IMPACT DE L’ALIMENTATION SUR LES PERFORMANCES DE CROISSANCE DU POULET DE CHAIR

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MATIERES PREMIERES UTILISEES EN ALIMENTATION DE LA VOLAILLE AU SENEGAL

CEREALES ET LEURS SOUS PRODUITS

L’alimentation de la volaille et du poulet de chair en particulier est basée sur les céréales, celles qui sont les plus utilisées au Sénégal sont le mais (Zea mays) et le sorgho (Pennisetum sp).

CEREALES

Maïs

Le maïs est une céréale de choix dans l’alimentation des poulets de chair (SMITH, 1992). Ceci s’explique entre autres par la bonne digestibilité de sa matière organique avec une matière azotée digestible (MAD) estimée à 80,75 % et sa valeur énergétique élevée (environ 3432 kcal/kg) (FERRANDO, 1969).

Qualités

Plusieurs études ont été menées pour déterminer la composition chimique du maïs, les résultats diffèrent sensiblement selon la zone de culture.
Bon nombre d’auteurs reconnaissent que le maïs contient peu de celluloses (2,7 % MS) (FERRANDO, 1969), une proportion relativement élevée de matière grasses (4,8 % MS) (FAO, 1993). Par contre le maïs est pauvre en protéines (8 % MS) (SMITH., 1992), presque dépourvu de sodium (0,01 % MS) et de calcium (0,01 % MS) (LARBIER et LECLERCQ, 1992). Le phosphore assimilable dans le maïs récolté au Sénégal est estimé à 0,28 % (tableau VII) (ANSELME, 1987). Le même auteur trouve une teneur en amidon du maïs élevée (72,5 % MS) et celle en sucre faible (2,4 % MS). De plus, cette céréale contient une quantité relativement importante de pigments xanthophylles, d’environ 25 ppm (LARBIER ET LECLERCQ, 1992).
D’une manière générale, le maïs présente une bonne digestibilité. Ceci s’explique par l’absence de tanins, une faible proportion en cellulose, une bonne digestibilité de l’amidon et des protéines. Cela permet de mettre à la disposition des volailles l’énergie contenue dans ses graines.
Le maïs a la valeur énergétique la plus élevée parmi les céréales du fait de sa teneur en matière grasse élevée (LARBIER et LECLERCQ, 1992). L’énergie métabolisable du maïs récolté au Sénégal est estimée à 3350 kcal/kg alors qu’elle est estimée à 3798 kcal /kg pour le maïs récolté en France (ANSELME, 1987).

Sorgho

Selon la FAO (1987), l’Afrique est considérée comme le centre d’origine du sorgho puisqu’on y trouve le plus grand nombre de variétés. Cette céréale est proche du maïs du point de vue phylogénétique, elle lui ressemble aussi par sa composition.

Qualités

Le sorgho a une forte teneur en amidon (70,8 % MS), une proportion non négligeable en matières grasses (environ 3,3 % MS). Il est légèrement plus riche en protéines que le maïs (11,4% MS) (FAO, 1994).
De même, il est presque dépourvu de calcium (0,03 % MS) et la disponibilité de son phosphore est faible (0,06 % MS) (LARBIER ET LECLERCQ, 1992).
Le sorgho a une teneur variable en tanins dont dépend sa digestibilité. Ainsi ces facteurs antinutritionnels n’influencent plus significativement la digestibilité de l’énergie et des protéines chez les volailles, si leur concentration est inférieure à 2,6 g/kg soit 0,26 % (DAHAYNIN, 2007). Le sorgho est riche en énergie métabolisable à cause de sa forte teneur en amidon et son taux relativement élevé en matières grasses (VIAS, 1995). Le taux protéique du sorgho est supérieur à celui du maïs (% MS) (SMITH, 1992).
La plupart des auteurs s’accordent à dire que les sorghos pauvres en tanins sont bien utilisés par les volailles. La valeur nutritionnelle est voisine de celle du maïs et peut convenir pour un aliment complet dans lequel on incorporerait une seule et unique céréale comme source d’énergie (DEHAYNIN, 2007).

