IDENTIFICATION DES MATERIAUX DE BASE ET DU MELANGE

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Aperรงu sur la gรฉologie de la presquโ€™ile du Cap-Vert

La presquโ€™รฎle du Cap-Vert, qui constitue la pointe la plus occidentale du bassin sรฉdimentaire du Sรฉnรฉgal, forme un รฉperon bordรฉ par lโ€™ocรฉan Atlantique. Selon un profil W-E, sโ€™y reconnaissent plusieurs rรฉgions naturelles : la tรชte de la presquโ€™รฎle du Cap-Vert (rรฉgion de Dakar) limitรฉe par de petites falaises cรดtiรจres et dominรฉe par les deux collines du dรดme volcanique des Mamelles, dont la plus grande surmontรฉe dโ€™un phare culmine ร  105 m, lโ€™isthme du Cap-Vert (Rufisque, Bargny), dโ€™altitude basse (20 ร  30 m), bordรฉ au Nord par les Niayes, ร  lโ€™Est par le horst de Diass qui forme un relief peu accentuรฉ dโ€™une centaine de mรจtres dโ€™altitude, et qui se prolonge dans le Nord en direction de Kayar, ainsi que la falaise de Thiรจs qui borde le plateau de Thiรจs et qui culmine ร  130-140 m dโ€™altitude.
La morphologie de la presquโ€™รฎle du Cap-Vert se caractรฉrise par la prรฉsence de deux reliefs principaux reliรฉs par une zone dunaire dรฉprimรฉe :
A lโ€™Est, le massif de Ndiass reprรฉsente un compartiment soulevรฉ et limitรฉ par des failles. Ce massif sโ€™รฉlรจve dโ€™Ouest en Est et culmine prรจs de Thiรฉky (108 et 102 m). Au Nord, il sโ€™abaisse entre Gap et Sandock et sโ€™interrompt sur la ligne de la falaise cรดtiรจre.
Au Sud, le horst de Ndiass fait place ร  une dรฉpression appelรฉe graben de Pout. En dehors de la rรฉgion de Dakar qui est dominรฉe par les formations volcaniques du systรจme รฉruptif des Mamelles, la gรฉologie de la presquโ€™รฎle du Cap-Vert est marquรฉe par une sรฉdimentation plus ou moins continue dโ€™รขge Crรฉtacรฉ-Pliocรจne, dont la structure se trouve compliquรฉe par des blocs nettement soulevรฉs et effondrรฉs.

Aperรงu sur la gรฉologie du massif de Ndiass

Le massif de Ndiass est la partie la plus รฉlevรฉe de la presquโ€™รฎle du Cap-Vert aussi bien topographiquement que structuralement. Cโ€™est la zone oรน affleurent les niveaux les plus anciennement connus au Cap-Vert. Ces niveaux sont dโ€™รขge Maastrichtien et seraient ร  dominante grรฉseuse. En profondeur, on trouve gรฉnรฉralement des sables qui se sont grรฉsillรฉs en surface. La conformitรฉ de la structure du horst serait due ร  son cuirassement ferrugineux qui a fossilisรฉ le relief (Elouard, 1966).
Les sรฉries argileuses de Thiรฉky sont connues depuis longtemps. Une briqueterie ร  la sortie de Thiรฉky en allant vers Popenguine les exploitait jusqu’en 1920. Ces argiles ont รฉtรฉ utilisรฉes par la briqueterie de Pout.
Des essais prรฉliminaires ont donnรฉ les rรฉsultats suivants (Trenou, 1963)
-aspect en cru : marron ร  jaune, grasse
-retrait de sรฉchage : 9,5 %
-retrait de cuisson : 3,7 %
-aspect en cuit : rouge clair
-poids d’eau absorbรฉe : 6,45 g
-travaillabilitรฉ : bonne
L’argile de Thiรฉky possรจde une bonne cohรฉsion. Additionnรฉe d’un quart de sable en poids, elle est employรฉe comme dรฉgraissant. Elle possรจde alors un retrait de sรฉchage de 8,5 % alors que le retrait de cuisson reste sensiblement le mรชme, รฉquivalant ร  4 %.

