Impacts de la degradation des ressources naturelles sur la vie de populations locales

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L’humidité relative

L’évolution mensuelle de l’humidité relative est conforme au partage de l’année en deux saisons. Elle est minimale en saison sèche. Pendant la saison pluvieuse, l’air est fortement chargé en eau d’où l’augmentation des valeurs de l’humidité relative. A partir de Novembre, s’amorce la baisse de l’humidité du fait du retrait de flux de mousson et de l’installation de la circulation des alizés dont les flux s’assèchent surtout avec la continentalité.

L’insolation

Les fortes valeurs d’insolation (durée exprimée en heure au cours de laquelle le soleil a été visible) sont exprimées en saison sèche avec une température élevée, une domination des flux d’harmattan et une humidité relative faible. Le minimum est noté en Avril-Mai, le maximum survient en Août-Septembre, ce qui correspond à la saison estivale car la couverture nuageuse réduit l’insolation. En bref la communauté rurale est marquée par la rigueur de son milieu naturel avec un relief très accidenté. III. Typologie des ressources naturelles La communauté rurale de Diass dispose d’importantes ressources naturelles : il s’agit des ressources hydriques, les ressources pédologiques et minières, et les ressources végétales.

Les ressources hydriques

Les eaux de surface

Le réseau hydrographique du Horst de Diass ne possède pas d’écoulement permanent. Les cours d’eau sont temporaires. Les vallées se remplissent grâce à la morphologie du relief. Elles reçoivent les eaux des pluies des plateaux et des collines. Le Marwan, entre Tchiky et Raffo, le Nghâyam entre Dagga et Kholpa et le Niayétir entre Boukhou et Packy sont des exemples palpables. Le Noungouma coule au Nord de Ndayane, dans la dépression de Toubab Dialao. Il prend sa source dans les multiples filets d’eau issus des versants du massif et qui réunissent, le long de leur parcours les eaux de ruissellement de Diass, Samkedji et Mbayard.

Les eaux profondes

Les caractéristiques hydrogéologiques du Horst de Diass sont liées à la tectonique cassante, responsable de la mise en place du Horst, portant sur le Maastrichtien à l’affleurement. Le Horst renferme les nappes du maastrichtien.

Les ressources pédologiques et minières

Les ressources pédologiques

Campy M. et Macaire J.J (1989) définissent le sol comme étant essentiellement constitué d’éléments minéraux meubles dérivant de la désagrégation physique et de l’altération chimique de la roche mère sous-jacente. Il représente ainsi la partie superficielle de l’espace souterrain soumise aux fluctuations périodiques du climat. Il subit dès lors de constantes transformations. On distingue dans la zone trois (3) unités pédologiques :
 les sols diors : ce sont des sols ferrugineux tropicaux non lessivés. Ils sont sableux, assez pauvres en éléments fertilisants. Ce sont des sols fragiles qui ont subi l’effet de l’érosion. Leur nature sableuse est due essentiellement aux apports de sédiments provenant de la dégradation des versants. Ce sont donc des sols assez perméables. Dans l’ensemble, les sols diors sont d’un point de vue textural très filtrant et se travaillent facilement à la main. Ils sont le plus souvent sujets à un encroutement car la faible cohésion du matériau sableux n’est pas propice à la destruction des horizons de surface ;
 les sols deck : ils se localisent dans les bas- fonds. Les sols deck sont caractérisés par leur grande profondeur et leur texture fine à dominante argileuse. Ils sont riches et fertiles, mais très compacts, donc difficiles à travailler ;
 les regs sols sur cuirasse : ils constituent des débris de cuirasses fortement décapés et amincis résultant du démantèlement de la cuirasse ferrugineuse en surface. Ils recouvrent essentiellement les régions de plateaux et de collines du massif de Diass. Leur situation en altitude fait d’eux la source d’alimentation en matériaux solides et grossiers

Les ressources minières

Les ressources minières sont constituées par les grés blancs et les grés rouges. Ces deux produits sont exploités respectivement dans la forêt de Bandia et à Tchiky.