Défauts

Une des caractéristiques du sorgho est sa teneur en tanins qui sont des polyphénols. Les tanins sont de véritables facteurs antinutritionnels. Chez les volailles en général et les poulets de chair en particulier, ils réduisent la consommation alimentaire (ROSTANGO et al., cité par GUATIERI et RAPACCINI, 1990), la digestibilité et la rétention azotée (STEPHENSON, 1972). Dans la portion gastro-intestinale, les tanins précipitent les protéines du sorgho et les enzymes digestives. HULSE et al. cité par IBRAHIM et al. (1988) montrent que les tanins inhibent l’activité des enzymes notamment les amylases et probablement les lipases et les protéases. Ces effets antinutritionnels se manifestent surtout avec les variétés américaines riches en tanins (teneur en tanins supérieure à 1%) appelées variétés « résistantes aux oiseaux ». Les sorghos dits pauvres en tanins que l’on rencontre en Afrique (tableau VIII) ne présentent guère ces inconvénients majeurs (ANSELME, 1992).

SOUS-PRODUITS DES CEREALES

Les sons sont les principaux résidus de céréales utilisés en alimentation de volailles. Les plus utilisés sont les sons de maïs, de riz, de blé et mil. Les sons de riz et de blé sont riches en cellulose et ont de ce fait un intérêt limité en aviculture. Ces deux céréales permettent l’obtention de farine basse. La farine basse de blé est riche en énergie et peut être valorisée en aviculture alors que celle de riz a une teneur en lipide excessive qui constitue une limite à son incorporation en alimentation aviaire. Les sons de maïs et de mil sont utilisés en aviculture traditionnelle où ils constituent la base de l’alimentation des volailles. Les drêches de brasseries sont des résidus issus du brassage du malt, elles sont riches en protéines équilibrées et peuvent être incorporées dans la ration après séchage.

SOURCES DE PROTEINES

Au Sénégal, les principales matières premières riches en protéines qui sont incorporées dans les aliments volailles sont les tourteaux d’arachide et les farines de poisson

TOURTEAUX

Le tourteau d’arachide est la principale source de protéines d’origine végétale au Sénégal, elle peut être riche en aflatoxine. Alors qu’ITAVI (1980) recommande de ne pas l’employer à plus de 5 % dans les rations, il est incorporé à plus de 20 % dans l’aliment volaille au Sénégal (SENEGAL.ME/ CNA, 2007) où il est détoxiqué à l’aide de l’ammoniac. Il permet d’obtenir de bonnes performances lorsqu’il est supplémenté dans la ration en lysine, méthionine et tryptophane.
Les tourteaux de coton et de soja peuvent être également utilisés. Le tourteau de coton contient le gossypol qui est un facteur limitant à son incorporation du fait de la sensibilité des jeunes volailles à ce pigment. L’incorporation de sulfate ferreux à raison de 1-2 parts de fer pour 1 part de gossypol réduit la toxicité de ce pigment. Le tourteau de soja est sans doute l’un des meilleurs en alimentation de volailles du fait de sa richesse en acide aminés indispensables. Sa limite demeure son accessibilité sur le marché, car il est produit essentiellement en Amérique.

AUTRES SOURCES DE PROTEINES

Farine de poisson

La protéine de poisson présente l’avantage d’être très bien équilibrée en acides aminés, et d’être riche en lysine et méthionine en particulier. Mais celle-ci est de plus en plus sujette à un coût élevé et une faible disponibilité sur le marché local, elle est utilisée avec le tourteau d’arachide. Il faut cependant veiller à son taux d’incorporation en aliment finition car si sa teneur est très importante elle communique son odeur à la viande.

Levures

Elles sont incorporables dans des rations pour volailles à des taux allant de 2 à 4
% (FERRANDO, 1969), voire jusqu’à 10 % pour les poules pondeuses. Les levures sont des sources de protéines de très bonne qualité (riches en lysine tryptophane thréonine et vitamines de groupe B). Le facteur limitant est leur prix qui est toujours élevé.

AUTRES MATIERES PREMIERES UTILISABLES AU SENEGAL

Le manioc (Manihot esculenta), comme le niébé (Vigna sinensis) sont des produits très rarement utilisés en alimentation animale, malgré leur richesse en énergie (KA, 1997).

