IMPORTANCE DU FLUOR EN SANTE BUCCODENTAIRE

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REPARTITION DU FLUOR DANS LA NATURE

Le fluor est un halogène très répandu dans la nature. On le retrouve sous forme gazeuse, combiné à d’autres éléments, car seul il est très toxique. Des pollutions industrielles libèrent des particules fluorées ; de même, des poussières fluorées sont véhiculées par le vent et peuvent être inhalées. Ces particules proviennent de gisements divers de fluorine, de cryolite ou de phosphate et plus particulièrement de gisement d’origine volcanique.
Le fluor est très répandu au Mexique, dans le centre des USA, en France et en Angleterre. On le retrouve dans l’eau de mer, dans les rivières, dans les ressources minérales.

FLUOR ET SANTE BUCCODENTAIRE

LA CARIE DENTAIRE

Définition

Il existe plusieurs définitions de la carie dentaire dans la littérature.
Pour l’OMS : “ La carie est un processus localisé d’origine externe apparaissant après l’éruption des dents qui s’accompagne d’un ramollissement des tissus durs de la dent et évolue vers la formation d’une cavité ” (36).
La carie est avant tout, une maladie bactérienne multifactorielle au cours de laquelle des actions diéto-bactériennes contribuent au développement de différents types de lésions carieuses par déminéralisation des tissus par les acides ” (19, 20).

Etiopathogénie

Il existe dans la cavité buccale un équilibre fragile entre les cycles de déminéralisation- reminéralisation à la surface de l’émail. La maladie carieuse, processus dynamique et progressif, résulte d’un déséquilibre entre les cycles vers la phase de déminéralisation avec dissolution de cristaux d’hydroxyapatite de l’émail [17].
On distingue comme facteurs :
La plaque bactérienne ou plaque dentaire, la dent, les hydrates de carbone de l’alimentation. Ces différents facteurs devant cohabiter pendant un certain temps pour le déclenchement de la carie [18].
En se développant dans le milieu environnant l’émail, la masse bactérienne constitue la plaque dentaire. Certaines des bactéries qui la composent comme les Streptocoques mutans et les Lactobacilles sont acidogéniques. Elles produisent de l’acide lorsqu’elles métabolisent les hydrates de carbone qui proviennent de l’alimentation du sujet [19]. A l’issu de la glycolyse, ces acides diffusent au travers de la plaque et dans la dent et peuvent dissoudre les phosphates de calcium qui constituent la phase minérale de l’émail, de la dentine ou du cément.
Dans un deuxième temps, des tampons comme les bicarbonates présents dans la salive diffusent dans la plaque et neutralisent les acides présents. Ils arrêtent ainsi la fuite de calcium et de phosphate jusqu’à la prochaine production acide. Trois solutions sont alors possibles :
– Tout d’abord si le processus se répète de manière fréquente, la lésion progresse, pouvant éventuellement produire de petits effondrements de la structure minérale et induire la formation d’une cavité : c’est le début de la carie.
– Au contraire, si les ingestions de sucre sont ralenties ou stoppées par le contrôle alimentaire ou si la production d’acide est neutralisée par l’élimination de la plaque, de nouveaux phosphates de calcium peuvent précipiter in situ. L’évolution des lésions cesse et leur symptomatologie disparaît.
– Enfin, si des fluorures sont apportés par les dentifrices ou une solution de rinçage, les phosphates de calcium qui vont recristalliser seront des espèces moins solubles à la dissolution que les espèces initiales.
Ainsi, le développement d’une lésion carieuse sur un site dentaire résulte directement d’une série de réactions de dissolution reprécipitation, qui s’établissent entre les phases minérales qui constituent les tissus durs et les phases liquides qui baignent ces tissus aux taux normaux en fluorures dans des liquides biologiques et des tissus mous [20, 26].

La prévention

La carie étant une maladie infectieuse polyfactorielle, l’action préventive doit porter sur plusieurs de ces facteurs :
– action sur l’aliment ;
– mise en place d’une hygiène bucco-dentaire adaptée ;
– renforcement des dents par apport de fluor topique et/ ou général ;
– visites dentaires et actes professionnels de prévention.

