IMPACTS SPATIAUX DE L’EXPLOITATION ARTISANALES DE L’OR DANS LA VALLEE D’AMBATOMANANA

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APPROCHES METHODOLOGIQUES

La phase de préparation

La phase en amont d’une recherche est essentielle aux choix de différentes approches et méthodologies adoptées, c’est la première fondation de l’ensemble de la recherche.
Cette première phase est constituée par les cinq étapes suivantes :
 conception du plan provisoire
 la recherche bibliographique
 recueil des données statistiques et carte
 préparation des enquêtes
 préparation des fonds de carte
Cette phase a été réalisée pour une durée de quatre mois, c’est-à-dire du mois de juillet au mois d’octobre 2015.

Conception du plan provisoire

En choisissant ce thème qui se focalise sur le secteur minier, des informations élémentaires concernant l’exploitation minière sont déjà acquises. Par rapport à ces préalables, planifier la recherche était indispensable avant d’entrer dans les détails en adoptant un plan provisoire. Ce plan provisoire a été déterminant dans les choix des centres de documentation à consulter, des thèmes d’ouvrages à lire ; et les différentes institutions et services à enquêter.
En se familiarisant avec les documents et en utilisant les informations conquises, le plan provisoire semble être limité et semble aussi trop sommaire vu par le directeur de recherche lui-même. Ce plan n’était pas alors adéquat pour entamer une telle étude. La structure du plan est la même que celle qu’on a adopté maintenant : un plan à deux parties avec deux chapitres chacun.
La correction du plan a donné de la pertinence à la recherche et à chaque fois qu’avance notre étude, des éléments nouveaux incitent à amener des améliorations au plan. La conception du plan provisoire a duré une semaine mais son amélioration s’est toujours continuée jusque même au terme de l’étude.

La recherche bibliographique

Dans la réalisation d’un mémoire, la recherche bibliographique constitue une phase capitale. Plusieurs informations sur la zone d’études et sur le thème à traiter sont trouvées dans les ouvrages à consulter. La lecture donne quelques bagages intellectuels nécessaires aux travaux de terrain. Cette phase est la plus enrichissante de la recherche. Elle constitue une étape décisive à l’adoption du thème de recherche par la qualité et la quantité des informations recueillies dans les livres, revues, …. Notre recherche bibliographique a duré quatre mois : de Juillet à Octobre 2015.

Enumération des listes des centres de documentation et les thèmes des ouvrages à collecter

Nous avons approché les centres de documentations et services énumérés dans la liste ci-après par rapport au besoin d’information et leurs spécificités :
– Bibliothèque Universitaire d’Antananarivo : large choix de document et des travaux universitaires.
– Bibliothèque du département de géographie : des documents sur la géographie physique, humaine et économique et surtout des thèses et mémoires en rapport avec la zone d’études.
– Bibliothèque du département d’histoire : des documents sur l’historique de la région
– Musée d’Art et d’Archéologie : documentation sur les origines du peuplement de la région de Fisakana et son évolution dans le temps et dans l’espace.
– ACADEMIE MALAGASY : documentation sur la région du Betsileo en général et aussi de l’ensemble des Hautes Terres Centrales Malagasy.
– INSTAT : recueil des données statistiques.
– Ministère auprès de la Présidence chargé des Ressources Stratégiques : collecte des textes officiels sur les mines et les exploitations minières.
– Agence Nationale de la filière OR (ANOR) : collecte des informations sur la filière Or.
– Institut de Gemmologie de Madagascar (IGM) : documentation sur la géologie de Madagascar.