MANIOC

D’une manière générale, le manioc reste une culture de subsistance, surtout en Afrique. Cependant, dans certaines régions, le manioc peut être beaucoup plus productif que le maïs ; il apparaît alors comme une importante source énergétique malgré ses inconvénients nutritionnels liés à la présence de composés cyanhydriques, à certains problèmes de conservations et à des teneurs variables en fibres et en cendres (GUERIN et al., 1990). Le manioc a une faible teneur en protéines qui peut être corrigé par le rationnement (GUERIN et al., 1990). L’amidon du manioc est très digestible chez l’oiseau (97%) (LARBIER et LECLERCQ, 1992).
L’hydrolyse des composés cyanhydriques libère de l’acide cyanhydrique. Si celui-ci n’est pas abondant il peut être détruit par des réactions enzymatiques consommatrices de méthionine. Il y a donc lieu de veiller à accroître l’apport de méthionine lorsque les animaux consomment du manioc de variétés amères plus riches en produits cyanogènes. Signalons aussi que le développement de variétés douces diminue ce problème de toxicité. De même, le séchage à l’air, la cuisson ou l’usinage du manioc à température élevée, contribuent à la disparition des produits toxiques (KA, 1997).
LARBIER et LECLERCQ (1992), distinguent deux catégories de manioc : les pellets de manioc ou manioc granulés et les racines de manioc. leur composition est très voisine, le principal facteur de variation est la présence de terre, qui se traduit par des différences de teneurs en cendres insolubles dans l’acide chlorhydrique ; les granulés renferment en général 3% d’insoluble chlorhydrique de plus que le manioc en racine. Les valeurs extrêmes vont de 0,1 à 3% de la matière sèche.
Le séchage des cossettes au sol peut favoriser le développement de moisissures telles qu’Aspergillus niger produisant des aflatoxines dont les effets sont bien connus.
Selon YO (1988), l’incorporation de la farine de manioc à des taux de 10 à 30 % dans la ration du poulet de chair n’affecte ni le poids final ni le gain de poids des animaux. Cependant, un taux de manioc supérieur à 10% semble entraîner une augmentation de l’indice de consommation donc une diminution de l’efficience nutritive de l’aliment.

NIEBE

Les graines de niébé sont trop coûteuses, mais elles peuvent être utilisées dans une certaine mesure pour la volaille. Quoi qu’il n’y ait aucune preuve de toxicité, le gain de poids diminue en général quand la proportion de grains crus augmente dans la ration, et ceci peut être évité en passant les graines à l’autoclave à 121°C pendant 15 minutes avant de les donner aux animaux (FAO, 1993). Selon certains auteurs cités par PUGLIESE (1989), le niébé renferme dans sa graine un certain nombre de facteurs antinutritionnels dont un inhibiteur trypsique qui serait totalement détruit par la chaleur à 121°C durant 10 à 30 minutes. Ce traitement n’améliore pas la digestibilité des nutriments et l’utilisation protéique. L’autoclavage, contrairement à la germination fait passer l’EM de la graine brute utilisée dans l’alimentation des volailles de 2490 kcal/kg à 3290 kcal/kg. La graine de niébé peut être utilisée comme source de protéines pour la volaille à condition de ne pas dépasser 15% de taux d’incorporation à cause de la présence de substances antinutritionnelles dont la lypoxygénase qui est un facteur antitrypsique (ANSELME, 1987).

IMPACT DE L’ALIMENTATION SUR LES PERFORMANCES DE CROISSANCE DU POULET DE CHAIR

IMPACT DE LA PRESENTATION DE L’ALIMENT

PRESENTATION EN GRANULES

Le poulet présente une croissance plus rapide et un meilleur indice de consommation lorsqu’il reçoit un aliment présenté en miettes au démarrage et ensuite en granulés (3,5 à 5 mm). Toutefois, cette amélioration de performances s’atténue à mesure que la teneur énergétique des aliments s’élève ; elle n’est pas perceptible au-delà de 3300 kcals EM/kg (INRA, 1979). La mortalité des poulets de chair mâles par “mort subite ” (PROUDFOOT et HULAN, 1989) ou par “ ascite ” (NIR et al., 1995) semble être favorisée par la granulation du régime. Dans la pratique, une augmentation de ce type de mortalité doit être prise en compte dans la définition d’une norme de granulation.