Description et localisation des argiles de Sรฉbikhotane

Cโ€™est une argile grise formant un placage mince, d’extension assez importante en direction du lac Tamna. A Sรฉbikhotane, l’argile apparaรฎt entre la route nationale et la voie ferrรฉe. Elle est utilisรฉe par une petite fabrique artisanale de briques et de poteries. A Gandoul, l’argile de couleur grise a รฉtรฉ abondamment prospectรฉe dans l’optique dโ€™une cimenterie. A premiรจre vue, les rรฉserves sont assez importantes mais leur exploitation pourrait รฉventuellement gรชner l’antenne radio-satellite de Gandoul.
Le gisement de Sรฉbikhotane est constituรฉ par deux couches d’argile : une couche superficielle de couleur gris-bleu et une couche infรฉrieure de couleur jaune.
Les essais prรฉliminaires ont fourni les rรฉsultats suivants (TRENOUX, 1963) :
๏ถ Couche superficielle
โ€ข aspect en cru : gris, noirรขtre, demi-grasse
โ€ข retrait de sรฉchage : 4,5 %
โ€ข retrait de cuisson : 7 %
โ€ข aspect en cuit : rouge brique, orange
โ€ข poids d’eau absorbรฉe : 16,4 g
โ€ข travaillabilitรฉ : trรจs bonne
โ€ข observation : peut se travailler directement
๏ถ Couche infรฉrieure
โ€ข aspect en cru : brun trรจs foncรฉ
โ€ข retrait de sรฉchage : 7 %
โ€ข retrait de cuisson : 1 %
โ€ข aspect en cuit : rouge foncรฉ
โ€ข poids d’eau absorbรฉe : 12 g
โ€ข travaillabilitรฉ : trรจs bonne
โ€ข observation : peut se travailler directement

Identification du mรฉlange

Historique des gรฉopolymรฉres

Pendant vingt-cinq ans, la science des gรฉopolymรฉres nโ€™รฉtait รฉtudiรฉe que dans un nombre restreint de laboratoires ; ce nโ€™est que durant ces dix derniรจres annรฉes que la recherche mondiale sur les gรฉopolymรฉres sโ€™est dรฉveloppรฉe de faรงon significative. Cette nouvelle situation fut prรฉsentรฉe par le Professeur Davidovits dans sa confรฉrence plรฉniรจre sur les gรฉopolymรฉres en 2010.

Dรฉfinition

Le terme gรฉopolymรฉres dรฉsigne des polymรจres minรฉraux synthรฉtiques ร  structure tridimensionnelle de la famille des aluminosilicates. Les gรฉopolymรฉres prรฉsentent une grande rรฉsistance mรฉcanique, au feu, ร  la chaleur en milieu acide.
Les gรฉopolymรฉres sont formรฉs par la rรฉaction dโ€™un aluminosilicate avec une solution alcaline sodique ou potassique et ils sont dรฉfinis comme รฉtant des chaรฎnes ou des rรฉseaux de molรฉcules minรฉrales liรฉs par des structures covalentes dont les charges nรฉgatives sont balancรฉes par les cations alcalins prรฉsents dans la solution.
Selon Davidovits (2010) le fondateur de la gรฉopolymรฉrisation, lโ€™ajout de la solution alcaline sur les silicates dโ€™alumine entraรฎne un processus de polymรฉrisation par liaison des oligomรจres qui aboutit ร  des polymรจres inorganiques similaires aux zรฉolites et pouvant rรฉsister aux conditions climatiques les plus dรฉfavorables. En effet, certains chercheurs leur attribuent le terme de liants alcalins du fait de leur rรฉsistance mais aussi de leur capacitรฉ adhรฉsive.
Les matรฉriaux de bases utilisรฉs pour la synthรจse de ces gรฉopolymรฉres รฉtaient d’abord les mรฉtakaolins, puis ils se sont รฉlargis ร  toutes les sortes de source dโ€™aluminosilicates, que ce soient des sous-produits industriels ou bien des matรฉriaux pouzzolaniques comme les cendres, les laves volcaniquesโ€ฆ.

