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Les proportions corporelles
Elles ont trait aux rapports qu’entretiennent entre eux les éléments de longueur, de largeur et d’épaisseur. Barone, cité par (Ndiaye, 1982), dit qu’il existe une liaison entre ces éléments.
Largeur et épaisseur varient dans le même sens et en raison inverse des éléments de longueur. Ainsi donc les animaux longs seront minces et étroits, tandis que les courts seront épais et larges [30].
Les proportions corporelles sont sous la dépendance du milieu (environnement, mode de vie) mais aussi de l’adaptation professionnelle et de la sélection.
Elles nous permettent de reconnaître les brachymorphes ou brévilignes, les mésomorphes ou médiolignes, les dolicomorphes ou longilignes [30].
Le format
D’ordre secondaire mais reconnu dans chaque espèce par un volume moyen correspondant à une combinaison optimale de la surface et de la masse du type de l’espèce, il s’agit du type moyen ou l’eumétrique.
Il existe des polymorphismes variant dans les deux sens, variation en hyper donnant le type hyper métrique, variation en hypo aboutissant à l’hypo métrique ou ellipométrique. Chez les équins, le poids moyen du type eumétrique est estimé à 435 kg, tandis que l’hyper-métrique le poids varie entre 500 et 1000 kg, l’ellipométrique se situant dans la fourchette 100-350 kg [33].
Les extrémités
Elles sont caractérisées par un ensemble d’éléments localisés au niveau du bout de la tête et à la partie distale des membres.
Les animaux peuvent avoir des extrémités grossières ou fines. Généralement, il existe une relation entre 1a nature du profil et celle des extrémités. Ainsi remarque-t-on qu’un animal à profil concave possède des extrémités larges, tandis que celui qui est convexe, a des extrémités étroites [33].
La phanéroptique
Il s’agit de l’étude de la peau et de ses dépendances. La robe apparaît comme un appoint très précieux dans la diagnose de l’individu. L’importance de la phanéroptique fait qu’elle sera détaillée au niveau du signalement.
Les coordonnées ethniques de Barone nous permettront de décrire les races proprement dites recensées dans notre pays [33].
Les qualités recherchées chez le cheval
Les principales qualités recherchées chez un cheval sont : le caractère, le modèle, la taille, et les allures, toutes sont déterminantes pour l’obtention du meilleur cheval possible.
Le caractère
Un bon cheval doit être sain, solide, généreux, au tempérament vif et équilibré. Il doit faire preuve de courage et de grande maniabilité. Les trois qualités essentielles recherchées sont : un cheval courageux, respectueux, avec des moyens. Le courage, c’est la qualité essentielle qui est intimement liée au sang [26].
Le modèle et la taille
Les chevaux doivent présenter une encolure longue, souple et musclée et une épaule oblique. La poitrine doit être large, écartant les deux antérieurs, un dos très fort, donc tendu, voire convexe sur toute la longueur et plutôt long que court.
L’arrière-main est le propulseur, il indique la force et facilite l’engagement c’est pourquoi les hanches doivent être larges, la croupe longue, inclinée, musclée puissante avec de solides jarrets et la cuisse très descendue et musculeuse. Ils doivent être dotés de bons aplombs, et d’une bonne faculté de récupération [26].
En effet, les chevaux les moins performants en cours ont un appel qui comporte une forte poussée des antérieurs et une faible poussée des postérieurs [26].
Les chevaux les plus performants en épreuve ont un appel équilibré avec une forte poussée des postérieurs. Un bon appel étant caractérisé par une accélération du rythme des battues lors de l’appel. La taille doit être supérieure à cent quarante-huit centimètres [22,26].
