Importance du chêne liège et la suberaie
Dans le monde Quercus suber
(chêne liège) est une essence endémique du bassin méditerranéen et le littoral atlantique, il fait partie de la flore pliocène supérieure (Lamey, 1893 ; Vilar, 1934 ; Boudy, 1950 ; Emberger, 1930 ; Quezel, 2000 ; Manos et Stanford, 2001 ; Merouani et al., 2001; Durand et al., 2004 ; Bouisset et Puyo, 2009). Il se propage depuis la région mediterraneenne occidentale jusqu’a l’atlantique d’ou il deborde de la partie Ouest du Portugal et au Maroc. Il prolifère aussi sur toutes les grandes îles entre la péninsule ibérique et la péninsule italienne, et dans certaines parties éparses du sud de la France et certaines régions cotieres et les régions montagneuses du Maroc, l’Algerie et la Tunisie (Emberger, 1960 ; Quezel et Santa ,1962 ; Quezel, 1976 ; Veillement et Fraval, 2002 ; Abourouh et al, 2005 ; Laaribya, 2006 ; Aouadi et al., 2010 ; Bouhraoua, 2013 ; Dehane et al., 2013) La figure 1 montre que la distribution géographique actuelle du chêne liège est très inégale et disjointe.
Certains auteurs suggerent qu’une grande partie de ce que nous voyons aujourd’hui des suberaies ne represente que des reliques (Vilar, 1934 ; Boudy, 1955 ; Quezel, 2000 ; Nedjahi, 2005 ; Ouelmouhoub, 2005). La surface globale est estimée de 2,2 millions d’hectares distribues sur le territoire des 7 pays à partir du niveau de la mer jusqu’a 500 m d’altitude dans les regions aux climats chaud et humide (Hammoudi, 2002 ; Merouani et al., 2001 ; Margot, 2006 ; CIB, 2008 ; Bouisset et Puyo, 2009 ). Si nous analysons la distribution du chêne liège par pays (fig.2), nous constatons immédiatement que le Portugal abrite la plus grande surface des forêts de cette essence qui représente environ 32% de la surface mondiale. Ceci correspond à plus de 730 000 ha. Il est suivi par l’Espagne avec 22,2% puis l’Algerie avec 18,2%. Le Maroc qui occupe la 4ème place, sa foret couvre 15,2%. Enfin, la Tunisie, la France et l’Italie sont présents avec 4% chacune de la superficie totale (Varela, 2004 ; FOSA, 2007 ; CIB., 2008).
Situation actuelle de la suberaie algérienne
Avant la colonisation française, la suberaie tenait déjà une place importante dans la vie socio-economique des riverains, grace a l’abondance du sous bois qui servait des terrains de parcours pour un bétail varié. En outre, le bois du chêne liège fournissait un bon combustible pour la préparation des repas et pour le chauffage en hivers (Boudy, 1955 ; Dehane et al, 2013 ; Puyo, 2013) Actuellement, ces forêts gardent un rôle important dans l’economie forestiere nationale, car le liège qu’elles produisent constitue le principal produit forestier du pays (FOSA, 2007 ; Berrahmouni, 2009 ; Aouadi et al, 2010 ; Bouhraoua, 2013). D’ailleurs, ce potentiel subericole a permis la mise en place d’un tissu industriel de transformation du liege en divers produits: bouchons, disques, agglomere noir, …etc (Roula et Messoudene, 2014). Les suberaies bien conservées (structure-architecture equilibree, presence d’une régénération importante et conditions écologiques locales non perturbées) ne peuvent s’observer que dans certaines regions de l’Est. La degradation a affecte la majorite des peuplements qui sont en constante régression à cause de la combinaison de plusieurs facteurs biotiques et abiotiques cités par différents auteurs à savoir Guillaumin et al., 1985 ; Garolera, 1988 ; Garrec, 1994 ; Lieutier et al., 1994 ; Hammoudi, 2002 ; Douzon, 2004 ; IML, 2004; Sebei et al., 2004 ; Bouhraoua et Villemant, 2005 ; Messaoudene et al., 2006 ; Leutreuch Belarouci et al., 2009 ; Aouadi et al., 2010 ; Belhoucine, 2013 :