Action sur l’alimentation

Elle repose sur l’application de quelques règles bien précises :
– Limitation des prises alimentaires : 3 à 5 prises par jour (3 principales + 2 collations). Les prises répétées d’aliments sucrés en dehors de repas sont un facteur carieux important ;
– Choix d’une alimentation équilibrée : cela implique de limiter la consommation de sucre raffiné, notamment en dehors des repas. La consommation de protides, lipides et fibres végétales n’a pas de conséquence carieuse. La plupart des sucres de l’alimentation ont un potentiel cariogène. Celui-ci va dépendre de la capacité des bactéries à le dégrader pour produire des acides, mais aussi de sa « texture ». Les sucres collants sont plus cariogènes. Le risque cariogène n’est donc pas seulement lié à la consommation de saccharose. Le fructose (fruits), l’amidon (pâtes, riz, pain), le lait (lactose) peuvent donc être à l’origine des caries. Certains types d’aliments sont particulièrement acidogènes : bonbons, gâteaux, chocolats au lait, et les sucres cachés présents dans de nombreuses préparations (yaourts aux fruits, certains condiments et assaisonnement).
– Eviter les prises répétées de boissons sucrées ou à pH bas (jus de fruits, Sodas, boissons énergétiques pour sportifs…) qui favorisent l’érosion dentaire. certains enfants passent leur nuit et/ou leur journée avec un biberon dans la bouche contenant : lait sucré, eaux sucrées, jus de fruits, sodas. Ceci aboutit à des destructions rapides, multiples (polycaries très destructrices).
– Choisir si possible des succédanés du sucre (aspartam en quantité raisonnable) ou des sucres non cariogènes (xylitol).

Mise en place d’une hygiène buccale adaptée

L’objectif est de contrôler la plaque dentaire en quantité et en qualité.

Rythme de brossage

L’idéal est 3 brossages par jour (un après chaque repas). Ceci est rarement réalisé.
Le brossage le plus important est celui du soir. Celui-ci doit impérativement être préservé : durant la nuit, la quantité de salive diminue beaucoup. La protection est moins bien assurée. Il doit survenir un peu à l’écart de la dernière prise alimentaire. Aucun aliment ne doit être pris après.

Moyens mécaniques

– La brosse à dent doit être adaptée à la personne handicapée, ainsi qu’à son entourage lorsque l’hygiène bucco-dentaire ne peut être assurée par la personne porteuse du handicap. La tête doit être de petite taille afin de pouvoir passer dans toutes les zones dentaires.
Pour les patients avec difficultés de préhension, il est possible d’augmenter le volume du manche, suivant le principe appliqué aux ustensiles de la vie courante (crayons, couverts…)..
– La méthode doit être également adaptée au patient. La technique classique dit du « rouleau » n’est pas toujours applicable. Celle-ci suppose un brossage des 2 arcades séparément : brossage des faces occlusales des dents postérieures plus brossage des faces vestibulaires et linguales en passant de la gencive vers les dents. Une méthode par rotation peut être envisagée. Une méthode par mouvements d’aller-retour nécessite, pour être efficace, une brosse à dents adaptée.
– L’utilisation d’une brosse à dent électrique est possible quand elle apporte un plus par rapport au brossage manuel, et si la coopération et le handicap du patient l’autorisent sans risque de blessures des muqueuses.
– D’autres méthodes peuvent être utilisées en complément, lorsque le handicap et la coopération en permettent l’utilisation :
• fil de soie dentaire pour nettoyer les points de contact et les espaces inter-dentaires ;
• jets dentaires, brossettes et goupillons (une seule touffe) voire applicateur pour nettoyer les espaces inter-dentaires si la réaction gingivale favorise la rétention d’aliments.
– L’utilisation d’une compresse : dans certains cas, le brossage n’est pas possible. L’entourage peut éliminer la plaque dentaire en passant une compresse : faces occlusales si possibles et faces vestibulaires et linguales, de la gencive vers les dents (comme dans la technique du rouleau). La compresse peut être recouverte de dentifrice au fluor si l’on veut protéger du risque carieux. Elle peut également être imbibée d’une solution de bain de bouche au fluor ou à la chlorhexidine. L’idéal est d’alterner ces deux types d’adjuvants. Il existe des systèmes de protection digitale pour prévenir les risques de morsures pour la personne chargée d’assurer ce nettoyage.

Adjuvants du brossage

– Adjuvant à base de fluorures : très efficaces, ils seront évoqués un peu plus loin. Ils comportent : les dentifrices, les bains de bouche, les gels fluorés.
– Autres adjuvants : souvent à base de molécules anti-bactériennes, ils permettent le contrôle de la flore microbienne buccale : chlorhexidine, principalement, mais aussi hexétidine, sanguinarine, fluorure d’étain.
Ils sont également retrouvés dans des dentifrices, des bains de bouche, des gels. Ils sont utilisés en complément des adjuvants fluorés, afin de contrôler la flore buccale. Ils sont utilisés également dans la prévention et le traitement des affections gingivales et muqueuses.
Une possible incompatibilité entre fluor et chlorhexidine a été évoquée, sans qu’une preuve formelle soit démontrée à notre connaissance. Ceci a conduit certains auteurs à conseiller de ne pas utiliser fluor et chlorhexidine en même temps (au moins 30 minutes d’écart).

