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Etude anatomo-clinique
Symptômes
L’incubation dure 2 à 3j.
La maladie débute par une altération sévère de l’état général, associé à une forte fièvre atteignant jusqu’à 42°C.
Elle peut se présenter sous 3 formes [7] :
-forme suraiguë : Elle se produit surtout chez les jeunes bovins. Les signes généraux sont intenses comme hyperthermie, abattement, anorexie, absence de rumination, essoufflement et la mort peut survenir en 6 à 12h. Les signes locaux n’ont pas le temps d’apparaître.
-forme aigue : C’est la forme classique. Elle débute par des signes généraux (hyperthermie, anorexie …). Les signes locaux apparaissent ensuite : les tumeurs charbonneuses. Ce sont des tuméfactions chaudes et douloureuses de taille et de localisation variables (muscle de la cuisse, croupe, encolure, membres antérieurs). Une localisation interne est possible : tumeur du diaphragme.
A la pression, ces tumeurs sont crépitantes à cause de la présence de gaz, froide et insensible avec diminution de l’approvisionnement de sang aux secteurs affectés. Ces tumeurs peuvent s’accompagner d’une réaction ganglionnaire périphérique et des signes fonctionnels : boiterie des membres dont les muscles sont atteints, asphyxie (en cas de localisation diaphragmatique).
L’animal se couche et meurt en 24 à 48h.
-forme subaiguë : Elle est surtout observée chez les bovins âgés. L’évolution est lente et la guérison est de règle. Les tumeurs superficielles tombent et les plaies se cicatrisent au bout d’un mois.
Lésions anatomiques et autopsie
L’animal est couché latéralement sur le côté opposé des membres atteints de la tuméfaction musculaire. Les quatre membres sont raides et le ventre est ballonné.
La tumeur charbonneuse a une localisation musculaire, crépitante à la palpation. A l’incision, elle présente :
-un centre noir, sec, infiltré de gaz nauséabond ;
-une zone intermédiaire de couleur foncée avec moins de gaz et plus humide ; -un œdème périphérique rouge, hémorragique, laissant s’écouler une sérosité.
Les nœuds lymphatiques périphériques sont noirâtres, hémorragiques.
Présence de tâche de sang sur le cœur, les poumons et une congestion du foie.
Un écoulement mousseux et sanguinolent sort de la bouche, du naseau et de l’anus [7].
Epidémiologie
Epidémiologie descriptive
Répartition géographique
Le charbon symptomatique est une maladie cosmopolite des régions tropicales surtout [5].
La maladie ne semblait pas exister à Madagascar avant 1969, bien que quelques cas isolés aient été suspectés autrefois. En 1969, une épizootie brutale a démarré au Sud et se répand dans toute l’île, elle atteint le Moyen Ouest (Itasy et Tsiroanomandidy), puis le Sud-ouest (Manja) et enfin le Nord-Ouest [6].
La persistance de la maladie charbon symptomatique entraîne une grande perte au niveau de l’élevage [32].
Espèce affectée
L’espèce bovine est essentiellement affectée dont les plus touchés appartiennent à la classe d’âge comprise entre 6 à 24mois. Et des cas sont observés plus occasionnellement chez les adultes et les jeunes veaux [25]. Les petits ruminants sont rarement infectés [19].
Forme d’évolution possible
La forme sporadique se présente dans le troupeau bien contrôlé, traité systématiquement en cas de maladie et vacciné régulièrement. Elle peut être épizootique et se présente dans un troupeau non vacciné. Et la forme enzootique aussi se présente dans l’élevage extensif et elle est importante dans la région Sud, Ouest, Moyen Ouest [19].
Epidémiologie analytique
Source de contamination
Le charbon symptomatique est une maladie tellurique (sol) propre à certaines régions ou certains pâturages infectés par les spores qui y sont parvenues, soit par les excréments des animaux malades ou des porteurs sains, soit par l’enfouissement ou non des cadavres [33-35].
Le déplacement de troupeau et le non-respect des mesures de prophylaxie sanitaire favorisent son extension [6].
