Histoire de ses origines et de son sens au fil des époques

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Histoire de ses origines et de son sens au fil des époques

Aussi loin que puisse remonter la civilisation, deux philosophes grecs de lřAntiquité, éminemment influents dans le monde occidental, servent de repère pour appréhender la communauté. Pour Platon et Aristote, la communauté sert à la fois à penser la cité, c’est-à-dire lřÉtat par son corps politique mais aussi la société, représentée par le village et la communauté domestique. Elle véhicule en son sein des liens et des intérêts communs primordiaux relatifs notamment aux besoins fondamentaux, à la solidarité, aux règles, lois qui régissent les rapports entre les individus, etc. Au-delà du rôle fonctionnaliste institué par lřÉtat dans lřorganisation sociale auquel sřattache Platon, Aristote considère la communauté comme morale dřoù émanent lřintelligence, les valeurs, les sentiments, lřengagement, etc. Il la considère comme désirable, à la recherche permanente du bien et la lie à lřidéal démocratique.
À cette époque et jusquřà la fin du XIXe siècle, la communauté et la société sont considérées comme des synonymes malgré une étymologie qui les distingue lřune de lřautre. En effet, la société, en latin societas, se rapporte à une association, une réunion, une communauté, une association commerciale, industrielle, une compagnie, une union politique, une alliance (Gaffiot, 1934, p. 1451). Ce « vivre en société » apparaît comme un ensemble dřindividus qui entretient des relations plus ou moins limitées dans le temps et dans lřespace et où naissent des sentiments de sociabilité. Toutefois, cette vision ne préfigure pas celle de Rousseau notamment pour qui la coopération sociale se noue par un accord contractuel entre les individus.
Lors de la seconde moitié du XIXe siècle sřopère un changement de paradigme, encore bien ancré en France aujourdřhui, où communauté et société deviennent des antonymes. Quřest-ce qui a créé cela ? Tout dřabord, un contexte sociétal en profonde transformation, mutation où lřEurope est marquée par une forte montée de lřindustrialisation, une désertion des campagnes au profit des villes générant de nouvelles organisations sociales, lřapparition de nouveaux phénomènes, etc. Cřest ainsi quřAuguste Comte, philosophe français, va créer en 1830 la sociologie pour justement comprendre lřévolution de la société dans son fonctionnement et les différentes problématiques émergentes auxquelles il faut faire face. Parallèlement à ce mouvement, la psychologie est quant à elle tournée, centrée sur lřindividu, ce qui suscitera de nombreux débats opposant lřindividu et la société, lřobjectif et le subjectif, le rationnel et lřémotionnel, influençant ainsi les travaux de lřépoque qui, pour nřen citer que quelques-uns, sont ceux de Marx, dřEngels, etc. Néanmoins, lřauteur qui entérine cette opposition entre communauté et société les qualifiant pour la première de « communisme primitif » et pour la seconde de « socialisme moderne » constituant selon lui les « catégories fondamentales de la sociologie pure » est Tönnies (1887/2015). Son ouvrage Gemeinschaft und Gesellschaft (communauté et société) est lřun des premiers et des plus célèbres ouvrages de la sociologie.
Il pose une rupture nette entre la communauté quřil définit comme une « vie organique et réelle » et la société quřil présente comme une « vie virtuelle et mécanique ». Pour Tönnies, la communauté constitue lřélément premier immédiat et est associée autour de trois relations fondamentales qui sont le rapport de filiation entre la mère et lřenfant (instinct, plaisir), le rapport dřalliance entre une femme et un homme (plaisirs charnels, habitudes acquises ensemble) et le rapport de consanguinité au sein dřune fratrie (amour fraternel). La conjugaison de ces trois relations primaires forme la communauté des « volontés naturelles », source de la concorde (alliance cordiale) et de la compréhension (prise en charge commune), qui constituent la racine de toute collectivité humaine. De ces relations primaires, deux sortes dřunion peuvent alors coexister. Lřunion relative à la « communauté de lieu » correspond aux relations que lřindividu entretient avec son voisinage au sein de son village, de son quartier.