Les allures
Les chevaux doivent avoir une bonne locomotion, un bon équilibre. Les allures sont les principales caractéristiques des foulées de chaque allure. Les foulées doivent être de cadence et d’amplitude régulière, sur le plat et à l’abord [26]. Il existe trois types d’allures :
– Le pas doit être ample, souple, calme, énergique, le cheval semblant «rouler des mécaniques ». Toutes les articulations doivent être utilisées : l’épaule est déliée, le genou s’élève d’abord en se pliant, le pied va embraser le terrain suffisamment loin. Le rein joue parfaitement son rôle de charnière, transmettant intégralement et simplement la poussée des hanches, la queue ondulante de la même façon, signe de souplesse et de régularité. Les postérieurs doivent montrer de l’activité en pousser et en allant chercher le terrain. Le grasset avance généreusement, le jarret se plie permettant au boulet de monter suffisamment avant d’avancer, le talon dépassant la pince antérieure.
– Le trot n’est pas l’allure essentielle. Le geste doit partir de l’épaule, l’avant-bras monte en avançant, le genou se plie facilement et l’antérieur se tend pour aller de l’avant. Le rein ne s’ouvre pas, la hanche ne se rapproche surtout pas de l’horizontal avec les postérieurs derrière. Le grasset est très mobile, le jarret plie, les pieds se posent suffisamment loin. L’essentiel du trot est dans l’activité des postérieurs qui soutiennent et poussent le cheval, dans une cadence lente qui montre son énergie et son équilibre.
– Le galop : c’est l’allure la plus importante du fait que les parcours se déroulent au galop. Le genou et le jarret doivent se plier, la base de l’encolure se soutient, le rein se vousse et se redresse généreusement, permettant aux hanches d’amener les postérieurs sous la masse, puis de propulser le cheval en l’air et en avant. Le galop doit paraître basculé, rond, car une bonne cadence traduit l’équilibre, une battue ample et une bonne propulsion. Les galops désunis prouvent raideur et déséquilibre [16, 26,38].
Particularités anatomophysiologiques du cheval
L’anatomie du cheval a été étudiée tôt par l’Homme pour comprendre son fonctionnement et pour mieux l’utiliser. Un des premiers ouvrages sur l’anatomie du cheval est celui de Carlo Ruini en 1598 [44].
Morphologie générale du cheval
La morphologie du cheval correspond à l’étude et la description des parties externes et des éléments d’aspect général du cheval. Il peut s’agir des points forts et des points faibles. La morphologie ne s’improvise pas : elle a son propre vocabulaire. La morphologie permet aussi aux stud-books de définir les standards de race et l’inscription de nouveaux représentants de race. Elle sert aussi à évaluer le potentiel d’un cheval dans une discipline. Par exemple, un cheval avec une arrière-main puissante sera plus adéquat en saut d’obstacle. Pour le passage des galopes, la pratique de l’équitation ou encore l’élevage, une bonne connaissance en morphologie est indispensable. La morphologie dite générale qui apprécie le cheval dans son ensemble, nous permet d’examiner les différentes parties du corps du cheval une à une. Les parties du corps du cheval se divise en trois parties (figure 2) [43] :
– L’avant-main
– Le corps
– L’arrière-main
L’avant-main
Elle se compose de trois grandes parties :
– la tête
– l’encolure
– les membres antérieurs
La tête
Elle est composée de nombreuses parties (figure 3).
Les plus importantes sont : Les oreilles, le toupet, les yeux, les ganaches, les naseaux, la bouche. C’est sur la tête que l’on apprécie les différents types de profils (chanfrein) : concave, rectiligne, convexe.