Lecture et exploitation des ouvrages

Les ouvrages consultés sont des ouvrages généraux, des mémoires de maîtrise, des mémoires de fin d’études, des thèses et des revues. La lecture des ouvrages a été faite de différentes manières : certains ouvrages ont été lus intégralement car ils sont en rapport direct avec le sujet ; et d’autres étaient lus partiellement en consultant seulement les chapitres et pages importantes. La lecture des ouvrages a permis d’élaborer une fiche de lecture et de faire un classement thématique.
Durant la lecture et exploitation des livres, 04 ouvrages ont retenu notre attention. Ces ouvrages sont en rapport direct avec la zone et/ou le thème étudié. Ils sont les plus expressifs pour traiter ce sujet :
Les travaux de recherche de : « RAVELOMANANTSOA I., (1992), Contribution à l’étude des gisements d’Or de Fandriana, Mémoire de DEA, E.E.S. Science, p.63 », confirme la présence d’or dans la région de Fandriana, et met l’accent sur les différents gites aurifères existants et l’origine de l’or.
De plus, « RAJAOHERINIRINA M., (1992), Contribution à l’étude de la métallogénie de l’Or de Fandriana (Secteur d’Ambolotara), Mémoire de DEA, Service de géologie, p.60 », une étude sur les caractéristiques de l’or de Fandriana à partir du secteur d’Ambolotara.
L’ouvrage de « RALOVAFENOSOA J., (2012), Développement socio-économique en milieu rurale : cas de la Commune rurale de Tsarazaza Fandriana, Mémoire de Maîtrise, Faculté DEGS, département de Sociologie, p.65 » et de « HERIMANJAKA J., (2013), Institution de micro finance et vie paysanne : Cas de la CECAM dans la Commune Rurale de
Tsarazaza, Mémoire de Maîtrise, Faculté DEGS, département de Sociologie, p.92 » qui parle de la commune rurale de Tsarazaza en général avec ses caractéristiques économiques et sociaux.
L’usage de « l’étude géologique et la prospection de la feuille au 1/100 000 de Fandriana, 1965, Services géologiques par Julien JOO’ », nous a aussi beaucoup apporté des connaissances sur la géologie de la région, l’origine et le caractéristique de l’or dans la région.

Recueil des données statistiques et cartes

Les données statistiques

Les données statistiques donnent un caractère quantifiable à la recherche et constituent un support d’idées. La présence de ce genre de données démontre la réalité et valide les différentes affirmations. Auprès des différentes institutions, services et centres de documentation, leurs approches ont permis d’obtenir des données statistiques concernant la situation démographique et économique de la région. La navigation sur internet nous a permis d’obtenir des informations sur des données sur l’or à tous les niveaux.

Les cartes

Etant géographe, les cartes sont des outils incontournables de la recherche et un élément de synthèse de différents phénomènes spatiaux. Dans le secteur minier, c’est au niveau des services administratifs tels que le Ministère responsable des mines, l’ANOR et l’IGM que les cartes sont disponibles.
A partir des cartes, nous avons pu repérer de nombreux aspects et composantes spatiales de la région de Tsarazaza. Par conséquent, nous avons utilisé différents types de cartes. Ces cartes montrent la réalité sur la présence d’or dans le sous sol de Madagascar et dans la zone d’études :
– Carte des gisements d’Or de Madagascar
– Gold potential of Madagascar :
– « Etude géologique et prospection de la feuille au 1/100 000 de Fandriana (0,50), du Services géologiques, de 1965 » a été utilisé.
Ces trois types de carte sont capitaux pour encadrer l’étude de l’exploitation aurifère à l’intérieur de la vallée d’Ambatomanana. Les fonds de cartes ont été obtenus à partir du BD 500 de la FTM et les photos satellites de la région de Tsarazaza.

Les données sur Internet

L’internet est un outil incontournable dans le monde de la recherche actuelle. La navigation dans ce monde virtuel révèle des informations sur la situation de l’Or et du secteur minier dans le monde en général et à Madagascar. L’usage de l’internet nous a permis d’ouvrir notre champ de connaissances en plus des informations issues des collectes d’ouvrages. Les faits et actualités sur l’or sont disponibles de suite sur cet outil moderne de recherches, et les données sont de large choix que ce soit d’ordre spatial ou temporel.

Modalité des enquêtes

L’enquête sur terrain est un moyen de savoir la réalité des informations recueillies lors des phases de documentation. Son importance s’impose beaucoup à la vérification des données déjà tenues et aussi à trouver d’autres indices ou nouvelles idées pour expliquer le phénomène étudié. Cette partie de la recherche constitue une étape capitale pour la collecte d’information au niveau de la zone d’études, il s’agit ici de préparer aux mieux l’investigation sur terrain avec des séries de questions fermées et ouvertes pour obtenir des informations quantitatives et qualitatives.

