IMPORTANCE DU SYSTEME DE TRANSPORT DANS LE SECTEUR TOURISME

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PLACE DU « TOURISME » DANS L’ECONOMIE MALGACHE

Le tourisme tient une place importante dans le développement national sur le plan économique, social et culturel. Il convient toutefois de ne pas confondre le tourisme national et international en ce qui concerne leur avantage respectif par leur pays.

Le tourisme international

Le tourisme international consiste en premier en un rapport conséquent de devises pour le pays d’accueil. Dans certain pays ne bénéficiant pas ressources économiques de base, le tourisme s’est souvent révélé comme le seul moyen de compenser. Le déficit de la balance commerciale.

Le tourisme national

Il exerce un rôle social de premier ordre et contribue à limiter les sorties de devises dont le but d’obtenir un excèdent aussi large que possible de la balance touristique. Certaines mesures comme le contrôle des changes apportent des restrictions ou sortie du territoire ; réveillant le tourisme national. En période de crise, les pays disposant d’un patrimoine touristique national entreprennent des efforts promotionnels pour inciter leurs habitants à passer leurs vacances sur le territoire plutôt qu’à l’étranger. Elles ne peuvent cependant s’exercer que dans la période limitée dans le temps d’une part afin de ne pas suivre à l’intérêt que représente le tourisme international en particulier dans le domaine éducatif et culturel, et d’autre part afin d’éviter que des mesures ne soient appliquées dans les pays représentant une source importante de clientèle touristique, ce qui aboutirait à la réduction globale du tourisme international contraire à l’intérêt général. Directement ou indirectement, le tourisme constitue une source d’activité pour un grand nombre d’entreprises, permettant la création et le maintien de nombreux emplois.

Création d’entreprises

Le nombre d’entreprises créés durant le premier semestre 2003 a dépassé celui des deux années précédentes. Du point de vue sectoriel, les nouvelles implantations se présentent ainsi :
– secteur tertiaire : 88,3%;
– secteur secondaire : 11,3%;
– secteur primaire : 0,4%.
L’apparition de l’homme sur le sol malgache se situe au Vè millénaire avant Jésus Christ et cette implantation de l’homme se traduit immédiatement par régionalisme ethnique. Cette implantation de l’homme qui s’est accentuée jusqu’à la période contemporaine. Après l’indépendance en 1960, Madagascar a entretenu des liens avec d’autres pays en dehors de la France et c’est en avril 1984 que Madagascar a pris la décision de développer le secteur touristique. C’est l’un des secteurs porteurs de devises et avec l’étendue du territoire et la diversité de la faune et de la flore, le tourisme est classé après le produit halieutique de l’exportation. Le tourisme a des possibilités de se développer en s’appuyant sur les efforts entrepris par les opérateurs économiques et l’Etat. Madagascar possède des richesses naturelles exceptionnelles qui méritent d’être valorisées pour avoir un impact sur la vie de la population et sur le plan économique. La rareté et l’endémicité de nos espèces permettent aux touristes de mieux apprécier les valeurs matérielles malgaches et cette situation sont vérifiées par l’affluence croissante des touristes à Madagascar.

