Impacts des mesures de préservation des grands sites naturels

Grand site Sainte Victoire, un lieu exemplaire ?

   Les massifs de Concors et de Sainte-Victoire forment un territoire boisé de près de 35 000 hectares situé aux portes d’Aix-en-Provence. Auprès du grand public, ce Grand Site bénéficie d’une forte notoriété liée à la montagne Sainte-Victoire, massif minéral célébré par le peintre Cézanne. Pour les Provençaux, il constitue un élément à part entière de leur paysage et de leur vie quotidienne. Son caractère emblématique a justifié son classement au titre de la loi du 2 mai 1930 qui place son évolution sous contrôle direct de l’État, toute modification de l’aspect du site étant soumise à autorisation spéciale du Ministère après avis de la commission des paysages et des sites. Ce classement a pour effet de soumettre à une autorisation particulière les travaux susceptibles de modifier le site, autorisation qui intervient en complément du code de l’urbanisme ou du code forestier, notamment sur les questions essentielles de l’intégration paysagère et de préservation des milieux naturels. Il a été étendu au massif du Concors, et la richesse de ses milieux naturels a justifié son inscription au réseau européen Natura 2000. À partir de 1995, la montagne Sainte-Victoire a fait l’objet d’une Opération Grand Site, politique publique conduite par le Ministère en charge de l’environnement pour résoudre les problèmes d’excessive fréquentation et d’entretien de certains sites en France. Mobilisées au début des années 1990 suite au grand incendie de 1989 qui a ravagé plus de 5 000 ha, les 6 communes de la Montagne Sainte-Victoire se sont regroupées dans un syndicat intercommunal. En août 2000, en reconnaissance de l’intérêt du territoire dans son ensemble, toutes les collectivités locales (la Communauté d’agglomération du Pays d’Aix qui représente les 14 communes concernées, le Département des Bouches-du-Rhône et la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur) se sont impliquées dans un projet plus vaste et global en créant le Syndicat mixte départemental Concors — Sainte-Victoire (le site a été étendu en débordement du site classé à 34 500 ha répartis sur 14 communes, dont 32 000 ha en zone Natura 2000 et 23 476 ha de nature protégée). Les collectivités territoriales du Syndicat mixte départemental des massifs Concors-Sainte-Victoire gèrent le plus grand espace naturel boisé du département, situé entièrement dans le Pays d’Aix. Elles se sont engagées statutairement pour « la mise en valeur et la protection du milieu naturel et culturel du site, en rassemblant leurs moyens et compétences » (Syndicat mixte, 2003). Sainte-Victoire a été un des premiers grands sites français à obtenir le label Grand Site de France qui reconnaît sa valeur exceptionnelle en 2004, et ce label lui a été renouvelé en 2011, ce qui contribue à la protection de son paysage (schéma de réhabilitation, gestion du site classé, principes d’aménagement durable), à la mise en valeur des éléments choisis du patrimoine bâti et naturel, et à garantir aux publics un accueil de qualité (aires d’accueil aménagées, schémas d’itinéraires de promenade et de randonnée, sécurisation des pratiques, signalétique, information et découverte culturelle, présence sur le terrain de gardes nature)..

Une montagne investie et étudiée : les premières études de fréquentation

   Les premières études relatives à la fréquentation et à la protection du Massif Sainte-Victoire sous maîtrise d’ouvrage des collectivités territoriales sont menées dès les années 1990 (Association pour Sainte-Victoire) et prennent la suite de premières recherches entreprises dès la décennie 1970 par des érudits locaux, puis par des scientifiques des universités d’Aix-Marseille :
– Un premier repérage quantifié de la fréquentation du massif est réalisé le 25 juin 1972 (piétons et voitures) par l’Association des excursionnistes provençaux (figure 3),
– Une « association pour la protection de Sainte-Victoire » est  créée en 1982 et regroupe 7 communes afin de mettre en œuvre une charte des droits et des usages sur le massif,
– Le gisement paléontologique, qui comportait déjà une indication de l’ordre d’urgence des acquisitions en vue de la conservation a justifié la création de la Réserve naturelle. Cartographié par MM. Dughi et Sirugue du Musueum d’Histoire naturelle d’Aix-en-Provence (1/50 000), le gisement principal qui avait déjà justifié une inscription particulière et prioritaire du domaine des RoquesHautes (décret du 21/02/1964) à l’ouest du terrain militaire (« urgence 1 et 2 »), ainsi que du secteur interne du Cengle (Saint Antonin sur Bayon), est classé en 1991. Ces classements contribuent à la mise en place de la réserve naturelle nationale (entretien DREAL du 27 avril 2015),
– Un recensement de 26 curiosités historiques, architecturales et naturelles s’ensuit dans tout le secteur de la Montagne. À partir des années 1980, de nombreuses études universitaires traitent l’accès à la Montagne SainteVictoire et ses lieux emblématiques comme « des buts de promenade » : le Prieuré de Sainte Victoire et la Croix de Provence, le barrage de Bimont, le barrage Zola, le refuge Cézanne, la Chapelle Saint-Ser, le vallon du Delubre apparaissent à cette date comme des points particulièrement sensibles, soumis à des risques élevés : « Il y a quelques années, ces buts de promenade pouvaient être ouverts à la fréquentation sans surveillance. D’ores et déjà, cela n’est plus possible : le mobilier des refuges en particulier est saccagé et sert à faire du feu, les détritus sont laissés à l’intérieur, la citerne au sommet est polluée, etc. Des mesures collectives urgentes s’imposent d’autant plus qu’une mauvaise solution consisterait à fermer les locaux » (Mille lieux sur la Terre, 2004).