Enquêtes qualitatives

C’est un entretien individuel avec des questions semi-directives auprès des personnes ressources :
– Responsable auprès du Ministère auprès de la Présidence chargé des Ressources Stratégiques : les échanges sont consacrées au texte et loi régissant le secteur minier ainsi que le fonctionnement du ministère par rapport à ce secteur.
– Direction général de l’Agence National de la filière OR ou ANOR : l’interview à pour objectif de connaitre l’application des textes et loi régissant la filière Or ; aussi de connaitre les différentes interventions déjà entretenues par l’Agence et la situation actuelle de la filière.
– Maire et son Première adjoint de la commune rurale de Tsarazaza : les questions ont été basées sur les organisations de la commune par rapport à l’exploitation d’Or.

Enquêtes quantitatives

L’entretien a pour objectif d’avoir des résultats quantifiables pour établir des données statistiques et les questions sont posées auprès des :
– chefs des Fokontany inclus dans la zone d’études : l’enquête amène à savoir l’état de lieu de la zone d’études par rapport à l’orpaillage.
– ménages : les questions se fondent surtout sur la situation économique et sociale des ménages.
– propriétaires des rizières : les questionnaires ont pour but de connaitre la relation des paysans avec les orpailleurs.
– orpailleurs : une enquête qui cherche à comprendre leur choix et leur objectif.
– collecteurs : une enquête qui cherche à savoir leurs objectifs et stratégies dans cette activité.

Préparation de fond de cartes

En géographie, les cartes constituent des supports capitaux pour les travaux sur terrain. Avant d’effecteur nos travaux de terrain, nous avons préparé des fonds de carte. Ces fonds de cartes sont conçus à partir des photos satellites datées de 2007 (la photo satellite la plus récente) de la zone d’études.
Les fonds de carte ont été essentiels pour la préparation de l’enquête proprement dite.
La photo satellite a permis de localiser les villages et hameaux situés à l’intérieur de la vallée.

Les investigations sur terrain

L’enquête proprement dite

Les travaux de terrain ont été réalisés en deux mois, et entamés d’une manière hiérarchique en deux temps :
Les premiers travaux de terrain avaient été effectués durant le mois d’Octobre 2015. Pendant cette période, nous avons fait des entretiens auprès des personnes ressources et au niveau des services administratifs, c’est-à-dire au niveau du District, Commune, Arrondissement et Fokontany. L’entretien avec les responsables administratifs était sympathique et enrichissant, l’enquête s’est déroulée avec des questions-réponses et des conseils ont été dits de plus pour poursuivre mes approches. Ce premier pas a permis aussi de faire un coup d’œil au phénomène étudié sans avoir encore posé des questions aux différents acteurs mais pour la planification futur de l’approche.
La seconde partie des travaux de terrain était faite durant le mois de Novembre 2015. Cette étape s’est consacrée à faire des enquêtes au niveau des différents acteurs directs liés aux activités d’orpaillage et les ménages situés dans la zone d’études. Les questions ont été posées directement aux individus cibles tels qu’elles ont été établies dans la fiche d’enquête. Les intervenants ont été ciblés d’avance : les orpailleurs au beau milieu de leur travail, les habitations autour du secteur étudié déterminent les ménages, les collecteurs d’or, les propriétaires des rizières et les riziculteurs qui sont facilement repérés sur leurs champs de cultures car c’est au moment de la culture que l’enquête a été faite.
Il est aussi à signaler que durant le mois de Décembre 2015 et Janvier 2016, nous avons fait des déplacements fréquents dans la zone d’études pour actualiser les informations.

L’échantillonnage

Concernant l’échantillonnage, nous avons retenu le ménage comme unité statistique. Les habitants des cinq Fokontany (Tsarazaza, Ambohidravaka, Zanakandrianjaka, Mahazoarivo Ampany et Antanambao Firaisana) effleurant le secteur étudié ont été recensés et cela a donné approximativement 4 259 habitants10, ce qui correspond à un nombre estimatif de 608 ménages. Les enquêtes se sont passées auprès des cinq Fokontany, essentiellement dans les zones avoisinantes du phénomène étudié. 60 ménages ont été enquêtés, au cours des travaux de terrain, ce qui donne un taux d’échantillonnage de 9,86%.