Structure, processus de formation et domaines dโ€™application

๏ถ La structure dโ€™un gรฉopolymรฉre se prรฉsente sous forme dโ€™un rรฉseau tridimensionnel dโ€™aluminosilicates et de cation alcalin. On distingue une grande variรฉtรฉ de ces gรฉopolymรฉres qui sont constituรฉs par des unitรฉs molรฉculaires diffรฉrentes selon le matรฉriau de dรฉpart.
๏ถ Les rรฉactions chimiques qui mรจnent aux gรฉopolymรฉres suivent tout un processus qui peut รชtre rรฉsumรฉ en trois รฉtapes:
โ€ข Dissolution aprรจs hydrolyse des atomes Si et Al dans la solution alcaline cโ€™est ร  dire rupture des liaisons Si-O-Al
โ€ข Rรฉorientation des ions prรฉcurseurs en solution
โ€ข Polycondensation et polymรฉrisation
๏ถ Les gรฉopolymรฉres sโ€™appliquent dans plusieurs domaines tels que le gรฉnie civil, la mรฉtallurgie, lโ€™art, la dรฉcoration, lโ€™encapsulation des dรฉchets radioactifsโ€ฆ

Mise en ล“uvre des solutions

Lors de notre expรฉrimentation, on a utilisรฉ comme activant de lโ€™hydroxyde de sodium sous forme de grain solide pur ร  98 %.
La raison de notre choix, au-delร  du fait que le sodium est un alcalin, cโ€™est sa disponibilitรฉ sur le marchรฉ, son coรปt faible (500 FCFA/kg) et sa rรฉactivitรฉ. Lโ€™hydroxyde de sodium sous diffรฉrentes masses est mรฉlangรฉ avec de lโ€™eau distillรฉ pour obtenir des solutions de concentration diffรฉrentes.
Pour rรฉaliser cette solution dโ€™hydroxyde de sodium ร  des concentrations variables appelรฉes respectivement :
๏ถ C1 pour la solution de concentration molaire= 4 moles ou 160 g NaOH/ litre de solution.
๏ถ C2 pour la solution de concentration molaire= 8 moles ou 320 g NaOH/ litre de solution.
๏ถ C3 pour la solution de concentration molaire= 12 moles ou 420 g NaOH/ litre de solution
On dรฉtermine la masse dโ€™hydroxyde de sodium dans une quantitรฉ dโ€™eau distillรฉe donnรฉe. Pour ce faire, nous avons utilisรฉ un volume dโ€™eau distillรฉ de 10l pour chaque concentration, ce qui nous a permis d’opรฉrer le calcul suivant : m= C.M.V
Avec m= masse dโ€™hydroxyde de sodium (en grammes) ; C= concentration de NaOH recherchรฉe ; M= masse molaire molรฉculaire de lโ€™hydroxyde de sodium (40 g/mol) et V= volume dโ€™eau (10 litres)
On aura m1= 1600 g, m2= 3200 g et m3= 4800 g
On a constatรฉ une saturation qui se prรฉsente sous forme de plaquette au fond de la bouteille pour les solutions de concentration C2 et C3. Ce qui nous a permis aprรจs coup de recalculer ces deux concentrations en procรฉdant comme suit :
โ€ข Soit P2 le poids de la bouteille vide qui contient la solution de concentration C2 et P3 celui de la solution de concentration C3.
โ€ข Soit P4 le poids total de la bouteille contenant la plaquette de soude non dissoute provenant de la solution de concentration C2 et P6 celui de C3. En effet aprรจs avoir rรฉcupรฉrรฉ le liquide, on pรจse de nouveau la bouteille avec la plaquette de soude, ce qui nous a donc donnรฉ P4 et P6.
โ€ข En faisant les diffรฉrences P4-P2 et P6-P3 on aura respectivement les masses des plaquettes de soude pour les solutions C2 et C3.
โ€ข On fait le rapport entre cette masse et la masse initiale pour dรฉterminer un coefficient quโ€™on affectera ร  la concentration thรฉorique.
โ€ข En faisant la diffรฉrence entre la concentration thรฉorique et cette concentration, on aura une nouvelle concentration.
โ€ข Aprรจs calcul on aura C2 nouvelle= 6,4M et C3 nouvelle= 7,4M
Cependant, la soude quโ€™on a utilisรฉe pour notre expรฉrience peut causer des brรปlures. D’oรน la nรฉcessitรฉ de prendre beaucoup de prรฉcautions lors de sa manipulation, ร  savoir le port des gants, des masques, des lunettes et une blouse. La rรฉaction est trรจs exothermique, c’est pourquoi il importe de mettre la bouteille dans un bassin rempli dโ€™eau pour รฉviter tout rรฉchauffement.