Le risque comme vecteur de gestion

   Regroupées dans un SIVU afin de reconstituer les paysages et de garantir la sécurité du massif, les communes entreprennent dès 1990 des études relatives aux risques, donc à la fréquentation. Des risques de nature différente sont alors systématiquement mis en relation avec la gestion des visiteurs et les implantations des habitants :
– la défense de la forêt contre le feu demeure la première  préoccupation, depuis les incendies du 24 août 1986 (1 500 ha de forêts ravagées sur le versant sud du Cengle provoquant la mort d’un jeune sapeurpompier volontaire) et celui du 28 août 1989 (qui détruit 60 % du site classé de l’époque, soit plus de 5 000 ha), faisant disparaître la faune spécifique des versants sud et mettant à nu des gisements, des grottes, des ruines et des vestiges. La valeur patrimoniale du massif s’ébauche dans les esprits des  gestionnaires à partir de ces années-là. Le massif étant emblématique et l’incendie de 1989 ayant laissé des traces indélébiles, des efforts sans précédent sont consentis pour éviter que ne se reproduise une telle catastrophe. Les rapports entre le risque incendie et une fréquentation mal maîtrisée apparaissent sans équivoque dans tous les documents d’archives ;
– le risque de rupture des barrages vient appuyer cette mise en précaution : l’inondation catastrophique en aval précédée par une onde de submersion, notamment possible à partir du barrage-voûte de Bimont, est prise en compte. Ce barrage retient une capacité maximale de stockage de 40 millions de m3 destinés à assurer une réserve pour le Canal de Provence afin d’augmenter la desserte en eau du pays d’Aix et d’alimenter correctement les communes de Gardanne et de Trets. 52 000 personnes vivent dans la zone de sécurité immédiate et de nombreux établissements scolaires et commerces y sont présents ;
– la compatibilité de la pression de la chasse avec les objectifs environnementaux de la Réserve naturelle est également étudiée : si la pression de chasse est globalement considérée comme faible ou nulle dans la réserve, elle est jugée forte en périphérie et les chasseurs exercent pleinement leur pratique aux abords des zones limitées. Les manques à la discipline de tenue des chiens de chasse provoquent dans les années 1990 des conflits avec le public qui ne comprend pas pourquoi les chiens de chasse non tenus par leurs propriétaires pénètrent dans la réserve tandis que leurs chiens y sont interdits. La question du danger pour les visiteurs les jours de chasse est également posée. Ces conclusions des études sont reprises plus tard dans les inventaires ZNIEFF (Beltra, Michaud, 2008) et Natura 2000 (Syndicat mixte départemental des massifs Concors — Sainte-Victoire) ;
– la compatibilité avec certaines pratiques sportives commence à apparaître pour le parapente de loisir sportif, l’escalade, le vol libre vis-à-vis des zones de nidification de l’aigle de Bonelli, et même, par endroits, pour la randonnée (figure 7).