Exploitation de la suberaie
Les documents historiques montrent bien que le chêne-liège a été considérablement favorisé par l’homme depuis le 18ème siècle. Le traitement de la suberaie est une pratique compliquee, a cause d’une part de la subericulture qui traite le chêne liège comme un arbre fruitier visant à produire le meilleur liège en qualité et en quantité et d’autre part de l’application des opérations sylvicoles qui vise la perennite et la protection de l’espece forestière (Arnaudies et Piazzetta, 2006 ; Bouisset et Puyo, 2009 ; Costa et al., 2010). L’entretien du peuplement se base sur les coupes d’eclaircies ayant comme but principal son ouverture et la réduction de sa concurrence avec les arbres des autres essences (Mouries et Seigue, 1980 ; Anonyme, 1987 ; Bossuet, 1988 ; Guyon, 1998 ; Vignes, 1988). Ces dernières coïncident généralement avec les coupes de nettoiements, les coupes de régénérations, les coupes de dégagements, le débroussaillement et le dépressage (Boudy, 1950 ; Anonyme, 1987 ; Guyon, 1998). Par ailleurs, la subericulture se base sur deux pratiques espacees dans le temps; l’une le demasclage ou mise en valeur et l’autre la levee de liege (fig.6). En effet, le demasclage consiste a recolter le liege male une fois l’arbre atteint 60 à 70 cm de circonférence à 1,30 m du sol, ce qui correspond à un âge de 25 à 40 ans suivant les conditions de développement de l’arbre et avec un coefficient de demasclage variant entre 1et 1,5. Ce coefficient depend de la fertilite des stations, l’etat de vegetation et de l’etage bioclimatique (Boudy, 1950 ; Guyon, 1998 ; Amandier, 2005 ; Arnaudies et Piazzetta, 2006 ; Soares et al., 2011). Cette opération est appliquee une seule fois dans la vie de l’arbre ; elle a pour but de fournir un autre type de liege d’une qualite amelioree dit ≪liege femelle » ou liège de « première production » (Boudy, 1952 ; Ben M’hamed, 2000 ; Bouhraoua, 2003 ; Pereira, 2007).
Importance sociale
La suberaie est un generateur de revenus a la population rurale permettant d’ameliorer ses conditions de vie. Elle contribue à conserver une économie locale en permettant le maintien sur place d’une population rurale. Grace aux travaux sylvicoles, les campagnes de recolte de liege et autres activites generatrices de revenus, elle permet la creation d’emplois d’environ 100 000 personnes sur le pourtour mediterraneen. D’ailleurs, les pratiques d’agricultures, l’apiculture, le paturage ont une importance cruciale, car ils contribuent à la preservation de l’environnement, au maintien de la faune et de la flore existante et assurent également le mode de vie des populations de ces zones. La pratique du pâturage dans la suberaie est assuree grace a l’abondance du feuillage qui est très apprécié par le bétail notamment en période de disette (Ben M’hamed et al., 2002 ; Karem, 2008 ; Rossello et Beltran, 2008). En plus, les suberaies produisent des champignons de qualité, notamment les truffes, des glands doux pour la consommation humaine, des lichens, du miel, des plantes aromatiques et médicinales et attirent par leur richesse cynégétique un nombre important de chasseurs de petit et gros gibiers. Toutes ces pratiques régulières contribuent fondamentalement à la durabilité écologique, économique et sociale des suberaies et permet l’amelioration des conditions de vie (Hammoudi, 2002 ; IML, 2003 ; Belabbes, 2004 ; Pointereau, 2006). En Algérie, les unités de transformation du liège (publique et privée) procurent un emploi permanent de 1400 travailleurs saisonniers et permanents (Karem, 2008 ; Bouhraoua, 2013).