IMPORTANCE DU FLUOR EN SANTE BUCCODENTAIRE

Le fluor possède une affinité particulière pour le tissu osseux c’est la raison pour laquelle il est utilisé en art dentaire et dans certaines maladies osseuses…
Ainsi, il est incorporé dans les dentifrices sous forme d’additifs fluorés permettant de prévenir les caries. Son incorporation à l’émail des dents permettant
à celui-ci de résister à l’attaque acide entre autres. Dans ce cas la prévention des caries passe par l’utilisation du fluor qui s’intègre au tissu dentaire en passant par la circulation sanguine chez l’enfant dès sa naissance et pendant toute la durée de la formation des dents [16].
Le lait maternel est très pauvre en fluor et les aliments les plus riches en fluor sont les suivants [28]:
– les poissons;
– certains légumes comme les épinards et le chou ;
– certaines eaux minérales comme l’eau minérale de Vichy… [29]
A dose faible < 1,5mg/j le fluor a un effet prophylactique de la carie dentaire par la formation de fluoroapatite et par inhibition du métabolisme bactérien.
A des doses comprises entre 15 et 25mg/j, il est prescrit dans le traitement de l’ostéoporose post monopausique de l’adulte avec tassements vertébraux.
Dans ce cas, l’ion fluor est capté par le squelette où il est incorporé dans le cristal hydroxyapatite puis il se substitue aux ions hydroxylés. La prescription doit être adaptée en fonction des habitudes alimentaires de la cariosusceptibilité.
Le fluor peut être apporté par voie générale et par voie topique [17].

Apport par voie générale

Le fluor intervient dans la minéralisation des germes dentaires, lorsqu’il est apporté par voie générale. Cette forme d’apport a un intérêt potentiel essentiellement chez le sujet jeune. A 11 ans, les couronnes des deuxièmes molaires sont minéralisées. Seules les dents de sagesse restent à minéraliser. La dose optimale est de 1ppm (une partie par millions = 1mg/l, c’est à dire 0,05mg/kg/24h) dans le cadre d’une alimentation équilibrée, lorsque la boisson a un taux de fluor inférieur à 0,3mg/l. Il existe différentes formes d’apport de fluor par voie générale : alimentation, boisson (eau, thé…), sel, chewing-gum, lait (pas en France), compléments fluorés (comprimés, gouttes) [31].
Lorsque les dents sont en formation, un excès d’apport de fluor peut provoquer une fluorose. La manifestation va de simples taches blanches inesthétiques jusqu’à des hypoplasies de l’émail [30]. La prescription de compléments fluorés, l’utilisation du sel fluoré en collectivité ou à domicile, ne sont envisageables qu’après avoir effectué un bilan des apports fluorés [18, 19, 25].

Apport par voie topique

Apporté localement par voie topique au contact des surfaces dentaires, il agit directement sur l’émail dentaire de même que sur les bactéries de la plaque dentaire sur lesquelles il exerce un effet inhibiteur. Il peut être administré sous plusieurs formes : dentifrices, comprimés sucés, bains de bouche, gels vernis.
L’efficacité prophylactique optimale est atteinte lorsque le fluor est appliqué sur des dents jeunes. Après l’émergence sur l’arcade, l’émail est encore immature et possède une aptitude particulière à incorporer le fluor. Cette aptitude ralentira ultérieurement, mais ne disparaîtra pas complètement. ) Les solutions fluorées pour bains de bouche
Elles sont utilisées aux concentrations suivantes :
– à 0,05% de NaF pour les rinçages quotidiens
– à 0,2 de NaF pour les rinçage hebdomadaire.
Il s’agit d’une méthode simple, efficace et peu onéreuse dans la prévention de la carie dentaire chez les enfants d’âge scolaire. Elle est utile en cas de traitement orthodontique. Elle n’est applicable que chez les personnes sachant recracher [18, 19].
Elles sont dosées à 0,250mg de NaF. L’apport fluoré est incertain, mais il stimule la sécrétion salivaire qui alimente l’auto-nettoyage des dents.
La succion des comprimés de fluor, notamment le soir après brossage des dents est un moyen efficace d’apport local de fluor. Le bilan des apports en fluor doit être effectué avant.
Le fluor est contre indiqué chez les individus présentant une insuffisance rénale et chez les individus ayant déjà eu une intoxication par le fluor

