉservรฉe ร une utilisation particuliรจre : le multicast. La classe E est quant ร elle une classe non utilisรฉe ร ce jour.
Le multicast ou multi diffusion est une technique utilisรฉe par les protocoles spรฉciaux pour transmettre simultanรฉment des messages ร un groupe donnรฉ de nลuds diffรฉrents. Remarque : Il y a des adresses spรฉciales que le public ne peut pas utiliser comme adresse dโidentification :
โข Adresse machine locale, {0, hostid} : adresse IP dont le champ rรฉseau (netid) ne contient que des zรฉros ;
โข Adresse rรฉseau, {netid, 0} : adresse IP dont la partie identificateur de machine (hostid) ne comprend que des zรฉros. La valeur zรฉro ne peut รชtre attribuรฉe ร une machine rรฉelle.
โข Adresse de bouclage, {127, } : adresse IP dont le numรฉro du champ rรฉseau (netid) est 127. Tout paquet envoyรฉ par une application TCP/IP ร une adresse de bouclage sera renvoyรฉ ร lโapplication sans que le paquet nโatteigne le support rรฉseau.
LโI.A.N.A a rรฉservรฉ les trois blocs dโadresses IP suivants pour lโadressage des rรฉseaux privรฉs :
โย 1 adresse de classe A : 10.0.0.0 โ 10.255.255.255
โย 16 adresses de classe B : 172.16.0.0 โ 172.31.255.255
โ 255 adresses de classe C : 192.168.0.0 โ 192.168.255.255.
Routage des datagrammes
Le routage est primordial pour lโinterconnexion des rรฉseaux. Le rรฉseau Internet est en fait composรฉ dโune multitude de petits rรฉseaux interconnectรฉs entre eux. Chaque rรฉseau envoie et reรงoit des informations par le biais de passerelles. Chaque rรฉseau connectรฉ comprend au minimum une passerelle. Chaque passerelle est obligatoirement connectรฉe ร une autre passerelle, appartenant ร un autre rรฉseau. Les passerelles sont gรฉnรฉralement des routeurs, appareils dรฉdiรฉs au routage de paquets. Un routeur est donc nรฉcessaire pour relier deux rรฉseaux entre eux, car il nโest pas concevable de relier tous les rรฉseaux par la liaison Ethernet (ou tout autre technologie adaptรฉe aux rรฉseaux locaux). En effet, si on prend le cas dโun รฉtablissement universitaire, il est totalement inconcevable de le relier ร un autre site distant de plusieurs kilomรจtres par une liaison Ethernet. Les limites de transmission physique par liaison Ethernet seraient largement dรฉpassรฉes (distance, donnรฉes et contraintes techniques, รฉlectriques et รฉlectroniques), mais aussi ร cause du coรปt que cela engendrerait. On fait donc appel aux liaisons louรฉes, qui sont fournies par les opรฉrateurs tรฉlรฉcoms. Chaque ligne dispose donc de son propre protocole et de son propre dรฉbit (exemple : E1 = 2Mbit/s, E3 = 34Mbit/s, etc). Les routeurs ne dรฉcodent pas les trames au-delร de la couche 3 du modรจle OSI. Par contre, comme les routeurs retranscrivent les trames dโun protocole dans un autre, il faut que le logiciel intรฉgrรฉ dans le routeur soit capable de router ce protocole. Si on utilise un protocole non routable (ARP par exemple), le routeur ne fait que transporter le paquet dโun point ร un autre, et on parle alors de pontage (ou de proxy). Ainsi, un pont ne fait que transcrire bรชtement des trames entre deux rรฉseaux reliรฉs par une interface autre que celle du rรฉseau local, alors quโun routeur sera capable dโorienter les paquets selon leur destination. Un pont nโest pas capable dโapprรฉhender un protocole au-delร du niveau 2 du modรจle OSI. Il existe diffรฉrents niveaux de routeurs, ceux-ci fonctionnent donc avec des protocoles diffรฉrents :
โข Les routeurs noyaux sont les routeurs principaux car ce sont eux qui relient les diffรฉrents rรฉseaux.
โข Les routeurs externes permettent une liaison des rรฉseaux autonomes entre eux. Ils fonctionnent avec un protocole appelรฉ EGP (Exterior Gateway Protocol) qui รฉvolue petit ร petit en gardant la mรชme appellation.
โข Les routeurs internes permettent le routage des informations ร lโintรฉrieur dโun rรฉseau autonome. Ils sโรฉchangent des informations grรขce ร des protocoles appelรฉs IGP (Interior Gaterway Protocol).
Les routeurs possรจdent des tables de routage leur permettant de choisir lโinterface de sortie dโun datagramme ร partir des informations stockรฉes dans cette derniรจre. Les routeurs prennent รฉgalement des dรฉcisions en fonction de la densitรฉ du trafic et du dรฉbit des liaisons (bande passante).