Importance économique des suberaies
La grande importance économique des suberaies est dégagée de la grande variété des produits forestiers non ligneux (PFNL) issue de la suberaie tels que le liège, le fourrage, le miel, les champignons, les lichens, les glands, les plantes médicinales et tanins (Hammoudi, 2002 ; Abdendi, 2003 : IML, 2003 ; Laaribya, 2006 ; Pointereau, 2006). Mais, de toutes ces activités est sans doute celle du liège qui valorise le plus les forêts de chêne-liège. Il constitue une ressource stratégique du fait de ses multiples usages (bouchonnerie, parquet, isolation thermique…etc), en apportant a ces formations vegetales mediterraneennes une certaine rentabilité d’un point de vue économique, sociale et environnementale (Vilar, 1934 ; Normandin, 1979 ; Goujon, 1962 ; Orfs et Vallauri, 2008 ; Varela, 2008). Toutefois, la récolte du liège est une activité économique de premier ordre dans les suberaies, en tenant compte d’une grande quantite de main d’oeuvre et en fixant une population stable dans l’environnement des suberaies. Cette activité est directement liée à la capacité quantitative et qualitative des surfaces de chêne liège arrivant à exploitation. La récolte subit des fluctuations importantes, d’une année sur l’autre, créant du même coup de sérieux problèmes d’approvisionnement des industries (Aracil, 2008 ; Orfs et Vallauri, 2008 ; APCOR, 2010). La consommation actuelle des pays du Maghreb en produits de liège est faible, et la majorité de la production est exportée, principalement sous forme de produits finis et semifini. Le liege se destine principalement a l’industrie des bouchons, qui absorbe à elle celle 70 %, suivi par le secteur de construction (bâtiment) qui consomme 15% des produits en liège granulé pour l’isolation, les parquets… (Varela, 2004 ; Aracil, 2008 ; Orfs et Vallauri, 2008 ; Rossello et Beltran, 2008). Toutefois, le liège sert aussi à de multiples autres produits pour l’isolation, la mecanique (pieces automobiles). C’est une ressource naturelle et renouvelable (Berrahmouni, 2009)
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Table des matières
Introduction générale
CHAPITRE I Généralités sur le chêne liège et la suberaie
1.1- Distribution géographique
1.1.1- Dans le monde
1.1.2- En Algérie
1.2- Caractéristiques générales des forêts de chêne liège en Algérie
1.2.1- Situation actuelle de la suberaie algérienne
1.3- Exploitation de la suberaie
1.4- Importance du chêne liège et la suberaie
1.4.1- Importance écologique du chêne liège
1.4.2- Paysage et écotourisme
1.4.3- Véritable stock du carbone
1.4.4- Importance sociale
1.4.5- Importance économique des suberaies
1.5- Production du liège
1.5.1- En Algérie
1.5.2- L’industrie de transformation du liege
1.5.3- Les difficultés et les contraintes des entreprises de secteur
CHAPITRE II Qualité et propriétés technologiques du liège
2.1- Formation du liège
2.2- L’assise subero-phellodermique
2.3- Les types de liège
2.3.1- Le liège mâle
2.3.2- Le liège femelle
2.4- La structure anatomique du liège
2.4.1 – Les discontinuités
2.4.2- Cellules de liège
2.4.3- les parois cellulaires
2.5- Les caractéristiques macroscopiques du liège de reproduction
2.5.1- Les accroissements du liège
2.5.2- L’age du liege
2.5.3- Les lenticelles (les pores)
2.6- Qualité du liège
2.6.1- Concept de qualité aspect scientifique- technique
2.6.2- Appréciation de la qualité du liège sur arbre
2.6.3- Technique d’analyse d’image
2.6.4- Critères de classification de la qualité du liège
2.6.4.1- Epaisseur ou ″calibre″
2.6.4.2- Aspect
1- Porosité
2- Défauts naturels
2.6.5-La classification du liège
