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Facteurs attractifs d’investissement
Depuis 1996, l’Etat malgache s’est progressivement désengagé des entreprises publiques. Les réformes entreprises par l’Etat malgache ont créé un climat plus propice aux investissements locaux. Néanmoins, il faut se dirige ces dernières contraintes structurelles. Ces contraintes sont liées à l’instabilité macro-économique et politique, le manque d’accès au crédit, le coût élevé de l’énergie, l’insécuritéfoncière, la corruption, les dysfonctionnements de la justice, et le manque d’infrastructures de transport. Certains facteurs, appelés les déterminants de l’investissement, disait cependant être assurés.
Les lois sur l’investissement
Une loi progressiste sur l’investissement a été promulguée en 1989 : « la Loi N° 89.026 du 29 décembre 1989 relative au Code des Investissements et fixant une garantie générale des investissements à Madagascar ». Cette loi a simplifié les procédures en matière d’investissement à Madagascar. Elle figure également un programme d’avantages fiscaux pour les investissements dans le secteur tourisme mais a été abrogé en 1999. Le gouvernement malgache a par la suite d’édicter une nouvelle loi sur la propriété foncière étrangère entrée en vigueur en septembre 2003. La romulgationp de cette nouvelle loi visait entre autre la bonne gouvernance et la transparence de la gestion foncière du pays.
La stabilité politique
La stabilité politique est un facteur déterminant ne matière d’investissement car tout investissement requiert avant tout un apaisement politique. Une véritable sérénité politique garantit la confiance des investisseurs qui peuvent accroître leur apport en investissement. Ainsi, à contrario, l’instabilité que ce soit politique et socioéconomique démotive les investisseurs dans un pays. Tel est le cas de Madagascar durant la période de transition à partir de 2009.
La croissance du PIB
Le PIB est l’un des agrégats économiques déterminéen fonction du revenu par tête du ménage. L’amélioration du PIB est un indicateurqui permet de déterminer la croissance économique d’un pays. Cette croissance figure parmi les facteurs non négligeables qui attirent particulièrement les investisseurs étrangers assurent ainsi la rémunération et la rentabilité des investissements apportés.
L’ouverture économique
La politique d’ouverture économique d’un pays garantit un développement aussi bien commercial qu’économique. Bon nombre d’un pays actuellement développés ont su exploiter cette ouverture dans le but de relancer leurs activités commerciales, aboutissant ainsi à l’essor économique en général. Cette ouverture économique peut se manifester sous forme d’une coopération bilatérale ou multilatérale.En effet, le but est de susciter une collaboration étroite entre les différents pays envue d’un développement partagé. De plus, l’ouverture de l’économie garantit l’écoulement de la production des firmes multinationales o FMN orientées essentiellement vers l’exportation.
L’exonération fiscale
L’exonération fiscale est une politique appliquée par un pays en vue de relancer l’activité commerciale. Quelques formes d’exonération fiscale peuvent être envisagées :
– L’exonération des droits de douane avec la mise en place de l’exonération des droits de douane sur les importations liés aux investissements dans le tourisme pour les investisseurs internationaux. Cette exonération devra être strictement contrôlée pour éviter les fraudes ;
– L’exonération de l’impôt sur le revenu jusqu’à 10 a ns ;
– L’exonération taxe professionnelle jusqu’à 8 ans ;
– L’exonération de l’impôt foncier sur la propriété bâtie ou IFPB jusqu’à 8 ans ;
– L’exonération de l’impôt foncier sur le terrain ou IFT jusqu’à 5 ans
Des taxes élevées sur les biens importés peuvent avoir les effets négatifs non négligeables sur le commerce international et l’investissement progressiste dans le tourisme. Les fournisseurs et les investisseurs doivent en effet ajouter jusqu’à 200% de supplément sur leur prix d’achat de base c’est-à-dire de la taxe douanière, de la TVA, avant d’ajouter leur marge de profit.
L’allègement des procédures administratives
Les investisseurs hésitent souvent à acheter des terrains vu la lenteur et la complexité des procédures administratives pour l’acquisition de bien et l’obtention de licence sur l’autorisation. Il est difficile de s’a pproprier des terrains faute de clarté des textes et des différents droits domaniaux. Dans cete optique, la mise en place de guichet foncier unique constitue une des améliorations que le gouvernement malgache a apportées pour pallier à ces inconvénients.
