Impact des aléas dans la mise en oeuvre du sous projet aviculture

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Grandes lignes du PSSE Mikea

Le Plan de Sauvegarde Sociale et Environnementale est une étape nécessaire au projet de création ou d’extension d’une AP. Dans notre cas, le PSSE Mikea contribue au projet de création du Parc National Mikea. Ce plan consiste à compenser les éventuelles pertes tant au niveau du revenu que du mode de vie des populations affectées par le projet face aux différentes restrictions d’accès au Parc National Mikea qui sera mis en place. La mise en oeuvre du PSSE repose en grande partie sur l’identification des Populations Affectées par le Projet, les différents sous projets à mettre en place, et les différentes étapes à suivre pour l’effectivité du projet.
Les caractéristiques générales du PSSE Mikéa seront introduites par la carte suivante qui permet de localiser la zone Mikea dans la partie Sud-Ouest de la Grande Ile.

Caractéristiques générales de la zone Mikea

Dans le cadre de la troisième phase de Programme environnemental de Madagascar (PE3), l’un des objectifs de l’assistance de la Banque Mondiale est le renforcement du réseau national d’aires protégées géré par Madagascar National Parks. Pour cela, la Banque Mondiale prévoit d’appuyer la création de six nouvelles aires protégées, dont trois AP terrestres et trois AP marines. L’une de ces trois aires protégées terrestres concerne la forêt Mikea, dans la région du sud-ouest de Madagascar.

Localisation

La zone d’intervention de conservation concerne 15 communes1 réparties entre deux Districts de la Région Sud-Ouest à savoir Morombe et Tuléar II. Pour le District de Morombe, en plus de la commune urbaine de Morombe, sept communes rurales sont concernées en l’occurrence Befandefa, Antongo Vaovao, Ambahikily, Nosy Ambositra, Basibasy, Befandriana Atsimo et Antanimeva. Pour le District de Tuléar II, sept communes rurales sont concernées dont : Manombo Sud, Marofoty, Ankilimalinika, Tsianisiha, Milenaka, Ankililoaka et Analamisampy.
Parmi ces 15 communes, 11 sont à proximité immédiate du Parc National Mikea. Il s’agit des communes rurales de Befandefa, Abahikily, Nosy Ambositra, Basibasy, Befandriana Atsimo et la commune urbaine de Morombe pour le District de Morombe, et des communes de Manombo Sud, Marofoty, Milenake, Ankililoaka et Analamisampy pour le District de Tuléar II. Géographiquement, la zone d’intervention pour la création du PN Mikea est délimitée par le fleuve Mangoky au nord, le rivière Manombo au sud, la RN9 à l’est et le canal de Mozambique à l’ouest.

Population

Ces 15 communes comptent en tout 137 villages avec une population totale estimée à près de 191 697 habitants1 en 2008. Du point de vue ethnographique, la Région Sud-Ouest comprend en principe 5 groupes ethniques dont les Masikoro et les Vezo qui sont les plus nombreux, les Mahafaly, les Atandroy et les Sakalava. Dans la forêt, les Mikea sont des Masikoro Vezo semi nomades.

Populations affectées par le Projet(PAP)

La phase d’identification des PAP a abouti à 62 800 personnes affectées par le projet dans la zone d’intervention du PN Mikea, soit près de 8 517 PAP dont 2 982 PAP majeures, et 5 535 PAP mineures réparties dans les 15 communes énumérées précédemment1.

Les Populations Affectées par le Projet (PAP)

On qualifie généralement de Populations Affectées par le Projet (PAP), « toute personne vivant et dépendant des ressources naturelles au sein des AP et dont la restriction d’accès à ces ressources a un impact, un tant soit peu, sur leurs sources de revenu et leur niveau de vie. »1 . Ainsi, les effets de la restriction d’accès au Parc sur les PAP ne sont pas de la même intensité, et varient selon le cas des PAP. On distingue ici deux catégories de PAP : les PAP majeures et les PAP mineures. Les PAP majeures sont celles qui tirent des ressources naturelles leurs principales sources de revenus. Les PAP mineures sont celles qui utilisent les ressources naturelles des AP d’une manière occasionnelles et dont les bénéfices qu’elles tirent ne constituent pas leurs principales sources de revenus.
Un autre critère de distinction des PAP est une classification de ces PAP selon leur degré de vulnérabilité. On distingue alors deux groupes : les PAP vulnérables et les PAP non vulnérables

Les PAP vulnérables

Cette catégorie de PAP se distingue par une disponibilité du revenu qui est loin de leur suffire. Ces PAP disposent souvent d’un petit lopin de terre pour la production mais doivent recourir à la cueillette et à la chasse dans les limites de l’AP durant les périodes de soudures. Ces PAP sont classifiés dans le groupe de PAP Majeures qui regroupe ainsi les paysans qui survivent avec des petits moyens, les petits commerçants, les mareyeurs, et tout autres petits emploies non suffisant à une auto subsistance.