Les ressources végétales

Trois forêts classées sont présentes dans la communauté rurale de Diass : celle de Bandia (7166 ha) dont une partie dans la communauté rurale de Sindia et une autre partie dans le département de Thiès ; celle de Diass (1860 ha) à cheval sur la communauté rurale de Diass et la zone de Sébikotane. La forêt classée de Diass est partagée entre les communautés rurales de Diass et de Keur Moussa. Elle a été classée par Arrêté du gouverneur général de l’Afrique de l’Ouest N°224 du 21 janvier 1939. Actuellement cette forêt est en voie de disparition. La forêt de Bandia est classée par Arrêté N°2268 du 6 octobre 1935 celle de Thiès par Arrêté N°1943 du 23 Août 1934. La forêt classée de Bandia qui est une forêt artificielle depuis 1984 par le Projet Autonome de Reboisement de la Forêt de Bandia (PARFOB). Cette forêt constitue un refuge pour le bétail. C’est une zone de repli et de transit pour le troupeau des communautés rurales de Diass, Fissel, Tassette, Malicounda, Sindia et Noto. La végétation naturelle est caractérisée par une strate arborée qui est en voie de disparition, une strate arbustive constituée de combrétacées et une strate herbacée annuelle.
Carte3 : Localisation des types de végétation Source : cse Deux types de végétation sont représentés sur la carte : des savanes boisées à arbustives localisées au niveau des villages de Diass, Boukhou, Bandia Mbambara et des savanes arbustives occupant le reste de la zone. La strate arbustive domine. III.3.1 La strate arborée Elle se localise au sud de la forêt classée de Bandia. C’est le cas de la savane boisée de Bandia. Cette végétation est composée des espèces suivantes : Acacia Albida, Adansonia Digitata, Tamarindus Indica, Anacardium Occidental, Azadirachta Indica. La végétation est dominée par l’Acacia Albida. III.3.2 La strate arbustive Elle est constituée de combrétacées. Les espèces dominantes sont le kinkéliba (Combretum micranthum), le jujubier (Zizyphus mauritana), le sump (Balanites aegyptia), Grewia Bicolor.
Quant à la faune, elle a fortement régressé par suite des différentes pressions qui ont détruit son habitat. Il ne reste que des hyènes, des chacals, une assez importante colonie de singes patas et des pintades.
La communauté rurale de Diass présente un relief très accidenté avec une pluviométrie irrégulière et une végétation dominée par des arbustes au niveau des massifs forestiers. L’exploitation de ces ressources forestières constitue la principale activité de revenu des femmes.

Structure de la population

La structure de la population par sexe montre que la communauté rurale est féminine à 53% contre 47% d’hommes.
Selon le recensement de 2000, les jeunes de moins de 15 ans représentent 44% de l’effectif global, ce qui met en évidence le caractère relativement jeune de la population. La proportion de la population de plus de 60 ans ne représente que 5%, tandis que la tranche 15-60 est la plus importante (51%) même si cette frange est la plus touchée par l’exode.

Composition ethnique et religieuse

La composition ethnique de la population montre une prédominance des Sérères (84%), suivis par les wolofs et Lébous (14%). Les autres ethnies (Bambara, Peul, Mankagne et Diola) sont très faiblement représentées (2%). Au plan religieux, la communauté rurale est dominée par des musulmans avec une nette prédominance de Tidiane.

ACTIVITES SOCIO-ECONOMIQUES

Les activités économiques sont constituées de l’agriculture, l’élevage la cueillette le commerce et les activités industrielles.

L’agriculture

L’occupation du sol laisse apparaître une très forte pression sur les terres. Cette situation est le résultat de la forte spéculation foncière que connaît la zone. En effet, la surface agricole utile n’excède guère 3700 ha. Cette surface abrite les cultures sous pluie, le maraîchage et l’arboriculture généralement en association. L’agriculture sous pluie est à seulement 20% des champs contre 80% en association avec l’arboriculture. Les spéculations et les productions sont surtout céréalières (mil, sorgho…). Il existe d’autres productions comme l’arachide de plus en plus abandonné, du niébé, manioc, pastèque (Faye M.2006). Le maraîchage, activité en plein essor dans la communauté rurale, est pratiqué surtout par des particuliers comme l’exemple de Vanoers dans le village de Kirène. La culture de l’aubergine est très développée dans la zone. L’arboriculture quant à elle est dominée par des espèces comme les manguiers, les mandariniers, les orangers, les pamplemoussiers et les goyaviers.