Lřunion relative à la « communauté dřesprit » correspond aux relations de complicité, voire dřamitié, quřentretient lřindividu avec dřautres membres issus dřune même profession, dřune même religion, dřune croyance commune, etc. Ces relations sont dřautant plus facilitées selon Tönnies quřelles rayonnent dans le proche périmètre dřhabitation de lřindividu créant des occasions régulières de rencontre.
En opposition aux liens communautaires, il y a la société, Gesellschaft, celle constituée dřune juxtaposition, dřune collection dřindividus associés provisoirement, le temps dřune contractualisation où la motivation repose sur des « volontés rationnelles ». Organiquement séparés, les individus entrent dans une autre logique, plus individualiste, celle de lřéchange marchand où les actions sont calculées à des fins de pouvoir et dřargent. Il est consenti que cette société ne peut exister quřen accordant un grand pouvoir à lřÉtat, régulateur de ces échanges où lřintérêt individuel supplante lřintérêt collectif, garant de lřordre et des droits qui pourraient nuire aux intérêts généraux. Cette dichotomie entre lřorganique et le virtuel résulte de lřémergence de lřère industrielle, de la production capitaliste et de lřidéologie libérale.
Tönnies sřinscrit dans la théorie sociale évolutionniste en passant de lřétat primitif, auquel renvoie la communauté par les caractéristiques précédemment décrites relatives aux origines, aux liens primaires, à un modèle de civilisation, la société, relative aux temps modernes. Le sous-titre de son ouvrage Abhandlung des Communismus und Socialismus als empirische Culturformen (Étude sur le communisme et le socialisme considérés comme des formes empiriques de la civilisation) est annonciateur de faits sociaux historiques où le socialisme (Gesellschaft) issue du communisme (Gemeinschaft), lui succède.
Son ouvrage, pierre angulaire en sociologie, va être une source dřinspiration pour beaucoup dřautres auteurs. Le premier, Durkheim (1889, p. 422) le qualifie dans sa recension malgré certaines réserves dřune « véritable force de pensée et une puissance peu commune de construction ». Il adhère en tout point à la vision décrite de la communauté, forçant le trait jusquřà en dénaturer la définition jugée « infidèle » (Dubost, 2016, p. 81) par rapport à la pensée de Tönnies :
La Gemeinschaft, c’est la communauté. Ce qui la constitue, c’est une unité absolue qui exclut la distinction des parties. Un groupe qui mérite ce nom n’est pas une collection même organisée d’individus différents en relation les uns avec les autres ; c’est une masse indistincte et compacte qui n’est capable que de mouvements d’ensemble, que ceux-ci soient dirigés par la masse elle-même ou par un de ses éléments chargé de la représenter.
C’est un agrégat de consciences si fortement agglutinées qu’aucune ne peut se mouvoir indépendamment des autres. C’est en un mot la communauté ou, si l’on veut, le communisme porté à son plus haut point de perfection. Le tout seul existe ; seul il a une sphère d’action qui lui soit propre. Les parties n’en ont pas. (Durkheim, 1889, p. 417) Durkheim justifie par ailleurs la « filiation » de la Gemeinschaft à la Gesellschaft par lřaugmentation des agrégats sociaux liée à la densité des individus concentrée dans les zones urbaines qui, par conséquent, ne permet plus dřêtre aussi complice, conduit progressivement et inévitablement lřindividu à sřémanciper. Ses réserves se portent davantage sur la société et plus spécifiquement sur la manière de décrire la vie collective en son sein. Il réfute lřidée selon laquelle il nřy aurait plus dans cette vie mécanique dřactivités collectives tout aussi naturelles quřelles pouvaient lřêtre dans la vie organique. Durkheim soutient quřelles existent mais différemment, esquisse des pensées quřil développe quelques années plus tard. Témoin lui aussi de cette époque et influencé notamment par les travaux de Tönnies, il propose une lecture inversée du lien social dans son ouvrage De la division du travail social (Durkheim, 1893/2013). Pour Durkheim, lřorganisation traditionnelle est qualifiée de « solidarité mécanique » dans laquelle les communautés ont des comportements collectifs, des ressemblances individuelles, une proximité de lieux et partagent des valeurs, des histoires communes alors que lřorganisation de la société moderne est relative à la « solidarité organique » dans laquelle les individus sont interdépendants et complémentaires avec la division du travail qui les a spécialisés. Ainsi lřévolution de la solidarité quřimpose la société moderne doit, selon lui, laisser place à la solidarité organique. La fonction de la division du travail y est appréhendée davantage comme un rôle moral et social quřun rôle économique, en ce sens où la priorité est portée au développement dřune solidarité morale entre des individus interdépendants plutôt quřà lřaccroissement de gains de productivité.