Les PAP non vulnérables

Ce groupe de PAP est caractérisé par la possession de terrains, le nombre de têtes de zébus, la possession de matériels roulants, de pêche ou agricoles, et l’exercice d’activités permanentes. Ces caractéristiques correspondent aux grands défricheurs qui ont des moyens financiers, ou aux grands producteurs agricoles.

Date d’éligibilité des PAP

La date d’éligibilité en tant que PAP correspond à la date de la publication officielle de l’arrêté n°5567/2007 du 13 Avril 20071, portant protection temporaire du Parc National Mikea. Cependant, la méconnaissance du projet par certains villageois n’a pas permis de finaliser l’identification des PAP. Durant la préparation du PPSE, il a été rappelé aux villageois concernés par le projet de leur droit par rapport à l’AP et des procédures pour les exercer. En conséquence, la nouvelle date d’éligibilité a été fixée à la dernière descente sur terrain pour préparation du PSSE, soit le 22 novembre 2008.

Les Sous Projets Identifiés

Le plan de compensation consiste en la mise en oeuvre de différents sous projets dans la zone Mikea afin de restituer les éventuelles pertes dues à diverse restrictions d’accès à l’AP. L’identification des sous projets de compensation a été par Madagascar National Parks et ce, en concertation avec toutes les catégories d’acteurs dont : les autorités élues (Maires, Quartiers, conseillers communaux), les notables, les communautés locales, les partenaires économiques et environnementaux. Au terme de ce processus, quatre (4) types de sous projets ont été retenus à savoir : l’apiculture, l’aviculture, la culture sèche de manioc ou de maïs.

L’apiculture

Justification du sous projet apiculture

L’apiculture a été identifié comme alternatif à la cueillette de miel dans les forêts. De plus, l’apiculture convient aux conditions bioclimatiques locales et les techniques sont facilement maîtrisables, indépendamment du niveau d’instruction des PAP. Sur le plan économique, le marché du miel est encore un marché assez large et donc on préconise une retombée économique appréciable à court terme.

Itinéraire technique

Sur la base de 3 ruches par ménage, une ruche produit en moyenne 5 litres et il est possible d’avoir trois productions dans l’année. Chaque ménage pourra produire en somme 45 litres de miel par an.
L’apport promoteur du PSSE consistera à fournir les ruches, l’essaim, les équipements de sécurité, la formation des PAP et l’encadrement et le suivi pendant une année. L’apport bénéficiaire des ménages est la mise à disposition du terrain d’implantation, le fonctionnement de la petite ferme ainsi que les éventuelles extensions.

L’aviculture

Justification du sous projet aviculture

L’aviculture a été identifié comme alternatif à la chasse dans les forêts et convenant aux conditions climatiques locales. On considère que l’aviculture est une activité facilement maîtrisable, indépendamment du niveau d’instruction des concernés. De plus, le marché des volailles et des oeufs sont encore assez ouvert à de nouveaux fournisseurs.

Itinéraire technique

Au départ, chaque ménage sera doté de 10 jeunes poulets dont 6 individus, 5 femelles et 1 male, arrivent à l’âge de fécondité. Chaque femelle donne en moyenne 10 poussins après huit mois. Parmi ces 10 poussins, on estime que 6 sont des mâles et 4 des femelles. Le ménage pourra consommer les males en laissant les quelques individus les plus vigoureux afin d’assurer la reproduction avec les femelles.
Le promoteur du PSSE fournira alors les jeunes poulets, leurs alimentation pendant les 4 premiers mois, la semence pour la culture de maïs ou autres plantes servant d’alimentation de base à partir du cinquième mois. Une formation des PAP et l’encadrement et le suivi pendant un an sera aussi assuré par le promoteur. Chaque ménage devra fournir le terrain d’implantation de l’élevage de poulets et aménager les infrastructures nécessaires. Chaque ménage devra aussi assurer le fonctionnement de sa petite ferme ainsi que son éventuelle extension.

La culture sèche de maïs et de manioc

Justification du sous projet culture sèche

La culture sèche de manioc a été identifié comme alternatif à la cueillette des tubercules sauvages dans les forêts. La culture sèche de maïs est un alternatif au défrichement des forêts pour la culture de subsistance ou pour la culture marchande. Pareillement aux autres sous projets, la culture sèche est une technique facilement maîtrisable, indépendamment du niveau d’instructions des PAP cibles. Et le marché pour ces deux types de culture est encore assez large.

