Impact de la méditation sur les troubles du vieillissement normal

GENERALITES SUR LA MEDITATION MINDFULNESS ET LE VIEILLISSEMENT PHYSIOLOGIQUE

La méditation mindfulness (MM) et le vieillissement normal sont les deux grandes notions fondamentales de ce travail de recherche, ainsi il en convient d’en définir les concepts.
Dans un premier temps, nous approfondirons sur les notions clés des pratiques méditatives. Issues du monde oriental, elles ont su trouver leur place en occident que récemment ; essentiellement avec la démocratisation de la méditation mindfulness à la fin des années soixante-dix. Afin de comprendre les fondements de la méditation mindfulness, nous examinerons les différents courants asiatiques qui en sont à l’origine. Cela nous permettra ainsi de définir la méditation mindfulness, gage de bienfaits pour l’organisme. Enfin, nous décrirons les étapes clés qui ont permis à cette pratique de s’imposer dans le monde médical actuel ; notamment avec l’élaboration de thérapies méditatives.
Dans un second temps, nous mettrons en avant l’enjeu, économique et sociétal, actuel du vieillissement de la population mondial. Cette modification démographique suscite l’intérêt du monde médical, dans le but de trouver des moyens limitant la dégradation de la santé au cours de notre vieillisse. Ainsi, nous décrirons les recherches actuelles portant sur l’effet du vieillissement physiologique sur notre organisme. Il sera important d’introduire les notions de « vieillissement en bonne santé », « vieillissement normal » et « vieillissement pathologique ».
Effectivement, au cours de cette thèse, nous nous intéresserons particulièrement aux troubles rencontrées dans le cadre d’un vieillissement normal. Ces troubles dites « troubles liés à l’âge » sont physiologiques et impact le vieillissement en bonne santé. Enfin, nous examinerons les facteurs de vie contribuant à un vieillissement en meilleure santé.

Méditation : D’une pratique spirituelle à son application en thérapeutique

La méditation, une tradition spirituelle introduite en occident

La méditation existe depuis plusieurs millénaires. Cette coutume a traversé les siècles au travers d’origines diverses aussi bien orientales qu’occidentales. Le terme de méditation, regroupe plus de 84 000 pratiques très différentes (1). Ainsi, nous ne pouvons pas parler de méditation au singulier mais de « techniques méditatives » (2).
Chaque technique méditative à une histoire et des aspirations qui lui est propre, cependant elles participent toutes, de manière générale, à une recherche de la transformation de l’Homme et la levée de sa souffrance pour un « soi meilleur » (2). Ceci passe par différents objectifs fixés au sein de chaque pratique.
Les pratiques méditatives philosophiques d’orient ont pour aspiration d’atteindre l’éveil et la clairvoyance de l’esprit ; quant aux pratiques méditatives religieuses d’occident, il s’agit d’unéveil spirituel pour renforcer les liens avec les divinités (3).

Les origines de la méditation Bouddhiste en Orient

A la fois philosophique et religieuse, il existe de nombreuses formes de méditation selon les pays, nous retenons trois courants différents : Theravada, Mahayana et Vajrayana. Chacun de ces courants est formé des deux mêmes piliers : le Samatha (attention focalisée) et le Vipassana (surveillance ouverte).

La méditation Samatha – attention focalisée

Le premier pilier de la méditation bouddhiste est le Samatha. Cela signifie en sanskrit, indien antique, être parfaitement (« sam »), posé (« dhi ») et dans le centre (« a ») que l’on pourrait traduire par un calme mental, être paisible ou tranquille (4).
Lors de la pratique, le méditant doit trouver un endroit calme et se tenir en position assise détendue. Il est invité à focaliser son attention sur un objet précis, comme par exemple sa respiration, la couleur d’un objet, une flamme…et stabiliser progressivement celle-ci sans se laisser distraire. Si le méditant a détourné son attention, il doit chercher à détacher celle-ci de l’objet de la distraction et la ramener vers la cible d’attention initialement définie. Nous parlons d’attention focalisée : porter volontairement et soutenir son attention sur un seul objet choisi (5).
Au cours de la vulgarisation de la pratique, Matthieu Ricard, Docteur et moine tibétain Français, définit la pratique du Samatha comme la pratique de la voile. Il faut maintenir son cap indépendamment des fluctuations du vent et des vagues. Au cours d’une pratique régulière,cette aptitude de surveillance focalisée permet de basculer vers le deuxième pilier de la méditation, le Vipassana.