2.6.5.1- Classification d’IPROCOR (CICYTEX actuellement)
2.6.5.2- Classification simple
2.6.5.3- Classification des bouchons et rondelles naturelles
2.6.6-Indice de qualité
2.7- Propriétés du liège
2.7.1 -Propriétés chimiques
2.7.2 -Propriétés physiques
2.7.3- Propriétés mécaniques
2.7.4 – Propriétés thermiques et acoustiques
Chapitre III Description du milieu d’etude
3.1- Choix des forêts
3.2- Presentation des forets d’etude
3.2.1- Les forêts de Zarieffet et Hafir
3.2.2- La forêt de Zerdeb
3.2.3- La foret de M’Sila
3.3- Caractéristiques topographique, pédologique et géologique
3.3.1- Le massif Hafir-Zarieffet
3.3.2- La suberaie de Zerdeb
3.3.3- La suberaie de M’Sila
3.4- Caractéristiques végétatives
3.4.1- Le massif Hafir-Zarieffet
3.4.2- La subéraie de Zerdeb
3.4.3- La suberaie de M’Sila
3.5- Le climat
3.5.1-Données climatiques
3.5.1.1- Précipitations
1– Répartition annuelle et mensuelle des précipitations
3.5.1.2- Température
1– Température moyenne, minimale et maximale
3.5.2- Synthèse climatique
3.5.2.1- Indice de continentalité
3.5.2.2- Indice de sécheresse estivale
3.5.2.3- Quotient pluviothermique et climagramme d’Emberger
CHAPITRE IV Matériel et Méthodes
4.1- Principaux objectifs de l’etude
4.2- Plan d’echantillonnage
4.2.1- Choix des planches de liège
4.2.2- Choix des bandes et des bouchons de liège
4.3- Travail expérimental du rendement industriel (au niveau des usines)
4.3.1- Présentation succincte des deux unités de transformation du liège
4.3.1.1- La bouchonnerie de Béni Mester
4.3.1.2- La Société Industrielle Bois et Liège de Jijel « SIBL »
4.3.2- Préparation des planches de liège
4.3.3- Etude du rendement industriel des planches du liège
4.3.4- Analyse visuelle et classification des planches du liège
4.3.5- Etude des défauts
4.3.6- Analyse visuelle et classification des bouchons et rondelles naturelles
4.3.6.1- Les bouchons
4.3.6.2- Les rondelles
4.4- Au laboratoire
4.4.1– Préparation des échantillons du liège
4.4.2 – Acquisition d’image numerique
4.4.3 – Etude des accroissements
4.4.3.1- L’inter datation
4.4.3.2- Mesure de la largeur des accroissements annuels du liège
4.4.4- Etude de la qualité du liège
4.4.4.1-Analyse d’image
4.4.4.2- Quantification de la porosité
4.4.5- Classification automatique du liège
4.5- Récolte des données
4.5.1- Distribution des échantillons selon l’age du liege
4.5.2- Etude des épaisseurs
4.5.3- Etude de la densité
4.5.4- Etude de la productivité
4.5.5- Etude des accroissements
4.5.5.1- Distribution des échantillons en classes des accroissements moyens annuels
4.5.5.2- Courbes des accroissements
1- Les courbes des accroissements courants annuels
2- Les accroissements courants cumulés
4.5.5.3- Analyse de la relation cerne-climat
4.5.6- Etude de la qualité du liège
4.5.6.1- Etude de la porosité
4.5.6.2- Comparaison entre le liège Algérien et Portugais
4.5.6.3-Classification du liège
4.6-L’analyse statistique
Chapitre V Traitement des résultats
5.1- Etude du rendement industriel des planches du liège
5.1.1-Variation du poids sec des planches de liège en fonction des surfaces
5.1.2- Relation entre la production nette des bouchons et le poids sec des planches
5.1.3- Relation entre la production nette des bouchons et la surface des planches
5.1.4- Relation entre le poids des planches et les déchets régénérés
5.1.5- Relation entre la production nette des bouchons et l’epaisseur des planches de liege
5.1.6- Détermination des défauts du liège
5.1.6.1- Interprétation statistique
5.1.6.3- Différents types de défaut sur bouchons
5.1.7- Classification des planches de liege selon la methode d’IPROCOR
5.1.8- Relation entre la qualité du liège et les bouchons produits