Itinéraire technique

La culture sèche de manioc a été planifiée sur 10 ares par ménages pour un rendement estimé à 9 tonnes à l’hectare, pour un cycle avoisinant une année. L’apport du promoteur consiste à doter les PAP de petits outillages agricoles, de semences nécessaires à la première campagne. Une formation adéquate au sous projet ainsi que l’encadrement et le suivi pendant un an sera aussi assuré par le promoteur, par l’intermédiaire de ses prestataires. De leur côté, chaque ménage devra disposer du terrain adéquat pour la mise en oeuvre du sous projet. Le labour, le sarclage ainsi que l’apport en engrais organique seront aussi à la charge des PAP.

Présentation de la zone d’étude : Commune Rurale de Manombo Sud

Localisation

La localité de Manombo Sud ou « Manombo Andriake »1 est une des 15 communes qui délimitent le Parc National Mikea. Manombo Sud s’étend sur le littoral nord de la Région du Sud-Ouest, délimité au nord par le village d’Andravona et au sud par le village de Madiorano qui plus est se situe à 35 km au nord de la ville de Tuléar. Le chef-lieu de la commune de Manombo se trouve à 47 km sur le littoral au Nord-Ouest de la ville de Tuléar. Ladite commune s’étend sur 105 km de longueur pour une superficie de 500 Km². (Plan Communal de Développement de la Commune Rurale de Manombo Sud, 2006)
La commune de Manombo Sud est limité au nord par la commune rurale de Befandefa, à l’est par les communes rurales de Marofoty, Ankilimalinike et Milenake, au sud par la commune rurale de Belalanda, et à l’ouest par le canal de Mozambique.

Activités antérieures à la mise en oeuvre du projet

Etat des lieux de l’élevage

L’état des lieux dans la commune de Manombo Sud a fait ressortir le constat selon lequel, en général, il n’y a pas de véritable éleveur dans la commune. Ce sont en particulier les Masikoro qui pratiquent l’élevage dont les produits sont destinés à la vente ou le plus souvent aux us et coutumes traditionnels. L’élevage concerne les bovins, les caprins, les ovins et les volailles. A part les Masikoro, il y a quelques Vezo qui élèvent des porcs qui sont destinés à la vente en dehors de la commune. (Commune Rurale de Manombo Sud, 2006)
A part le non professionnalisme dans ce domaine de l’élevage, on peut aussi y noter l’absence de couloir de vaccination qui laisse place à plusieurs maladies pour les animaux telles que la présence de la maladie de Teschen pour l’élevage porcin, le Besoroke, douves pour l’élevage bovin. A cela s’ajoute aussi l’insécurité à travers le vol de boeufs, la pratique de technique de type traditionnel. Avant le PSSE les activités d’élevage dans les différents sites de mise en oeuvre des sous projets et dans la commune de Manombo Sud en particulier, on peut aussi noter l’absence d’encadrement des éleveurs pour résoudre d’éventuelles complications dans leur activité ou aussi pour améliorer leur production. Une des principales conséquences à ce manque d’encadrement est l’insuffisance ou une mauvaise qualité de nourriture pour les animaux. Et de suite, il en résulte que les animaux sont plus vulnérables aux maladies et sinon de moindre qualité pour la vente sur le marché. Ces animaux se retrouvent ainsi peu valorisés face à la concurrence sur le marché, aussi bien locale que régionale.

Etat des lieux de l’Agriculture

Ce sont surtout les Masikoro, vivant plus à l’intérieur, du côté de la limite du parc national Mikéa, et quelques Vezo se trouvant sur le bord la rivière Manombo qui exercent cette activité agricole. L’agriculture se base sur les cultures vivrières telles que le maïs, le manioc, la patate douce, le pois du Cap, le pois vohème, ainsi quelques cultures minoritaires.
Les agriculteurs de la commune de Manombo Sud pratiquent encore les techniques agricoles traditionnelles marquées par l’utilisation de la bêche comme seul moyen de production. Auparavant, cette zone assurait le ravitaillement de la ville de Tuléar en pois du Cap et en Manioc. Mais actuellement, ce n’est plus le cas à cause de la dégradation complète du canal « Vezo » qui assurait l’irrigation des terres cultivables dans la commune de Manombo Sud. (Plan Communal de Développement de la Commune Rurale de Manombo Sud, 2006)
Du fait de cette dégradation due au manque d’entretien, en dépit de l’existence des Associations des Usagers de l’Eau (AUE), plus de 300 ha de terres cultivées sont actuellement abandonnés. Seule la petite plaine alluviale de la rivière de Manombo constitue des terrains de culture pour la population des environs et les cultivateurs ont été contraints d’abandonner les terroirs agricoles. On peut également noter l’absence de vulgarisation des nouvelles techniques de cultures améliorées, le manque de moyen de production dans différents secteurs tels que technique, financier et matériel. Un autre frein à une meilleure production provient de l’attaque des chiens errants aux cultures de maïs et aussi l’attaque des insectes nuisibles aux cultures.
Sur le marché, on constate aussi l’instabilité des produis, en partie dû à la difficulté d’évacuation des produits du fait du mauvais état de la route mais aussi l’absence de débouchés. En outre, les produits de l’agriculture sont en grande parties destinés à l’autoconsommation ou la vente locale.