Le code du travail
Les lois relatives aux ouvriers malgaches ne sont pas très restrictives. Quant aux employés étrangers, un visa ne peut être obtenu sanque le Ministère du tourisme accepte le contrat de cet employé.
Concernant les horaires de travail, ils doivent suivre la norme internationale édictée par le bureau international du travail.
Le ministère du tourisme
Le secteur tourisme à Madagascar est sous tutelle d u Ministère du Tourisme. Il collabore avec différentes entités au sein du ministère tel que l’office national, l’office régional du tourisme et les autres opérateurs touristiques privés. Au sein du ministère, la direction des appuis aux investissements touristiques est le responsable chargé du programme des investissements liés au secteur tourisme.
L’office du tkurisme
L’office du tourisme comprend l’office national et l’office régional. L’office national est une entité dotée du plein pouvoir de mettre en bonne marche toutes les activités touristiques au niveau national. Mais, il est aussi une autorité compétente pour résoudre les différents conflits en matière tourisme dans tout le pays.
L’office national du tourisme ou ONT est une Association régie par l’ordonnance N° 60-133 du 03 octobre 1960 relative au régime général des Associations. Reconnue d’utilité publique par le décret 2004-863 du 17 septembre 2004, il est composé par 22 Offices Régionaux du Tourisme (ORT) avec d’opérateurs économiques. L’ONT est formé par 09 Groupements professionnels du secteur tourisme, 03 représentants des centres de formation en tourisme et hôtellerie, des compagnies aériennes et des parcs et 01 représentant du Ministère du Tourisme. Les missionsde l’ONT sont concentrées sur : promeut la destination « Madagascar », assure le dialogue public et privé et représenter le secteur privé auprès de tous les partenaires, contribue à l’exécution de la politique du tourisme et coordonner l’organisation des formations pour les membres. Par contre, l’office régional, n’a qu’un pouvoir en dehors autre que la région où il exerce des activités touristiques.
Le tour operator
Le tour operator est une entité qui s’engage à organiser une activité touristique au sein d’un pays. Il a la licence de pouvoir faire une organisation en matière tourisme agréé par l’Etat.
L’institut national du tourisme et de l’hôtellerie ou INTH
C’est un centre national de formation en tourisme et en hôtellerie. Ce centre a pour attributions de préparer ou donner les formations nécessaires aux métiers du tourisme. Son objectif principal vise à développer le secteur tourisme en donnant des formations fiables et répondant aux exigences de la norme internationale.
Le tourism investisseurs’ relations office Madagascar
TIROM ou Tourism Investisseurs’ Relation Office Madagascar est un bureau installé à Madagascar. Il a son autonomie par rapport au gouvernement mais doit être formellement reconnu par le gouvernement. Les sources budgétaires de ce bureau sont financées en partie par des subventions gouvernementales et une partie par les contributions des membres du groupe d’investisseurs dans le tourisme. Il a pour objectif de promouvoir l’investissement dans le secteur tourisme ainsi que de développer le tourisme en général.
Les missions et attributions des entités responsables du secteur tourisme
Le ministère du tourisme
Le Ministère du Tourisme a pour mission de favoriser le développement intégré, ordonné et harmonieux du secteur tourisme. Il permet de stimuler le développement du secteur tout en sauvegardant l’environnement afin de représenter une image positive du pays vis-à-vis du reste du monde. De plus, ce minis tère prend en charge les fonctions et les tâches suivantes : l’adoption du plan directeur pou r les mesures de formation quantitative et qualitative ; l’élaboration du cadre législatifnécessaire à la mise en place du système d’éducation touristique proposé ; la définition desstatuts et règlements nécessaires ; certification des institutions de formation ; la préservation des valeurs, des traditions et l’identité culturelle du pays ; l’environnement et les ressources naturelles et assure un développement économique et social.
L’office national du tourisme
L’ONT doit assurer une fonction préparatoire et exécutive dans le cadre des ressources humaines. Le Directeur des Ressources Humaines est le responsable de la planification du concept et l’exécution des mesures de formation. Il doit prendre en charge l’identification des besoins de formation précise (quantité et qualité) en collaboration étroite avec le secteur privé ; la collecte d’information sur les normes internationales et les meilleurs exemples pratiques ; la définition des programmes de formation pour les différentes institutions de formations ; la vérification de la qualité des instituts de formation, le suivi du contenu des programmes de formation et l’exécution des mesures de formation spéciales à court terme et le suivi des résultats.