5.1.8.1- Poids des bouchons
5.1.8.2- Qualité des bouchons : Relation entre les qualités planches- bouchons
5.1.9- Distribution des principales défauts selon les classes de qualité
5.1.9.1- Principaux défauts dans le liège de bonne qualité
5.1.9.2- Principaux défauts dans le liège de moyenne qualité
5.1.9.3- Principaux défauts dans le liège de faible qualité
5.1.9.4- principales défauts dans le liège rebut
5.1.10- Relation entre le poids des planches et les rondelles
5.1.11- La qualité des rondelles produite
5.2- Etude de la porosité
5.2.1- Opération de filtrage des pores
5.2.2- Caractérisation générale des différents paramètres de la porosité transversale
5.2.3- Densité des pores
5.2.4- Superficie des pores
5.2.5- Coefficient de porosité
5.2.5.1- Corrélation entre coefficient de porosité et nombre et surface des pores
5.2.5.2- Distribution des échantillons par classe de porosité
5.2.6- Variables de la forme
5.2.7- Variation de la porosité par classe de surface des pores
5.3- Classification automatique (Cork class 1.0)
5.3.1- Comparaison entre classification automatique et visuelle de la qualité du liège
5.3.2- Distribution du coefficient de porosité et superficie moyenne des pores par classes commerciale
5.4- Comparaison entre le liège de Zarieffet (Algérie) et Benavente (Portugais)
5.4.1- Caractérisation de la porosité des échantillons de Zarieffet et Benavente
5.4.2- Variation de la porosité interne et externe
5.4.3. La qualité du liège
5 .3- Caractérisation générale du liège-échantillon
5.3.1- – Distribution des echantillons selon les classes d’epaisseurs du liege (sur croute)
5.3.2- La densité
5.3.3- La productivité
5.4- Etude de la croissance du liège
5.4.1- Distribution des echantillons selon l’age du liege
5.4.2- Distribution des echantillons par classe d’accroissements moyens annuels
5.4.2.1-Liège de montagne
5.4.2.2-Liège de littoral
5.4.3-Rythme global des accroissements annuels du liège durant un cycle de production selon les zones naturelles
5.4.3.1- En montagne
5.4.3.2- En littoral
5.4.4- Etude des courbes de croissance individuels et moyenne (tout âge confondu)
5.4.4.1- En montagne
5.4.4.2- En littoral
5.4.5- Rythme de croissance du liège en dehors du cycle de production
5.4.5.1- En dehors d’un cycle de 14 ans
5.4.5.2- En dehors d’un cycle de 12 ans
5.4.6- Etude des courbes de croissance cumulée durant un cycle complet de production
5.4.6.1- En montagne
5.4.6.2- En littoral
5.4.6.3- Relation entre l’epaisseur commerciale et épaisseur du liège
5.4.7- Analyse de la relation cerne-climat
5.4.7.1-Influence des précipitations
5.4.7.1.1- Precipitations annuelles
5.4.7.1.2- Etude de l’indice de croissance
5.4.7.1.3- L’influence des Precipitations mensuelles
5.4.7.1.4-L’influence des precipitations cumulees
5.4.7.2-Influence des temperatures moyennes
Chapitre VI Discussion Générale
6.1- Age du liège
6.2- La densité et la productivité
6.3- Etude des épaisseurs
6.3.1- Le cycle de production
6.4- Etude de la croissance du liège
6.4.1-Les facteurs influençant la production du liège sur arbre
6.4.1.1- Etat sanitaire
6.4.1.2- Age de l’arbre et age du liege
6.4.1.3- Facteurs stationnels
6.4.1.4- Impact du climat sur les accroissement du liège
6.5-La qualité du liège
6.5.1- Etude de la porosité
6.5.2- Les défauts du liège et des bouchons
6.5.2.1- Les défauts phytopathologiques
6.5.2.2- Les défauts physiologiques
6.5.2.3- Les défauts génétiques
6.5.2.4- Facteurs externes abiotiques
6.5.3- La qualité du liège
6.6 – Le rendement industriel des planches de liège
Conclusion génerale
Références bibliographiques
Annexes
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