PRESENTATION FARINE

L’aliment présenté sous forme de farine durant toute la conduite d’élevage révèle une dégradation de l’indice de consommation et une sous consommation alimentaire même si il a une teneur énergétique élevée (ITAVI, 1980). L’introduction de 50 % de granulés dans le régime farine fait augmenter la consommation et l’efficacité alimentaire, réduit la taille du gésier et le temps passé à manger. Au-delà, l’augmentation de la dureté des particules tend plutôt à diminuer l’ingéré sans améliorer la productivité (INRA, 2000).

LES CEREALES ENTIERES

L’utilisation des céréales entières distribuées avec un aliment complémentaire dans l’alimentation du poulet de chair présente un regain d’intérêt avec les succès rencontrés dans certains élevages d’Europe du nord. Le poulet digère aussi bien les céréales entières que broyées. Il est capable de s’adapter rapidement à un régime comportant une céréale entière, en modifiant son comportement alimentaire (INRA, 2000). La présentation physique et la composition de l’aliment complémentaire affectent la proportion de céréales consommée. Les céréales entières induisent un développement du gésier, dont les effets sur la digestion et la prévention de la coccidiose méritent d’être approfondis.

IMPACT DE LA TENEUR EN MATIERE AZOTEE

L’équilibre protéique de l’aliment coûte cher et est l’un des principaux déterminants du résultat technique. Chez le poulet de chair, la teneur en acides aminés essentiels et non essentiels est fondamental pour obtenir de bonnes performances zootechniques.

LYSINE

Les acides aminés souffrés sont les acides aminés limitants en élevage aviaire. La supplémentation en lysine permet de potentialiser le développement des carcasses en élevage chair. SI et al. (2001) ont montré qu’avec des poulets Cobb 500, la croissance et l’indice de consommation étaient améliorés avec 1,3% de lysine totale dans l’aliment pour la période 0-21 jours et 1,10% de lysine pour la période 21-42 jours alors que LABADAN et al. (2001) ont obtenu un optimum de croissance et de rendement en filet sur des poulets hybrides Ross x Avian en utilisant 0,2% de lysine en plus dans la période 0-14 jours.

Impact sur la consommation alimentaire

La lysine dans l’aliment permet de maximiser la croissance jusqu’à un seuil au déla duquel elle est sans effet. Par contre, une carence en cet acide aminé se répercute négativement sur la consommation. Plusieurs auteurs affirment que l’ingestion maximale est atteinte pour un niveau de lysine identique à celui observé pour maximiser le gain de poids .

Impact sur le gain de poids

Un apport excessif en lysine par rapport au besoin n’affecte pas les performances zootechniques des poulets. A contrario, une carence en lysine se traduit par une diminution sévère de la croissance. L’augmentation de la quantité de lysine ingérée s’accompagne d’un accroissement du gain de poids et ce quel que soit l’âge des animaux (KIDD et FANCHER, 2001).