L’institut de formation touristique
Les directives du Ministère du Tourisme et les programmes de formation élaborés par l’Office National du Tourisme seront intégrés dans un système de formation modulaire comprenant : cinq programmes différents d’apprentissage (professionnel de l’hôtellerie, professionnel de la restauration, chef, agent de voyage, guide) ; l’école de gestion touristique avec deux branches différentes (hospitalité, tours et voyages opérateurs) et les programmes universitaires pour les cadres dans le tourisme.
Le tourisme investisseurs’ relations office Madagascar
Ce bureau a pour attributions de mettre en place le guichet unique qui permet de rassurer les étrangers désirant investir à Madagascar ou les conditions sont encore plutôt floues. Le bureau guichet unique offre un large éventail de compétences pour toutes les étapes du processus et une base des données à joursur les lois, les régulations, les mesures incitatives, les statistiques, la finance, les géographiques, les touristiques, les programmes d’infrastructure et les possibilités de partenariat. Le bureau guichet unique qui crée un réseau au niveau de tout le pays permet d’élargir esl possibilités de contact.
Pour bien fonctionner les activités touristiques, le ministère du tourisme doit se collaborer avec les autres ministères tels que le ministère de l’éducation qui est composé par le ministère de l’enseignement secondaire et celui de l’éducation de base, le ministère du transport et la météorologie et le ministère des avauxtr publics, etc.
Aspects du tourisme à Madagascar
Les types de tourisme
Le tourisme national
Par définition, le tourisme national est considérécomme un tourisme effectué à l’intérieur d’un pays. Les personnes pratiquant ce type de tourisme sont appelées touristes nationaux. Ils bénéficient en général, de tous lesavantages sur les tarifs d’hôtel préférentiels, et les droits d’entrée dans le sitetouristique. Ces tarifs préférentiels spécifiques pour les périodes des basses saisons etcelles de transition, visent à augmenter les taux d’occupation d’hôtels et les recettes tour istiques. De plus, les hôtels proposent des remises sur les “tarifs pleins” affichés en fonctio n des conditions du marché : période, durée de séjour, classe de réservations, etc. Cependant, il existe des tarifs appelés les tarifs incitatifs commercialisés à proposer pour la population locale. Ce tarif préférentiel doit s’appliquer toujours aux droits d’entrée dans les arcsp nationaux.
Le tourisme régional.
Par régional, il s’agit de la région de l’océan indien. Donc, le tourisme régional concerne le tourisme pratiqué dans toutes les îles de l’Océan Indien regroupant l’île Maurice, les Seychelles, la Réunion, les Comores etMadagascar. Ces îles sont récemment regroupées pour former l’indian ocean international tourism operator ou IOITO qui a son siège social à Madagascar. De plus, Madagascar a une faveur considérable sur le transfert de technologie et des échanges culturels en provenance des autres îles, en particulier l’île Maurice.
Les formes de tourisme
Le tourisme lié à la recherche
Le tourisme lié à la recherche est souvent réservéaux étudiants ou aux chercheurs nationaux ou bien étrangers pour leurs activités. Leurs destinations sont dans le lieu considéré comme historique ou un endroit abritant esd réserves naturelles et des patrimoines du pays. Parmi ces sites figurent, le Rova de Manjakamiadana, le Parc d’Andasibe, le Parc d’Isalo qui sont des lieux tour istiques nécessaire à la recherche pour les étudiants en histoire et en sciences naturelles.
Le tourisme lié à un voyage et/ou à un loisir
Cette forme de tourisme est spécifiée seulement pour des activités ludiques pour les touristes d’affaires, ou pour le tournage d’un film et les vacances. Il peut s’agir aussi un tourisme pour visiter une famille et qui ne doit pas passer d’un passage de six mois.
Presque les riches ou les artistes célébrés qui sont les plus intéressés à cette forme de tourisme dans les lieux ou les pays qu’ils désirent de voir ou de partir pour vacances. Pour eux, ce sont les pays développés ou les îles sont esl pays cibles dans cette forme de tourisme.