L’élevage

Il est pratiqué à des degrés (extensif ou intensif selon les zones), et connaît une baisse notoire. L’élevage souffre de beaucoup de problèmes comme le manque de pâturages en saison de pluies surtout, de l’insécurité (vol de bétail) qui touche en général les petits ruminants. Ce phénomène décourage les populations à entretenir beaucoup de bêtes (Faye M.2006).

La cueillette

Elle constitue l’activité principale de la population surtout les femmes qui s’adonnent à la ponction de différents produits. Les produits de cueillette sont constitués en général de Combretum Micranthum, de Balanites Aegyptia, de Guire Senegalensis, de Zizyphus Mauritana etc.

Le commerce

Le commerce est relativement peu développé dans la communauté rurale du fait de l’absence de structures organisées et de l’enclavement de la plupart des villages. Dans ce secteur d’activité, les femmes sont largement majoritaires. Les femmes font du commerce de fruits (mangues, mandarines pastèques) et autres produits de cueillette) aux abords de la RN1.
A Bandia mbambara, la proximité du village de la route qui relie Thiès et Mbour permet aux apiculteurs de vendre sans difficultés leur miel. En dehors de ces zones, tous les autres villages sont reliés par des pistes impraticables surtout pendant l’hivernage, ce qui limite considérablement la commercialisation des produits locaux. Photo 2 : Combretum Micranthum au bord de RN1 .
L’activité arboricole est très développée dans la localité. Thiandoum (2006) cite : « C’est une activité très caractéristique du pays Safène (…) Elle est en plein essor surtout dans la communauté rurale de Diass ou elle gagne en superficie au détriment des cultures vivrières et de l’arachide »23. Les vergers de mangues se dressent un peu partout. En période de cueillette, les mangues mures abondent les villages et pourrissent à cause de l’absence d’unités de conservation et de transformation, mais aussi de l’inexistence de pistes de production. Cela constitue sur le plan économique une perte énorme de ressources financières pour les populations des villages enclavés (Raffo, Samkedji, Dagga, Kholpa, Bandia séssène, Gandoul, Packy, et Toglou sérère). A cela s’ajoute le problème des marchés. Les produits vendus ne sont pas diversifiés par manque de ressources financières des commerçants d’une part, mais aussi par l’absence de marchés hebdomadaires (louma) d’autre part.

Les activités industrielles

Les activités industrielles sont très développées communauté rurale de Diass. Ces industries sont logées dans les zone de Kirène – Bandia. Il s’agit de l’usine d’eau minérale Kirène, les Ciment Du Sahel et les industries extractives. Il y a aussi Vanoers un agrobusiness qui emploi une main d’oeuvre importante venant de la communauté rurale. L’analyse des activités économiques montre une zone en pleine mutation à cause des activités industrielles et de l’aéroport. Mais l’agriculture constitue toujours une activité pratiquée dans cette zone.

CONCLUSION

La communauté rurale de Diass est caractérisée milieu naturel peu favorable: un relief accidenté et un climat marqué par une longue saison sèche. Cette zone est caractérisée aussi par la qualité de son eau et la richesse de son sous-sol d’où l’implantation de plusieurs industries minières. Dans cette zone ont vécu pendant longtemps des populations dépendant de l’agriculture et de l’exploitation des ressources forestières. Aujourd’hui ces activités n’arrivent plus à assurer la survie des populations locales du fait de la dégradation accélérée des ressources naturelles.