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Table des matières

1. IMPACTS DES MESURES DE PRESERVATION DES GRANDS SITES NATURELS : LA QUESTION DE RECHERCHE 
1.1. ÉTAT DE L’ART DE LA RECHERCHE
1.2. MÉTHODOLOGIE
2. TRAVAUX CONDUITS EN ANNEE 1 
2.1. LA RECENSION DE LA LITTERATURE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE SUR LA THEMATIQUE AUPRES DE CHAQUE SITE
2.2. LA DESCRIPTION ET L’ANALYSE DU CONTEXTE LOCAL
2.3. SEMINAIRES DE RECHERCHE INTERNES A L’EQUIPE IMPGSN OU ASSOCIANT DES SCIENTIFIQUES EXTERNES
2.4. ENTRETIENS AVEC LES ELUS, GESTIONNAIRES DES SITES ET INSTITUTIONNELS
3. LES RESULTATS DES TRAVAUX D’INVESTIGATION ET D’ENQUETE PAR SITE : ETAT DES LIEUX
3.1. GRAND SITE SAINTE VICTOIRE, UN LIEU EXEMPLAIRE ?
1. LA CONSTITUTION DU TERRITOIRE DE GESTION DES FREQUENTATIONS 
1.1. UNE MONTAGNE INVESTIE ET ETUDIEE : LES PREMIERES ETUDES DE FREQUENTATION
1.2. LES DECLENCHEURS D’UNE FENETRE D’OPPORTUNITE POUR LE DEVELOPPEMENT DE STRUCTURES/OUTILS DE GESTION DES FLUX
2. L’EMERGENCE D’UN « PROGRAMME » DE GESTION DES FLUX 
2.1. LE RISQUE COMME VECTEUR DE GESTION
2.2. PROCESSUS ET OUTILS DE GESTION DES FLUX
3. L’ELABORATION DU CONTENU DU PROGRAMME DE GESTION DES FLUX 
3.1. LES PREMIERES MESURES DE GESTION DE LA FREQUENTATION, AU CAS PAR CAS, PORTENT SUR LES PARKINGS ET LES SENTIERS
3.2. LA GESTION PAR PROJET GLOBAL
3.3. VERS UNE GESTION SYSTEMIQUE DE LA FREQUENTATION : L’IDENTIFICATION DE PRINCIPES GENERAUX
3.4. DE LA GESTION DES FREQUENTATIONS A L’ANALYSE DES RETOMBEES ECONOMIQUES
4. LES ENJEUX DE GOUVERNANCE POUR CONDUIRE UNE GESTION DES FLUX ET POUR LA DEFINITION DE LA STRATEGIE DE GESTION 
3.2. PYRENEES-MONT PERDU, UN PROCESSUS DE PRESERVATION, DE VISITE ET DE PATRIMONIALISATION DIFFICILE
1. LA CONSTITUTION DU TERRITOIRE DE GESTION DES FREQUENTATIONS 
1.1. DE FORTES RETICENCES LOCALES A LA GESTION DES FLUX
1.2. VERS UN PROJET DE CONSTITUTION DU TERRITOIRE DE GESTION ?
2. LA REELLE DIFFICULTE D’EMERGENCE D’UN « PROGRAMME D’ENSEMBLE » DE GESTION DES FLUX 
2.1. DES RETICENCES IDEOLOGIQUES
2.2. DES PROJETS ECLATES ENTRE DE NOMBREUX PARTENAIRES
3. L’ELABORATION DU CONTENU DU PROGRAMME DE GESTION DES FLUX 
3.1. DES AVANCEES RECENTES
3.2. DES RETOMBEES ECONOMIQUES QUI RESTENT FAIBLES
4. LES ENJEUX DE GOUVERNANCE POUR CONDUIRE UNE GESTION DES FLUX ET POUR LA DEFINITION DE LA STRATEGIE DE GESTION 
5. LES MESURES DE PRESERVATION DU GRAND SITE VUES PAR LES HABITANTS, PREMIER COMPTE-RENDU D’UNE ENQUETE ETHNOLOGIQUE APPROFONDIE
5.1. LA METHODE
5.2. LE TOURISME, CREUSET DE L’HISTOIRE A GAVARNIE
5.3. A CHACUN SA TACHE
5.4. DES GAVARNIENS, GARDIENS DES LIEUX ET DES HOMMES
5.5. GERER LES FLUX
5.6. FIN D’UN CERTAIN IDEAL ?
3.3. NEOUVIELLE, SITE CONVOITE ENTRE INNOVATION, IMITATION ET RECYCLAGE
1. LA CONSTITUTION DU TERRITOIRE DE GESTION DES FREQUENTATIONS 