La méditation Vipassana – surveillance ouverte

Le Vipassana correspond au second pilier de la tradition méditative bouddhiste. Ce mot vient du pali, dialecte indien, signifiant (« vu profonde »), (« inspection ») ou encore (« connaissance ») (6).
Pour un méditant débutant, lors des premières séances, cette pratique s’apparente aux techniques d’attention focalisée ; cependant plus le méditant deviendra confirmé plus il pourra stabiliser son esprit sans attachement particulier (2). Nous parlons ainsi de surveillance ouverte.
Afin d’atteindre cet accès à la concentration où les pensées, émotions et sensations ne représentent qu’un bruit de fond, il faudra prendre conscience de sa respiration dans sa globalité et non dans le détail (3). L’enjeu est d’avoir à chaque instant une prise de conscience de nos pensées sans se fixer sur l’une d’entre elles. Elle peut être comparée à la pratique du surf, où le méditant glisse sur les vagues, en épousant leurs mouvements spontanés (2). Cette pratique développe une clairvoyance de l’esprit pour atteindre l’éveil (7).

Les autres origines de la méditation en orient

Les techniques de méditation Hindoues, telles que la méditation transcendantale (MT) et le yoga, sont issues d’un mouvement à la fois philosophique, moral, théologique et scientifique.
La méditation transcendantale utilise les mantras (sons sans signification particulière répétés par le méditant) pour soutenir l’esprit, évitant ainsi le vagabondage de la pensée. Au fur et à mesure de la méditation, le mantra semblera de plus en plus abstrait et disparaîtra pour laisser place à un état de conscience. Avec plus de 5 millions de pratiquant dans le monde la méditation transcendantale fait aujourd’hui l’objet de nombreuses recherches scientifiques (8).
Le Yoga signifie « union », en effet la pratique du Yoga est particulièrement reconnue pour ses exercices d’union corps-esprit et son exigence sur deux règles de conduites principales : la maîtrise de la posture (corps) et la concentration sur la respiration (esprit). Elle se caractérise par des exercices de méditation couplés à des séries de dynamisation et d’équilibre du corps (8).
Le tao qi est est la pratique méditative associée au taoïsme, courant philosophique et religieux (4). Tao signifie « voie, chemin, direction » et qi représente « l’énergie interne ». Ainsi le tao qi symbolise le travail sur l’amélioration de circulation de son énergie interne, renforçant ainsi la santé et la longévité par la circulation du qi, notre souffle interne (4). Cela passera par desexercices divers et variés souvent avec des mouvement doux et répétés.

La méditation mindfulness en occident

Depuis le XX ème siècle et notamment en occident, une méditation désuète de toutes pratiques spirituelles mais axée sur le développement personnel et le bien-être se développe (8). Inspirée du Vipassana Bouddhiste, la méditation de pleine conscience est une technique de surveillance ouverte désuète de toute consonance spirituelle (1).
La méditation mindfulness consiste en une concentration volontaire et non passive de l’esprit.
Le méditant est invité à entrer dans un temps de silence, assis, les yeux fermés. Il cherchera à observer et accepter l’ensemble des stimulations internes (au niveau corporel, mental, sensoriel…) et externes (bruits, odeurs…) avec un détachement, sans jugement de sa part. Cela renforcera l’aptitude de notre esprit à ne pas se laisser influencer par les stimuli diverses pour atteindre un apaisement de l’esprit (9). La pratique de la méditation doit relever d’entraînements réguliers afin de développer « notre calme intérieur ».