Les facteurs naturels de dégradation des ressources pédologiques

L’érosion hydrique

Du fait de modelé du relief, les sols sont confrontés à une érosion hydrique car les pentes des versants augmentent le drainage des eaux de pluies. Les ruissellements intenses qui vont des massifs vers les bas fonds entraînent des ravins et des inondations en période d’hivernage. Parmi les zones les plus affectées par l’érosion hydrique, il y a le plateau cuirassé de Diass, caractérisé par des pentes fortes et une végétation très dégradée.

L’érosion éolienne

L’érosion éolienne affecte les sols à texture sableuse. Elle est observée en saison sèche ou l’anticyclone continental entre en action. Elle se manifeste par le revêtement de la chaussée, le déchaussement des racines etc.

Les facteurs humains de dégradation des ressources pédologiques

La communauté rurale est constituée en majeur partie de cultivateurs (71,4% des chefs de ménages enquêtés).Selon Seck (2001) : « Les actions négatives de l’homme sur le sol sont surtout liées au déboisement, aux systèmes agricole et pastoral, aux feux de brousse, à la pression démographique ».24 Les pratiques culturales (absence de jachère, utilisation de pesticides) causent beaucoup de dégât aux sols.

L’absence de jachère

Jadis, les paysans laissaient temporairement leurs champs se reposer pour une durée de deux à trois ans, avec une vaine pâture entrainant l’enrichissement des sols. Mais aujourd’hui avec la poussée démographique qui entraîne une pression foncière, cette méthode est abandonnée et les paysans cultivent chaque année sur les mêmes terres, favorisant leur épuisement.

L’utilisation de pesticides

Aujourd’hui les paysans utilisent des produits chimiques pour enrichir les sols car selon eux ils n’ont plus d’animaux qui leur permettent d’avoir du fumier organique. L’utilisation massive de pesticides rend les sols plus vulnérables.

La dégradation des ressources hydriques

Elle est causée ici par la sécheresse, la baisse de la pluviométrie et les aménagements. Elle se manifeste par la baisse de la nappe et la disparition de beaucoup de cours d’eau qui existaient dans cette zone. Tableau 5 : Pourcentage de dégradation des ressources hydriques

Les facteurs naturels de dégradation des ressources hydriques

La baisse de la pluviométrie

La communauté rurale a connu une baisse de la pluviométrie ces dernières décennies. Ce phénomène est à l’origine de l’abaissement du niveau de la nappe phréatique et de l’assèchement des eaux de surface. La durée des pluies (3 mois) ne permet pas aux aquifères de s’alimenter.

La sécheresse

Les périodes que les populations ont données tournent autour des années 1970. Ainsi selon elles, c’est durant cette période que beaucoup de cours d’eau (marres, rivières) ont disparus.

Les facteurs humains de dégradation des ressources hydriques

L’impact des activités des populations locales sur l’eau n’est pas aussi important car le maraîchage qui nécessite une consommation importante d’eau par l’irrigation n’est pas pratiqué en grande partie par les populations locales. L’eau utilisée par la population est destinée aux travaux domestiques.