Les problèmes rencontrés aux investigations sur le terrain

L’investigation sur terrain est une étape décisive pour le chercheur mais c’est aussi l’étape le plus difficile et coûteux de la recherche. Au cours des investigations sur terrain, nous avons été confrontés à plusieurs problèmes qui constituent même la limite de la recherche :
– l’absence des informations et des données concernant la filière or au niveau des différents services administratifs rendent difficile l’étude du phénomène.
– les données présentes au niveau de la Commune, arrondissement et les Fokontany ne sont pas actualisées et présentent des imprécisions ; par exemple, sur le nombre de la population pour la Commune rurale de Tsarazaza, de la même année 2011, la monographie du District publie 19 522 habitants, celle de la Commune 19 318 habitants mais quand nous avons refait le calcul, cela a donné exactement 19 308 habitants.
– les acteurs de la filière or ont une certaine méfiance lors des investigations sur terrain surtout que les exploitations sont clandestines et illicites.
– la confidentialité des données du secteur minier rendent difficile l’acquisition des informations.
– la zone d’études se situe à trois heures de marches du chef lieu du District de Fandriana et le moyen de déplacement est limité car le mouvement de taxi-brousse n’existe qu’une fois par semaine. De plus, les 16 Km qui relient Fandriana et Tsarazaza sont des routes secondaires difficilement accessibles en saison de pluie.
La tâche n’est jamais facile pour effectuer une recherche en géographie mais il faut tout endurer pour donner de la pertinence et de la valeur au travail.

Sélection des informations et rédaction

Il s’agit de regrouper, de trier, d’analyser, et d’interpréter les données récoltées durant la phase de documentation et la phase de travaux de terrain. On a utilisé l’image satellite tirer de «Google earth pro» pour compléter les fonds de cartes et pour avoir une meilleure aperçue de la zone d’études. Aussi, la base de données de la FTM BD500 a servi comme outil d’élaboration des croquis. Toutes les cartes sont traitées à partir du SIG à l’aide du logiciel «ARCGIS 10.0». La rédaction a été commencée dès lors que le travail de dépouillement et d’analyse des contenus a été réalisé. En plus, les problèmes de défaillances, l’insuffisance et la non- fiabilité des données ont montré leur ampleur au fur et à mesure qu’avance la rédaction.

CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE

La première partie de ce mémoire se rapporte sur le contexte général du sujet et de la zone d’études. Elle comporte aussi la démarche de recherche et les différents notions et concepts utilisés. La démarche « déductive » a été adoptée pour mener cette recherche. Ainsi, une investigation allant du cas général du secteur minier au cas particulier de la filière or de la zone d’études a été effectuée. Aussi bien, l’approche participative des acteurs de la filière or dans la région de Tsarazaza et l’approche comparative avec les autres régions aurifère ont permis d’analyser les réalités dans la zone d’études.
Les recherches bibliographiques et webographiques ont conduit à apprendre des concepts et des notions du sujet traité d’une manière globale et spécifique. Des ouvrages portant sur la géographie physique, humaine et économique, la sociologie, la géologie et des articles concernant le secteur minier et surtout l’or ont été consultés.
Qu’en est-il maintenant des résultats de la recherche sur la réalité de l’exploitation aurifère dans la vallée d’Ambatomanana?

ORPAILLAGE : UNE NOUVELLE STRATEGIE PAYSANNE

CONTEXTE DU DEVELOPPEMENT DES ACTIVITES DE L’ORPAILLAGE AU SEIN DE LA ZONE D’ETUDE

Le milieu naturel influe beaucoup sur la mise en valeur des richesses minières. L’implantation d’une activité est à l’origine des conditions géographiques présentant l’espace. Comme l’or est un élément du sous sol, les indicateurs spatiaux incitant à sa prospection devraient être élucidés.

Les conditions géographiques de la zone d’études

La zone d’études présente une morphologie typique. Cette originalité est en accord avec l’installation de la population. La population arrive à aménager et à occuper cet espace selon leur nécessité, et à implanter les activités dont ils ont besoin.

Les conditions physiques

Le relief

La région de Tsarazaza est dans son ensemble une zone montagneuse. C’est une zone limitrophe entre le Betsileo et le Vakinankaratra. La vue est dominée par la présence de collines et chaines de montagnes qui allant jusqu’à plus de 2 000 m d’altitude. La topographie est accidentée avec ses reliefs tourmentés. Ce paysage montagneux ne met en évidence que de larges plaines encaissées entre les hauteurs qui se présentent sous forme de vallées.