Les premières thérapies méditatives

A la suite de l’arrivée en occident de la méditation mindfulness, les travaux se sont multipliés avec notamment les études conduites par Jon Kabat-Zinn, professeur émérite de médecine et chercheur en neurologie. Le professeur et son équipe ont cherché à évaluer l’impact de la méditation de pleine conscience sur le stress et de la douleur. Leur étude était basée sur l’analyse de 51 patients souffrant de douleur chronique malgré des soins médicaux traditionnels depuis plusieurs années. À dix semaines, 65 % des patients présentaient une réduction d’au moins 33 % de leur douleur (selon le test Mc Gill Pain Questionnaire). Dans le cadre d’une maladie chronique, la non-acceptation de la maladie génère du stress et de l’angoisse, pouvant être responsable du non soulagement des douleurs. La méditation mindfulness permettrait de travailler sur l’acceptation de ces maladies par le non-jugement et la dissipation de la focalisation de l’attention sur la douleur (14).
A la suite de cette étude, publiée en 1982, l’équipe de recherche développa une autre étude portant sur quatre-vingt-dix patients souffrant de douleur chronique. L’objectif de cette étude complémentaire était d’élargir, au-delà de l’analyse de la perception de la douleur, à l’impact de la méditation sur le stress, l’anxiété et le syndrome dépressif. Ces patients ont été formé à dix semaines de pratique de pleine conscience, suite auxquelles, des réductions significatives ont été observées dans les mesures de la douleur, de l’image corporelle négative, des troubles de l’humeur et de la symptomatologie psychologique (dont l’anxiété et le syndrome dépressif) (15).
Suite à ces découvertes, le Professeur Jon Kabat-Zinn, développa les premières thérapies méditatives selon le principe de l’acceptation. Il affirme que : « la méditation ne guérit pas lesmaladies mais permet de mieux vivre avec » (16).
L’une de ses thérapies est nommée Mindfulness Based Stress Reduction (MBSR). La création de cette thérapie a participé à la laïcisation de la pratique et à son entrée dans la médecine cognitive ; transformant ainsi le monde scientifique (2). Ce programme est largement reconnu dans plus de 44 pays, nous le retrouvons au sein de plus de 200 hôpitaux et 700 centres médicaux dans le monde (16).

Collaboration entre le Dalaï Lama et la sphère médicale

Après ces premiers engouements autour de la méditation, les études et recherches s’amplifient au cours des années 80 ; encouragées notamment par le Dalaï Lama. C’est ainsi qu’une collaboration étroite entre le monde médical occidental et le monde bouddhiste s’est établiedans le but d’enrichir les connaissances autour des neurosciences contemplatives.
En 2000, le Dalaï Lama et des scientifiques ont entrepris la construction du Mind and Life Institute (MLI) aux Etats-Unis. Cet institut est dédié à l’étude de ces nouvelles sciences contemplatives et a pour objectif de proposer un dialogue ouvert entre les scientifiques et les moines adeptes de la méditation mindfulness. Cela a permis la mise en place d’études scientifiques plus poussées (3).
En 2005, lors du congrès annuel de la « Society for Neuroscience » à Washington, le DalaïLama était invité à prendre la parole pour échanger avec le monde médical sur l’implication de la méditation en sciences cognitives. Il s’agit ici d’un évènement particulièrement marquant démontrant l’importance d’une collaboration étroite entre les chefs spirituels bouddhistes et les scientifiques (17).

La science de la méditation, un engouement actuel

La science de la méditation porte ses fruits et devient un domaine qui passionne les neurosciences. Nous remarquons cet engouement depuis les 30 dernières années par la multiplication des recherches et des articles.
Dans les années 1980 le moteur de recherche PubMed proposait une vingtaine de publications sur la méditation. En 2015, cette plateforme recensait en moyenne 385 études sur la méditation par an. Le Mind and Life Institute (MLI) regroupe maintenant plus de 6000 articles sur le domain (1,18).
En France, la méditation connaît un enthousiasme particulier. Actuellement, nous pouvons recenser 19 programmes de recherche sur la méditation mindfulness dans le pays. Medit’ageing, programme coordonné au sein de l’INSERM de Caen depuis 2016 par G. Chételat, est reconnu comme l’un des programmes de recherche le plus audacieux. Il a pour vocation de démontrer l’effet de la méditation sur le bien-être mental et physique des personnes âgées.
Au-delà des nombreuses articles et recherches initiés dans le pays, nous assistons également à l’augmentation d’une offre thérapeutique basée sur la méditation de pleine conscience. Ces programmes thérapeutiques (Meditation Based Stress Reduction (MBSR) et Meditation Based Cognitive Therapy (MBCT)) ont été introduit aux seins des hôpitaux français en 2004 et sont maintenant proposés dans plus de 30 hôpitaux en France.
La méditation trouve maintenant pleinement sa place au sein de la sphère médicale française car les médecins, en complément de leur spécialité, peuvent suivre un Diplôme Universitaire (DU) en méditation et neuroscience. Ce DU a été créé en 2012 à Strasbourg et, depuis trois ans, il s’est développé au sein de la faculté de Nice, de Toulouse, de Montpellier et de Lyon.