Les essais de laboratoire

Introduction

Les essais de laboratoires sont extrรชmement importants dans la mesure oรน ils permettent une bonne identification des matรฉriaux et leur caractรฉrisation. Les rรฉsultats de ces essais nous permettent de bien รฉvaluer les performances des inserts cรฉramiques.

Analyse granulomรฉtrique (NFP 94-056)

Dรฉfinition et but de l’essai

La granularitรฉ est la rรฉparation en poids des grains d’un matรฉriau suivant leurs dimensions. Lโ€™analyse granulomรฉtrique permet de dรฉfinir la rรฉpartition des grains constitutifs dโ€™un รฉchantillon par classes de tailles. Elle comprend trois รฉtapes principales: l’รฉchantillonnage, le lavage et le tamisage.

Mode opรฉratoire

๏ƒ˜ On prรฉlรจve 500 g ร  300 g de matรฉriau qui sera รฉtuvรฉ pendant 24 h.
๏ƒ˜ On procรจde au tamisage ร  l’aide de la sรฉrie de tamis normalisรฉs (figure, 2 et 3) de diamรจtre dรฉcroissant de haut en bas 80-64-50-40-25-16-8-4-1,6-0,8-0,4-0,16-0,8-0,4-0,16 0,08 mm
๏ƒ˜ Pour chaque tamis on pรจse le refus et on dรฉtermine le pourcentage
๏ƒ˜ Une fois le pourcentage dรฉterminรฉ, on trace la courbe granulomรฉtrique avec en abscisse le diamรจtre des tamis et en ordonnรฉe le poids cumulรฉ ou passant cumulรฉ. Les rรฉsultats de notre essai sont consignรฉs sur la feuille dโ€™essai (analyse granulomรฉtrique, voir annexe). La courbe granulomรฉtrique est caractรฉrisรฉe par le coefficient d’uniformitรฉ Cu de Hazen et le coefficient de courbure Cc. L’รฉchantillon de matรฉriau est bien graduรฉ lorsque Cu supรฉrieure ร  4 Cc compris entre 1 et 3.

Sรฉdimentomรฉtrie (NFP 94-057)

La sรฉdimentomรฉtrie est employรฉe pour dรฉfinir la rรฉpartition des particules fines. Elle complรจte lโ€™analyse par tamisage. La sรฉdimentation qui est la dรฉcantation par gravitรฉ des grains dโ€™un รฉchantillon mis en suspension dans un liquide visqueux se rรฉalise ร  des vitesses diffรฉrentes selon le diamรจtre des grains. La loi de Navier-Stokes exprime la relation qui existe entre la vitesse de dรฉcantation et le diamรจtre des particules sphรฉriques. Lโ€™essai consiste ร  mesurer aprรจs un temps de dรฉcantation donnรฉ, la densitรฉ de la suspension ร  une profondeur. Cette opรฉration est rรฉpรฉtรฉe plusieurs fois afin de connaรฎtre le pourcentage des particules de diffรฉrents diamรจtres.