Pédologie

Sur le plan pédologique, les formations dominantes sont des sols ferralitiques constitués par des roches cristallines et cristallophylliennes de couleurs jaunes-rouges et rouges en épandage discontinu, riche en concrétions et en résidus d’altérations gibbsitiques. Les sols des rizières sont de type argileux avec parfois des manifestations ferrugineuses. Avec ce type de sol, les terres sont peu productives.

Géologie

La région de Tsarazaza décrit un paysage granitique. Les granites qui constituent le paysage sont les granites migmatitiques à orthites formant un massif allongé en direction Nord – Nord-Est / Sud – Sud-Ouest en s’amincissant vers le Sud. Ils sont environnés par les gneiss sur micacés dont le contact est toujours concordant. Ils en renferment même des passages discontinus qui pourraient être considérés comme des lambeaux arrachés du socle11.

Couverture végétale

Les bassins versants sont dénudés et la couverture végétale est faible. Les formations dominantes sont les savanes : savane arbustive, savane arboré et savane herbeuse ; enrichis par les forêts de reboisement. Le paysage morphologique actuel est dû à l’action de l’érosion hydrique et fluviatile.

Le climat

La région présente un climat tropical d’altitude à deux saisons bien distinctes : une saison pluvieuse chaude de Novembre à Avril et sèche fraiche de Mai à Octobre. Elle ne connait pas de véritable saison sèche durant toute l’année; pluies fines et crachins se manifestent en hiver, gros orage en été avec des grêles certaines fois. La Température moyenne mensuelle varie entre 14°1C à 20°8C, une amplitude thermique de 6°7C, Température annuelle moyenne de 18°9C. L’amplitude diurne atteint 14°C et le régime pluviométrique moyenne est de 1 586,5 mm/150jrs, en été la moyenne est de 1 242,7 mm avec un maximum de 312,7 mm au mois de Décembre. En hiver, la moyenne pluviométrique descend à 343,7 mm avec un minimum de 20.7 mm au mois de Juin12.

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : CONTEXTE ET METHODOLOGIE DE LA RECHERCHE
CHAPITRE I : CONTEXTUALISATION DE LA RECHERCHE
A. Localisation de la zone d’études
1. Localisation géographique
2. Historique de la zone d’études
3. Contexte de la zone d’études
B. Notions et concepts du sujet
1. Contexte général du sujet
2. Définitions
3. Conceptualisations
CHAPITRE II : APPROCHES METHODOLOGIQUES
A. La phase de préparation
1. Conception du plan provisoire
2. La recherche bibliographique
a. Enumération des listes des centres de documentation et les thèmes des ouvrages à collecter
b. Lecture et exploitation des ouvrages
3. Recueil des données statistiques et cartes
a. Les données statistiques
b. Les cartes
c. Les données sur Internet
4. Modalité des enquêtes
a. Enquêtes qualitatives
b. Enquêtes quantitatives
5. Préparation de fond de cartes
B. Les investigations sur terrain
1. L’enquête proprement dite
2. L’échantillonnage
3. Les problèmes rencontrés aux investigations sur le terrain
C. Sélection des informations et rédaction
CONLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE : ORPAILLAGE : UNE NOUVELLE STRATEGIE PAYSANNE
CHAPITRE III : CONTEXTE DU DEVELOPPEMENT DES ACTIVITES DE L’ORPAILLAGE AU SEIN DE LA ZONE D’ETUDE
A. Les conditions géographiques du milieu d’études
1. Les conditions physiques
a. Le relief
b. Pédologie
c. Géologie
d. Couverture végétale
e. Le climat
2. La dimension humaine de la zone d’études
3. Les principales activités de la population
B. La pauvreté monétaire des ménages
C. Localisation des sites d’orpaillage dans la zone d’études
D. La constitution de la filière Or autour de la vallée d’Ambatomanana
CHAPITRE IV : IMPACTS SPATIAUX DE L’EXPLOITATION ARTISANALES DE L’OR DANS LA VALLEE D’AMBATOMANANA
A. Les origines spatiales des acteurs de la filière Or au niveau local
1. Les exploitants
2. Les collecteurs
B. Des exploitations problématiques
1. Caractéristiques de l’exploitation artisanale
2. Ensablement des bas-fonds
3. Destructions des zones agricoles
C. Les limites des exploitations
1. L’aspect épuisable des ressources minières
2. Des risques à des affrontements sociaux ?
D. Perspective d’avenir
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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