Le protocole RIP
Le protocole RIP est apparu avec la version BSD d’Unix, il est documentรฉ dans la RFC 1058 (1988 – Version 1 du protocole) et la RFC 1388 (1993 – Version 2 du protocole). Ce protocole est basรฉ sur des travaux plus anciens menรฉs par la firme Xerox. Le protocole RIP utilise le concept de ยซ vecteur de distance ยป, qui sโappuie sur un algorithme de calcul du chemin le plus court dans un graphe. Le graphe est celui des routeurs, la longueur du chemin est รฉtablie en nombre de sauts (hop), ou mรฉtrique, entre la source et la destination, cโest ร dire en comptant toutes les liaisons. Cette distance est exprimรฉe comme un nombre entier variant entre 1 et 15 ; la valeur 16 est considรฉrรฉe comme lโinfini et indique une mise ร lโรฉcart de la route. La mรฉthode de routage ร vecteur de distance dรฉtermine la direction (vecteur) et la distance vers nโimporte quel lien de lโinter-rรฉseau. Les algorithmes de routage ร vecteur de distance transmettent des copies pรฉriodiques dโune table de routage dโun routeur ร un autre. Ces mises ร jour rรฉguliรจres entre les routeurs permettent de communiquer les modifications topologiques. Chaque routeur รฉmet dans un datagramme portant une adresse IP de broadcast, ร frรฉquence fixe (environ 30 secondes), le contenu de sa table de routage et รฉcoute celle des autres routeurs pour complรฉter sa propre table. Ainsi se propagent les tables de routes d’un bout ร l’autre du rรฉseau. Pour รฉviter une ยซ tempรชte de mises ร jour ยป, le dรฉlai de 30 secondes est augmentรฉ dโune valeur alรฉatoire comprise entre 1 et 5 secondes.
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Table des matiรจres
INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE 1. LE PROTOCOLE INTERNET (IP)
1.1. Historique
1.2. Description du protocole IP
1.3. Principe de lโadressage des machines
1.3.1. Structure dโadresses IP
1.3.2. Les classes dโadresses IP
1.4. Datagrammes IP
1.4.1. Format des datagrammes IP
1.4.2. Routage des datagrammes
1.4.2.1. Le protocole RIP
1.4.2.2. Le protocole OSPF
1.5. Rรฉsolution dโadresses logiques
1.5.1. Le protocole ARP
1.5.1.1. Introduction
1.5.1.2. Fonctionnement
1.5.2. Le protocole RARP
CHAPITRE 2. LโUMTS (Universal Mobile Telecommunication System)
2.1. Prรฉsentation de lโUMTS
2.1.1. Dรฉfinition de lโUMTS (Universal Mobile Telecommunication System)
2.1.1.1. Dรฉfinition
2.1.1.2. Avantages
2.1.2. Objectifs
2.1.3. Caractรฉristiques
2.2. Architecture du rรฉseau UMTS
2.2.1. Domaine de lโรฉquipement usager
2.2.2. Domaine du rรฉseau cลur et du rรฉseau dโaccรจs
2.2.2.1. Le rรฉseau cลur
2.2.2.2. Le rรฉseau d’accรจs UTRAN
2.3. Les services proposรฉs par lโUMTS
2.3.1. De la voix toujours avec plus d’appels
2.3.2. Les nouveautรฉs
2.3.2.1. La visiophonie
2.3.2.2. La transmission vidรฉo en temps rรฉel
2.3.3. Les amรฉliorations
2.3.3.1. Envoi et rรฉception de SMS et MMS
2.3.3.2. Accรจs ร lโInternet
2.3.4. Les services du futur
2.4. Le futur de lโUMTS
CHAPITRE 3. LโIMS (IP Multimedia Subsystem)
3.1. Gรฉnรฉralitรฉs
3.1.1. Dรฉfinition
3.1.2. Historique de la normalisation de l’IMS
3.1.2.1. IMS Forum
3.1.2.2. TISPAN (ETSI)
3.1.2.3. UIT-T
3.1.2.4. Autres actions de normalisation de lโIMS
3.2. Principes de lโIMS
3.2.1. Une plateforme unifiรฉe
3.2.2. Le support de services Internet
3.3. Architecture IMS
3.3.1. Structuration en couche de lโarchitecture IMS
3.3.2. Dรฉploiement dโune architecture IMS
3.3.3. Architecture de service IMS
3.3.4. Entitรฉs de lโarchitecture de service IMS
3.4. Entitรฉs de Rรฉseau IMS
3.4.1. Terminal IMS
3.4.2. Home Subscriber Server (HSS)
3.4.3. Call State Control Function (CSCF)
3.4.3.1. P-CSCF
3.4.3.2. I-CSCF
3.4.3.3. S-CSCF
3.4.3.4. MGCF, IMS-MGW et T-SGW : Interfonctionnement avec le RTC
3.5. Protocoles usagers de lโIMS
3.5.1. Le protocole SIP
3.5.1.1. Prรฉsentation
3.5.1.2. Les clients et les serveurs SIP
3.5.1.3. Etablissement de session SIP
3.5.2. Le protocole SDP
3.5.3. RTP / RTCP (Real-time Transport Protocol / Real -time Transport Control Protocol)
3.5.3.1. Le protocole RTP (Real-time Transport Protocol)
3.5.3.2. Le protocole RTCP (Real -time Transport Control Protocol)
CHAPITRE 4. REALISATION DโUN SYSTEME DE GESTION DES DOSSIERS PATIENTS DโUNE CLINIQUE (OU DโUN HOPITAL) SUR UN RESEAU IP EN SE BASANT SUR LES PRINCIPES DE LโIMS
4.1. But de la simulation
4.2. Langage de programmation
4.2.1. Choix du langage Java
4.2.2. Choix de la base de donnรฉes MySQL
4.3. Prรฉsentation de lโAPI utilisรฉ
4.3.1. Dรฉveloppement Web avec Java : les pages JSP
4.3.2. Configuration de Tomcat
4.4. Organisation de lโapplication
4.5. Description et prรฉsentation de lโapplication
4.5.1. Lโauthentification
4.5.2. Le formulaire dโinscription de nouveau patient
4.5.3. Lโagenda
4.5.4. La liste des mรฉdecins
4.5.5. La dรฉconnexion
CONCLUSION GENERALE