Différentes thérapies méditatives à l’honneur

Mindfulness Based Stress Reduction (MBSR)

Le MBSR est une thérapie méditative, basée sur la pratique de la pleine conscience (méditation mindfulness). Il a été introduit dans le monde médical en 1979 par le Professeur Jon KabatZinn (16). Ce programme préventif et éducatif a pour indication médicale de réduire le stress quotidien, la douleur et l’anxiété. Il s’agit d’un programme de huit semaines, au cours desquelles les patients augmentent leur capacité à répondre de manière efficace au stress, à la douleur et à l’angoisse (19).
Guidée par un spécialise en thérapie MBSR, les patients suivent des séances de méditation de 2 h 30 répartis sur les huits jours de thérapie. Les patients sont invités à exercer les pratiques d’attention focalisé avant de s’exercer à la méditation de pleine conscience (attention ouverte).
Il une heure de pratique supplémentaire à la maison est nécessaire, durant laquelle le participant effectue un exercice de la vie quotidienne en pleine conscience (11).

Mindfulness Based Cognitive Therapy (MBCT)

Le programme de Mindfulness Based Thérapie cognitive (MBTC), a été créé et codifié en 1995 par Zindel Segal et al (9,11).
Basée sur la prévention des rechutes du syndrome dépressif, nous retrouvons une composition similaire au programme de MBSR mais avec des exercices de thérapies cognitives additionnels (description des émotions ressenties lors du quotidien, discussions sur ce rapport aux ruminations automatiques…). L’objectif des thérapies cognitives est de comprendre comment une pensée négative s’installe et quelles émotions elles déclenchent.
L’observation des pensées limite les cycles de rumination négatifs pour mieux tolérer ses pensées et moins se laisser envahir par elles. Le thérapeute aidera à éviter les rechutes avec la valorisation de pensées positives et la prise de conscience des pensées irrationnelles.

Le vieillissement physiologique : Enjeux, définition et conséquences

Vieillissement de la population, un enjeu de santé publique

Depuis les années 2000, nous assistons à une révolution démographie mondiale avec des chiffres alarmant pour les prochaines années. Entre 2015 et 2050, nous attendons un doublement de la proportion des plus de 60 ans dans le monde (12 % avec 900 millions en 2015 et 22 % avec 2 milliards de personnes en 2050) (20).
En France, un rapport de l’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (INSEE) indique qu’en 2070 les plus de 75 ans représenteront 17,9 % de la population Française contre 9,3 % actuellement (figure 1).