Dubar relève à ce titre, trois déplacements par rapport à Tönnies qui caractérisent les travaux de Weber dans sa description des processus sociaux. Le premier est celui de considérer la communauté et la société non comme des représentations « réalistes » mais comme des « types-idéaux » de relations sociales qui sont à la fois composées dřaction communautaire et dřaction sociétaire. Pour illustrer ce propos, Weber prend lřexemple dřun atelier de production où la relation « sociétaire », réalisée par le biais de lřentreprise, peut faire naître entre les individus de lřatelier des sentiments dřappartenance communs qui relèvent de relation « communautaire ». Ces deux relations ne rentrent donc pas en contradiction et peuvent agir lřune sur lřautre réciproquement. Le second déplacement concerne lřopposition entre la communauté et la société évaluées comme des « états » statiques par Tönnies et comme des « processus dynamiques dřinstauration de relations sociales » par Weber. En effet, Weber considère que lřindividu doit orienter son comportement à lřégard de lřautre selon le contexte et/ou la situation dans laquelle il se trouve ce qui détermine le type de relation à privilégier.
Le troisième et dernier déplacement est lřannonce par Weber, sans jugement aucun, dřun passage progressif dřune socialisation communautaire à une socialisation sociétaire dominante dont elle tire le fondement de sa légitimité sur la rationalisation sociale.
Cette tendance historique, reposant sur une conception duelle communautaire et sociétaire de lřorganisation sociale et favorisant le développement de logique économique des activités de travail, la rationalisation des pouvoirs, lřindividualisme, etc. sřest transmise et perdure encore. Aujourdřhui, qualifiée de « stéréotype social » plus que de concept scientifique par Dubost (2016, p. 81), cette conception a néanmoins largement contribué à véhiculer dans les représentations sociales des orientations idéologiques porteuses dřassentiment souvent négatif. Lřemploi de la notion de communauté en sciences sociales reste lřobjet de divergence, de confusion, ne faisant pas lřunanimité selon les contextes nationaux. En France, généralement la communauté est connotée plus péjorativement que dans les sociétés anglosaxonnes.
Son rapport avec elle est plus complexe et souvent en tension. Tantôt elle est associée à des formes de socialités (communauté des citoyens, religieuse, politique, écologique, etc.) tantôt à des notions normatives, passéistes, voire au système politique du totalitarisme (au XXe siècle). Lřhistoire française, à certains égards, la dessert et il semble selon Guérin (2001) que le régime de Vichy en soit en partie responsable par la totalité du pouvoir exécutif et législatif que sřétait octroyé le maréchal Pétain. Évoluant selon les connotations qui lui sont conférées, elle est souvent utilisée en « comparaison de » au profit des intentions du locuteur qui cherche à exercer des pressions pour critiquer le capitalisme, pour lutter contre la mondialisation, le monde néolibéral, pour développer de nouvelles voies, pensées, alternatives, etc. De ce fait, elle nřest pas définie et des amalgames avec dřautres termes génèrent de lřambiguïté, de lřéquivocité. Par exemple, depuis les années 80, le terme « communautarisme » est sur-employé dans les discours politique et médiatique (Bouvet et