PATHOLOGIES DUES AU FLUOR

Intoxication aiguë

L’intoxication au fluor est parfois très grave et nécessite une hospitalisation en service de réanimation. Le fluor présent dans l’air à des teneurs inférieurs à 2ppm provoque de graves troubles respiratoires à l’origine d’œdèmes pulmonaires. Ce danger peut être minimisé car l’odeur pénétrante est détectée quelquefois a des concentrations de 0,002 ppm. Le fluor et ses dérivés attaquent la peau et sont à l’origine de brûlures sévères [34, 35].
L’intoxication au fluor peut également être d’origine professionnelle. Dans ce cas elle touche les ouvriers qui manipulent le minerai d’aluminium et qui souffrent de :
– nausées ;
– vomissements ;
– diarrhée ;
– diminution du taux de calcium dans le sang ;
– arrêt cardio-respiratoire dans certain cas [34].

Intoxication chronique

Encore appelée fluorose, elle survient à la suite d’absorption d’eau potable contenant 2,5 ppm de fluor, c’est le cas dans certains pays comme l’Afrique du Nord, les Etats Unis, l’Argentine, l’Islande où les pays où il existe de nombreuses régions volcaniques [34, 35].
En cas de fluorose, des études montrent qu’il existe une diminution du risque de fracture des éléments constituants la colonne vertébrale. On a remarqué par opposition, une augmentation des risques fractuères du colle fémoral ainsi que d’autres fractures en dehors de la colonne vertébrale. Enfin, dans certains cas les patients ne répondent pas à l’adjonction du fluor sous forme médicamenteuse de plus présente des douleurs au niveau du genou, aux chevilles, aux membres inférieurs. De façon générale le phénomène s’explique par la présence de petites fractures s’accompagnant quelquefois d’intolérance ou de nausées [35].

LES PÂTES DENTIFRICES

HISTORIQUE

Il ne suffisait pas la fin du 18ème siècle, début 19ème siècle de préconiser l’usage de la brosse à dent ; il fallait aussi l’agrémenter d’une pâte dentifrice (mot très ancien, venant du latin dentifricium, de dens : dent et de fricare : frotter.
Vers 1830, les préparations dentifrices en usage étaient sous la forme de poudre de pâte ou opiats, d’eau ou élixirs et plus tardivement de savon. Il y’avait autant de préparations différentes que des dentistes ou des pharmaciens, mais d’une manière générale, on y retrouvait les mêmes familles d’ingrédients [35].

DEFINITION

Un dentifrice est une pâte, poudre ou gel utilisé pour nettoyer les dents à l’aide d’une brosse. Bien que le brossage sans dentifrice élimine les débris alimentaires ainsi qu’un peu de plaque dentaire, un dentifrice légèrement abrasif et antiseptique est nécessaire pour détruire la plaque restante et la pellicule salivaire. [7, 28, 36, 37, 39, 41].

INTERETS

Les dentifrices ont une activité neutre (adjuvant de brossage), une activité prophylactique (activité préventive sur les dents et le parodonte) et une action thérapeutique (action curative dans des affections précises de la dent et du parodonte) [7, 28, 38].

CLASSIFICATION

Il existe 4 classes galéniques de produits existant : les poudres, les solubles, les pâtes et les gels. Dans le cadre de cette étude, seules les pâtes ont été retenues

TOXICITE DES DENTIFRICES

Les dentifrices n’offrent pas de risque de toxicité, mais l’allergie est possible. Jusqu’à 10 ans, l’enfant avale 44% de son dentifrice ; c’est pourquoi il existe différents dosages en fluor.
Les dentifrices qui bénéficient d’une AMM ont 3 sortes de dosages :
– pour l’enfant : 250 ou 600ppm ;
– pour l’adulte : 2500ppm.
Les dentifrices hors AMM ont une concentration maximale de 1500ppm.
Les directives européennes conseillent les dosages suivants pour les dentifrices fluorés [39] :
– 2 à 6 ans : 450ppm ;
– après 6 ans : 1250ppm.
Il n’a pas été prouvé que l’efficacité prophylactique est proportionnelle à la concentration en fluor. Ces études comparatives entre l’utilisation de pâtes dosées à 1000, 1500 et 2500ppm n’ont pas permis de déterminer quel dentifrice offrant la meilleure protection face à la carie [15].

COMPOSITION D’UN DENTIFRICE

Un dentifrice contient une phase solide dispersée dans une phase liquide (eau et humectants).