L’encolure
D’une manière générale, il se compose essentiellement de muscle, on y retrouve quelques éléments morphologie du cheval : la crinière et la trachée. C’est sur cette partie du corps du cheval que l’on peut apprécier les différents types morphologiques d’encolure (figure 4)
Les membres antérieurs
Les membres antérieurs du cheval se composent de nombreuses parties. Les principales que l’on peut noter sont : L’épaule, le poitrail, l’avant-bras, le genou, le canon, le fanon, le boulet, le sabot
Le corps
Le corps est l’endroit où le cavalier se positionne lorsqu’il monte à cheval. Les principales parties morphologiques sont : le garrot, le dos, le ventre. Le cheval peut avoir différents profil de dos notamment le dos long, le dos court, le dos creusé
L’arrière-main
C’est la partie arrière du cheval, c’est de là que vient la puissance et l’impulsion d’un cheval. Les principales parties sont la croupe, les hanches, la cuisse, la rotule, le jarret, le canon, le boulet, le sabot [43].
Les particularités ostéo-articulaires
Anatomie du système osseux
Le squelette est composé de 205 os et représente environ 8 % de la masse d’un cheval. Il supporte les parties molles du corps, joue le rôle de structure et protège les organes vitaux. La colonne vertébrale se compose de 54 os tandis que la boîte crânienne en possède 34. Le cheval a 18 paires de côtes. Contrairement à l’homme, le cheval n’a pas de clavicule. Le système squelettique est maintenu par des ligaments et des tendons. Les premiers relient les os entre eux tandis que les tendons assurent la liaison entre l’os et le muscle. Au niveau des articulations se trouvent les membranes synoviales qui contiennent le liquide synovial servant de lubrifiant naturel. La croissance du squelette du cheval se termine vers l’âge de cinq ans approximativement, chiffre qui varie selon les races. Le cheval possède sept vertèbres cervicales, 18 vertèbres thoraciques ou vertèbres dorsales qui soutiennent les côtes (18 paires de côtes, dont 8 paires de côtes sternales et 10 asternales ou côtes libres, soit 36 côtes), six vertèbres lombaires, cinq vertèbres sacrales, 15 à 18 vertèbres caudales (de la queue). Les os du cheval sont classés en :
– Os longs (humérus, péroné, …) ;
– Os courts (les vertèbres, les os du carpe et du tarse, …) ;
– Os plats (les os du bassin, l’omoplate, …) [43].
Os de la tête
C’est un massif complexe dont la partie caudale est appelée le crâne (neuf os) et la partie rostrale est dite la face. Cette dernière est plus volumineuse et plus étendue que le crâne [3].
Os de l’encolure
Au niveau de l’encolure : l’atlas, première vertèbre cervicale s’articule à la tête et pivote sur l’axis (deuxième vertèbre cervicale), et forment le balancier cervico-céphalique, adapté à cette type de locomotion. Et les autres vertèbres cervicales sont moins mobiles (rigides). C’est ce qui explique que tous les chevaux n’ont donc pas la possibilité d’adopter un bon placer, par manque de mobilité de l’articulation entre l’os occipital et l’atlas, ou parce que leur auge est trop étroite. En effet, lors du ramener, l’encolure « s’encastre » entre les 2 maxillaires inférieurs [3].
Os du tronc
La cage thoracique est formée de 8 côtes sternales (vraies côtes), reliées au sternum, et de 10 côtes asternales (côtes flottantes). Toutes les côtes sont attachées aux flancs des vertèbres dorsales.
Les vertèbres lombaires sont plus mobiles que le reste du dos, et constituent une véritable charnière entre la croupe et le thorax, qui permet l’engagement des postérieurs. Elles sont très larges et s’ossifient très rapidement avec l’âge, expliquant la rigidité du dos du cheval se voit bien quand le cheval se gratte les flancs: il est obligé de ployer son encolure parce que son dos est extrêmement rigide [3].
Particularités du système articulaire
Les articulation ou jonctures sont constituées par l’ensemble des formations anatomiques qui maintiennent de façon directe les os dans leurs connexions.
Ce sont les tendons et les ligaments qui, en reliant les os entres eux, rendent possible le mouvement initié par les muscles.