Rapace : les oiseaux migrateurs assurent la transmission à distance des maladies infectieuses [36].
En hiver, l’herbe constitue la principale source de contamination. Les infections massives constatées pendant cette période sont favorisées par l’apport biologique et mécanique des spores à la surface des sols [3].
Réceptivité et sensibilité
Facteurs intrinsèques
Le bovin est le plus sensible et les animaux les plus performants entre 6 à 24 mois d’âge sont affectés parce que la ration a une teneur élevée en graine [4].
Il est à noter que les animaux les plus jeunes sont protégés par l’Anticorps maternel et les plus vieux bénéficient l’immunité naturelle, acquise par contamination répétée [12, 27,31].
Facteurs extrinsèques
Généralement, la maladie peut apparaître durant toute l’année bien que la majorité des cas se produisent durant les saisons chaudes et humides ou très pluvieuses ou suite à l’arrivée subite des grands froids [4,31].
Les différentes maladies parasitaires réduisent la résistance des animaux et favorisent la maladie [19].
Le mode d’élevage est de type extensif, semi-extensif dont le propriétaire ne donne pas un autre complément nutritionnel pour le zébu mais juste un pâturage naturel et cela favorise l’apparition des maladies au pâturage.
Modes d’infection
L’ingestion de spore peut se faire dans le sol ou dans les végétaux par voie buccale ou à partir des aliments souillés. La blessure, la piqûre ou le traumatisme accidentel par voie cutanéo muqueuse constituent également une porte d’entrée [4,33].
Diagnostic
Diagnostic épidémiologique
La présence simultanée d’un certain nombre des facteurs favorables fait orienter le diagnostic comme la saison d’apparition des spores, l’âge des animaux ainsi que l’évolution de la maladie [37].
Diagnostic clinique
La suspicion est de règle en cas de l’hyperthermie jusqu’à 42°C avec abattement, mort subite, tumeur crépitante suivit de boiterie [37]. Les éleveurs sont capables de poser le diagnostic.
Diagnostic différentiel
Le charbon symptomatique doit être distingué du [38]:
– Charbon bactéridien : La tumeur charbonneuse est centrée sur un nœud lymphatique, il y a des écoulements hémorragiques par les orifices naturels, le sang est noir et non coagulé. Le charbon bactéridien est une zoonose grave.
-Clostridium septicum, seul ou associé à d’autres clostridies, provoque une gangrène gazeuse appelée « œdème malin », transmissible à l’homme caractérisé par des lésions de la nécrose extensive crépitante dont le point de départ est toujours une plaie.
-Cowdriose due à Cowdria ruminantium qui n’atteint que les animaux de race améliorée, la différence c’est la présence de trouble nerveux et l’hydropéricardite.
– La septicémie hémorragique peut se rencontrer chez les bovins de tous les âges; la tuméfaction, s’il y en a une, se produit généralement à la gorge, au fanon ou sur le bas de la jambe. Ces tuméfactions sont molles et pâteuses.
Diagnostic de laboratoire
Le diagnostic de laboratoire est indispensable pour distinguer le charbon symptomatique et l’œdème malin [31,33] :
-Prélèvement : morceau de viande, sang frais, sang du cœur, ponction en aiguille des tuméfactions.
-L’identification des Clostridies s’effectue par l’analyse des caractères morphologiques, caractères culturaux et biochimiques.
-Les méthodes les plus utilisées sont l’immunofluorescence, la seroneutralisation, la chromatographie en phase gazeuse, l’inhibition de l’hémolyse.
Pronostic
Le pronostic est sombre.
L’utilisation de l’antibiotique sensible à la bactérie, réduit la perte des éleveurs mais le traitement est inefficace pour la forme suraiguë.
L’éloignement des éleveurs au centre de cabinet vétérinaire entraîne un taux de mortalité élevé des animaux parce que l’intervention thérapeutique n’est pas possible. Quelques bovins présentent des séquelles comme la raideur de la démarche après la guérison [7].