Ecotourisme
L’Ecotourisme est un terme relativement ambigu utilisé pour décrire un tourisme qui est en phase avec la nature. L‘International Ecotourism Society’ fondée en 1990 définit l’écotourisme comme “…le voyage responsable dans de s régions naturelles en conservant l’environnement et maintenant le bien-être des populations locales se préoccupant particulièrement de la préservation de l’environnement, l’écotourisme a pour but de réduire autant que possible les impacts négatifs des activités touristiques sur la nature et le volet culturel, et tente de contribuer au bien-être socio-économique de la population locale. Une définition plus juste de l’écotourisme serait de voyager avec une conscience environnementale ou visiter des régions naturelles sans déranger l’équilibre environnemental pour en apprécier, en étudier.
L’Ecotourisme est une forme spéciale du tourisme de la nature qui est à son tour le terme générique pour tout type de tourisme dans unenvironnement naturel. Se manifestant généralement par :
– le tourisme scientifique c’est-à-dire que les scientifiques ou les étudiants qui voyagent font cette forme de tourisme en vue de faire des recherches sur la nature.
– les voyages histoire-nature des touristes. Cette forme d’écotourisme a pour objectif de voyager selon un intérêt particulier.
– le tourisme d’aventure c’est-à-dire les touristes e ntreprennent des activités physiques avec un danger réel ou perçu.
Notons que, le tourisme sexuel est un tourisme sous forme de voyage ayant pour but de profiter de la relation sexuelle notamment avec les mineurs. Cette forme de tourisme est interdite par la loi partout le monde y compris Madagascar. Et il est souvent pratiqué par les gens riches quand ils arrivent aux villes touristiques d’un pays. La pratique de cette dernière forme de tourisme est toujours accompagnéeà une autre forme de tourisme citée ci-dessus.
La résidence touristique, villages devacances et campus
La résidence touristique
Elle se définit comme un lieu de résidence destinépour les touristes seulement. Elle est semblable à l’hôtel mais la seule différence c’ est qu’il n’y existe pas de restauration. Tous travaux présents dans la résidence sont considérés comme un investissement qui est aussi dénommé investissement direct. La résidence eutp être une propriété privée ou de l’Etat. Par conséquent, l’investissement peut êtreinvestissement privé si le privé est le propriétaire de la résidence. Par contre, il est apelé investissement public si l’Etat est le propriétaire de la résidence.
Les villages de vacances
En ce qui concerne l’investissement dans les villages des vacances, cette forme d’investissement incite les investisseurs étrangers ou nationaux à cause de l’insuffisance de cette infrastructure dans le pays.
Le campus
Le campus est un lieu résident bien limité par le ropriétaire du site et situé dans un endroit près ou loin d’une ville. Il peut être considéré comme un lieu d’accueil de touristes privés ou semi-privés. Les travaux effectués danse lcampus se présentent sous forme d’aménagement ou de réhabilitation des infrastructures existantes qui peuvent être considérés comme un investissement direct
Les investissements dans les équipements
Ce sont des investissements liés étroitement pour quiperé les sites touristiques ou bien le lieu d’accueil. Quelques infrastructures sont nécessaires pour bien équiper les lieux touristiques.
Les infrastructures annexes
Le centre de congrès
Le centre de congrès est un centre destiné aux associations ou aux différentes organisations non gouvernementales qui partent en voyage touristique pour faire une réunion. Quelques équipements sont utiles pour bienfaire fonctionner les activités qui se déroulent dans ce centre.
Les parcs de loisir, casinos et ports de plaisance
D’abord, pour le parc de loisir, il existe des équipements qui sont utiles au bon fonctionnement du parc pour le tourisme. L’amélioration du parc nécessite des travaux relatifs au besoin du parc et ces travaux s’appellent investissement dans l’équipement. Le travail d’amélioration a pour but de satisfaire les besoins des visiteurs.
Les jeux de hasard attirent les touristes afin de tenter la chance ainsi que de la recherche de plaisir. L’investissement effectué dans cette situation est un investissement direct orienté vers les équipements et dans l’infrastructure telle que le bâtiment. A Madagascar, il existe en total 17 casinos dont 9 se trouvent à proximité d’Antananarivo et 4 à Majunga. Le reste dans d’autres Provinces.
Quant aux ports de plaisance sont destinés aux loisirs. Donc, les équipements nécessaires sont des équipements pour bien attirerles visiteurs de fréquenter le site afin qu’ils puissent avoir de plaisir. Par conséquent, oute activité d’amélioration de ces ports a besoin d’investissement qui est lié aux équipements.