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Table des matières

Liste des sigles et abreviations
Avant propos
Introduction generale
Problematique
MÉTHODOLOGIE
PREMIERE PARTIE:Diass:une zone écologique caracterisee par une diversite de ressources naturelles
Chapitre1: Milieu physique et typologie des ressources naturelles
I. Situation de la communauté rurale
II. Relief et climat
II.1. Le relief
II.2 Le climat
II.2 .1. Les températures
II.2.1. Les précipitations
II.2.3 . L’humidité relative
II.2.4 . L’insolation
III.1. Les ressources hydriques
III.1.1. Les eaux de surface
III.1.2 . Les eaux profondes
III.2. Les ressources pédologiques et minières
III.2.1. Les ressources pédologiques
III.2 .2. Les ressources minières :
III.3. Les ressources végétales
III.3.1. La strate arborée
III.3.2. La strate arbustive
Chapitre 2 : Aspects démographiques
I. Evolution de la population
II. Structure de la population
III. Composition ethnique et religieuse
IV. Répartition de la population
Chapitre 3 : Les activités économiques
I. L’agriculture
II. L’élevage
III . La cueillette
IV. Le commerce
V. Les activités industrielles
DEUXIEME PARTIE :Des ressources naturelles de plus en plus menacees
Chapitre 1 : Les facteurs naturels et humains de degradation des ressources naturelles
I. La dégradation des ressources pédologiques
I.1. Les facteurs naturels de dégradation des ressources pédologiques :
I.1.1. L’érosion hydrique
I.1.2. L’érosion éolienne
I.2. Les facteurs humains de dégradation des ressources pédologiques :
I.2.1. L’absence de jachère
I.1.2. L’utilisation des pesticides
II. La dégradation des ressources hydriques
II.1. Les facteurs naturels de dégradation des ressources hydriques
II.1.1. La baisse de la pluviométrie
II.1.2. La sécheresse
II.2. Les facteurs humains de dégradation des ressources hydriques :
III. La dégradation des ressources végétales
III.1. Les facteurs naturels de dégradation des ressources végétales :
III.1.1. La baisse de la pluviométrie
III.1.2. La sécheresse
III.2 . Les facteurs humains de dégradation des ressources végétales :
III.2.1. La coupe abusive et l’émondage
III.2.2. Les feux de brousse
Chapitre2 : Les facteurs industrielles de degradation des ressources naturelles
I. Identification des activités industrielles
II . Analyse de la dégradation
II.1. La dégradation des ressources pédologiques
II.2. La dégradation des ressources hydriques
II.3. La dégradation des ressources végétales :
Chapitre 3: Impacts de la degradation des ressources naturelles sur la vie de populations locales
I. Impacts liés à la dégradation des ressources pédologiques :
I.1. La baisse des revenus agricoles :
I.2. L’insécurité alimentaire :
II. Impacts liés à la dégradation des ressources hydriques
III. Impacts liés à la dégradation des ressources végétales:
III.1. La baisse des activités de cueillette :
III.2. La baisse de l’apiculture
IV. Mesures de protection prises :
TROISIEME PARTIE:Les bois villageois: une initiative importante de protection et de conservation des ressources vegetales
Chapitre 1 : Présentation des acteurs
I. Les femmes : Premières actrices de développement dans la communauté rurale de Diass
I.1. Données sociologiques des femmes
I.1.1 .Age
I.1.2. Situation matrimoniale
I.1.3. Niveau d’instruction
I.2 . Dynamique organisationnelle
I.2.1.Naissances des GPF
I.2.2. GPF et activités génératrices de revenus
I.3 . Contraintes des femmes en matière de projet de développement
I.3.1. L’analphabétisme
I.3.2. L’accès à la terre
II ACCESS : premier partenaire des femmes
II.1. Présentation de la structure
II.2 . Domaines et zone d’intervention
II.2.1. Domaine d’intervention
II.2.2.Zone d’intervention
II.3. Partenariat et perspectives
II.3.1 .Partenariat
II.3.2. Perspectives
Chapitre2 : Amenagement et gestion des bois villageois
I. Aménagements des bois villageois
I.1. Dispositif d’aménagement
I.2 . Lois et règlements de gestion régissant les bois villageois
I.3 . Identification des Bois villageois
II . La gestion des bois villageois
II.1 Identification des rôles des acteurs dans la gestion bois villageois
II.1.1… Les femmes
II.1.2 .ACCES
II.2. Analyse des stratégies de protection des ressources végétales
II.2.1.L’ implantation des pépinières
II.2.3.La régénération naturelle assistée
CHAPITRE 3 : Atouts et contraintes de la gestion et impacts des aires protegees sur la vie des populations
I. Atouts et contraintes de la gestion
I.1.Atouts
I.2. Contraintes
II. Impacts des aires protégées sur la vie des populations
II.1. Les impacts écologiques
II.1.1 Impact sur la végétation
II.1.2. Impact sur la faune
II.1.3 Impact sur les sols
II.2. Impacts socio-économiques
II.2.1. Impacts sociaux
Conclusion generale
Bibliographie

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