Infrastructures liées au tourisme

Avec le désengagement de l’Etat, le secteur privé a besoin de montrer leur savoir-faire afin de promouvoir le secteur tourisme. En 2004, 84 dossiers de sociétés privées sont créés dont 14 ont obtenu leurs licences d’ouverture. Ses données sont vérifiées par la construction des infrastructures. En un siècle et demi, le tourisme est devenu un des secteurs essentiels de l’activité économique des Etats. Il met en jeu d’énormes investissements de capitaux dans le domaine des travaux publics, du bâtiment, des transports, de l’agro-industrie, des services. L’expansion du tourisme a suivi le développement économique et industriel des nations. Le tourisme est donc une activité essentielle à la vie, en raison de ses effets sur les secteurs sociaux, culturels, éducatifs, économiques.
De nombreux entrepreneurs se sont lancés sur le marché de l’écotourisme. Le secteur tourisme mobilier dans ce cas tous les investissements financiers et infrastructures à Madagascar. Plusieurs sont les opérateurs économique et acteurs privés tels que, la compagnie Air Madagascar, tour opérateurs, hôteliers et restaurateurs, etc. Optimistes pour promouvoir Madagascar par le développement du tourisme. Ils se plaignent par contre de l’absence de l’Etat malgache dans la promotion de la destination Madagascar. Des difficultés demeurent alors dans ce domaine : au cours de ces dernières années l’on constate que le partenariat public/privé est encore à concrétiser. Tandis que, en matière de promotion touristique, la compagnie Air Madagascar avec tour opérateur privé joue les fers de lance. Mais l’Etat malgache en particulier doit encore opérer une révolution de mentalités, face à ses îles voisines telles que : Maurice. Les autorités Malgaches ont encore à comprendre très vite que vouloir se doter d’une industrie touristique nécessite des investissements financiers conséquents en matière de promotion. Le fait par exemple qu’au niveau de la primature les acteurs du secteur aient été invités à faire des propositions mais à condition qu’elles n’aient pas de conséquences financières pou l’Etat, montre que la problématique n’est pas encore vraiment comprise. Si les opérateurs du secteur font de leur mieux pour promouvoir Madagascar, si la grande île fait l’objet de documentaires diffusés sur la chaîne de télévision par satellite ou par câble voyage ou par Télé Monté Carlo (TMC), cela est insuffisant sans engagement ferme de l’Etat. Malgré, ces quelques difficultés en matières de promotion étatiques et d’infrastructure (Hôtels de grande capacité à côté de différentes catégories existantes), le secteur tourisme est un facteur efficient pour la relance l’économie de Madagascar aussi bien dans le futur que dans le présent, à condition de conserver ses patrimoines culturels et naturels.

LA LOCALISATION SPATIALE : Cas du NOSY BE

Nosy Be est l’une des îles de Madagascar qui se trouve dans la partie Nord Ouest de Madagascar. Elle est un lieu touristique célèbre dans le monde avec sa plage de sables fin bordés par une mer aux eaux turquoise. Dénommée l’île aux parfums en raison de ses plantation d’Ylang-ylang, de vanille, de cannelle, de poivre et d’autres espèces. Cette île abrite une faune et une flore endémiques qui vivent en harmonie avec la population locale. En un mot, Nosy Be est un paradis. A propos de sa population, elle a 45. 000 habitants qu’on les appelle les « Nosy-Béens ». Sa population s’ouvre, échange et s’épanouit avec tous le monde. Grâce à sa situation, Nosy Be permet de s’évader sur des franges de cette côte aux îles vierges où plages et fonds sous-marins existent avec sérénité, beauté et nature à l’état brut. C’est une île bénie de Dieu avec ses îlots paradisiaque à savoir : Mitsio, Sakatia, Komba, Tanikely et Iranja. Chacune d’elles renferme des trésors de beauté. Sur le plan culturel, le festival Donia a lieu dans l’île tous les ans, depuis 1994. Des groupes musicaux, des îles de l’océan indien y participent régulièrement : ce sont des journées folles durant lesquelles la population investit les rues et les lieux de spectacles pour faire éclater sa joie de vivre.