1.1. UNE MONTAGNE CONVOITEE
1.2. RECYCLAGE DES EXPERIENCES ET PROJETS PASSES
2. L’EMERGENCE D’UN PROGRAMME DE GESTION DES FLUX
2.1. LES DECLENCHEURS D’UNE FENETRE D’OPPORTUNITE POUR LE DEVELOPPEMENT DE STRUCTURES/OUTILS DE GESTION DES FLUX
2.2. IMITATION DES « ENCANTATS » : LA FREQUENTATION AFFICHEE COMME VECTEUR DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
3. L’ELABORATION DU CONTENU DU PROGRAMME « D’AUGMENTATION DES FLUX » 
3.1. AUTHENTICITE ET IMAGINAIRE DES VISITEURS DU MASSIF DE NEOUVIELLE
3.2. LES FREINS AU PROJET DE VALORISATION PATRIMONIALE PAR L’AUGMENTATION DES FLUX
3.3. UNE INCANTATION A LA FREQUENTATION MALGRE L’ABSENCE D’ACTION CONCRETE DE VALORISATION ECONOMIQUE
4. LES ENJEUX DE GOUVERNANCE POUR CONDUIRE UNE GESTION DES FLUX ET POUR LA DEFINITION DE LA STRATEGIE DE GESTION 
4.1. UNE GOUVERNANCE CLOISONNEE
4.2. UN PROJET PEU INNOVANT
3.4. LE PLAN DE GESTION CONCERTE DES ZONES HUMIDES DU SITE CLASSE DES BOUILLOUSES
1. LA CONSTITUTION DU TERRITOIRE DE GESTION DES FREQUENTATIONS 
1.1. UN SITE DE HAUTE MONTAGNE INVESTI PAR DE NOMBREUX ACTEURS
1.2. L’EMERGENCE DE L’IDEE D’UNE CONCERTATION ET D’UNE GOUVERNANCE PARTAGEE
2. L’EMERGENCE D’UN « PROGRAMME » DE GESTION DES FLUX 
2.1. LE RISQUE DE DEGRADATION DES MILIEUX COMME VECTEUR DE DECLENCHEMENT D’UN PLAN DE GESTION
2.2. LES ENJEUX DE LA GESTION DES CAPACITES DE CHARGE
3. L’ELABORATION DU CONTENU DU PROGRAMME DE GESTION DES FLUX 
3.1. LA METHODE
3.2. LES GROUPES DE CONCERTATION
3.5. MASSIF DU CANIGO, DE LA « MONTAGNE A 4X4 » A LA DESTINATION « PLEINE NATURE »
LA CONSTITUTION DU TERRITOIRE DE GESTION DES FREQUENTATIONS : DE LA « MONTAGNE A 4X4 » AU TERRITOIRE DE PROJET STRUCTURE AUTOUR DES ACTIVITES DE PLEINE NATURE ET DE LA QUALITE DES PAYSAGES
1.1. FIN XIXE SIECLE : REFUGES ET PISTES D’ACCES EN ALTITUDE AU FONDEMENT DE LA FREQUENTATION TOURISTIQUE
1.2. MILIEU DU XXE SIECLE : LE PREMIER CLASSEMENT DE SITE POUR PRESERVER L’ICONE PAYSAGERE
1.3. ANNEES 70 : L’EXPLOSION DU TOURISME MOTORISE DANS LA « MONTAGNE A 4X4 »
1.4. ANNEES 80 : UNE PREMIERE EXTENSION DU SITE CLASSE ET L’APPARITION DU PROBLEME DE « FREQUENTATION TOURISTIQUE » MOTORISE
1.5. ANNEES 90 : « L’AFFAIRE DU PLA GUILLEM » ET LE CHANGEMENT DE CAP AVEC LE LANCEMENT DE LA PREMIERE OPERATION GRAND SITE
1.6. ANNEES 2000 : LA DEUXIEME OPERATION GRAND SITE ET LE PROJET D’EXTENSION DU SITE CLASSE POUR EVITER LE PASSAGE DE LA LIGNE A TRES HAUTE TENSION DANS LE CANIGO
1.7. ANNEES 2010 : L’OBTENTION DU LABEL GRAND SITE DE FRANCE COMME RECONNAISSANCE DES MESURES CONTRAIGNANT LA FREQUENTATION TOURISTIQUE
2. 2015 : « APRES » LE GRAND SITE ? DE LA GESTION DE LA FREQUENTATION TOURISTIQUE A LA CONCEPTION D’UN VERITABLE PROJET DE TERRITOIRE FONDE SUR UNE DESTINATION « TOURISME DE NATURE »
3. L’EMERGENCE D’UN PROGRAMME DE GESTION DES FLUX : DEUX OPERATIONS GRANDS SITES POUR CONTRAINDRE LA FREQUENTATION TOURISTIQUE 