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Table des matières
PREAMBULE 
PARTIE I – GENERALITES SUR LA MEDITATION MINDFULNESS ET LE VIEILLISSEMENT
PHYSIOLOGIQUE 
I- MEDITATION : D’UNE PRATIQUE SPIRITUELLE A SON APPLICATION EN THERAPEUTIQUE
1- La méditation, une tradition spirituelle introduite en occident
A- Les origines de la méditation Bouddhiste en Orient
a- La méditation Samatha – attention focalisée
b- La méditation Vipassana – surveillance ouverte
B- Les autres origines de la méditation en orient
C- La méditation mindfulness en occident
2- La méditation, vers des pratiques à visées thérapeutiques
A- Introduction de la méditation dans la pratique médicale
a- Les premiers pas
b- Les premières thérapies méditatives
B- Collaboration entre le Dalaï Lama et la sphère médicale
C- La science de la méditation, un engouement actuel
D- Différentes thérapies méditatives à l’honneur
a- Mindfulness Based Stress Reduction (MBSR)
b- Mindfulness Based Cognitive Therapy (MBCT)
c- Autres thérapies méditatives
II- LE VIEILLISSEMENT PHYSIOLOGIQUE : ENJEUX, DEFINITION ET CONSEQUENCES
1- Vieillissement de la population, un enjeu de santé publique
2- Définition du vieillissement humain
3- Processus physiologiques du vieillissement humain
4- Troubles associés au vieillissement normal
A- Les troubles cognitifs
a- Affaiblissement des performances de l’attention
b- Affaiblissement des performances de la mémoire à long terme
c- Affaiblissement des performances exécutives
B- Les troubles psycho-affectifs
a- Manifestation de l’altération émotionnelle
b- Manifestation de l’anxiété et du stress chronique
c- Manifestation des troubles dépressifs gériatriques
5- Facteurs de vie contribuant au « mieux-vieillir »
PARTIE II – MATERIEL ET METHODE 
PARTIE III- IMPACT DE LA MEDITATION SUR LE VIEILLISSEMENT CELLULAIRE 
I- MECANISMES MIS EN JEU PAR LE VIEILLISSEMENT PHYSIOLOGIQUE SUR L’APOPTOSE CELLULAIRE
1- La théorie épigénétique du vieillissement cellulaire
2- L’implication des indicateurs biologiques dans le vieillissement cellulaire
A- Altération des télomères par la réplication
B- Altération des télomères par le stress oxydatif
C- Altération des télomères par une augmentation du stress
II- MECANISMES MIS EN JEU PAR LA MEDITATION MINDFULNESS SUR L’APOPTOSE CELLULAIRE
1- Impact de la médiation sur le stress perçu
2- Modulation de la transcription des gènes engagées dans le stress oxydatif
3- Les découvertes permises par le projet Shamatha
PARTIE IV – IMPACT DE LA MEDITATION SUR LE VIEILLISSEMENT CEREBRAL 
I- MECANISMES MIS EN JEU PAR LE VIEILLISSEMENT PHYSIOLOGIQUE SUR L’ATROPHIE CEREBRALE
1- Diminution de la masse cérébrale liée à l’âge
2- Processus physiologiques induisant l’atrophie cérébrale
3- L’atrophie cérébrale est localisée au sein de zones clés
II- MECANISMES MIS EN JEU PAR LA MEDITATION MINDFULNESS SUR L’ATROPHIE CEREBRALE
1- Plasticité neuronale et synaptique
2- Remaniement des circuits nerveux et neuroplasticité
A- Impact de la méditation sur l’épaisseur corticale
B- Impact de la méditation sur le volume cortical
C- Corrélats neurologiques des bénéfices de la méditation mindfulness
PARTIE V – IMPACT DE LA MEDITATION SUR LES TROUBLES DU VIEILLISSEMENT NORMAL
I- BASE DE RECHERCHE DE L’IMPACT DE LA MEDITATION SUR LES TROUBLES LIES A L’AGE
1- Étude pionnière portant sur une population âgée
2- Étude récente portant sur une population âgée
II- LES TROUBLES DE L’ATTENTION CHEZ LA PERSONNE AGEE
1- Réseaux cérébraux engagés dans l’attention
2- Mécanismes mis en jeu par le vieillissement physiologique sur les troubles de l’attention
A- Diminution du traitement de l’information
B- Réduction de la connectivité du réseau du mode par défaut
C- Dégradation des structures cérébrales engagées dans l’attention
3- Mécanismes mis en jeu par la méditation mindfulness sur les troubles de l’attention
A- Remaniement de la connectivité du réseau par défaut