al., 2005). Il nřéquivaut pas à la valeur positive accordée à la communauté mais sřassimile davantage à un repli communautaire. Il est défini par Taguieff (2005, p. 95) comme « un mot qui dans le discours politique en France depuis une quinzaine d’années fonctionne ordinairement comme un opérateur d’illégitimation. Alors que le mot « communautaire » peut fonctionner comme un mélioratif, le mot « communautarisme » est toujours doté, dans ses usages récents, dřun sens péjoratif. Lřambivalence du mot « communautaire », dont le sens oscille entre la solidarité de groupe (louangée) et la clôture sur soi (blâmée), contraste avec le sens dépréciatif unique accordé aujourdřhui au mot « communautarisme », qui désigne, en le stigmatisant, tout processus de constitution, sur un territoire national, de groupes sur des bases identitaires (en référence à une origine ethnique ou ethno nationale commune, à une même religion, à une langue dřorigine « minoritaire », etc.), qui visent à jouer un rôle dans le champ politique (une communauté « communautariste » est donc assimilable à un groupe de pression, à un lobby ou à une organisation subversive, censée conspirer contre le régime républicain en place) ». Le communautarisme est assimilé à de nombreuses affaires relatives aux organisations sectaires, aux manifestations dřaffirmation identitaire, au séparatisme, au racisme, etc. Éminemment polémique, idéologique, ce terme polysémique incarne un mal latent, une menace, une mise en danger des valeurs républicaines et des droits de lřhomme systématiquement mis en opposition avec lřunité de la nation, de la République, des principes laïcs, universels et individuels. Posé en ces termes et observé depuis lřétranger, il semble que ce sujet relève davantage du contexte culturel français car dans les sciences sociales anglosaxonnes, la communauté est plutôt un « atout à préserver » (Schrecker, 2011, p. 49). Dans la tradition anglo-saxonne, même si certains dissidents en donnent les limites, lřidée idéologique du communautarisme prédomine selon laquelle « la communauté implique le partage de traditions, de pratiques, dřactivités, de sens et de valeurs, couplé avec un degré important de participation politique, le plus souvent sur une même base territoriale. Dans cette forme sociale, le bien commun prime sur les droits individuels et les personnes appartenant à la communauté se conçoivent comme un « nous » » (Schrecker, 2011, p. 49). Par exemple, aux Etats-Unis, ce dualisme est moins prégnant indépendamment du courant politique « communautarien » qui sřoppose au libéralisme. Il peut se comprendre en évoquant au moins trois raisons. Ses origines, son histoire tout dřabord, marquées par une immigration ancienne qui contribue à former un peuple dřune grande diversité ethnique réparti sur un vaste territoire constitué dřespace urbain et rural. Puis sa familiarisation, depuis la fin du XIXe siècle, avec certains sujets sociaux comme celui de lřimmigration où il est commun et dans le langage courant de désigner les différents groupes religieux, culturels, etc. en ayant recours au terme « communauté ». Enfin, plus globalement, lřensemble de ces liens sociaux constitue la communauté sociétale dans laquelle se répartissent les institutions garantes des solidarités, a priori.

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Table des matières