Mode opรฉratoire

On recueille le passant du tamis 0,08 mm, on l’รฉtuve jusqu’ร  dessiccation complรจte. On prรฉlรจve 20g de ce matรฉriau et on l’imbibe pendant 24 h dans de l’eau qui constitue le liquide de suspension auquel on ajoute 1g d’hรฉxamรฉtaphosphate de sodium qui joue le rรดle de dรฉfloculant. Enfin la suspension est placรฉe pendant 3 min dans un agitateur mรฉcanique. On verse dans une รฉprouvette de 2 litres la suspension ainsi prรฉparรฉe et le volume est complรฉtรฉ par addition d’eau distillรฉe. Puis l’ensemble est soumis ร  un agitateur manuel. En fin d’agitation, on relรจve la tempรฉrature de la suspension et on dรฉclenche le chronomรจtre, ce qui dรฉfinit le dรฉbut de la sรฉdimentation. On mesure ensuite la densitรฉ aux temps suivants: 15 s, 30 s, 1 min, 2 min, 5 min, 10 min, 20 min ,40 min, 80 min, 120 min, 24 h et 48 h.
Pour chaque lecture de densitรฉ, on calcule la concentration en pourcentage en fonction du volume de la suspension, du poids et de la densitรฉ des grains (figure 5).

Dรฉtermination des limites d’Atterberg (NFP 94-051)

Elle caractรฉrise l’รฉtat dans lequel se trouve le matรฉriau. Les limites d’Atterberg sont des constantes physiques conventionnelles qui marquent les seuils entre le passage d’un sol de l’รฉtat liquide ร  l’รฉtat plastique. On dรฉtermine la limite de liquiditรฉ WL et le passage d’un sol de l’รฉtat plastique ร  l’รฉtat solide et du coup on en dรฉfinit la limite de plasticitรฉ WP. Ces limites ont pour valeurs la teneur en eau du sol ร  l’รฉtat de transition considรฉrรฉ.

Mode opรฉratoire

Lโ€™opรฉration sโ€™effectue ร  lโ€™aide dโ€™une coupelle de casagrandรฉ (figure 6) Aprรจs l’รฉchantillonnage, on choisit environ 1500 g de matรฉriaux qu’on trempe dans l’eau. Si les matรฉriaux sont compacts, il faut 24 h au moins puis on lave avec un tamis de 0,4mm. On rรฉcupรจre ensuite les fines et le refus est jetรฉ.
Le matรฉriau est ensuite rรฉcupรฉrรฉ et malaxรฉ avec de l’eau sur la table jusqu’ร  ce qu’on ait une pรขte presque fluide et uniformรฉment liquide.
๏ƒ˜ La limite de liquiditรฉ est dรฉterminรฉe ร  partir de la courbe de la teneur en eau en fonction du nombre de coups. En effet, cette courbe nous donne la valeur du vingt cinquiรจme coup qui correspond ร  la limite de liquiditรฉ WI.
๏ƒ˜ La limite de plasticitรฉ WP est obtenue en faisant la moyenne arithmรฉtique des teneurs en eau des fragments de rouleaux obtenus ร  partir de deux essais.

Essai Proctor normal (NFP 94-093)

Lโ€™essai Proctor (figure 7) permet de mesurer la teneur en eau qui permet d’obtenir aprรจs un compactage donnรฉ du matรฉriau une valeur maximale de la densitรฉ sรจche.
Lโ€™essai consiste ร  compacter dans un moule et suivant un processus bien dรฉfini une sรฉrie d’รฉchantillons identiques et reprรฉsentatifs du sol probablement imbibรฉ ร  des teneurs en eau croissantes qui favorise la mise et le serrage des grains.

Analyse des rรฉsultats et interprรฉtation

Introduction

Les analyses granulomรฉtriques, la dรฉtermination des limites d’Atterberg et lโ€™essai Proctor normal nous ont permis d’avoir les rรฉsultats nรฉcessaires ร  la bonne conduite de notre รฉtude. Dans ce chapitre, nous essayerons dans un premier temps de faire une prรฉsentation des rรฉsultats et dans un second temps on procรฉdera ร  l’interprรฉtation des donnรฉes.