Les excipients

Les composants de base

– Les abrasifs (carbonate de calcium, phosphates calciques, méta phosphates de sodium) : un compromis est recherché entre les pouvoirs nettoyant, polissant et abrasif influencés par les caractéristiques des particules (taille, dureté, forme).
– Les liants (dérivés cellulosiques, carraghénates, alginates) : ils stabilisent la suspension par leur pouvoir épaississant et optimisent la connaissance.
– Les humectants (sorbitol, glycérol, propylène-glycol) : ce sont des substances très hygroscopiques qui évitent le dessèchement de la pâte à l’air et au cours du temps.

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Table des matières

INTRODUCTION
CHAPITRE I : GENERALITES SUR LE FLUOR
I – GENERALITES SUR LE FLUOR
I.1- DEFINITION
I.2 – PROPRIETES PHYSIQUES DU FLUOR
I.3 – PROPRIETES CHIMIQUES DU FLUOR
I.4 – REPARTITION DU FLUOR DANS LA NATURE
II – FLUOR ET SANTE BUCCODENTAIRE
II-1- LA CARIE DENTAIRE
II-1-1- Définition
II.1.2- Etiopathogénie
II-1-3- La prévention
a- Action sur l’alimentation
b- Mise en place d’une hygiène buccale adaptée
c- Rythme de brossage
d- Moyens mécaniques
e- Adjuvants du brossage
II.2- IMPORTANCE DU FLUOR EN SANTE BUCCODENTAIRE
II.2.1- Apport par voie générale
II.2.2- Apport par voie topique
II.3- PATHOLOGIES DUES AU FLUOR
II.3.1- Intoxication aiguë
II.3.2- Intoxication chronique
III- LES PÂTES DENTIFRICES
III.1- HISTORIQUE
III.2- DEFINITION
III.3- INTERETS
III.4- CLASSIFICATION
III.5- TOXICITE DES DENTIFRICES
III.6- COMPOSITION D’UN DENTIFRICE
III.6.1- Les excipients
III.6.1.1- Les composants de base
III.6.1.2- Les conservateurs
III.6.1.2- Les autres adjuvants
III.6.2- Les principes actifs
III.6.2.1- Les molécules inorganiques
III.6.2.2- Les molécules organiques
III.7- STATUT REGLEMENTAIRE DES DENTIFRICES
III.7.1- Les dentifrices avec AMM
III.7.2- Les dentifrices sans AMM
CHAPITRE II : METHODES DE DETECTION DU FLUOR
I- DOSAGE DU FLUOR PAR FLUORESCENCE
I.1- PRINCIPE
I.1.1- Limites de la méthode
I.1.2- Mesure de fluorure par la méthode de SPADNS [5]
II- ANALYSES CHROMATOGRAPHIQUES
II.1- CHROMATOGRAPHIE EN PHASE GAZEUSE [25]
II.1.1- Principe
II.1.2- Résultats
II.2- CHROMATOGRAPHIE IONIQUE
II.2.1- Principe [3]
II.2.2- Résultats
III- DOSAGE POTENTIOMETRIQUE DIRECT DE L’ION FLUORERREUR ! SIGNET NON DEFINI
III.1- PRINCIPE [3]
III.2- RESULTATS
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
I – CADRE D’ETUDE
II – MATERIEL ET METHODES
II.1-MATERIEL
II.1.1- Echantillon
II.1.2 – Matériel
II.1.2.1- Matériel utilisé pour l’étalonnage des pipettes
II.1.2.2- Matériel utilisé pour l’étalonnage des ballons jaugés
II.1.3- Réactifs
II.1.4- Verrerie
II.1.5- Appareil
II.2-METHODE
II.2.1- Etalonnage des pipettes et des ballons jaugés
II.2.1.1- Etalonnage des pipettes
II.2.1.2- Etalonnage des ballons jaugés
II.2.2- Vérification des données sur l’emballage
II.2.3- Dosage de la quantité de fluorures
II.2.3.1 – Préparation des solutions
a– Solution tampon d’ajustement de la force ionique totale
b- Préparation des solutions étalons
c – Préparation des échantillons
II.2.4 – Etalonnage par lecture au potentiomètre
II.2.4.1- Mode opératoire
III.2.4.2- Résultats
II.2.5- Lecture des échantillons au potentiomètre
II.2.6- Détermination proprement dite de la concentration en fluorures
III- RESULTATS
III.1- LES DONNEES MENTIONNEES SUR LES BOITES
III.1.1- Dates de fabrication et de péremption
III.1.2- Formules et teneurs en fluorures
III.2- CONCENTRATIONS EN FLUORURES
III.2.1- Résultats des analyses
III.2.2- Résultats de l’étalonnage
IV- DISCUSSION
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
TABLE DES MATIERES

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