LES ACTEURS DU SECTEUR TOURISME

 L’élaboration du Schéma Directeur du Tourisme « Tourism Masterplan of Madagascar » (TMP) a été confiée au groupe allemand German Tourism Organisation for Development and Investment (GATO AG). Ce TMP permettra de mieux cerner et d’engager l’ensemble des actions visant à développer le secteur conformément aux objectifs définis dans la politique gouvernementale.
 La Banque Mondiale a déjà effectué une analyse du secteur tourisme. La prochaine étude sera orientée essentiellement sur 2 niveaux :
o l’identification des actions prioritaires, tant au niveau des sites que des fonctions, pour la mise en place d’un partenariat effectif et efficient entre les différents acteurs ;
o la coordination entre tous les acteurs en tenant compte du fait que le secteur du tourisme a besoin de l’expression et de la concrétisation d’une volonté politique et de la dynamique du secteur privé.
 Le service de la Coopération et d’Action Culturelle de l’Ambassade de France intervient, sans interruption, dans le secteur touristique à Madagascar depuis 1993.
Ce soutien s’est traduit principalement par un appui institutionnel apporté au Ministère de l’Environnement des Eaux et Forêts et du Tourisme, à la Maison du Tourisme et à l’Institut National de Tourisme et de l’Hôtellerie (INTH), l’école hôtelière de Madagascar. Le projet de Fonds de Solidarité Prioritaire « Renforcement des capacités institutionnelles du secteur Touristique en partenariat avec le secteur privé », dont la finalité est d’accroître le nombre d’entrées touristiques dans le cadre du développement d’un tourisme durable et responsable, a démarré officiellement le 15 avril 2003.

LES INFRASTRUCTURES ROUTIERES

Les données des derniers inventaires (en 2002) identifient un ensemble de réseaux routiers d’environ 31400 Km. La situation actuelle est résumée comme suit :
– routes nationales en bon état : 3160 Km ;
– routes provinciales en bon état : 1570 Km ;
– voies communale en bon état : 850Km
La stratégie sectorielle routière contribue significativement à la création d’un environnement favorable à la relance économique. La promotion d’un réseau de transport a, en effet, des impacts directs sur le développement des activités à forte potentialité (tourisme et production en milieu rural notamment)

LE TRANSPORT MARITIME ET LES INFRASTRUCTURES PORTUAIRES

De janvier au juin 2003, le trafic maritime a enregistré une hausse de 82.1% par rapport à 2002 Une remise à niveau des infrastructures portuaires figure parmi les objectifs du gouvernement jusqu’en 2008 avec la participation éventuelle de partenaires financiers extérieurs pour sa réalisation. Un effort d’aménagement et de réhabilitation des ports principaux et secondaires sera déployé et ce, en fonction des priorités de l’économie. En ce qui concerne le développement du transport fluvial, les fleuves Sofia et Tsiribihina seront aménagés.

LE TRANSPORT AERIEN ET LES INFRASTRUCTURES AEROPORTUAIRES

Madagascar dispose de 12 aéroports principaux gérés par la société d’Etat ADEMA dont le statut et le rôle sont appelés à évoluer (désengagement de l’Etat de la gestion et de l’exploitation des aéroports, incitation à a concurrence sur les réseaux intercontinental, régional et national).

LE TRANSPORT ET LES INFRASTRUCTURES FERROVIAIRES

Madagascar dispose d’un système ferroviaire de plus de 800Km composé de 2 réseaux :
– l’axe Nord .
– l’axe Sud.
De 2003 à 2006, l’ensemble des infrastructures ferroviaires de la Grande île sera réhabilité et fonctionnel. Des études de faisabilité de nouvelles lignes ferroviaires et une réactualisation de celles relatives à l’axe Tananarive-Majunga sont en préparation et seront entreprises.