Economiquement, la maladie provoque un fort taux de morbidité et taux de mortalité surtout pour les bovins âgés entre 6mois à 2 ans. Le coût de traitement et la vaccination sont lourds pour les éleveurs. Le taux d’apparition diminue s’il y a prévention des agents de santé animale et des éleveurs. Et les adultes sont rarement atteints par la maladie
La maladie atteint les bovins de plus jeune âge et le plus beau [4].
L’éleveur ignore l’étiologie de la maladie, ce qui pourrait provoquer un traumatisme psychique.
Traitement
Le traitement se fait par antibiothérapie. De nombreux antibiotiques ont été utilisés [32] :
– Pénicilline :
La Pénicilline appartient à la famille des bêta-lactamines, c’est un antibiotique bactéricide et le spectre est limité aux bactéries gram positif, anaérobie.
La posologie est de 500.000 à 1.000.000 UI pour 100Kg de poids vif pendant 3jours par voie intramusculaire.
La pénicilline a une très faible toxicité, même à des posologies largement supérieure aux doses recommandées.
– Penstrep
L’association de Pénicilline et Streptomycine aussi est importante pour cibler le Clostridium chauvoei à la dose de 0.5 g pour 100 Kg de poids vif dans 3jours par voie intramusculaire.
– L’Oxytétracycline
L’Oxytétracycline appartient à la famille de Tétracycline, c’est un antibiotique bactériostatique dont le spectre d’activité s’étend à de nombreuses bactéries gram positif et négatif, aérobie et anaérobie.
L’Oxytétracycline est un antibiotique relativement peu toxique. Mais à forte dose, il induit également une dégénérescence rénale et hépatique. La dose est de 1ml pour 10Kg de poids vif.
Prophylaxie
Prophylaxie sanitaire
C’est une méthode qui vise à éliminer l’agent causal. Les maladies du charbon symptomatique sont telluriques et la spore est très résistante pouvant survivre pendant plusieurs années. En conséquence, il est impossible d’assainir les pâturages souillés. Mais, pour réduire le taux d’infection, quelques mesures défensive et offensive peuvent être proposées [5, 19, 39] (Annexe 1):
-Mesure défensive :
Le but est de protéger un milieu sain pour un troupeau indemne :
-interdiction d’introduire des animaux infectés, malades porteurs de germe -création de poste sanitaire chargé de la mesure sanitaire
-mise en quarantaine pour les nouveaux animaux -saisie de produit venant d’un animal infecté -désinfection des pâturages souillés.
-Mesure offensive :
Le but est d’éviter l’apparition de germe dans un foyer infecté au nouveau foyer :
-détruire le germe sur l’endroit souillé
-surveillance des troupeaux
-interdire l’introduction des autres animaux
-délimitation de la zone affectée par le germe
-isoler les animaux malades et désinfecter les matériels contaminés -utilisation du Formol 5% pour détruire le Clostridium chauvoei
-incinération ou enfouissement des cadavres d’animaux loin des sources d’eaux et des pistes de parcours du bétail à l’aide de chaux vive.
Prophylaxie médicale
Le seul moyen de contrôler le charbon symptomatique est la vaccination.
Les bovins de plus de 4 mois d’âge doivent être vaccinés, deux doses de vaccins à trois semaines d’intervalles seront nécessaires pour une protection optimale, puis un rappel annuel. L’immunité apparait 14j après la première injection; la deuxième injection renforce l’immunité dans une région donnée.
L’inoculation doit se faire sous la peau en utilisant des aiguilles courtes pour éviter d’atteindre le muscle.
Les différents types de vaccin sont :
-Besorovax : vaccin monovalent, composé de Clostridium chauvoei contre le charbon symptomatique.
-Bichar : vaccin bivalent contre le charbon symptomatique et le charbon bactéridien.
-Bicharcoli : vaccin trivalent, contre le charbon symptomatique, le charbon bactéridien et la colibacillose.