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Table des matiรจres

REMERCIEMENTS
Table des Matiรจres
Table des illustrations
Liste des Tableaux
Liste des Symboles et Abrรฉviation
Liste des Normes
INTRODUCTION GENERALE
Chapitre 1 : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
1.1 Description et localisation des argiles de Thiรฉky
1.2 Description et localisation des argiles de Sรฉbikhotane
1.3 Description et localisation des fillers de Paki-Toglou
Chapitre 2 : IDENTIFICATION DES MATERIAUX DE BASE ET DU MELANGE
2.1-Identification des matรฉriaux de base
2.2-Identification du mรฉlange
2.2.1-Historique des gรฉopolymรฉres
2.2.2-Dรฉfinition
2.2.3-Structure, processus de formation et domaines dโ€™application
2.2.4-Mise en ล“uvre des solutions
2.3. Les essais de laboratoire
2.3.1. Introduction
2.3.2 Analyse granulomรฉtrique (NFP 94-056)
2.3.2.1 Dรฉfinition et but de l’essai
2.3.2.2 Mode opรฉratoire
2.3.3 Sรฉdimentomรฉtrie (NFP 94-057)
2.3.3.1. Mode opรฉratoire
2.3.4. Dรฉtermination des limites d’Atterberg (NFP 94-051)
2.3.4.1 Mode opรฉratoire
2.3.5. Essai Proctor normal (NFP 94-093)
2.4. Analyse des rรฉsultats et interprรฉtation
2.4.1. Introduction
2.4.2. Prรฉsentation des rรฉsultats
2.4.2.1 Prรฉsentation des rรฉsultats des essais effectuรฉs sur chaque matรฉriau
2.4.2.2 Prรฉsentation des rรฉsultats du mรฉlange des trois matรฉriaux avec les diffรฉrentes solutions
2.4.3. Interprรฉtation des rรฉsultats des essais gรฉotechniques
2.4.4. Interprรฉtation des rรฉsultats du mรฉlange des trois matรฉriaux
2.4.5. Interprรฉtation des rรฉsultats de lโ€™analyse chimique
2.4.6 Conclusion partielle
Chapitre 3 : CONFECTION DES INSERTS CERAMIQUES
3. Mise en ล“uvre des inserts cรฉramiques
3.1. Mise en ล“uvre des inserts cรฉramiques fabriquรฉs par cuisson
3.1.1. Fabrication des inserts
3.1.2. Sรฉchage des inserts
3.2. Mise en ล“uvre des inserts cรฉramiques fabriquรฉs par gรฉopolymรฉrisation
3.2.1. Fabrication des inserts
3.2.1.1 Processus de fabrication
3.2.1.2 Interprรฉtation
3.2.2. Sรฉchage des inserts
3.2.2.1. Prรฉsentation des rรฉsultats
3.2.2.2. Hypothรจses et interprรฉtations
3.2.3. Prรฉsentation des rรฉsultats
4. Mesure des propriรฉtรฉs mรฉcaniques et physiques des inserts
4.1. Mesure des propriรฉtรฉs mรฉcaniques
4.1.1. Rรฉsistance ร  la compression simple Rc (NF EN 12390-3)
4.1.1.1. Description et but de lโ€™essai
4.1.1.2. Prรฉsentation des rรฉsultats
4.1.1.3. Interprรฉtation
4.1.2. Rรฉsistance ร  la traction Rt (NF EN 13229) : Rupture par Fendage
4.1.2.1. Description et but de lโ€™essai
4.1.2.2. Prรฉsentation des rรฉsultats
4.1.2.3. Interprรฉtation
4.2. Mesure des propriรฉtรฉs physiques
4.2.1. Duretรฉ : par lโ€™รฉchelle de Mohs
4.2.1.1. Description et but de lโ€™essai
4.2.1.2. Prรฉsentation des rรฉsultats
4.2.1.3. Interprรฉtation
4.3. Mise en ล“uvre du fourneau jambar
4.4. Test de combustion sur les inserts
4.4.1. But de lโ€™essai
4.4.2. Mode opรฉratoire
4.4.3. Prรฉsentation des rรฉsultats
4.4.4. Interprรฉtation
4.5. Essai dโ€™รฉbullition dโ€™eau
4.5.1. Dรฉfinition et but de lโ€™essai TEE
4.5.2. Mode opรฉratoire
4.5.3. Prรฉsentation des rรฉsultats
4.5.4. Interprรฉtation
4.6. Comparaison technique entre les inserts cรฉramiques
Conclusion partielle
CONCLUSION GENERALE ET RECOMMANDATIONS
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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