Les problèmes lies au tourisme malgache

Le développement du tourisme à Madagascar est encore insuffisant malgré l’existence et l’abondance des sites ou lieux touristiques. Cette insuffisance est due aux problèmes rencontrés par le secteur.
Tout d’abord, il y a une insuffisance de ligne en vol qui relie la Grande Ile avec d’autres pays c’est-à-dire la déserte internationale dominée par la ligne internationale Antananarivo – Paris9. Le coût du transport aérien pour les vols internationaux que pour les vols nationaux10. Le manque de la stabilité sur le plan monétaire et fiscal augmente les risques. Les échéances électorales et les incertitudes liées aux troubles politiques qui les accompagnent représentent autant des bonnes raisons de remettre à des lendemains hypothétiques des investissements qui auraient dû déjà voir le jour. L’absence d’un code des investissements, d’un code du tourisme (et sa classification hôtelière) réellement appliqué explique que des grands groupes hôteliers internationaux ont dû, à regret, différé leurs investissements dans la grande Ile. A part ceux la, il y a le problème de corruption qui reste cependant d’actualité et doit être toujours pris en compte par les investisseurs, le problème récurent de l’environnement économique malgache, l’accès au crédit demeure limité et cher. L’insuffisance des infrastructures de base (réseau des communications, sites d’accueils, les hôtels, les routes, les restaurants, les circuits touristiques) qui n’arrive pas à répondre aux besoins actuels du secteur tourisme, c’est-à-dire le manque d’entretien des édifices, par exemple des digues en mer, a entrainé la disparition des sites touristiques entiers avec souvent les établissements hôteliers qui y étaient installés (village touristique de Mahajanga et plage de Morondava). L’absence d’établissement hospitalisé digne de ce nom constitue également un frein majeur à l’arrivée massive d’une clientèle du troisième âge, disposant de temps et d’argent pour voyager. De plus, Madagascar est une zone impaludée où sévit régulièrement quelques épidémies.

Les opportunités au tourisme malgache

Les opportunités offertes par le développement du tourisme sont nombreuses. Ces opportunités sont – une mise en oeuvre effective d’un cadre Institutionnel et réglementaire ; – une identification de produits phares et prioritaires ; – un positionnement marketing unique au monde ; – des imposants projets de réhabilitation des infrastructures entrepris par le gouvernement ; – une ouverture à de nouveaux marchés émetteurs ; – une promotion de nouveaux investissements pour élever la qualité de l’offre ; – tirer profit de la sortie du film « Madagascar 2 » sur le plan marketing ; – une revalorisation des cultures traditionnelles et locales ; – une existence de bailleurs de fonds potentiels pour le renforcement de capacité-de tous les acteurs.

Les menaces relatives au tourisme malgache

Les menaces engendrées par le tourisme proviennent des irrégularités dues à l’inexistence de surveillance et de contrôle des activités touristiques. Ces menaces sont : – une faible compétitivité et une rentabilité limitée des activités autres que le transport aérien, en cas d’augmentation des capacités d’hébergement et face à un environnement fragile qui n’autorise pas le tourisme de masse ; – un développement anarchique du tourisme et limité à des structures de qualité moyenne ; – un recul des investissements d’envergure ; – un impact très limité sur l’économie nationale si les industries et les populations locales ne sont pas intégrées au développement touristique ; – le développement du tourisme sexuel ; – l’acculturation des populations.

APERCU DU SECTEUR TOURISME : CAS DU NOSY-BE

Nosy Be est la première destination touristique de Madagascar. Près de 25% des visiteurs internationaux la prévoient à leur programme. Cet aperçu a pour objet de soulever les potentialités, les faiblesses et les défis du tourisme de cette localité.

Le projet de développement « PPIC »:

Le Projet de Pôles Intégrés de Croissance vise essentiellement à implanter et/ou mettre à niveau les conditions essentielles pour le développement rapide et durable du tourisme. L’objectif global est de triplet le nombre de touriste visitant l’île au cours des dix prochaines années. Pour assurer un développement touristique au plan environnemental et social à Nosy Be, le PPIC compte intervenir selon trois grands axes : le développement des infrastructures, la protection de la biodiversité et du patrimoine culturel, le développement des capacités locales et gestion du tourisme
La majorité des activités prévues dans le cadre du projet pour la Commune de Nosy Be s’articule autour de l’amélioration des infrastructures de base : Route, port, adduction d’eau, traitement des eaux usées et des déchets, électricité et communication auquel viennent s’ajouter quelques sous projets en appui direct à l’industrie touristique : intégration de bâtiments du quartier colonial de Hell-Ville, création de réserve marine, développement de l’artisanat.