B- Modification de l’activation cérébrale des zones de l’attention
C- Augmentation de l’épaisseur corticale d’une zone engagée dans l’attention
D- Amélioration du traitement de l’information et de l’attention sélective
III- LES TROUBLES MNESIQUES CHEZ LA PERSONNE AGEE
1- Réseaux cérébraux engagés dans la mémoire à long terme
2- Mécanismes mis en jeu par le vieillissement physiologique sur les troubles mnésiques
A- Hypothèse neurotoxique des atteintes mnésique liées à l’âge
B- Hypothèse épigénétique des atteintes mnésiques liées à l’âge
3- Mécanismes mis en jeu par la méditation mindfulness sur les troubles mnésiques
A- Augmentation de l’épaisseur corticale de l’hippocampe
B- Atténuation des plaintes mnésiques
IV- L’ANXIETE ET LE STRESS CHRONIQUE CHEZ LA PERSONNE AGEE
1- Réseaux cérébraux engagés dans les émotions, l’anxiété et le stress chronique
A- Organisation des voies émotionnelles cérébrales
B- Action du stress aigu sur l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien
C- Conséquences cérébrales induites par le stress chronique
a- Effet au niveau de l’amygdale : Hypertrophie
b- Effet au niveau de l’hippocampe : Hypothrophie
c- Effet au niveau du cortex préfrontal ventromédian : Hypothrophie
2- Mécanismes mis en jeu par le vieillissement physiologique sur le stress chronique
3- Mécanismes mis en jeu par la méditation mindfulness sur l’anxiété et le stress chronique
A – Diminution de l’hypercortisolémie au sein d’une population âgée
B- Régulation des voies émotionnelles
a- Diminution de la densité de la matière grise de l’amygdale
b- Augmentation de l’activation du cortex préfrontal ventrolatéral
V- LE SYNDROME DEPRESSIF GERIATRIQUE
1- Réseaux cérébraux engagés dans le syndrome dépressif
A- Dysfonctionnement du système limbique
B- Dysfonctionnement du cortex insulaire
C- Rôle et implication du cortex insulaire dans les syndromes dépressifs
2- Mécanismes mis en jeu par la méditation mindfulness sur le syndrome dépressif
A- Amélioration des syndromes dépressifs de faible gravité
B- Modulation cérébrale au niveau du cortex insulaire
a- Diminution des pensées ruminatives
b- Augmentation de l’interocéption et de la métacognition
PARTIE VI – DISCUSSION ET PERSPECTIVES DE RECHERCHE 
I- LE VIEILLISSEMENT CELLULAIRE : IMPACT DE LA MEDITATION MINDFULNESS
1- Analyse des résultats
2- Obstacles des articles étudiés, discussion et perspectives de recherche
II- LE VIEILLISSEMENT CEREBRAL : IMPACT DE LA MEDITATION MINDFULNESS
1- Analyse des résultats
2- Obstacles des articles étudiés, discussion et perspectives de recherche
III- LES TROUBLES LIES A L’AGE : IMPACT DE LA MEDITATION MINDFULNESS
1- Analyse des résultats
2- Obstacles des articles étudiés, discussion et perspectives de recherche
IV- LES TROUBLES DE L’ATTENTION : IMPACT DE LA MEDITATION MINDFULNESS
1- Analyse des résultats
2- Obstacles des articles étudiés, discussion et perspectives de recherche
V- LES TROUBLES MNESIQUES : IMPACT DE LA MEDITATION MINDFULNESS
1- Analyse des résultats
2- Obstacles des articles étudiés, discussion et perspectives de recherche
VI- L’ANXIETE ET LE STRESS CHRONIQUE : IMPACT DE LA MEDITATION MINDFULNESS
1- Analyse des résultats
2- Obstacles des articles étudiés, discussion et perspectives de recherche
VII- LE SYNDROME DEPRESSIF GERIATRIQUE : IMPACT DE LA MEDITATION MINDFULNESS
1- Analyse des résultats
2- Obstacles des articles étudiés, discussion et perspectives de recherche
PARTIE VII – LIMITES DE CETTE ETUDE DE RECHERCHE 
BIBLIOGRAPHIE 
ANNEXE 1 : IMPACT DE LA MEDITATION SUR LE VIEILLISSEMENT CELLULAIRE
ANNEXE 2 : IMPACT DE LA MEDITATION SUR LE VIEILLISSEMENT CEREBRAL
ANNEXE 3 : IMPACT DE LA MEDITATION SUR LES TROUBLES LIES A L’AGE
ANNEXE 4 : IMPACT DE LA MEDITATION SUR LES TROUBLES COGNITIFS
ANNEXE 5 : IMPACT DE LA MEDITATION SUR LES TROUBLES PSYCHO-AFFECTIFS

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