Evaluation du revenu des ménages

Bien que les activités d’agriculture et d’élevage sont pratiquées par la plupart de la population de la commune de Manombo Sud, les différents états de ces deux secteurs montrent que les produits issus de ces activités sont assez restreints tant en quantité qu’en qualité. Ce qui justifie le fait que pour combler ce niveau de production limité, la population puise la plus grande partie de leurs ressources dans les limites du futur parc national, la forêt Mikea. (Plan Communal de Développement de la Commune Rurale de Manombo Sud, 2006)
En effet, la forêt des Mikea est considérée comme une zone à forte potentialité de chasse et de cueillette, riche de nombreuses ressources telles que ses tubercules sauvages, son miel et divers animaux sauvages dont les plus prisés sont les hérissons, les lémuriens et les sangliers.
Il a été estimé qu’un ménage va chasser dans la forêt à une fréquence d’une fois par semaine. Suite à la mise en place des différentes restrictions au Parc National Mikea, la perte par ménage est estimée à 36 Kg1 de viande par an et par ménage.

Enjeux du PSSE Mikea

Le PSSE est un plan de compensation intégré dans le processus de création d’une aire protégée comme le Parc National Mikea. Le PSSE a donc un double enjeu qui est de servir la création de l’AP en question et en même temps de compenser les pertes au niveau des PAP.

Au niveau de l’Aire Protégée

En général, les zones qui font l’objet de la création d’AP rassemblent plusieurs types d’habitats écologiquement importants, que ce soit au niveau terrestre ou aquatique. Ce qui est le cas de la forêt Mikea dont les richesses naturelles importantes justifient bien les efforts nationaux de conservation à son encontre. Ainsi, la mise en place du Parc National Mikea représente une avancée majeure pour la protection de la grande diversité d’habitats uniques et de nombreuses espèces localement endémique qui sont d’une importance significative pour la conservation de la biodiversité à l’échelle nationale et mondiale.
Ainsi, le principal enjeu du PSSE dans le cadre de la mise en place du Parc National Mikea est la conservation de la biodiversité à travers l’utilisation durable des ressources naturelles et la conservation du patrimoine culturel. Le PSSE contribue à limiter au maximum les pressions et les menaces à la conservation de la forêt Mikea.
Une pression est l’action humaine à la base de l’impact, qui pourrait être active ou historique. Elle est active si l’activité humaine destructrice continue jusqu’à présent. Elle est historique si l’activité a cessé, mais ses impacts négatifs persistent. (Madagascar National Parks, 2010). Par contre, une menace est l’effet combiné d’une pression et son impact. A remarquer que seules les pressions actives sont à gérer. Pour les pressions inactives, ce sont les impacts qui seront gérés.

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE I – PSSE : CADRE ET PRINCIPES
I. Mise en Contexte du projet
1.1. Cadre général du Plan de Sauvegarde Sociale et Environnementale
1.2. Justification de l’élaboration du PSSE Mikea
1.3. Cadre institutionnel du PSSE Mikea
1.4. Cadre législatif du PSSE Mikea
II. Grandes lignes du PSSE Mikea
2.1. Caractéristiques générales de la zone Mikéa
2.2. Les Populations Affectées par le Projet (PAP)
2.3. Les Sous Projets Identifiés
III. Présentation de la zone d’étude : Commune Rurale de Manombo Sud
3.1. Localisation
3.2. Population
3.3. Populations Affectées par le Projet de Manombo Sud
PARTIE II – MISE EN OEUVRE DU PSSE MIKEA : QUEL BILAN ?
I. Situation Initiale d’avant projet
1.1. Activités antérieures à la mise en oeuvre du projet
1.2. Evaluation du revenu des ménages
II. Enjeux du PSSE Mikea
2.1. Au niveau de l’Aire Protégée
2.2. Au niveau des Populations Affectées par le Projet
2.3. Compatibilité théorique du PSSE
III. La mise en oeuvre du sous projet aviculture dans la commune de Manombo Sud
3.1. Contexte générale
3.2. Organisation Générale pour la mise en oeuvre du sous projet
3.3. Les différentes étapes mises en oeuvre
IV. Evaluation des impacts socio économique du Projet
4.1. Référence théorique de l’approche : La théorie du coût d’opportunité
4.2. Impact social de la mise en oeuvre du PSSE
4.3. Retombées économiques escomptées par la mise en oeuvre du sous projet
V. Impact des aléas dans la mise en oeuvre du sous projet aviculture
5.1. Contraintes et limites de la mise en oeuvre
5.2. Projection d’une situation sans projet
5.3. Recommandations
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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