Historique du système Android 

Le système Android 

Historique du système Android 

Après le rachat d’Android, Google s’est associé à d’autres firmes pour créer une alliance de compagnies internationales appelée l’OHA (Open Handset Alliance). Elle a pour but de créer une plateforme complète, développée pour les terminaux mobiles, les smart phones, les tablettes tactiles à libre accès  . L’OHA est aujourd’hui une puissante source de production d’applications mobiles, ce qui a permis au système Androïd de connaitre un essor remarquable. L’OHA est en général constituée :

– des opérateurs mobiles (Vodafone, etc.) ;
– des fabricants de téléphones mobiles (HTC, etc.) ;
– des éditeurs de logiciels (Google, etc.) ;
– des distributeurs (Aplix corporation, etc.).

Dans le domaine des appareils mobiles, le système Androïd permet aux développeurs de bénéficier et d’accéder à toutes les fonctionnalités que peut offrir un appareil mobile. Il permet aussi, de créer les applications de plus en plus riches, offrant aux utilisateurs une expérience au maximum des possibilités du système [28] . C’est un système d’exploitation basé sur Linux et Java, disponible en Open Source, et complètement gratuit [2] . Il puise ses sources dans l’automatisation des processus et dans l’adaptation aux environnements de développement .

Caractéristiques

Le système Androïd est doté d’un ensemble de caractéristiques essentielles, qui font de lui une plate-forme d’applications très lucrative. Cet ensemble comporte un système d’exploitation, des applications clés telles que :

– Les Framework (cadre de travail) : elles permettent aux développeurs de se concentrer sur les fonctionnalités spécifiques à un projet et d’améliorer leur productivité. Elles sont constituées par un ensemble de librairies du développement ;

– Le navigateur web : permet de tirer pleinement profit des architectures, d’installer les applications de toutes sortes, de gérer les téléchargements, et bien d’autres fonctionnalités car être connecté est devenu essentiel dans le monde moderne ;

– L’interface graphique : dispositif de dialogue entre l’homme et la machine. Elle est mise en œuvre par un ensemble de logiciels souvent inclus dans les systèmes d’exploitations ;

– Le stockage : Espace requis pour l’installation des applications et le stockage des fichiers ;

– Le support matériel : permet à un système de communiquer avec les pilotes ou les périphériques ;

– Environnement de développement : c’est l’un des aspects fondamental pour pouvoir gérer avec succès un certain nombre de développements. Il aide à développer les applications, gérer les fichiers sources, déboguer les codes, et enfin tester le travail avant de le lancer sur un environnement de test ou de production.

– La machine virtuelle et des bibliothèques : permettant d’exécuter les programmes prévues pour la plateforme Java.

Architecture

Le système androïd possède une architecture complète, structurée en couches, lui permettant d’être une puissante plateforme. On peut subdiviser l’architecture de l’environnement androïd en cinq grandes couches dont :

– Le noyau Linux (Linux kernel) : c’est l’élément du système d’exploitation qui permet de faire le pont entre le matériel et le logiciel. Il gère la mémoire, les processus, les capteurs (appareils photos, GPS, accéléromètre…), et le matériel (écran, clavier),…
– Le runtime Androïd : son concept permet à chaque application Androïd de fonctionner dans son propre processus. C’est la machine virtuelle Java, constituée de :

➤ Dalvik (une JVM par application) ;
➤ Un code spécifique Androïd.

– Libraries ou bibliothèques (C/C++) : Cet élément favorise la réutilisabilité des développements et permet de gérer les graphismes, les médias, les web, …etc.
– Le Framework : kit des gestionnaires pour les applications plus une API java. Elle contient :

➤ La gestion des fenêtres, des activités, des ressources…etc ;
➤ L’API pour développement des programmes.

– Un lot d’applications standard : il comporte un environnement bureau, un carnet d’adresses, un navigateur web, un téléphone, etc.

Le signal ECG 

Le rythme cardiaque humain est sans doute le plus important indicateur de diagnostic. Ainsi, les électrocardiogrammes sont l’une des méthodes de détections les plus importants du fait qu’ils surveillent la fonction cardiaque. Ils ne sont pas seulement utilisés dans un cadre clinique, mais aussi dans les dispositifs de santé personnels. Ceci est possible grâce à l’utilisation des capteurs ECG dont la fonction est de mesurer l’ampleur variant dans le temps des champs électriques émanant du cœur. Ils émettent ensuite des signaux contenant des informations. Ces signaux sont dits ECG de par leurs origines.

fonctionnement du cœur

L’appareil cardiovasculaire présente trois types de vaisseaux : les artères, qui partent du cœur ; les veines, qui arrivent au cœur ; les capillaires, qui relient les systèmes artériel et veineux, et qui permettent les échanges entre le sang et les tissus. Le cœur envoie le sang dans deux réseaux complémentaires, la petite circulation ou circulation pulmonaire (artères, veines et capillaires pulmonaires) et la circulation générale ou systémique.