3.1. PRENDRE EN MAIN LE PROBLEME DE LA FREQUENTATION DU MASSIF : LE LANCEMENT DE L’OGS 1 A LA FIN DES ANNEES 1990
3.2. DES ETUDES DE FREQUENTATION DU PUBLIC AVANT TOUT CONÇUES COMME OUTIL DE REORIENTATION DU DEVELOPPEMENT TOURISTIQUE
3.3. DES COMPTAGES AUTOMOBILES REGULIERS, MAIS DELICATS A INTERPRETER
3.4. LES NUITEES DES REFUGES GARDES : UN REGARD SECTORIEL SUR LA FREQUENTATION DE SEJOUR EN MONTAGNE
3.5. FERMETURES, BARRIERES, PARKINGS ET REVEGETALISATION : C’EST AVANT TOUT PAR LES AMENAGEMENTS DES PREMIERES « ACTIONS-PILOTES » QUE SE GERE LA FREQUENTATION DU CANIGO DES LES ANNEES 2000
3.6. SYNTHESE DES AMENAGEMENTS REALISES SUR LES SITES LES PLUS FREQUENTES QUI CONSTITUENT AUTANT DE PORTES D’ENTREE
4. L’ELABORATION DU CONTENU DU PROGRAMME « D’AUGMENTATION DES FLUX » : SOIGNER L’IMAGE DU MASSIF DU CANIGO ET LA RECONSTRUIRE 
4.1. LA GESTION DES VEHICULES EN ALTITUDE COMME PRIORITE
4.2. LA TRACTION ANIMALE, UN DISPOSITIF A LA FONCTION SYMBOLIQUE CRUCIALE POUR CHANGEMENT LES PRATIQUES DE FREQUENTATION DANS LE CANIGO
4.3. LES REVEGETALISATIONS COMME OUTIL DE GESTION DE LA FREQUENTATION
3.6. POINTE DU RAZ EN CAP SIZUN
1. LA CONSTITUTION DU TERRITOIRE DE GESTION DES FREQUENTATIONS A LA POINTE DU RAZ 
2. L’EMERGENCE DES PRATIQUES DE GESTION DES FLUX (1950-1989) 
3. L’ELABORATION D’UN PROGRAMME DE GESTION DES FLUX (DES 1989) 
3.1. MESURES DE L’OGS DANS LA GESTION DE LA FREQUENTATION POUR LE CHEMINEMENT ET LE STATIONNEMENT (1989-1996)
3.2. LA MISE EN PLACE D’UN PROJET GLOBAL DANS LES CANDIDATURES AU LABEL « GRAND SITE »
4. ENJEUX DE LA GOUVERNANCE 
4.1. FOCUS SUR LA BAIE DES TREPASSES
4.2. FOCUS SUR LA FREQUENTATION SUIVIE A LA POINTE DU VAN
4.3. FOCUS « SURFREQUENTATION TEMPORAIRE » A LA POINTE DU MILLIER (BEUZEC-CAP SIZUN)
4.4. FOCUS SUR LA NON-ACCESSIBILITE D’AUTRES SITES DU PERIMETRE DU LABEL
3.7. DUNE DU PILAT : UN HAUT LIEU A LA GESTION CONTROVERSEE
1. UN SITE TOURISTIQUE MAJEUR EN AQUITAINE 
1.1. UN SITE MAJEUR SITUE DANS UNE COMMUNE A FAIBLE NOTORIETE
1.2. UN SITE NATUREL PROTEGE
1.3. UN SITE NATUREL REMARQUABLE A FORTE FREQUENTATION
2. UNE GESTION DU SITE COMPLEXE ET CONFLICTUELLE
2.1. L’ECHEC, DANS LES ANNEES 1980, DE LA PREMIERE OGS
2.2. UNE RELANCE DE L’OGS, DANS UN CLIMAT MOINS TENDU
2.3. UNE POLITIQUE D’ACQUISITION FONCIERE EN DEBAT
4. CONCLUSION DU RAPPORT D’ENQUETE DE L’ANNEE 1 ET PROGRAMME DE TRAVAIL POUR L’ANNEE 2 
4.1. LES IMPACTS DES ACTIONS DE REGULATION DES FREQUENTATIONS
4.2. LES IMPACTS DES ACTIONS MENEES SUR LA QUALITE DE VISITE DES VISITEURS ET DE VIE DES HABITANTS
4.3. LES APPORTS DES MESURES AU DEVELOPPEMENT
4.4. L’ARTICULATION GOUVERNANCE / GESTION DES CAPACITES DE CHARGE
BIBLIOGRAPHIE ET DOCUMENTS CONSULTES OU COLLECTES

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