Les tendons du cheval
Les extenseurs des phalanges, antérieur et latéral, se rejoignent en bas du canon. Ils assurent la flexion et l’extension du paturon et du pied. Le tendon perforant fixé aux os, sous les genoux par la bride carpienne vient s’attacher à la troisième phalange et permet la flexion du sabot. Le perforé fixé aux os, au-dessus du genou, par la bride radiale vient s’attacher aux deux premières phalanges et permet la flexion du paturon [43].
Les ligaments du cheval
Composés de fibres serrées et résistantes, ils renforcent les articulations.
Il faut noter qu’il n’y a pas de particularité de ligament entre les espèces, cependant, il existe des variations structurelles (ligaments blancs et jaunes) [43].
Particularités du système musculaire
Le cheval dispose de 469 muscles qui représentent environ la moitié de son poids (figure 7). Les muscles sont constitués d’un ensemble de fibres. Ces fibres agissent par contraction ou par extension. Les muscles sont reliés aux os soit directement, soit par l’intermédiaire des tendons. Ils permettent le mouvement du cheval, en agissant sur le mouvement de la plupart des os entre eux [43]. On distingue différents types de muscles :
– Les muscles striés, squelettiques ; leur contraction est volontaire. Ils permettent la locomotion du cheval.
– Les muscles lisses, localisés essentiellement au niveau des viscères. Leur contraction est involontaire. Ils permettent le fonctionnement des appareils digestif, génital, et circulatoire.
– Le muscle strié cardiaque, se contracte de façon autonome. Le rythme cardiaque varie en fonction de l’effort, de l’état de santé, de la température extérieure.
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Table des matières
NTRODUCTION
PREMIERE PARTIE :SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : GENERALITES SUR LE CHEVAL
I.1. Historique du cheval
I.1.1. Origine et évolution phylogénétique du cheval
I.1.2. Domestication du cheval
I.2. Notion de race
I.2.1. Définition
I.2.2. Objectifs et critères de sélection intra-raciale
I.2.3. Les croisements
I.2.4. Les grandes races de chevaux dans le monde
CHAPITRE II : PARTICULARITES ANATOMO-PHYSIOLOGIQUE DU CHEVAL
II.1. L’Extérieur du Cheval
II.1.1. Les coordonnées ethniques de BARONE
II.1.1. 1. La plastique corporelle
II.1.1.2. La phanéroptique
II.1.2. Les qualités recherchées chez le cheval
II.1.2. 1. Le caractère
II.1.2.2. Le modèle et la taille
II.1.2.3. Les allures
II.2. Particularités anatomophysiologiques du cheval
II.2.1. Morphologie générale du cheval
II.2.1.1. L’avant-main
II.2.1.2. Le corps
II.2.1.3. L’arrière-main
II.2.2. Les particularités ostéo-articulaire
II.2.2.1. Anatomie du système osseux
II.2.2.2. Particularités du système articulaire
II.2.3. Particularités du système musculaire
II.2.4. Particularités du système digestif
II.2.4.1. La cavité buccale
II.2.4.2. L’œsophage
II.2.4.3. L’estomac
II.2.4.4. Le foie
II.2.4.5. Le pancréas
II.2.4.6. L’intestin grêle.