Le vaccin contre le charbon symptomatique utilisé à Madagascar est le Bicharcoli :
Compositions : Anaculture de Clostridium chauvoei, Spores de Bacillus anthracis souche sterne, Escherichia coli inactivé à l’alun de potassium.
Indication : protection de bovin contre le charbon symptomatique, charbon bactéridien et colibacillose.
Relief et sol
Dans la zone d’étude, le relief est caractérisé par le Baiboho, tanety et plaine.
L’altitude est comprise entre 150m et 397m.
Nature de sol :
-les sols alluviaux sont caractéristiques des Baiboho qui sont des sols sablo-argileux micacés riches dont les minéraux se renouvellent annuellement par des apports fluviaux.
Ces sols portent les cultures industrielles.
-les sols ferrugineux rouges sont de texture argileuse et de structure polyédrique. Ce sont des sols généralement pauvres de tanety. Sur les pentes, ces sols sont taillés par les érosions différentielles.
-les sols hydro-morphes sont caractéristiques des bas-fonds et des plaines. Ce sont des sols argilo sablonneux grisâtres. Dans la plupart des cas, ces sols sont transformés en rizière. Les eaux fluctuent selon les saisons et les cultures suivent le rythme de crue et décrue, de niveau des eaux dans les plaines. Dans les zones marécageuses, les sols hydro-morphes portent les formations végétales à raphia.
Climat
Le climat est de type tropical subhumide à deux saisons : -une saison pluvieuse et chaude : Novembre à Mars. -une saison sèche : Avril à Octobre.
La pluviométrie moyenne annuelle comprise entre 1000 à 1500 mm.
La température moyenne annuelle varie de 23 à 26°C. Cet élément climatique peut atteindre jusqu’à 30°C au mois de Novembre : c’est la période la plus chaude.
Le District est balayé par deux vents dominants : la mousson venant du Nord-Ouest, d’Octobre en Mars et l’Alizé du Sud pour le reste de l’année.
Hydrographie
C’est une zone largement drainée par un réseau hydrographique particulièrement dense qui met à sa disposition un capital d’eau considérable,
susceptible de dynamiser les activités (alimentation en eau, pêche, agriculture, élevage, énergie hydroélectrique). Principaux lacs et fleuves : lac Kinkony, fleuves Betsiboka, Mahajamba et Mahavavy.
Formation végétale
La forêt dans cette zone est une forêt dense sèche. Ziziphus sp constitue l’une des plantes les plus dominantes dans cette région puis Tamarindus indica et Dalgergia sp.
Outre les forêts naturelles, y existent des forêts de plantation comme Eucalyptus sp, Tectonia sp, et Pinus sp. Ces arbres plantés pourraient assurer le besoin en bois de cette partie de Madagascar après quelques années, parce que la dégradation des forêts naturelles continue toujours
Composition ethnique
La majorité de la population sont des Antandroy et des Tsimihety qui sont tous des grands éleveurs et agriculteurs.
Infrastructure
Des Ecoles Primaires Publiques qui se répartissent dans les Fokontany, un Collège d’Enseignement Général et une école privée se trouvent dans les communes.
Mais le taux de scolarité est faible, dû au manque de personnel enseignant et l’insécurité car il y a abandon de village par les familles.
Dans chaque commune, il y a un Centre de Santé de Base de niveau II qui assure la couverture des besoins de base en soins médicaux, mais le problème c’est l’éloignement de CSB II et l’insuffisance de communication. Pour rejoindre ce centre de santé, la population marche à peu près 20km et en plus les routes sont en mauvais état.
Aspect économique
Agriculture
L’existence de vaste terrain dans les zones basses : « Baiboho », plaine alluviale fait de l’agriculture la principale activité économique dans la zone d’étude.
Les cultures vivrières dont le riz, le manioc, le haricot, les patates douces occupent les superficies cultivées parce que dans certains endroits, les paysans peuvent cultiver trois fois par an pour le riz.
Les cultures industrielles comme le tabac, l’arachide, les cannes à sucre occupent également une grande proportion de population rurale
Elevage
L’élevage de bovin, de petits ruminants constituent la seconde occupation agricole de la zone étudiée. C’est un élevage extensif dont les principales raisons d’être sont: le prestige social, les coutumes traditionnelles, les travaux agricoles et le transport.