Monuments et musées
Les monuments et les musées sont des déterminants ed tourisme surtout le tourisme lié à l’étude et recherche. L’existence de centre de monument et de musée attire beaucoup les visiteurs surtout les visiteurs étrangers. La fabrication des artisanats dans le musée est intéressante. Elle a besoin de financement ou d’investissements c’est-à-dire le besoin de fonds et d’atelier de travail. De plus, les musées sont des facteurs incitatifs de tourisme surtout dans les pays en développement. Tous investissements relatifs aux monuments ainsi qu’aux musées sont considérés comme investissement dans les équipements. L’abondance de différentes formes de monuments dans un lieu touristique nécessite d’investissement important de la part des opérateurs économiques ou culturels ou bien de la part des investisseurs étrangers tel est le casdu Rova de Manjakamidana.
Les circuits fréquentés dans le tourisme
Par ailleurs, les investisseurs veulent choisir eux-mêmes le site qui correspond le mieux au type de tourisme qu’ils pensent développer. Ce site pourrait se trouver dans l’une des réserves foncières touristiques ou RFTs mais lechoix ne devrait pas être limité à ces zones. Pour encourager un développement équilibré,les différentes régions de Madagascar seront classifiées en trois grandes zones d’investissement avec des mesures incitatives croissantes de la zone A à la zone C :
Zone A : grand potentiel touristique, zone déjà développée, bon accès et infrastructure, excellent site touristique ;
Zone B : zone intermédiaire ;
Zone C : régions isolées, infrastructure négligeable, conditions climatiques difficiles, grande pauvreté.
Les autres investissements liés au secteur tourisme
Ce sont les investissements ayant traits aux activités qui contribuent à l’exploitation du secteur tourisme telles que le transport, la structure d’accueil et les autres infrastructures d’importance spécialement pour le tourisme. La promotion de ses activités facilité alors le développement du secteur tourisme.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I : CONTEXTE GENERAL DE L’INVESTISSEMENT DANS LE SECTEUR TOURISME A MADAGASCAR
CHAPITRE I : NOTION SUR L’INVESTISSEMENT ET LE TOURISME
Section I : Notion d’investissement
Paragraphe 1. Définition et cadre juridique
Paragraphe 2. Types d’investissement
Paragraphe 3. Facteurs attractifs d’investissement
Section 2 : Notion de tourisme
Paragraphe 1. Cadre juridique
Paragraphe 2. Cadre institutionnel
Paragraphe 3. Aspects du tourisme à Madagascar
CHAPITRE II : INVESTISSEMENTS DANS LE SECTEUR TOURISME
Section 1 : Les investissements dans les hébergements
Paragraphe 1. L’hôtellerie
Paragraphe 2. La résidence touristique, villages de vacances et campus
Section 2 : Les investissements dans les équipements
Paragraphe 1. Les infrastructures annexes
Paragraphe 2. Les circuits fréquentés dans le tourisme
Section 3 : Les autres investissements liés au secteur tourisme
Paragraphe 1. Le transport
Paragraphe 3. Les infrastructures d’importance pour le tourisme
PARTIE 2 : IMPACTS DES INVESTISSEMENTS DANS LE SECTEUR TOURISME
CHAPITRE III : IMPACTS ECONOMIQUES
Section 1 : Les impacts sur l’emploi
Paragraphe 1 : L’hôtellerie et la restauration
Paragraphe 2 : Les entreprises de voyages et de prestations touristiques ou EVPTs
Paragraphe 3. Quid les effets des conjonctures
Section 2 : La croissance économique
Paragraphe 1 : Définition et mesure de la croissance
Paragraphe 2 : Quelques modèles de croissance économique
Paragraphe 3 : Croissance économique et secteur tourisme
Section 3 : Les recettes de l’Etat
Paragraphe 1. Les recettes fiscales
Paragraphe 2 : Les recettes douanières
Paragraphe 3 : Les sources des devises
CHAPITRE IV : IMPACTS SOCIOCULTURELS ET ENVIRONNEMENTAUX
Section 1 : Les effets socioculturels
Paragraphe 1. Les effets positifs
Paragraphe 2. Les effets négatifs
Section 2 : Les effets environnementaux
Paragraphe 1. La protection des réserves naturelles
Paragraphe 2. La dégradation des milieux environnementaux
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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