Les potentialités touristiques de Nosy Be

Nosy Be dispose de multiples trésors et mérite sa réputation de petit jardin. De même, elle est constituée des presqu’iles aux multiples senteurs qui alternent des cultures d’Ylang-ylang, de Canne à sucre, de café, de cacao, de poivre et d’autres épices. En plus de sa végétation verdoyante et de ses plantations, elle offre de magnifiques plages, des et des plats à base des produits halieutiques Elle possède aussi onze lacs de différents volumes qui servent à irriguer les cultures et alimenter en eau potable les habitants de l’île et les nombreux centres touristiques ; Nosy Be est desservie par les vols réguliers en provenance de Tananarive et Diego Suarez, et est reliée sur le plan régional directement avec Mayotte et la Réunion. Par mer, un « ferry » confortable assure une ligne régulière entre Mahajanga et Nosy Be. Il est également possible de se rendre à Nosy Be en vedette à partir d’Ankify sur la Grande terre. Les principales activités économiques de l’île :
– la culture de canne à sucre et sa transformation en sucre ou en rhum qui assure 1 500 emplois fixes et 1 000 emplois saisonniers.
– la pêche industrielle axée surtout sur la crevette et la langouste.
– le tourisme qui fournit environ 1 200 emplois directs mais ambitionne de devenir l’activité économique principale de l’île.