Le cœur est l’organe dont les problèmes et les risques dus à son dysfonctionnement sont la principale raison de la mise sur pied de notre projet. Cet organe est divisé en deux grandes parties dont, la partie gauche et la partie droite. Ces parties sont dotées chacune d’une oreillette et d’un ventricule. L’action de pompage du cœur est régie par la région d’un stimulateur cardiaque, ou sino-auriculaire du nœud, situé dans l’oreillette droite. Une impulsion électrique est créée dans cette région par la diffusion des ions calcium, des ions sodium et des ions potassium à travers les membranes des cellules. L’impulsion créée par le mouvement de ces ions est d’abord transférée aux oreillettes, les obligeant à se contracter et refouler le sang dans les ventricules. Après environ 150 millisecondes, l’impulsion se déplace vers les ventricules. Ces dernières vont se contracter et propulser le sang loin du cœur. Ensuite, l’impulsion se déplace à l’écart des chambres ventriculaires, et ces sections se détendent. L’utilisation d’un ECG permet aux médecins de mesurer la tension relative à ces impulsions dans divers postes du cœur.

Définition du signal ECG

Le signal ECG peut se définir comme étant la représentation graphique et périodique de l’activité électrique du cœur, avec une fréquence qui varie dans le temps [9] . Lorsqu’un potentiel électrique est généré dans une section du cœur, un courant électrique est conduit à la surface du corps sur une zone déterminée. Les capteurs fixés dans la zone corporelle déterminée, permettent la mesure de ces courants. Les signaux électriques mesurés par les capteurs caractérisent et représentent les différentes phases du battement du cœur. Après récupération et conditionnement, le signal ECG devrait être numérisé avant son émission. Le choix de la numérisation du signal, tient du fait que :

– Le signal numérique est beaucoup plus facile à reproduire et à informatiser ;
– Le transport, le stockage et le traitement des données numériques est beaucoup peu sensible aux perturbations ;
– Un signal numérique copié est la réplique presque parfaite de l’original et peutêtre dupliqué autant de fois que voulu.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE I : PRESENTATION DES PRINCIPAUX ELEMENTS DE L’APPLICATION
I.1. Le système Android
I.1.1. Historique du système Android
I.1.2. Caractéristiques
I.1.3. Architecture
I.2. Le signal ECG
I.2.1. fonctionnement du cœur
I.2.2. Définition du signal ECG
I.2.3. Caractéristiques
a) La Courbe ECG
b) La fréquence cardiaque
I.3. Le WBAN
I.3.1. Généralités
I.3.2. Spécificités techniques du WBAN
I.4. Le BLUETOOTH
I.4.1. Définition
I.4.2. Caractéristiques
I.4.3. Mise en place d’une liaison
CHAPITRE II : INSTALLATION DE L’ENVIRONNEMENT ANDROID ET CREATION D’UN AVD
II.1 Outils de développement et installations
II.1.1 L’environnement d’exécution Java
II.1.2 Le SDK Manager
II.1.3 L’environnement ECLIPSE
II.2 Configuration de l’environnement de développement Android
II.2.1. Installation des Plugins dans Eclipse
II.2.2. Spécification de l’emplacement du SDK dans éclipse
II.3 Création du terminal virtuel Android (AVD)
II.3.1 Définition
II.3.2 Création de l’AVD
II.3.3 Constitution d’un AVD
II.3.4 Limites de l’AVD
CHAPITRE III : CREATION ET VUE D’ENSEMBLE D’UNE APPLICATION ANDROID
III.1. Définition et création d’une application
III.1.1. Définition
III.1.2. Etapes de création
III.1.3. Composants de l’application Android
a. L’activité
b. Le service
c. Le Diffuseur et récepteur d’intention
d. Le fournisseur de contenu
e. Le gadget
III.2. Arborescence et description de l’application
III.2.1. Arborescence
III.2.2. Description
III.3. Le langage XML
III.3.1. Généralités
III.3.2. Règles d’un document XML
III.4. Cycle de vie d’une application Android
III.4.1. Boucles du cycle de vie
III.4.2. Description des états
III.5. Application ECG_Android sur le terminal virtuel
CHAPITRE IV : PROGRAMMATION DES COURBES SOUS ANDROID, RESULTATS ET COMMENTAIRES
IV.1. Programmation et affichage de deux séries de données dans un XY Plot
IV.2. Programmation des courbes XY dynamiques
IV.3. Tracé dynamique des données d’un capteur
IV.4. Programmation et Affichage du signal ECG
IV.5. Installation de l’application ECG_Android sur un terminal physique
CONCLUSION GENERALE

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