Introduction
Premier acte : Partie théorique
1. La communauté
1.1. Étymologie de la communauté
1.2. Histoire de ses origines et de son sens au fil des époques
1.3. À la recherche dřune définition opérante
2. À la recherche du sens communautaire
2.1. Comment sřappréhendent les communautés en psychologie de lřorientation ?
2.1.1. Définition de la communauté
2.1.2. Cadre de recherche
2.1.3. Implications dans la pratique professionnelle
2.1.4. Conclusion synthétique des principales notions pour penser le rapport à lřexistence à travers la communauté
2.2. Comment sřappréhendent les communautés en psychologie sociale en articulation avec la sociologie ?
2.2.1. Définition de la communauté
2.2.2. Cadre de recherche
2.2.3. Implications dans la pratique professionnelle
2.2.4. Conclusion des principales notions pour penser le rapport à lřexistence à travers la communauté
2.3. Comment sřappréhendent les communautés en psychologie communautaire ?
2.3.1. Définition de la communauté
2.3.2. Cadre de la recherche
2.3.3. Implications dans la pratique professionnelle
2.3.4. Conclusion synthétique des principales notions pour penser le rapport à lřexistence à travers la communauté
3. Donner un sens à la recherche du sens communautaire
3.1. Une nouvelle approche, la psychologie existentielle – quels en sont ses fondements ?
3.1.1. Cadre de recherche
3.1.2. Implications dans la pratique professionnelle
3.2. Comment sřappréhendent les communautés en psychologie existentielle ?
3.2.1. Connexion avec soi
3.2.2. Connexion aux autres
3.2.3. Connexion avec le transcendant
3.2.4. Concepts existentiels transversaux
4. Conclusion
Deuxième acte : Recherche exploratoire
1. Présentation de lřégo-écologie : lřidentité psychosociale
1.1. Lřenvironnement intérieur opératoire (EIO)
1.2. Lřinvestigateur Multistade de lřIdentité Sociale (IMIS) : trois phases dřapprofondissement du sens
1.2.1. Première phase : « Inventaire et répertoire sémantique de lřidentité et de lřaltérité sociale »
1.2.2. Deuxième phase : « Élucidation du sens des représentations »
1.2.3. Troisième phase : « Déploiement de lřenvironnement intérieur opératoire ou analyse du réseau associatif (ARA) »
2. Méthode
1.1. Le choix de la méthode
2.1.1. Population parente
2.1.2. Lřexemplarité de lřéchantillon
2.2. La conduite des entretiens
2.2.1. Modes dřaccès à lřéchantillon
2.2.2. Cadrage du recueil des données
2.2.3. Plan dřentretien
2.2.4. Guide dřentretien
2.3. Réalisation des entretiens et conditions de passation
2.4. Consignes
2.5. Déroulé des entretiens
3. Résultats et analyse croisée
4. Discussion conclusive
4.1. Forces et limites méthodologiques
Troisième acte : Recherche empirique
1. Revue de questions : délimitation du champ théorique au sens de la communauté
2. Formalisation de la problématique de recherche
3. Revue de questions : délimitation du champ théorique relatif aux instruments de mesure retenus en lien avec lřindice du sentiment dřappartenance communautaire
3.1. Lřéchelle dřauthenticité
3.1.1. Définition consensuelle de lřauthenticité : construction tripartite
3.1.2. Mesures de lřauthenticité
3.2. Lřéchelle du sens de la vie
3.3. Lřéchelle de détermination du projet professionnel
3.4. Lřéchelle dřépanouissement psychologique
4. Hypothèses
5. Méthodes
5.1. Pré-expérimentation
5.1.1. Autorisation préalable des auteurs
5.1.2. Adaptation de lřinstrument au public visé
5.1.3. Analyse des résultats de la pré-expérimentation et ajustements
5.2. Les participants
5.3. Procédure
5.3.1. Automatiser lřadministration du questionnaire
5.3.2. Rédaction du consentement éclairé
5.3.3. Programme de diffusion aux communautés
5.3.4. Place et rôle de lřadministrateur dans le programme de diffusion
5.3.5. Export des données depuis LimeSurvey
5.4. Mesures
6. Résultats
6.1. Analyses préliminaires
6.2. Comparaison entre les communautés
6.3. Vérification des hypothèses
6.3.1. Vérification de lřhypothèse 1
6.3.2. Vérification de lřhypothèse 2
6.3.3. Vérification de lřhypothèse 3
6.3.4. Vérification de lřhypothèse 4
6.3.5. Vérification de lřhypothèse 5
7. Discussion conclusive
7.1. Forces et limites méthodologiques
7.2. Implications dans la pratique professionnelle
Quatrième acte : Expérimentation dřune pratique innovante
1. Principes et présentation des étapes du dispositif dřintervention individuel centré sur lřaccompagnement psychologique au SVST
2. Création dřune séance 8 dans le dispositif dřaccompagnement SVST : « Développer le sens de sa vie en cultivant ses liens aux autres et aux communautés sociales »
2.1. Résumé de la séance
2.2. Objectifs de la séance
2.3. Contenu et organisation de la séance
2.4. Processus et effets
2.5. Bilan critique du dispositif dřaccompagnement SVST
3. Expérimentation de la séance 8
3.1. Temps préparatoire en amont de la séance
3.1.1. Définir les objectifs
3.1.2. Déterminer le cadre de lřaccueil
3.1.3. Choisir les participants et attribuer les rôles de chacun
3.2. Test de la séance
4. Résultats
5. Discussion conclusive
5.1. Perspectives de recherche
Conclusion
Résumé
Résumé en anglais

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