II.2.4.7. Le gros intestin
II.2.4.8. Le rectum et l’anus
II.2.5. Particularités du système cardio-vasculaire
II.2.5.1. Le cœur
II.2.5.2. Le système vasculaire
II.2.5.2.1. Le système artériel
II.2.7. Le système nerveux
II.2.7.1. Système nerveux central
II.2.8. Particularité de l’appareil génital
II.2.8.3. Physiologie de la reproduction
II.2.8.4. Physiologie de la reproduction du male
CHAPITRE III : ELEVAGE DU CHEVAL AU SENEGAL
III.1 Caractéristiques physiques du Sénégal
III.1.1. Situation géo-climatique
III.1.2. Le découpage administratif
III.2. Caractéristiques de l’élevage du cheval au Sénégal
III.2.1. Origine du cheval au Sénégal
III.2.2. Les races de chevaux au Sénégal
III.2.2.1. Les races locales
II.2.2.2. Les races exotiques
III.2.3. La conduite d’élevage
III.3. Les métiers du cheval et structures de développement équin
III.3.1. Les métiers du cheval
III.3.1.1 Le vétérinaire équin
III.3.1.2 L’ostéopathe équin
III.3.1.3. La maréchalerie
III.3.1.4. Le commerce du cheval
III.3.1.5. Les métiers du domaine des courses
III.3.1.6 Les métiers du domaine du tourisme et des loisirs
III.3.1.7. Le dressage et l’éthologie
III.3.3. les structures de développement équin
III.3.3.1. la direction du développement des équidés
III.3.3.2 Le Centre de Recherches Zootechniques de Dahra
III.3.3.3 Le Haras national de Kébémer
III.3.3.4 La Fédération Sénégalaise des Sports Equestres (FSSE)
III.3.3.5 La Fédération Sénégalaise des Courses Hippiques (FSCH)
III.3.3.6. L’Escadron monté de la gendarmerie
III.4. Importance socio-économique, culturelle et environnementale de l’utilisation des chevaux
III.4.1. Importance socio-économique
III.4.1.1. Utilisation dans la culture attelée
III.4.1.2. Importance dans le transport
III.4.1.3. Utilisation pour l’exhaure de l’eau
III.4.1.4. Commerce des équidés
III.4.1.5. Autres importances socio-économiques
III.4.2. Importance socio-culturelle
III.4.3. Importance environnementale
III.5. Les systèmes d’élevage
III.5.1. Système traditionnel
III.5.2. Système moderne
III.5.2.1. Emplacement et orientation des écuries
III.5.2.2. Typologies des écuries
DEUXIEME PARTIE :ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I.1. Zone et période d’étude
I.2. Matériel d’étude
I.2.1. Matériel animal
I.2.2. Fiches d’enquête
I.3. Méthodes d’étude
I.3.1. Entretien avec les propriétaires
I.3.2. Identification des chevaux
I.3.3. Les mensurations
I.3.4. Traitement des donnés
CHAPITRE II : RESULTATS
II.1. Gestion zootechnico-sanitaire
II.1.1. Les activités
II.1.2. Entretien des animaux
II.1.2.1. Habitat
II.1.2.2. Alimentations
II.1.2.3. Santé et hygiène
II.2. Paramètre qualitatif : robe de l’animal
II.3. Paramètres quantitatifs
II.3.1. Répartitions des animaux d’étude
II.3.2. Paramètres quantitatifs des demi-sang anglais
II.3.3. Paramètres quantitatifs des demi-sang arabes
II.3.4. les demi-sang anglo-arabe
CHAPITRE III : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
III.1. Discussion du protocole de travail
III.1.1. Choix de la zone d’étude
III.1.2. Choix des animaux
III.1.3. Méthodes d’étude
III.2. Discussion des résultats
III.2.1. Discussion des résultats des paramètres qualitatifs
III.2.2. Discussion des résultats relatifs quantitatifs
III.2.2.1. Paramètres se rapportant à la taille
III.2.2.2. Paramètres se rapportant aux longueurs
III.2.2.3. Paramètres se rapportant aux circonférences
III.2.2.4. Paramètres se rapportant aux poids vifs
III.2.2.5. Paramètres se rapportant aux indices
III.2.2.6. Paramètres se rapportant aux sexes
III.2.3. Discussion des résultats obtenus avec d’autres auteurs
III.3. Recommandations et perspectives
III.3.1. Recommandations
III.3.1.1. Recommandations aux éleveurs, aux associations et organismes privés
III.3.1.2. Recommandations à l’état
III.3.1.3. Recommandations aux vétérinaires
III.3.1.4. Recommandations aux chercheurs
III.3.2. Perspectives
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
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