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : DIGESTION ET BESOINS ALIMENTAIRES DU POULET DE CHAIR
1.1. HISTO-ANATOMIE DE L’APPAREIL DIGESTIF DU POULET DE CHAIR
1.1.1. BUCCO PHARYNX
1.1.2. ŒSOPHAGE
1.1.3. ESTOMAC
1.1.4. INTESTIN GRELE
1.1.5. CAECA
1.1.6. COLON
1.1.7. CLOAQUE
1.1.8. FOIE
1.1.9. PANCREAS
1.1.10. RATE
1.2. BESOINS DU POULET DE CHAIR
1.2.1. ENERGIE
1.2.2. PROTEINES-ACIDES AMINES
1.2.3. VITAMINES, MINERAUX ET OLIGO-ELEMENTS
1.2.4. CELLULOSE
1.2.5. EAU
1.2.6. MATIERES GRASSES
CHAPITRE II: MATIERES PREMIERES UTILISEES EN ALIMENTATION DE LA VOLAILLE AU SENEGAL
2.1. CEREALES ET LEURS SOUS PRODUITS
2.1.1. CEREALES
2.1.1.1. Maïs
2.1.1.1.1. Qualités
2.1.1.1.2. Défauts
2.1.1.2. Sorgho
2.1.1.2.1. Qualités
2.1.1.2.2. Défauts
2.1.1.3. Mil
2.1.1.3.1. Qualités
2.1.1.3.2. Défauts
2.1.2. SOUS-PRODUITS DES CEREALES
2.2. SOURCES DE PROTEINES
2.2.1. TOURTEAUX
2.2.2. AUTRES SOURCES DE PROTEINES
2.2.2.1. Farine de poisson
2.2.2.2. Levures
2.3. AUTRES MATIERES PREMIERES UTILISABLES AU SENEGAL
2.3.1. MANIOC
2.3.2. NIEBE
CHAPITRE III: IMPACT DE L’ALIMENTATION SUR LES PERFORMANCES DE CROISSANCE DU POULET DE CHAIR
3.1. IMPACT DE LA PRESENTATION DE L’ALIMENT
3.1.1. PRESENTATION EN GRANULES
3.1.2. PRESENTATION FARINE
3.1.3. LES CEREALES ENTIERES
3.2. IMPACT DE LA TENEUR EN MATIERE AZOTEE
3.2.1. LYSINE
3.2.1.1. Impact sur la consommation alimentaire
3.2.1.2. Impact sur le gain de poids
3.2.1.3. Impact sur l’indice de consommation
3.2.1.4. Impact sur les caractéristiques de carcasse
3.2.2. THREONINE
3.2.2.1. Impact sur les besoins d’entretien et la croissance
3.2.2.2. Impact sur l’efficacité alimentaire
3.2.2.3. Impact sur les caractéristiques de carcasse
3.2.3. IMPACT DES AUTRES ACIDES AMINES ESSENTIELS
3.2.4. IMPACT DU TAUX DE PROTEINES
3.3. IMPACT DE LA TENEUR EN ENERGIE
DEUXIEME PARTIE: ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
1.1. SITE ET PERIODE DE TRAVAIL
1.2. MATERIELS
1.2.1. CHEPTEL EXPERIMENTAL
1.2.2. MATERIEL D’ELEVAGE ET DE CONTROLE DES PERFORMANCES
1.2.3. MATERIEL DE LABORATOIRE
1.2.3.1. Appareillage
1.2.3.2. Réactifs
1.2.4 ALIMENTS UTILISES
1.3. METHODES
1.3.1. CONDUITE D’ELEVAGE
1.3.1.1. Préparation de la salle d’élevage
1.3.1.2. Arrivée des poussins
1.3.1.3. Alimentation des animaux
1.3.1.4. Occupation du poulailler
1.3.1.5. Eclairage des animaux
1.3.2. COLLECTE DES DONNEES
1.3.2.1. Consommation alimentaire et paramètres d’ambiance
1.3.2.2. Poids des animaux
1.3.2.3. Mortalités
1.3.2.4. Poids des carcasses
1.3.2.5. Consommation alimentaire individuelle
1.3.3. CALCUL DES VARIABLES ZOOTECHNIQUES
1.3.3.1. Gain moyen quotidien
1.3.3.2. Indice de consommation
1.3.3.3. Rendement carcasse
1.3.3.4. Taux de mortalité
1.3.4. ANALYSE CHIMIQUE DES ALIMENTS
1.3.5. ANALYSE STATISTIQUE DES DONNEES
CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSION
2.1. COMPOSITION CHIMIQUE DES ALIMENTS
2.2. PERFORMANCES DE CROISSANCE
2.2.1. POIDS VIF
2.2.2. GAIN MOYEN QUOTIDIEN
2.3. CONSOMMATION ET EFFICACITE ALIMENTAIRE
2.3.1. CONSOMMATION ALIMENTAIRE
2.3.2. INDICE DE CONSOMMATION
2.4. CARACTERISITIQUES DE CARCASSES
2.5. MORTALITES
2.6. ETUDE ECONOMIQUE
2.7. RECOMMANDATIONS
2.7.1. RECOMMANDATIONS EN DIRECTION DES ELEVEURS
2.7.2. RECOMMANDATIONS EN DIRECTION DES FABRIQUES D’ALIMENTS
2.7.3. RECOMMANDATIONS EN DIRECTION DE L’ETAT
CONCLUSION GENERALE

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