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Table des matières

PARTIE I : LE TOURISME A MADAGASCAR
Chapitre I : QUELQUES NOTIONS THEORIQUES SUR LE « TOURISME »
I.1. HISTORIQUE DU TOURISME
I.2. DEFINITION DU TOURISME
I.3. LES DIFFERENTS TYPES DU TOURISME
I.4. 2009 : UNE ANNEE SOMBRE POUR LE TOURISME
1.4.1 Le Chômage technique
1.4.2 Le secteur hôtelier
I.5. LE TOURISME : UN SECTEUR POURVOYEUR DE DEVISE
I.6. LE TOURISME ET LE CLIMAT
Chapitre II : ROLE ET PLACE DU « TOURISME » DANS L’ECONOMIE MALGACHE
II.1. ROLE
II.1.1. Hôtellerie
II.1.2. Artisanat
II.1.3. Agriculture
II.2- PLACE DU « TOURISME » DANS L’ECONOMIE MALGACHE.
II.2.1- Le tourisme international
II.2.2. Le tourisme national
II.2.3. Création d’entreprises
II.2.4. Infrastructures liées au tourisme
Chapitre III : L’ETAT DES LIEUX OU DIAGNOSTIC DU SECTEUR DU TOURISME A MADAGASCAR
III.1. LA LOCALISATION SPATIALE : Cas du NOSY BE
III.2. LES ACTEURS DU SECTEUR TOURISME
III.2.1. Objectifs
III.2.2. Mesures
III.2.3. Réalisations
Chapitre IV : IMPORTANCE DU SYSTEME DE TRANSPORT DANS LE SECTEUR TOURISME
IV.1. LES INFRASTRUCTURES ROUTIERES
IV.2. LE TRANSPORT MARITIME ET LES INFRASTRUCTURES PORTUAIRES
IV.3. LE TRANSPORT AERIEN ET LES INFRASTRUCTURES AEROPORTUAIRES
IV.4. LE TRANSPORT ET LES INFRASTRUCTURES FERROVIAIRES
PARTIE II : ANALYSES ET PERSPECTIVES DU SECTEUR TOURISME
Chapitre V : ANALYSES DU SECTEUR TOURISME
V.1. LES PARTICULARITES DU TOURISME MALGACHE
V.1.1. Les forces du secteur tourisme
V.1. 2 – Les problèmes lies au tourisme malgache
V.1.3. Les opportunités au tourisme malgache
V.1.4. Les menaces relatives au tourisme malgache
V.2. APERCU DU SECTEUR TOURISME : CAS DU NOSY-BE
V.2.1. Le projet de développement « PPIC »:
V.2.2. Les potentialités touristiques de Nosy Be
V.2.3. Les faiblesses du tourisme à Nosy Be
V.2.4. Les défis dans le cadre du tourisme
Chapitre VI : LES IMPACTS DU SYSTEME DE TOURISME SUR L’ECONOMIE DE MADAGASCAR
VI.1. LES IMPACTS POSITIFS DU DEVELOPPEMENT TOURISTIQUE
VI.1.1. Les emplois générés du secteur tourisme
VI.1.1.1 Les emplois fournis par les EVPT (Entreprises de Voyages et de Prestations Touristiques)
VI.1.1.2 Les emplois dans les hôtels
VI.1.1.3. Les emplois dans les sites touristiques et les parcs
VI.1.2. Les impacts positifs sur l’environnement
VI.1.2.1. Un aménagement obligé des sites culturels ou touristiques
VI.1.2.2. La préservation de l’environnement
VI.1.3. Les impacts financiers apportés par le tourisme
VI.1.3.1. Une bonne spéculation sur le commerce
VI.1.3.2. Le tourisme : porteur de devises
VI.2. LES IMPACTS NEGATIFS DU DEVELOPPEMENT TOURISTIQUE
VI.2.1. Le tourisme : source de conflits
VI.2.2. Révélateurs d’inégalité
VI.2.3. La perversion morale
VI.2.4. L’opposition entre âgés et jeunes
VI.2.5. Les trafics de toutes sortes
VI.2.5.1. Les vols
VI.2.5.2 La recrudescence de l’oisiveté et de la mendicité
VI.2.5.3. La prostitution
VI.2.5.4. La pédophilie
VI.2.6. La dégradation du niveau de scolarisation
VI.3. LES IMPACTS DU TOURISME SUR L’ECONOMIE
VI.4. L’INFLUENCE DU TOURISME SUR LE DEVELOPPEMENT REGIONAL
Chapitre VII : LES PERSPECTIVES POUR LA PROMOTION DU TOURISME A MADAGASCAR
VII.1. LA PROMOTION TOURISTIQUE : UNE QUESTION D’IMAGE
VII.1.1. Définition
VII.1.2. Historique de la promotion du tourisme dans la Grande Ile
VII.1.2.1. Les avants gardes des années
VII.1.2.2. Les mots d’ordre
VII.2. LA CREATION DES OFFICES DU TOURISME
VII.2.1. L’ONTM : pour la promotion au niveau international
VII.2.2. L’ORT : pour une meilleure image
VII.2.3. Les acteurs de la promotion du tourisme
VII.2.3.1. Les groupements des professionnels
VII.2.3.2. La collaboration avec la région
VII.2.4. La promotion de la destination régionale
VII.2.4.1. La place de l’audiovisuelle
VII.2.4.2. Une stratégie de promotion : les éductours
VII.2.4.3. Les Business to Business
VII.2.4.4. Le Business to Consumer
VII.2.4.5. La place de “la Bouche à Oreille”: BAO
VII.2.4.6. La promotion par l’e-tourisme
VII.2.4.7. Le rôle de la Diaspora Malagasy
VII.2.5. Les manifestations touristiques internationales
Chapitre VIII : LES INITIATIVES GOUVERNEMENTALES
VIII.1. LA POLITIQUE TOURISTIQUE A MADAGASCAR
VIII.2. LES STRATEGIES POUR LE TOURISME A MADAGASCAR
VIII.3. LES ENJEUX DE LA POLITIQUE TOURISTIQUE A MADAGASCAR
CONCLUSION
TABLE DE MATIERES
BIBLIOGRAPHIE

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