Ressources humaines
Éleveur
Presque 80% des activités de la population sont consacrées à l’agriculture due à la présence du fleuve de Kamoro avec Baiboho sur sol alluvionnaire très fertile favorable aux cultures et l’élevage dû au vaste pâturage. L’étude s’est déroulée auprès des éleveurs des bovins.
Agent de santé animale
Une vétérinaire sanitaire s’occupe des trois communes, elle est soutenue par 3 techniciens d’élevage et un vaccinateur. A chaque commune, il y a un dépôt de médicament à usage vétérinaire tenu par les techniciens.
Les principales activités sont le service clinique, l’inspection des denrées d’origine animale, la campagne de vaccination et la délivrance de certificat sanitaire.
Lors de l’étude effectuée pendant la période de campagne de vaccination, l’agent de santé animale a collaboré à la réalisation de travail. Il nous a présenté auprès des éleveurs et des chefs quartiers et ceci nous a permis d’avoir leur confiance et a facilité à l’obtention des données.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : RAPPELS
I. Rappels sur le charbon symptomatique
I.1. Définition
I.2. Historique de la maladie charbon symptomatique
I.3. Etiologie
I.4. Caractère bactériologique
I.4.1.Caractères morphologiques
I.4.2.Caractères culturaux
I.4.3.Caractères biochimiques :
I.5. Pouvoir pathogène
I.6. Pathogénie
I.7. Etude anatomo-clinique
I.7.1.Symptômes
I.7.2.Lésions anatomiques et autopsie
I.8. Epidémiologie
I.8.1.Epidémiologie descriptive
I.8.2.Epidémiologie analytique
I.9. Diagnostic
I.9.1.Diagnostic épidémiologique
I.9.2.Diagnostic clinique
I.9.3. Diagnostic différentiel
I.9.4.Diagnostic de laboratoire
I.10. Pronostic
1.11-Traitement
I.12. Prophylaxie
I.12.1.Prophylaxie sanitaire
I.12.2.Prophylaxie médicale
DEUXIEME PARTIE : METHODES ET RESULTATS
I. Méthodes
I.1. Matériel
I.1.1.Cadre de l’étude
I.1.2.Aspect humain
I.1.3.Infrastructure
I.1.4.Aspect économique
I.1.5. Ressources humaines
I.1.6. Ressources animales
I.2 Méthode
I.2.1.Documentation
I.2.2.Enquête
I.2.3. Type d’étude
I.2.4. Durée de l’étude
I.2.5.Période d’étude
I.2.6.Population d’étude
I.2.8.Taille de l’échantillon des éleveurs
I.2.9.Paramètres d’étude
I.2.10. Traitement des données
I.2.11.Considération éthique
II. Résultats
II.1. Résultat du recrutement
II.2. Taille de cheptel des éleveurs
II.3. Taux de morbidité de bovin
II.4. Taux de mortalité de bovin
II.5.Enquête des éleveurs
II.5.1. Mode d’élevage
II.5.2. Saisons de la maladie
II.5.3. Assiduité des éleveurs à la vaccination anti-charbonneuse
II.5.4. Assiduité des éleveurs aux traitements antiparasitaires
II.5.5. Coût de la vaccination anti-charbonneuse
II.6.Observation sur les activités de l’agent de santé animale
II.6.1. Gestion de la chaîne de froid
II.6.2. Mode d’injection du vaccin
II.6.3. Sensibilisation avant la campagne de vaccination
II.6.4. Couverture vaccinale
II.7. Evaluation de la perte économique du charbon symptomatique.
TROISIEME PARTIE : DISCUSSION
I .Discussion
I.1. Prévalence de la maladie
I.2.Facteurs de la persistance des charbons symptomatiques liés aux éleveurs
I.3. Facteurs de la persistance de charbon symptomatique liés à l’agent de santé animale
I.4. Conséquence économique
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
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